Jean-Marc
et Jean-Paul…
… Mais d’abord la petite-énigme de la journée (très classique) :
Mon développement peut vous sembler illogique puisque chez moi :
« L’accouchement arrive avant la grossesse ; l’adolescence avant
l’enfance ; la course avant la marche ; l’écriture avant la lecture ; les
devoirs avant les leçons ; et même la mort avant la vie ; mais ma
constitution est logique et la précède même.
Qui suis-je ? »
Donc Jean-Marc et Jean-Paul …
… sont à terre. Des dizaines de personnes se bousculent au coin de la rue.
Et plus le temps passe, plus l’attroupement prend de l’ampleur.
Un policier approche, fend la foule et voit deux gars couchés par terre,
l’oreille collée au sol.
« Alors ? » demande le
policier. « Vous entendez quelque chose
? »
« Non ! », répond Jean-Marc.
« – Et c’est justement ce qui nous embête » ajoute Jean-Paul. « Ça fait une heure qu’on est ici et on
n’entend toujours rien.
– Mais vous pensez
entendre quoi au juste ?
– Nous ? Ben justement,
on ne le sait pas… »
« – Comme ça tu as pris une
maîtresse », lance Germaine en hurlant à Jean-Marc qui vient de rentrer aux petites heures du matin. « Comme ça tu en as assez de moi ?
– Non. Justement, je n’en
ai pas assez ! »
Un vieux arrive à la messe avec un parapluie alors qu’il fait beau. On
s’étonne mais à la sortie il pleut.
Le dimanche suivant, il va pleuvoir mais il arrive sans rien et à la
sortie il fait soleil.
On lui demande comment il fait pour deviner le temps qu’il va faire.
Il explique : « Avant de
partir, ma femme prend mon sexe, le caresse un peu, le tient à la verticale et
le laisse tomber ; s’il tombe à gauche, il va faire beau et s’il tombe à
droite, il va pleuvoir ! »
Alors Jean-Marc lui demande :
« – Oui mais, si elle reste
droite ?
– Eh bien, dans ce cas,
on ne va pas à la messe ! »
Jean-Marc demande à son ami :
« Pourquoi tu plantes des
presse-purées ? »
Jean-Paul lui répond :
« – Pour éloigner les girafes.
– Mais il n'y a pas de
girafes ici !
– Évidemment puisque j’ai
planté des presse-purées ! »
Germaine et Georgette sont au restaurant.
Le serveur dépose sur leur table deux morceaux de gâteaux un petit et un
grand. Germaine dit à sa copine :
« Vas-y, sers toi ! »
Georgette donne le petit morceau à Germaine et garde le gros pour elle.
« Franchement », lui
dit Germaine pas contente « tu
es pas mal impolie…
– Pourquoi ?
– Tu prends le gros morceau
et tu me laisses le petit !
– Et toi qu'aurais-tu
fait à ma place ?
– J’aurais pris le petit
et je t’aurais donné le gros.
– Mais de quoi tu te
pleins alors ? Tu l’as eu ton petit morceau ! »
Une brave petite dame qui habite près du stade Intercommunal se promène
sur le trottoir en tirant deux sacs poubelle.
Tout à coup, un des sacs se déchire et laisse sortir des billets de 5
euros. Remarquant cela, un policier l’arrête et lui dit :
« – Madame, il y a des billets
de 5 euros qui sortent de votre sac.
– Ho ! Vraiment ? Je
dois retourner et voir si je peux retrouver les autres que j’ai perdus. Merci
de me l’avoir dit.
– Un instant madame, pas
si vite », dit le policier, « d’où vient cet argent ? Vous ne l’avez pas volé, j’espère ?
– Ho, non ! » répond la petite vieille. « Ma cour arrière est près du stade
Intercommunal et durant les matchs de rugby, quelques supporters viennent faire
pipi à travers la clôture de mon jardin de fleurs. Alors ce que je fais, je me
tiens près de la clôture avec une paire de sécateurs et à chaque fois qu’un
gars sort son attirail pour faire pipi, je lui dis 5 euros ou je la coupe ! »
Le policier municipal ajoute en riant :
« C’est bien normal »
et lui souhaite bonne chance.
Et puis il demande :
« – Qu’est-ce qu’il y a dans l’autre
sac ?
– Vous savez », dit la petite vieille, « tout le monde ne paie pas… »
Un jour, au jardin d’Éden, Ève s’adresse ainsi à Dieu :
« – Seigneur, j’ai un problème…
– Lequel ?
– Seigneur, je sais que
vous m’avez créée et que vous m’avez donné ce magnifique jardin et tous ces
merveilleux animaux et ce grand bouffon de serpent mais je ne suis pas
heureuse.
– Qu’est-ce qui t’arrive
?
– Seigneur, je suis
seule, et j’en ai ras le bol des pommes.
– J’ai une solution. Je
vais créer un homme pour toi.
– Qu’est-ce qu’un homme,
Seigneur ?
– Une créature imparfaite,
avec plusieurs défauts. Il mentira, trichera, sera vaniteux et s’auréolera de
gloire. Il t’en fera voir de toutes les couleurs. Mais, il sera plus grand que
toi, plus fort, plus rapide et il aimera chasser et tuer. Il aura l’air
ridicule quand il sera excité, mais puisque tu t’es plainte, je le créerai en
sorte qu’il satisfasse tes besoins physiques. Il sera un peu niais et s’amusera
à des choses inutiles comme se battre et jouer au ballon. Il ne sera pas trop
brillant, aussi aura-t-il besoin de tes conseils pour bien orienter sa pensée.
– Superbe ! » dit Ève, avec un haussement de
sourcils ironique. « Mais où est le
piège, Seigneur ?
– Tu peux l’avoir à une
seule condition.
– Quelle est-elle,
Seigneur ?
– Comme je te l’ai dit,
il sera fier, arrogant et vaniteux. Alors tu devras lui laisser croire que je l’ai
créé en premier. Mais rappelle-toi, ce sera notre petit secret, entre nous,
entre femmes… »
Jean-Gérard, un passionné de golf demande au responsable du terrain de
golf de lui trouver un groupe de personnes pour partager agréablement le
parcours.
Le responsable en parle aux habitués et finalement, il trouve des
personnes intéressées. Lorsque Jean-Gérard revient faire sa partie, le
responsable lui dit :
« – Je vous ai trouvé un groupe
de 3, mais ce sont des rabbins. Ça ne vous gêne pas ?
– Non pas du tout. »
Et ses nouveaux amis disputent ensemble leur première partie. Dès le
premier drive, Jean-Gérard se sent un peu dépassé : Il tombe à 150 mètres dans
le rough, alors que les trois rabbins parviennent tous à 250 mètres sur le
fairway…Et presque tous les trous comme ça. À la fin de la partie, Jean-Gérard
est époustouflé. Il demande :
« – Vous jouez vraiment très,
très bien. Vous devez vous entraîner tous les jours ?
– Non non. On ne vient
qu’une fois par semaine. Nous allons juste prier une fois par semaine dans
notre synagogue le jour de Shabbat et nous demandons à jouer correctement,
c’est tout ! »
Alors Jean-Gérard rentre à la maison hyper excité et il dit à sa femme :
« Chérie, on va se convertir au
judaïsme ! »
Ils se convertissent aussitôt, trouvent une synagogue, se mettent à prier
tous les Shabbat et mangent casher.
Une année passe, Jean-Gérard-David n’a toujours pas progressé dans son jeu
: Il se fait toujours avoir par les trois rabbins qui eux, continuent à jouer
comme des dieux.
Un beau jour, Jean-Gérard-David, très déçu, s’adresse à eux :
« – Je suis déçu, déçu, déçu…
J’ai suivi vos conseils : Je me suis converti au judaïsme et j’ai rejoint une
synagogue, j’ai fait mes prières à chaque Shabbat, tout ça pour jouer aussi
bien que vous. Ça fait un an maintenant, et je suis toujours aussi mauvais !
– Dans quelle synagogue
vous allez prier ? » demande Rabbi
Ezekiel.
« – Shalom Kippour…
– Aïe, aïe, aïe ! Quelle
erreur, Shalom Kippour, c’est pour le tennis ! »
Jean-Marc et Jean-Paul, une fois de plus complètement
saouls, se racontent des histoires depuis des heures.
Soudain, Jean-Paul éclate en sanglots…
« – Je dois t’avouer une chose
terrible. Il faut que je te le dise. Je l’ai sur le cœur depuis des années.
– Bof. Vas-y, on est des potes.
– Ben, ta femme…
– Quoi, ma femme ?
Germaine ?…
– Ta femme, je couchais
avec elle quand tu travaillais à Monaco.
– Ah !
– C’est tout ce que ça te
fait ?
– Ben oui. Moi je
couchais avec la tienne la veille de ton mariage. »
Un vétérinaire doit inséminer un troupeau de vaches. Il se rend dans l’étable
pour effectuer consciencieusement sa mission.
Une fois son travail fini, il remonte dans sa voiture.
Au moment de démarrer, il voit les vaches, le museau écrasé contre le
pare-brise. Il ouvre la fenêtre :
« – Mais… Qu’est-ce qu’il y a ?
– Ben quoi ? Et on n’a
même pas le droit à un p’tit bisou ? »
Un jeune couple, follement amoureux, rentre de faire des emplettes de
dernière minute, la veille de leur mariage, lorsque leur voiture est renversée
éparpillée par un camion. La mort est instantanée.
Au paradis, ils remplissent les formulaires d’usage devant Saint Pierre.
« Nous devions nous marier
demain. Serait-il possible que nous nous épousions au ciel ? »
Saint Pierre devint songeur :
« À ma souvenance, il n’y a
jamais eu de mariage au ciel.
Laissez-moi en discuter
avec Dieu. »
Quelques jours plus tard ils sont invités à rencontrer Dieu :
« – Vous voulez vraiment vous
épouser ?
– Ah, oui, Seigneur », répondirent-ils en chœur. « Nous nous aimons tellement…
– Revenez me voir dans
cinq ans. Si vous souhaitez toujours vous marier, je verrai ce que je pourrai
faire pour vous. »
Déçus mais tenace, ils attendirent cinq ans, ce qui leur parut une
éternité.
Toujours de plus en plus amoureux l’un de l’autre, ils se représentèrent
chez Dieu qui leur dit :
« – Écoutez, si vous tenez
toujours à vous marier, attendez que je vous fasse signe. Il faut être patient.
– Merci Seigneur », dirent-ils, cachant mal leur
déception.
Ils attendirent encore cinq ans, puis, un jour, un messager vint leur dire
de se présenter devant Dieu…
« Vous désirez toujours vous
épouser ? » Leur demanda-t-il.
« – Plus que jamais, mon Dieu !
– Nous allons faire le
nécessaire. »
Une semaine plus tard, ils se marièrent puis retournèrent, comblés, sur
leur nuage.
Quelques années plus tard ils se présentèrent à nouveau devant Dieu :
« – Le mariage n’est pas tout à
fait ce à quoi nous nous attendions. Nous vous serions reconnaissants si vous
acceptiez que nous divorcions…
– QUOI ? » dit Dieu, hors de Lui.
Son visage durcit. Les nuages s’entrechoquent et les éclairs zèbrent le
ciel.
« Pas question ! J’ai mis plus
de dix ans avant de trouver un prêtre au paradis !
Avez-vous une idée du temps
qu’il me faudrait pour trouver un AVOCAT ? »
Jean-Marc entre dans la chambre de l’hôpital.
Il visite son père qui est malade.
Ils discutent un peu pendant qu’il lui tient la main.
Puis, le fils s’assoit sur le lit, car son vieux parle très bas.
Soudain le malade se met à respirer avec difficultés.
Il devient bleu.
Il saisit un morceau de papier et un stylo, il griffonne quelques mots,
lâche tout, et meurt.
Jean-Marc, désemparé par le chagrin, ramasse machinalement le morceau de
papier et le met dans sa poche.
Quelques jours plus tard, lors des obsèques, en fouillant dans sa poche, Jean-Marc
tombe sur la feuille de papier.
Toute froissée.
Il le déplie, et lit :
« Connard ! Lève ton cul du tuyau
d’oxygène ! »
Un kangourou ne cesse de s’échapper de son enclos au zoo à Monte-Carlo.
Les gardiens, sachant que ces bestiaux peuvent sauter très haut, élèvent
une barrière de 3 mètres de hauteur.
Le lendemain matin, ils le retrouvent rodant autour du zoo.
Ils élèvent alors une barrière de 5 mètres.
Le kangourou s’échappe encore.
Quand la barrière atteint les 10 mètres, quelques jours plus tard, un
chameau de l’enclos d’à côté demande au kangourou :
« – Jusqu’à quelle hauteur
crois-tu qu’ils vont aller ?
– Jusqu’à un kilomètre, à
moins que quelqu’un ne ferme la porte à clé ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : La réponse : Un dictionnaire !
Bé oui…
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