Chapitre « double
zéro »
Avertissement : Vous l’aviez compris,
ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle »,
sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages,
des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs
dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est
donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Ce sera
la septième année que je m’attèle à une pareille tâche : Vous pondre un « roman »
nouveau.
Hélas,
toujours autour des mêmes histoires, qui viennent et reviennent sans cesse…
C’est d’ailleurs
assez pénible pour moi, qui aimerai bien passer à « autre chose », comme
la reprise toujours reportée de la « Grande Histoire de la Corse », l’Île-de-Beauté
chère à mon neurone, de sa formation géologique jusqu’au seuil du troisième
millénaire ;
Comme par exemple la reprise de mes vieux cours obsolètes d’optimisation fiscale et sociale (de l’ingénierie),
Comme par exemple la reprise de mes vieux cours obsolètes d’optimisation fiscale et sociale (de l’ingénierie),
Ou
simplement l’histoire du droit fiscal gaulois de l’antiquité à nos jours ;
Comme les
quelques « nouvelles » d’où sont tirés des personnages des opus « Laudato si… » et des
précédents : « Le feu », « Ardéchoise, cœur fidèle », « Le
crime était parfait », « L’affaire du juge Féyard », et encore
quelques autres, toujours en suspends !
Bon, je suis nul, j’ai les yeux plus gros que le
ventre, je n’ai que dix doigts, deux bras, un seul neurone en fonction et les
journées n’ont que 24 heures.
Mais c’est comme pour tout le monde, en pense-je.
Sauf que mon cas est désespéré, semble-t-il.
Le premier « opus » était une « urgence »
à l’adresse de « l’Ami-râle » que je mettais en scène avec son accord
(« Opération
Juliette-Siéra ») : Les personnages-clés étaient « prêts »,
presque complets pour un usage hors-norme et imprévu à l’origine.
Le second (« Au
nom du père », tome I), est une adaptation à caractère nettement plus autobiographique,
qui avait mûri durant des années et des années et devait tourner autour du « crime
par procuration » : Une promesse stupide faite à un « proc’-blogueur »,
qui s’il connaît bien son métier, ne sait pas tout du monde dans lequel il a
vécu et prospéré.
Un truc inutile qu’il n’a évidemment même pas lu.
Pas tout-à-fait loupé, mais je n’ai pas eu le temps de
le terminer comme je l’avais souhaité initialement : Et puis le récit m’a « échappé »,
tel qu’il en a fallu un second tome (« Au
nom du père » tome II), mis en ligne l’année suivante pour le
finaliser, alors que ce n'était pas du tout prévu : J’y arriverai, un jour je vous ferai un
diaporama de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » ou… dans une autre vie.
C’était l’année des menaces sur les JO de Londres :
Je me suis mis rapidement sur « Parcours
olympiques », un opus tellement long qu’il m’a fallu poster deux
billets par jour pour en arriver au bout !
Mais tellement cohérent avec ce que l’on sait des
événements qui ont pu retenir votre attention à cette époque-là, que j’estime
qu’il touche au « chef-d’œuvre ».
Enfin, c’est mon point de vue personnel.
Le suivant s’imposait tout seul compte tenu des premières
années du quinquennat de « François III », les « manifs’ pour
tous » et les rebondissements inattendus du premier des opus : C’était
« Mains
invisibles », tome I.
Le titre vient d’une discussion que j’aie pu avoir
avec mon « Beauf’ » le philosophe de la famille, qui fait « grec
dans le civil ».
Mais il ne devait pas y avoir de suite.
Sauf que, au fil de l’écriture, le tome
II s’est imposé de lui-même, lui-même « m’échappant » presque
totalement.
Et puis je voulais écrire « au féminin »,
pour une fois, ce qui m’a pris énormément de temps.
Pas terribles, les trois premiers chapitres… Qu’est-ce
que j’ai pu ramer !
Ça ne sortait pas, c’était mauvais, nul parfois, à
désespérer, qu’il a fallu que je m’y reprenne durant tout l’hiver et une partie
du printemps.
Passons.
On attaque le septième opus en revenant finalement au
premier : Là encore, l’idée n’était pas préconçue, mais s’est imposée d’elle-même
au fil du temps et des développements de l’actualité.
Puisque « Mains invisibles » a imposé un
tome II où j’introduis des « boucles du temps » (un « truc »
qui m’obsède depuis le « piratage » de mes premiers posts du mois d’août
(2008) sur mon premier blog-perso, repris par « JBC-dit
Haddock »), là, je vous emmène sur une période de l’Histoire que tout
le monde (ou presque) connaît : La guerre du Koweït !
J’ai plein de documents retrouvés et à partager avec
vous (hélas pas tous : il m’en manque alors que je les ai eus sous les
yeux l’année dernière).
Il faut dire que « ma rentrée » a été
particulièrement perturbée par ma « saloperie
de pustule »…
Passons aussi !
C’est donc pour partie un roman totalement « historique »
et de pure fiction pour une autre partie, qui s’inscrit directement dans la
continuité de « Opération Juliette-Siéra » et des « Mains
Invisibles » (one & tow).
Finalement, c’est assez bluffant comme tout ça est tellement
intriqué !
Je ne l’aurai jamais imaginé en commençant cette
aventure de « scribouillard-plumitif »…
Ceci dit, j’innove : Parce qu’il va être long et
que je ne prends que quelques jours de vacances au mois d’août prochain,
histoire d’aller caboter jusqu’aux Baléares et faire un tour en Sardaigne et
peut-être même en Sicile si le temps s’y prête, bien plus que le nombre de
jours où je serai « hors-ligne », déconnecté de mes serveurs, non
seulement ce post est là pour vous prévenir que nous aurons RDV tous les
dimanches dès la semaine prochaine, pour « un chapitre », mais que,
summum de mon délire, sachez que les derniers chapitres ne sont pas encore
posés en mémoire ni encore moins en ligne, toujours « dans le clavier »
comme on dit !
Marrante comme idée, non ?
Ce qui implique que je ne sais pas où cet opus nous
mènera.
Ni dans le temps et on verra ça les dimanches qui
suivent « mon retour », ni, plus effarant, dans le déroulé de cette
histoire-là !
Pas de souci et sauf relecture attentive des « fautes
de frappe » inhérentes à cet exercice, je vais mettre les billets prévus
en ligne jusqu’au dernier dimanche de juillet.
Le temps de parachever et de programmer ceux du mois d’août
(époque où je serai vraisemblablement « blanc de net »), puis à mon
retour – si je rentre – je mettrai en ligne le reste de ce travail-là au fil
des dimanches suivants !
Je vous avoue aussi que j’espère pouvoir « compléter »
au fil du temps avec les développements de l’actualité en cours de la rentrée :
On verra bien !
Peut-être qu’il ne se passera rien d’assez « sensationnel »
pour être « intégré ».
Et on devrait clôturer cet opus par un « Chapitre
0 » qui sera le sommaire de ces posts-là vers la fin d’année (plus tôt ou
plus tard, je ne sais pas).
En attendant, je vous souhaite une bonne journée !
Bien à toutes et à tous !
I3
J’ai toujours beaucoup de plaisir à lire vos romans, en particulier ceux qui décrire des aventures où sont mêlés l’actualité et le voyage temporel.
RépondreSupprimerJ’ai commencé à mettre en ligne sur la page fessebook « Les anciens de DAGUET » le roman « Opération Juliette Siéra ».
Il y a maintenant plus de 200 membres et c’est l’occasion de diffuser un peu mieux l’information sur une époque sombre de notre démocratie.
Bien à vous !...
Haddock
Sympa ça !
SupprimerSauf que les "voyages temporels", c'est une "nouveauté"...
Je préfère dire "mêler actualité et fiction".
Pour ce roman-là, il y a quelques chapitres "d'introduction" un peu longuet mais où j'ai pris quelques plaisirs à les écrire, et je vous emmène ensuite dans un "heure par heure" de la guerre du Koweït !
Pour ne pas oublier non plus...
Et puis on reviendra ensuite à notre époque contemporaine pour remettre en perspective les "Panama-Pampers".
Mais en laissant un suspens pour une éventuelle "adaptation" à la rentrée.
Bref, là encore, ce n'est pas moi (qui n'ai aucune imagination) qui fait ce roman, mais bien des "mains invisibles" qui jouant avec l'actualité me guident dans cette écriture-là : Invraisemblable et pourtant...
Bien à vous !
I-Cube