Il y en a encore pour plusieurs… époques !
Deux pastèques qui avancent au beau milieu d'un champ
de maïs, qu'est-ce que c'est ?
Les couilles du Géant vert !
C'est un paysan qui achète un âne. Mais voilà, il ne
sait pas où le mettre. Il a bien une étable, mais dans cette étable il y a déjà
un taureau. Ce n’est pas qu'il est méchant, ce taureau, mais il a comme qui
dirait la libido exacerbée.
Le paysan finit par trouver une solution.
Il couvre l'âne d'un immense drap et le laisse dans
l'étable avec le taureau.
Apparemment, tout se passe pour le mieux. Le paysan
s'endort et passe une agréable nuit.
Hélas, le lendemain matin, l'âne a disparu !
Le paysan part à sa recherche et demande aux gens
qu'il rencontre s'ils ne l'ont pas vu. Non ! Personne n'a vu l'âne en question.
Après plusieurs heures de recherche, il s'apprête à abandonner.
Par acquit de conscience, il demande tout de même à un
gars qui passe par là :
« – Vous
n'auriez pas vu un âne avec un grand drap sur le dos ?
– Ah
non, mais j'en ai croisé un avec un petit mouchoir dans le cul. »
Un gynécologue examine une patiente :
– C'est
étonnant, je n'ai jamais vu un vagin aussi profond… profond… profond…
– Pas
la peine de le répéter », dit la patiente, agacée.
« Mais je
ne répète pas, madame : c'est l'écho. »
Une dame emmène son fils avec elle à la Sécurité
sociale.
Impressionné par la taille du bâtiment, le petit
garçon demande :
« – Dis
maman, y a combien de personnes qui travaillent ici ?
– Oh, à
peu près la moitié, mon chéri. »
Une brune dit à sa copine blonde :
« – Tu
savais qu'il fallait trois moutons pour tricoter un pull ?
– Ben
non. Je ne savais même pas que les moutons savaient tricoter. »
Deux fillettes jouent dans un parc avec leurs poupées
:
« – Tu l'as
achetée où, la tienne ?
– Chez
Carrefour. Maman l'a payée 30 euros. Et toi ?
– Chez
Auchan. Maman l'a payée 50 euros. »
Elles voient alors passer une dame avec un bébé dans
un landau et ne résistent pas à l'envie de lui demander :
« Et toi,
où tu l'as acheté, ton bébé ? »
La dame répond en souriant :
« À
l'hôpital. Je l'ai payé 2.000 euros. »
La dame partie, une des petites filles dit à l'autre :
« À ce prix-là,
elle s'est fait baiser ! »
Dans les années 1900, un lord anglais descend de
voiture à Paris et pisse par-dessus un pont. Arrive un agent de police :
« Monsieur,
c'est interdit. Je vous colle une amende de 25 francs ! »
N'ayant qu'un billet de 50 francs, le lord interpelle
son cocher :
« John !
Descendez et venez pisser pour 25 francs. »
Au cours d'un dîner en ville, une dame accable de
questions son voisin, qui est médecin.
Au bout d'une heure, celui-ci, furieux, demande à un
avocat assis à côté de lui :
« – Maître,
cette dame m'interroge depuis une heure sur sa petite santé. D'après vous,
suis-je en droit d'exiger des honoraires ?
– Absolument
! Quant à vous, vous me devez 75 euros. »
Jean-Marc et Jean-Paul
causent dans un bar :
« – J’ai un
pote, ça fait deux ans qu'il vit dans le Rhône.
– Ah
ouais ? Et comment il fait pour respirer ? »
Les mêmes, un autre soir discutent devant leur bière :
« – Pfff,
si tu savais comme ma femme est exigeante.
– Oh ! Tu
exagères. Je suis sûr qu'elle n'a pas toujours été comme ça.
–
Ouais, t'as raison… Comment tu le sais ?
– Ben,
il a bien fallu qu'elle t'épouse. »
Une prostituée va voir son gynécologue.
« – Vous
perdez beaucoup pendant vos règles ?
– Oh, à
peu près mille euros. »
Une brune rencontre sa copine blonde :
« – Hé ! Pourquoi
t’as un bas noir et un bas rouge ?
– Pfff,
ne m'en parle pas… Le pire, c'est que j'en ai encore une paire comme ça à la
maison ! »
D’actualité :
« – Comment
appelle-t-on un grand rassemblement d'aveugles ?
– Un festival de
cannes ! »
Un richissime émir du Moyen-Orient fait visiter son
harem à un journaliste américain.
Au passage, il jette son mouchoir de dentelle à une
jeune nymphette, la désignant ainsi comme sa favorite de la nuit prochaine.
« – Et les
autres ? » demande le journaliste, passablement excité. « Comment font-elles pendant ce temps-là
? »
– Eh
bien elles se mouchent dans leurs doigts. »
Deux amies discutent. Par la fenêtre, l'une des deux
aperçoit son mari rentrant du travail avec un bouquet de fleurs à la main.
« – Et
merde, voilà mon mec avec des fleurs. Il va encore falloir que j'écarte les
jambes.
– Pourquoi,
tu n’as pas de vase ? »
Un papy va chez le médecin :
« – Docteur,
je ne vais pas bien du tout…
– Allons, allons, je vous connais ! Vous êtes solide comme un chêne !
– Allons, allons, je vous connais ! Vous êtes solide comme un chêne !
– Justement,
docteur. Le tronc, ça va, mais c'est le gland qui m'inquiète. »
C'est un homo en voiture, suivi d'un camion, qui sont
arrêtés à un feu rouge.
Le feu passe au vert et la voiture ne démarre pas.
Après avoir klaxonné en vain, le routier passe la tête
par la fenêtre et hurle :
« – Et
alors ? Tu veux que je te la pousse, ta merde ?
– Oui, je
veux bien. Mais qu'est-ce qu'on fait de la voiture ? »
C'est Jean-Marc
un peu fatigué qui s'arrête dans un bar de routiers.
Il entre et voit un écriteau :
« Bière 4 €
« Sandwich au poulet 6 €
« Branlette 15 €.
La serveuse, super mignonne, s'approche.
« Qu'est-ce
que vous prendrez ? »
Un peu méfiant, il hésite, puis finit par demander :
« Heu… la
branlette, là… c'est vous qui vous en occupez ? »
La fille roule des hanches, le regarde langoureusement
et, d'une voix assurée mais douce, lui susurre :
« – Oui,
c'est moi.
– Alors
lavez-vous les mains, je voudrais un sandwich au poulet. »
D'emblée, une jeune fille avertit Jean-Marc, avec lequel elle sort pour la première fois :
« – Tu
sais, ma mère m'a fait jurer de répondre « non » à toutes tes
demandes.
– Ah…
Dans ce cas… Ça te dérange si on baise ? »
Au cours d'une soirée, Jean-Marc rencontre une personne dont il a oublié le nom :
« – Tiens,
bonjour monsieur… euh…
– Convert.
– Ah
oui, bien sûr ! Je ne me souvenais plus de la couleur. »
Jean-Marc retrouve sa
voiture avec une aile emboutie sur le parking du supermarché.
Il avise un petit mot sur le pare-brise : « J'ai embouti votre voiture. Tout le monde me
regarde et pense que je suis en train de vous laisser mes coordonnées. En fait,
non. »
(Une « éculée »…)
C'est un astronome qui donne des conférences dans les
grandes villes possédant un observatoire. Tous les soirs, il fait les mêmes
observations, raconte les mêmes anecdotes, répond aux mêmes questions.
Il en a un peu marre et en parle à son chauffeur alors
qu'ils se rendent à la ville suivante :
« Écoutez, Jean-Marc, depuis le temps que vous
m'écoutez faire mes conférences, vous connaissez le topo par cœur. Voici ce que
je vous propose : Ce soir, on échange les rôles, y compris le costume. Vous
ferez la conférence, et moi je conduirai. Personne ne me connaît dans la
prochaine ville, tout se passera bien. »
Jean-Marc, qui est un passionné d'astronomie, accepte.
Le soir venu, il remplace l'astronome au pied levé.
Il décrit brillamment les constellations et reçoit
un tonnerre d'applaudissements à la fin
de son exposé.
Puis vient la traditionnelle séance de questions.
« – Qui a
découvert Uranus ?
– William
Herschel.
– Et
qui a découvert Pluton ?
– Clyde
Tombaugh, »
répond Jean-Marc.
Enfin, du fond de la salle :
Enfin, du fond de la salle :
« Pourriez-vous
nous expliquer les avantages et les inconvénients du modèle d'instabilité par
accrétion du disque et de celui par pulsation pour expliquer les explosions des
étoiles variables cataclysmiques ? »
Pris au dépourvu, Jean-Marc garde le silence un
moment, puis répond :
« Je suis
surpris que vous me posiez une question d'une telle simplicité. D'ailleurs,
pour vous montrer à quel point c'est enfantin, je vais laisser mon chauffeur y
répondre à ma place. »
Deux blondes tombent en panne sur une route de
campagne.
Elles sortent de la voiture et se mettent à la
pousser.
Survient un paysan avec son tracteur, qui, plein de
bonnes intentions, leur demande :
« – Dites,
mes p'tites dames, vous voulez que je vous tire avec mon engin ?
– Non
merci »,
répond l'une d’elle. « Ce serait
avec plaisir mais on est déjà en retard. »
Au tribunal, un homme passe en jugement pour avoir
volé plusieurs manteaux, la nuit, dans un magasin.
Au premier rang, une vielle femme pleure à chaudes
larmes.
Le président dit avec sévérité :
« – Regardez
dans quel état se trouve votre pauvre maman ! Vous auriez pu penser à elle…
– Je
sais, mais y avait pas sa taille ! »
Le fils de Jean-Marc
fait ses devoirs à l'étude.
Il n'arrête pas de lécher sa main et de la passer
ensuite sur son front.
Le surveillant, qui l'observe depuis un moment, lui
demande :
« – Pourquoi
tu fais ça ?
– Ben
j’apprends mes leçons, m'ssieur.
– C’est
bien, mais arrête donc de te barbouiller le front de salive.
– Mais
c'est maman, hier soir je l'ai entendue dire à papa : ‘‘Mouille la tête, ça
rentre mieux.’’ »
La femme de Jean-Marc
dit à son mari :
« – Je
descends chez la voisine lui emprunter un peu de farine. J'en ai pour cinq
minutes.
– D'accord,
chérie.
– En
attendant, sois gentil d'arroser le gigot toutes les demi-heures. »
Jean-Marc va chez son
médecin :
« Docteur,
j'ai mal au testicule gauche, il est tout gonflé. »
Le toubib l'examine et lui dit :
« C’est une
inflammation, ce n'est pas grave. Je vais vous donner le numéro d'un confrère
urologue. »
Mais le docteur, distrait, se trompe et lui donne le
numéro de son avocat.
Jean-Marc prend donc rendez-vous et se présente chez
l'avocat.
« Bonjour
cher monsieur. En quoi puis-je vous être utile ? »
Illico, Jean-Marc baisse son pantalon.
« Comme
vous voyez, docteur, j'ai le testicule gauche enflammé. »
L’avocat le regarde, stupéfait.
« – Cher
monsieur, excusez-moi, mais ma spécialité c'est le droit.
– C'est
vraiment la merde dans ce pays ! Maintenant il y a un spécialiste pour chaque
couille ! »
Au jardin public, une petite fille s'approche d'une
vieille dame :
« – S'il
vous plaît, vous pourriez m'ouvrir la grille ? Il faut pousser très fort.
– Bien
sûr, ma petite. Tiens, regarde-moi faire et demain tu pourras y arriver toute
seule, »
dit-elle en poussant la grille.
« Ne
vous inquiétez pas, demain la peinture sera sèche. »
C'est un agriculteur qui laboure son champ depuis des
années.
Un beau jour, sa femme le quitte et, n'étant plus
secondé, il vend sa ferme et s'installe à la ville où il devient vitrier.
Quand il raconte son histoire aux gens, il conclut
toujours ainsi :
« Avant,
avec ma femme, je labourais. Maintenant je mastique. »
Et dans la série des « revenues », ces
quatre-là :
Par une chaude journée d'été, un ouvrier vient poser
de la moquette chez une mamie. Au bout d'une longue après-midi de travail,
fourbu et en sueur, il décide de fumer une cigarette. Mais il ne trouve plus
son paquet.
Il s'assoit, bien ennuyé, lorsque soudain il remarque
une bosse sous la moquette. « Merde,
mon paquet ! » se dit-il.
Comme il ne se sent pas le courage de tout refaire, il
décide de l'aplatir. Il prend son élan et se met à sauter dessus comme un
malade. Il saute, il saute, il saute si bien qu'à la fin il ne reste plus
aucune trace de la bosse.
Tout content, il se rassoit. C'est alors que la mamie
entre dans la pièce :
« Tenez »,
lui dit-elle en lui tendant son paquet de cigarettes. « Vous l'avez sans doute perdu. Au fait, vous n'auriez pas vu mon
hamster ? »
(Toujours aussi bonne…)
Dans un buffet de gare, Jean-Marc commande le menu du jour.
Le serveur lui apporte tout de suite l'entrée, une
salade de radis.
En voyant son assiette très bien présentée, ravi, il
lui dit :
« –
Permettez-moi de vous féliciter pour la présentation de vos plats. Si tous les
buffets de gare pouvaient être aussi soucieux que vous de l'apparence des mets
qu'ils servent, ce serait formidable. Mais dites-moi, comment réussissez-vous à
faire d'aussi jolis dessins sur le beurre ?
– Avec
mon peigne, monsieur. »
(Dans mon souvenir, c’était sur la purée servie qui
était ainsi décorée…)
Un homme se promène dans les rues de Paris, lorsque
soudain il trébuche sur une vieille lampe. Il la ramasse, la frotte et un génie
en sort.
« Tu m'as
libéré. Pour te remercier, je t'accorde un vœu », lui dit le génie.
Le type s'assoit sur un banc et réfléchit longuement.
Au bout d'un moment, il se décide :
« J'ai
toujours rêvé d'un voyage à Tahiti. Malheureusement, j'ai peur en avion et j'ai
le mal de mer. Je voudrais un pont jusqu'à Tahiti pour y aller en voiture. »
Le génie éclate de rire :
« C'est
impossible ! Pense à ce qu'il faut utiliser pour soutenir un tel pont, pense au
béton qu'il faudra faire couler, aux tonnes d'acier… Je suis un génie,
d'accord, mais je ne peux pas faire de miracle. Il faut tout de même rester
dans la limite du raisonnable. Non, demande-moi autre chose, c'est trop
compliqué. »
Le type se remet à réfléchir. Au bout de quelques
minutes, il dit :
« J'ai été
marié et j'ai divorcé quatre fois. Mes femmes m'ont toujours dit que je ne
m'intéressais pas à elles et que j'étais insensible. Alors, ce que je voudrais,
c'est comprendre les femmes. Savoir ce qu'elles ressentent, et ce qu'elles
pensent lorsqu'elles sont silencieuses. Savoir pourquoi elles pleurent, ce
qu'elles veulent vraiment dire lorsqu'elles disent non. Pouvoir les rendre
heureuses. Bref, comprendre leur psychologie. »
Le génie considère l'homme un instant, puis demande :
« Le pont,
tu le veux à deux ou quatre voies ? »
(Dans l’originale, le second vœu de Jean-Marc, c’était de faire gagner la
coupe d’Europe au PSG…)
Un couple en voilier fait naufrage. Il nage jusqu'à
une île déserte. Les jours passent. La femme est désespérée. Guettant le ciel
et l'horizon à la recherche d'un avion ou d'un bateau, elle pose inlassablement
la même question à son mari :
« Tu as payé les
impôts ? »
Agacé par cette question saugrenue, inquiet de l'état
de sa femme, il reste évasif.
Un jour, excédé par son insistance, il finit par
lâcher :
« Eh bien non,
je n'ai pas payé les impôts ! J'ai oublié, voilà tout. »
Le visage de la femme s'éclaire et elle se jette dans
les bras de son mari.
« Ah ! Quelle
chance, mon amour ! Ils vont nous retrouver ! »
(Dans l’originale, c’était l’avion d’un congrès de «
petits-patrons » qui tombe dans l’océan. Et l’un d’entre-eux n’arrête pas de
poser la question « As-tu payé tes Urssaf
? ». Jusqu’à ce qu’il y en ait un qui lui demande pourquoi il veut savoir ça.
Réponse : « Si
tu ne les as pas payés, nous sommes sauvés : Sûr qu’ils vont te retrouver
! »
De plus, je l’avais ouïe une première fois, il y a bien
longtemps, lors d’une réunion de la CGPME de Basse-Normandie…)
Bon week-end à toutes et à tous.
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