Et d’autres pour lesquels ça passera pour de
l’agression
Entre « Giskard-A-la-barre » qui avouait que
« le pouvoir » est un puissant aphrodisiaque pour le
« beau-sexe », les escapades de « Le Chi », les élans déplacés
et autres « parties fines » de « Déesse-khâ », les
« va-nu-pieds » de « Tonton-Gorge-Tronc », l’élastique du
string présenté aux doigts de « Pas-sain », v’là t’y pas que même
« Beau-pain » s’y met aussi !
Même que ça a fait buzz jusqu’en
« Ritalie », un bon bout de la semaine dernière.
Ils en rigolent bien, eux sur place, quand ils se
remémorent leur « Cavaliere » qui n’en loupait pas une !
Notez que quand on regarde un peu la tronche de
« sa moitié » (on devrait dire son « deux-tiers »), « l’Aima-nue-elle-Corse »,
on commence par lui trouver des excuses.
Mais en mirant sa propre tronche, on se dit que ce
gars-là, il fantasme plus qu’il ne « réalise » : Pas bien
dangereux pour les « vierges-effarouchées » qui désormais s’en
plaignent !
Alors que d’autres n’en diront jamais rien, mais n’hésitent
pas à troncher tout ce qui passe à proximité ou dans leur champ visuel : J’en
connais !
Et elles aiment ça, en plus !
Perso, je ne suis pas né si kon que ça : Jamais
d’écrit et aucun geste « déplacé » qui n’ait pas été sollicité au
préalable.
Quant aux « suggestions », elles sont
toujours à double-sens, discrètes et le moins ambiguës possibles. Pas
fou !
Et puis, les « blagues-potaches », d’abord
jamais rien sur « les blondes », ou presque, ensuite pour les
« blagues de mek », je choisis mon public et de toute façon, je
compense avec mes « Histoires
d’en rire » au moins une fois par semaine depuis des années.
D’autant que je ne suis l’auteur que d’une très faible
quotité.
Quant au reste, je suis aussi discret qu’un prête en
confession, muet comme une tombe, d’autant que quand j’ai tenté de regrouper
l’essentiel de mes « aventures » en entreprise dans un post
exceptionnel, celles arrivées lors de mes missions de redressement par exemple,
je me suis fait rembarré sèchement par ma « petite-sœur-à-moi » pour
être « hors-sujet » et ces posts ont définitivement disparu de la
toile.
Hors-sujet ? Pas tant que ça, parce que dans les
« périodes de crises » en entreprise, on en vit souvent « des
vertes et des pas mûres » : Tout un roman !
D’ailleurs, je parsemais mes « romans »
d’apartés numérotés qui, dans ma mémoire, se référaient à des épisodes
vécus : Je l’ai toujours affirmé, je n’ai aucune imagination et il me faut faire référence à « du vécu » pour avancer.
Que voulez-vous, un seul neurone en fonction, rien de
plus et depuis toujours…
Ceci dit, le fait est confirmé par le dernier sondage
« d’Opinion-Way » paru lundi en huit qui révèle que 75 % des 18-24 ans
sont « prêts à tout » pour réussir en
entreprise.
Et même vraiment prêts à tout pour près de 20 %
d’entre eux, puisqu’ils envisagent de « coucher » pour avancer !
Sans s’en cacher…
Ah les « beaux-jours » en perspective de la
« promotion-canapé » !
Au début de l’étude, on ne s’inquiète d'ailleurs pas trop.
Cela démarre même plutôt bien, avec un petit-côté
boy-scout au garde-à-vous, toujours prêt, corvéable et taillable à merci !
Quand on démarre en bas de l’échelle, crise économique
oblige, il faut effectivement être « prêt à tout », braves petits gars, même
faire le café et compter les trombones et les agrafes.
Puis on lit la fin du rapport d’enquête. Et on la
relit même pour être sûr : La promotion canapé assumée et décomplexée ?
Un jeune sur cinq partant pour ce genre d’heures
supplémentaires sans même en faire mystère ?
Attendez donc : Est-ce donc là tout ce que notre
école de la méritocratie républicaine a transmis ?
D’accord, parfois ils ont du mérite !
Et puis ils ne font rien de défendu.
Non qu’on ne leur ait pas inculqué quelques interdits,
une morale d’une rigueur et rigidité papale, résumée en seulement deux préceptes : Hygiénique
« jamais sans le préservatif ». Et « éthique » :
« Jamais avec le Front national » et plus globalement tout ce qui est un peu facho.
Entre ces deux barbelés électrifiés, fais ce qu’il te
plaît !
Que voulez-vous, la sexualité est dédramatisée, désacralisée, banalisée
dès l’école primaire et après on fait mine de s'étonner !
Les premiers de la classe, les besogneux, les boutonneux, les travailleurs timides gentiment ridiculisés. S’ils sont assez benêts pour croire que, dans la vraie vie, c’est comme ça que l’on réussit, tant pis pour eux s’ils vont au-devant de grandes déceptions et désillusions.
Les premiers de la classe, les besogneux, les boutonneux, les travailleurs timides gentiment ridiculisés. S’ils sont assez benêts pour croire que, dans la vraie vie, c’est comme ça que l’on réussit, tant pis pour eux s’ils vont au-devant de grandes déceptions et désillusions.
À l’instar de « Rachi-dada-Mimi », citée par
Jacqueline Remy dans son livre « Du rimmel et des larmes », ils
veulent « baiser utile » !
Comment leur en vouloir, d’autant que l’exemple vient
d’ex-ministre, d’ex vice-Président de l’AN ou encore d’ailleurs ?
« Âne-nie-l’Amère » ex-salariée des Verts et
conseillère régionale d’Île-de-France, a ainsi rapporté les menaces qu’auraient
proférées le député « écololo » et ci-devant devenu ex-vice-président
de l’Assemblée nationale, lorsqu’elle l’a éconduit : « Eh bien Annie, tu n’auras jamais de poste dans le parti ! »
Voilà ce qui arrive, n’est-ce pas, lorsque l’on fait
sa mijaurée.
Les 18-24 ans semblent l’avoir parfaitement intégré.
Que reprochent ces femmes au « vert-galant-écololo »
« post-IIème-millénaire » ?
Plaquage contre le mur (ça ce n’est pas bien :
C’est dans un lit qu’on plaque !), attouchements (là encore, il faut
demander la permission au préalable).
« Il m’a
plaquée contre le mur en me tenant par la poitrine et a tenté de m’embrasser
dans le couloir, durant une pause alors que j’animais une réunion. J’en ai
parlé à deux membres de la direction du parti. L’un m’a dit : « Ah il a
recommencé ». L’autre : « Ce sont des choses qui arrivent très
souvent » ».
Ouais, tu parles !
Vu les charmes apparents de la dame, soit il était
vraiment en manque, soit il était « chargé ».
Et elle, elle ne s'est pas sentie très flattée, finalement…
Lui aussi, il aurait pu penser à palper l’intérieur
des cuisses, une zone érogène puissante qui ouvre à des choses nettement plus… « intéressantes », voire « juteuses » à souhait,
au lieu de maltraiter une paire de seins toujours délicats !
Perso, ça a dû m’arriver deux ou trois fois de me
faire coincer de la sorte par une « mignonette », mais guère plus. Une
époque où j’avais toujours en poche une ébauche de cLc
(convention de libre coïtage, que je vais finir par reprendre ici, tellement ça
s’impose) à faire signer préalablement : Ça refroidit
sérieusement !
Et à défaut, je disais « oui bien sûr, j’en serai ravi » (ne jamais dire non à une
dame, même en chaleur, ça peut devenir l’enfer) « pas ici, mais ce soir » quitte à préparer un beau lapin de
première-classe avec pour excuse ultime les « devoirs de la fonction » qui ont inopportunément été un empêchement de « force-majeure ».
On peut passer utilement par la case « Vous allez être très déçue », ou
tenter de lui faire croire, si elle est assez jeune pour ça, que ce serait un
inceste : « J’ai très bien
connu votre mère, il y a une paire de décennies de ça », mais ça peut
ne pas prendre.
Évitez le « je
suis gay », ça peut vraiment devenir galère à raser les murs en
marchant en crabe dans les couloirs !
À lui, on lui reproche aussi des dizaines de textos
plus salaces les uns que les autres, reçus « par salves », en 2013 pour la
députée du Calvados.
Même chose pour l’adjointe écologiste à la mairie du
Mans.
Encore un qui coure plusieurs lièvres à la fois et
doit s’étonner de n’en choper aucun…
Règle majeure : Ne jamais laisser d’écrit (sauf la
« cLc » qu’il va falloir que je vous reprenne, vous dis-je, parce que la leçon n’a
pas été bien comprise)…
Mais, si je n’avais pas été solidement hétéro et
kouillu, j’aurai été plutôt flatté si j’avais reçu un texto du type : « J’aimerais te sodomiser en cuissarde »,
ou encore, « j’ai envie de voir ton cul
».
Où carrément : « J’aime bien quand tu croises tes jambes comme ça », direct et
devant témoins, sur le ton de la rigolade !
C’est très fleur-bleue, finalement !
Un vrai romantique, ce gaillard-là…
Notez que « toucher » plutôt que
« voir » aurait été plus prometteur, à ce que j’en pense !
D’ailleurs, il ne s’interdit rien, jusqu’à une main au
panier d’une secrétaire dans un ascenseur du Palais Bourbon, payée en retour d’une
baffe bien sentie !
Insupportables et délictueux agissements « qui durent depuis au moins 1998 », c’est
ce que préciserait « France-Intox ».
Mais qu’est-ce qui a motivé, parfois longtemps après,
ses victimes présumées à porter l’affaire au grand jour ?
Ce serait le tweet du
« trousseur-de-jupons » photographié, lèvres maquillées de rouge,
avec plusieurs de ses collègues, le 8 mars dernier, à l’occasion de… la Journée
« contre les violences faites aux femmes
».
Continuer de se taire après pareil culot ?
Inenvisageable ! Quand on sait que le personnage, en 2012, se félicitait de la
nouvelle loi votée sur le harcèlement…
Mais enfin, comment une omerta de cet acabit a-t-elle
pu prospérer, au sein d’un parti prétendument si féministe ?
C’est « Sicile-du-Flot-vert » qui se fait
l’avocate de ses débordements-là et lâche le sempiternel morceau : C’est parce qu’il est « difficile d’agir sans savoir précisément
», c’est à cause « des liens amicaux
profonds qui compliquaient énormément la situation ».
Certains ne voulaient pas « l’accabler parce qu’il avait pris conscience de ses actes et se
soignait » !
Et de conclure : « Mais
comment imaginer la vérité ? »
Comment, en effet, quand les Verts ne savent pas trop
« différencier le harceleur du séducteur
», comme le dénonce « Âne-nie-l’Amère »…
Encore une qui est née kon : Et ça veut
représenter le peuple des gaulois ?
Des fois, je me demande jusqu’où ça va se nicher,
la fatuité de ces trisomiques-là !
La plupart des faits sont aujourd'hui prescrits du point de vue
pénal et le soufflet médiatique va retomber. Mais pour justifier de ne pas avoir témoigné plus tôt, ces « écololos »
là parlent notamment de la peur de nuire « aux intérêts du parti », ou encore, comme l'adjointe au maire
du Mans, d’évoquer la culpabilité et l’isolement : « Comme on nous dit que ça va nous détruire,
que ça abîmera le parti et que c’est un mec formidable qui combat le nucléaire,
que les intérêts du parti doivent passer avant le reste, alors on se tait. En
tout cas, moi, je me suis tue ».
C’est sûr, il y a des priorités bien plus urgentes, vu
qu’on démantèle à tour de bras les centrales, voyons donc !
D’ailleurs « Noëlle-sa-mère »
renchérit : « Ce que je
constate c’est que toutes ces femmes qui ont été agressées sexuellement n’ont
rien dit pendant longtemps. Peut-être parce que nous étions dans un parti
relativement petit avec une forme d’entre soi où il n’était pas question de le
fragiliser. Je suis fier que les femmes, toutes membres d’EELV, se soient enfin
décidées à parler », a expliqué le maire de Bègles, le
marieur-anticipé « pour tous ».
Comme délicate récupération, on ne peut guère faire
mieux.
Mais il est dans la droite ligne de la ligne du
parti : « Seules la dénonciation
systématique de tels actes et la mise en œuvre d'une réponse collective
permettront de faire reculer ces comportements et de protéger les femmes. Dans
notre société, les femmes sont victimes d'une double peine d'abord en tant que
victimes mais aussi quand certains minimisent ce qu'elles ont vécu, voire les
en rendent responsables. »
Rires !
C'est exactement le texte des ex-ministres, tous bords confondus, qui font pétition…
C'est exactement le texte des ex-ministres, tous bords confondus, qui font pétition…
Même si c’est une lapalissade, ou justement parce que
c’est une lapalissade éculée !
« Yvon Kon-et-sot », conseiller « écololo »
de Paris, explique que « quand il y
a eu des allusions à ça, assez récemment lors d'un conseil fédéral, à la
surprise générale, la personne qui est montée à la tribune pour demander qu'on
arrête de discuter de ça, c'est sa compagne, c'est « Aima-nue-elle-Corse »
qui a dit : « Stop j'ai interdit qu'on poursuive ce débat. On réglera ça
ailleurs et dans d'autres conditions » ».
Dictatoriale, la gamine-démocratique !
Depuis, ils l’ont virée…
Bref, encore une bonne tranche de rigolade.
Non pas que l’affaire soit sérieuse, mais comme on s’en
doutait, « écololos » ou non, ils sont tous et toutes montés sur les mêmes
ressorts du pouvoir consenti par autrui.
Et tous en abusent et (presque) toutes s'en font les complices !
Même chez les « écololos ».
Lamentable, finalement.
moi je connais une parade imparable contre le harcèlement : Tiré des bons principes du professeur Marcel Mouloudji ça s'appelle une bonne paire de claques dans la gueule,et basta....
RépondreSupprimerC'est la seule réponse valable !
SupprimerEt une bonne dose de mépris en plus...
Avec une mention particulière, seulement quand c'est possible, d'un bon coup de genou aux "parties sensibles" : Radical !
Bien à vous !
I-Cube
Question: pourquoi cela sort maintenant?
RépondreSupprimerAh ça !?
SupprimerPour avoir la peau de "Beau-pin" ?
Pas sûr.
Pour déstabiliser un allié électoral et réduire son influence néfaste dans les urnes ?
Quel intérêt ? Mais pourquoi pas.
Maintenant circule la théorie "complotiste" interne au parti des "écololos" : Le clan "Sicile-du-flot" contre ceux de "Aima-Nue-Elle-Corse" (une jalousie de femmes ?) qui tente de reprendre le parti en main, justement pour peser en 2017, aidée en cela par les "archéos" pro-trotskistes : Ca reste plus probable.
D'ailleurs le timing plaide pour ça : On est suffisamment loin des élections majeures pour que le coup réussisse sans laisser de traces durables dans l'esprit de l'électeur.
Il suffit de se souvenir de l'affaire du Sofitel de "Déesse-khâ", qui normalement succédait à "Bling-bling" surfant sur une vague qui emporterait tout, qui se fait placardiser en mai 2011...
Un an avant les échéances.
Ce qui n'a pas empêcher "François III" de virer le "maxi-fat" !
Justement, on est à un an des prochaines...
A suivre, Vlad !
Bien à toi !
I-Cube