Suite
des aventures de Jean-Marc
Une petite énigme facile pour commencer ?
Quel animal peut changer de sexe en moins de 5 secondes ?
Réfléchissez bien avant de raconter n’importe quoi…
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Je vois que ça va mieux
avec ta femme !
– Qu’est-ce que tu dis là
?
– Je vous ai vu hier.
Vous coupiez du bois ensemble pour la cheminée.
– Du bois ? On partageait
les meubles. »
Un marin rentre à la maison après six mois en mer.
Bien entendu, le couple se lance dans une partie de jambes en l’air…
Tout à coup, un courant d’air fait claquer une porte quelque part dans la
maison !
Le marin dit, sans y penser :
« – Ça doit être ton mari qui
rentre à la maison !
– Non ne t’inquiète pas,
il est en mer pour 6 mois… »
Jean-Marc arrive chez son vieux copain Jean-Christophe
à l’improviste, et demande à passer la nuit chez lui.
Jean-Christophe l’accueille, mais est désolé de ne pouvoir lui offrir une
chambre pour lui seul.
Il lui dit :
« – Tu peux dormir dans le
salon, ou tu peux dormir dans la même chambre que bébé.
– C’est bon, je vais
dormir au salon. »
Le lendemain matin Jean-Marc va à la salle de bains et y rencontre une
superbe jeune femme.
« – Bonjour, qui êtes-vous ?
– Je suis Béatrice
Bonnet, mais vous pouvez m’appeler Bébé, et vous qui êtes-vous ?
– Le roi des cons ! »
Jean-Gédéon se présente devant St-Pierre et attend le verdict de ce
dernier pour entrer au paradis.
St-Pierre semble circonspect et dit :
« – Jean-Gédéon, votre cas est
délicat, car si c’est vrai que vous n’avez rien fait de mal au cours de votre
existence, vous n’avez rien fait de bien non plus. Avez-vous l’impression
d’avoir mené une bonne action, une fois dans votre vie ?
– Bien sûr ! Par exemple
le jour où je m’étais perdu en voiture dans un quartier chaud de la ville et où
j’ai vu cette horde de skinheads agresser une pauvre jeune fille. Je suis
descendu de ma voiture, j’ai pris mon démonte-pneu et j’ai couru vers ces sales
types. Ils devaient être une vingtaine et quand ils m’ont vu arriver avec mon
démonte-pneu, ils ont tout de suite laissé partir la fille… ça, c’est pas un
acte héroïque, St-Pierre ? »
Le juge suprême réfléchit et dit :
« – C’est sûr, Jean-Gédéon,
vous méritez le paradis… Mais je ne vois pas trace de cet évènement dans les archives
vous concernant. Quand est-ce arrivé ?
– Ohhh… Il y a à peine
deux ou trois minutes… »
Au lendemain d’un meeting d’aviation, en classe de CM2, l’institutrice
pose des questions à ses élèves.
« Alors les enfants… À quoi
avez-vous pensé en voyant descendre les parachutistes ? »
Jean-Émile, un bon élève, répond :
« – Je pensais à de grands
champignons, madame…
– Très bien. »
Jean-Louis, un autre bon élève, poursuit :
« – Moi, je pensais à de grands
parapluies tout blancs…
– Bravo. »
Puis l’institutrice s’adresse au petit Jean-Marc qui somnole près du radiateur au fond de la classe :
« – Et toi Jean-Marc, à quoi
pensais-tu en voyant descendre les parachutistes ?
– Moi ? À une fille à
poil.
– Mais je ne vois pas le
rapport ? » fait
l’institutrice.
« En fait… Moi non plus… Mais,
je ne pense qu’à ça… »
Germaine marche sur le trottoir avec sa petite-fille de 4 ans.
Tout à coup, sa fille se penche pour ramasser quelque chose sur le sol et
s’apprête à le mettre dans sa bouche.
Germaine lui ai alors dit qu’elle ne devait pas faire ça.
« Pourquoi ? »
demanda-t-elle.
« Parce que c’est sale et
probablement plein de microbes. »
À ce moment-là, la petite fille de Jean-Marc
regarde avec de l’admiration dans ses yeux et dit :
« – Wow ! Comment connais-tu
toutes ces choses ?
– Euh… Toutes les mamans
et d’autant mieux les grands-mamans savent ces choses… Hum… C’est dans le test
de la maman. Tu dois savoir ces choses, sinon ils ne te laissent pas devenir
une maman.
– Oh… »
Elles ont continué à marcher en silence pendant 2 ou 3 minutes, mais la petite-fille
de Germaine réfléchissait évidemment à cette nouvelle information.
« Ça y est, j’ai compris ! »
s’écria-t-elle soudainement. « Quand
tu échoues au test des mamans, c’est là que tu deviens le Papa ! »
Ah, les vieillardes…
Les progrès de la médecine ont permis à une femme de 85 ans de donner
naissance à un enfant. Toute la famille de la nouvelle maman se réunit pour
fêter la naissance.
Enthousiastes, ceux qui arrivent les premiers demandent :
« On peut voir le bébé ? »
Et la mère leur répond :
« Pas encore… Attendez un peu… »
Un autre groupe se présente à la porte avec des gerbes de fleurs et
réclame :
« On peut voir le bébé la 7ème
merveille du monde ? »
La mère répond :
« Pas encore… Soyez patient… »
Lorsqu’un troisième groupe de visiteurs débarque à son tour, on commence à
se sentir à l’étroit dans l’appartement.
L’une des personnes s’adresse alors à la mère :
« – Mais enfin, quand va-t-on pouvoir
voir ton bébé ?
– Vous le verrez quand il
pleurera…
– Mais pourquoi pas avant
?
– Parce que j’ai oublié
où je l’ai mis… »
Un routier qui roule depuis un bout de temps a envie de soulager sa vessie
depuis un bon moment.
Trouvant donc un endroit approprié et sombre, il se dit qu’il serait
tranquille pour faire ce qu’il a à faire.
Pas de flic à l’horizon… Il descend de son camion et commence donc à
uriner.
À ce moment, il entend des petits pas sur le sol. Il se retourne et voit
une dame âgée qui se dirige vers lui en lui disant :
« S’il vous plait, Monsieur,
cela fait si longtemps, laissez-moi en tenir une ! »
Le routier complètement abasourdit par les propos de la dame rougit
d’abord et lui dit :
« Mais enfin Madame, vous ne
voyez pas ce que vous me demandez là ? »
La vieille dame poursuit :
« Oui je sais, mais ça fait
tellement longtemps ! »
Alors le routier se dit que, ma foi, c’est une dame âgée après tout, si ça
peut lui faire plaisir…
Il la laisse faire.
Puis, la dame poursuit :
« S’il vous plait, Monsieur
puis-je tenir l’autre aussi. »
Le type se dit qu’au point où il en est…
Et c’est alors que la dame s’est écriée très fort en les claquant l’une
contre l’autre : « JE NE VEUX PAS QU’ON
FASSE PIPI SUR MES ROSIERS !
JE-NE-VEUX-PAS-QU’ON-FASSE-PIPI-SUR-MES-ROSIERS
! »
Parmi les « revenues » (de plus en plus nombreuses) du moment :
À l’hôpital, une infirmière d’âge mûr rencontre une jeune infirmière :
« Je viens d’installer un marin
dans la chambre 211. Je n’ai jamais vu ça ! Il est tatoué partout… même que sur
le pénis, c’est écrit Swan !! »
La jeune file vers la chambre 211. Elle en ressort une bonne demi-heure
plus tard.
La première la questionne.
« – Alors, as-tu vu ça ?
– Oui, c’est pas
croyable… mais tu t’es trompée. Sur le pénis c’est pas marqué Swan, mais Saskatchewan
! »
(Je ne me rappelle plus du nom de l’originelle)
Une société de programmation décide d’y aller d’une première : Cinq
cannibales viennent d’être embauchés en tant que programmeurs.
Lors de leur arrivée, le gestionnaire leur dit :
« Vous pouvez travailler ici,
gagner beaucoup d’argent et manger dans la salle de pause-café, mais laissez
les autres employés tranquilles. »
Les cannibales promettent de n’embêter personne.
Quatre semaines plus tard, le patron revient et leur dit :
« Vous travaillez très bien
mais il nous manque une secrétaire. Est-ce que vous savez ce qu’elle est
devenue ? »
Les cannibales répondent tous par la négative et jurent n’avoir rien à
faire avec cette histoire.
Dès que le patron est parti, le chef des cannibales demande :
« Quel est le con parmi vous
qui a bouffé la secrétaire ? »
Le dernier au fond répond d’une petite voix :
« C’est moi. »
Le chef des cannibales :
« Pauvre imbécile ! Depuis 4
semaines, nous ne bouffons que du gestionnaire pour que personne ne remarque
rien, et toi il a fallu que tu bouffes la secrétaire ! »
(Bon celle-là, c’est l’adaptation d’une très ancienne,
racontée par mon « papa-à-moâ-même » et remonte aux années 70 (du
précédant millénaire) : L’histoire des deux lions errants dans
Paris-sur-la-plage, un maigre, famélique et l’autre bien nourri. « Comment fais-tu pour trouver pitance dans
cette jungle urbaine ? Oh moi, je me pointe à la centrale « Printemps-Prisunic »
tous les matins, et je bouffe un cadre. Ils sont tellement nombreux qu’ils ne s’en
aperçoivent même pas ! »)
Jean-Marc descend la poubelle (c’est bien tout
ce qu’on peut demander à un homme). Arrivé au deuxième étage, il rencontre une
superbe blonde (évidemment) qui lui dit :
« Viens chez moi, je vais te
montrer des trucs, tu ne peux même pas imaginer. »
Il suit la fille forcément (c’est un homme tout ce qu’il y a de plus
banal) et, en effet, pendant deux heures, elle lui sert un Kâma-Sûtra d’enfer.
Quand Jean-Marc revient à lui, la blonde lui demande ce qu’il va bien
pouvoir inventer comme excuse pour sa femme, la Germaine, pauvre petite brune
(vous savez, du genre à se moquer des décolorées).
« Tu as de l’ombre à paupières de
couleur bleu » lui demande-t-il.
La blonde lui en donne, il s’en met au bout des doigts et remonte chez
lui.
Germaine l’attend dans la cuisine, furax :
« – Tu peux me dire ce que t’as
foutu pendant tout ce temps ?
– Ben voilà, la blonde du
deuxième m’a invité chez elle. On a baisé comme des bêtes pendant deux heures.
Quand j’y pense, je bande encore !
– Ne me prends pas pour
une conne ! » hurle-t-elle. « Tu es encore allé au billard avec tes potes !
Tu as plein de craie sur les doigts ! »
(Une classique qui me fait toujours autant rire…)
Solution de l’énigme du jour : Le morpion, bien sûr !
(Un « classique »)
Bon week-end à toutes et tous !
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