Détour à
Honfleur
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un
roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit
de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des
actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie
lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc
purement, totalement et parfaitement fortuite !
Plutôt que d’aller à Saint-Pierre en Port à la rencontre de Haddock, et
partager une recette cauchoise concoctée par son épouse, c’est lui qui fait la
route vers le sud jusqu’à Honfleur.
Une façon de découvrir « Eurydice », la goélette italienne
sauvée de l’oubli et de la vase de la lagune vénitienne par Florence, qui en a
fait refaire les aménagements, et Paul qui avait flashé sur ses lignes douces
et étirées et … financé la restauration.
Un beau voilier, au comportement sain, qui vient d’avoir fait deux grands
tours en méditerranée avec à la barre ses nouveaux propriétaires, avant de
« tâter » les eaux plus froides de la baie de Seine.
Il est venu seul, sans « la Baronne », mais pas les mains vides,
avec un « essai » des plus réussis de « crème à la crème »
helvétique : un « Ruffle-cake » aux griottes !
Une recette échangée en Chine.
Et un petit gobelet en étain, gravé du prénom de Louis pour le dernier
nouveau-né : charmantes attentions.
Paul est à bord et rafistole les « petits-dégâts » infligés par
l’océan lors de la remontée du Golfe de Gascogne.
Il fait assez beau et chaud en cette fin d’été pour déjeuner sur le pont
avec une veste ou un chandail sur le dos quand un doux zéphire vient du large.
On pourra aussi mirer les portes-containers, qui remontent le fleuve jusqu’à
Rouen, profitant des effets de la marée montante.
Cette fois-ci, Haddock n’aura droit seulement qu’à une bordée de fruits de
mer, confectionnée à son attention après un détour au marché au poisson voisin
du matin, réunis en un vaste plateau, arrosée par un blanc sec du val de Loire.
Il était prévu un tiramisu pour la fin du repas, qui est, pour le moment, gardé au frais dans le réfrigérateur du bord aux côtés du « Ruffle-cake » aux griottes de « la Baronne ».
Paul repartira avec à Cabourg.
C’est excellent mais ça ne vaut pas les saveurs et odeurs âcres de leur premier pique-nique en mer, au large de la côte orientale Corse, lors de leur seconde rencontre qui devait déboucher sur le retour du « Nivelle 001 » (cf. « Opération Juliette-Siéra », aux éditions « I-Cube »), où Paul lui avait grillé des figatelli locaux au barbecue après les langoustes pêchées la veille à ... Rungis !
Il était prévu un tiramisu pour la fin du repas, qui est, pour le moment, gardé au frais dans le réfrigérateur du bord aux côtés du « Ruffle-cake » aux griottes de « la Baronne ».
Paul repartira avec à Cabourg.
C’est excellent mais ça ne vaut pas les saveurs et odeurs âcres de leur premier pique-nique en mer, au large de la côte orientale Corse, lors de leur seconde rencontre qui devait déboucher sur le retour du « Nivelle 001 » (cf. « Opération Juliette-Siéra », aux éditions « I-Cube »), où Paul lui avait grillé des figatelli locaux au barbecue après les langoustes pêchées la veille à ... Rungis !
Un fameux souvenir gustatif sans compter le vol extraordinaire qui suivra,
sur le prototype-maison.
Haddock en aura fait un autre au large de Toulon, nettement plus
« acrobatique » et puis une « visite des étoiles » sur son
successeur, le « numéro 2.1 », depuis la Chine.
Un voyage également extraordinaire, éprouvant physiquement, mais surtout un rêve de
gamin qui se réalisait.
Après avoir demandé des nouvelles des uns et des autres et notamment de
la santé de l’ex-commandant de Boeing 747, toujours sans soins appropriés contre
son « crabe », ils font un tour complet du voilier que Haddock trouve décidément à son goût, mais un peu trop petit pour en faire un de ses grands voiliers à l'adresse des jeunes, intérieur et
pont, puis s’installent d’abord dans le carré, à picoler un américano-maison et se remémorer quelques souvenirs marquants de leur séjour en Chine,
pour laisser le temps à Paul de finir de monter sa mayonnaise, couper quelques
citrons, fignoler sa vinaigrette, garnir le sceau à glaçons pour la bouteille
de vin et ouvrir la première des deux bouteilles prévues pour ce repas …
frugale.
« Vous vouliez me parler de
quelle que chose d’important. »
Oui.
« – Vous vous souvenez de notre
vol en Algérie d’il y a un an ?
– Ah oui, pour sûr ! Mon deuxième
Ovni, des photos remises par une WIB. Vous savez que j’en ai parlé à quelques
amis ufologues : ils m’ont confirmé qu’ils n’en avaient jamais entendu
parlée. Des MIB, des hommes, oui, mais pas de femmes !
– Ils devraient s’intéresser de plus près
au « beau-sexe » au lieu de passer leurs nuits à guetter les Ovnis
dans le ciel…
– Vous ne m’avez jamais dit ce qui
s’était passé au sol. Je me souviens que quand vous alliez sauter au-dessus de
votre cible, il y avait déjà des combats sur le site à aborder.
– Justement. Je vous ai fait venir pour
en parler, que je ne sois pas tout seul à me considérer comme étant encore sain
d’esprit.
Parce que j’en ai déjà parlé à un de
mes correspondants américains, et il m’a pris pour un cinglé.
Même qu’il voulait en faire une tournée
de conférences sur le thème « comment déraillent les esprits les plus
brillants de notre époque », imagine-je ! »
Haddock décroche un éclat de rire tonitruant, contagieux au point d’être
immédiatement communicatif !
« – Je vous avais prévenu, je
crois ! Moi-même, personne ne m’a jamais vraiment cru même dans mon
entourage personnel. Que croyez-vous ? Vous témoignez, et encore, moi je
ne l’ai pas fait tout de suite par peur pour ma carrière de pilote à laquelle
j’avais beaucoup sacrifié, mais c’est sûr que quand on n’est pas dans les
canons de la pensée-unique, vous dérangez au plus haut point !
Personnellement, ils ont fini par avoir
ma peau, je veux dire ma santé. Pas comme Galilée, mais du pareil au même.
En revanche, on est pris au sérieux par
quelques allumés, même issus des « cercles (f)ummistes » !
Un gros gag les Ummos : comment
peut-on voyager depuis une étoile distante de 14 années lumières ?
– Justement…
– Justement quoi ?
– Justement, je crois avoir compris
comment, au-delà des contingences technologiques spatiales qui sont hors de
notre portée actuellement, même si j’ai bon espoir avec le « 003 »,
mais pas avant 5 ou 10 ans.
– Expliquez-vous, s’il vous plait, vous
m’intéressez, là. Vous imaginez bien !
– Je commence par le début. Quand je
saute au-dessus du bled algérien, il y a effectivement des combats au sol.
Des silhouettes diffuses, mais actives
à faire le coup de feu et sans lesquelles je n’aurai pas pu en sortir Florence vivante
et sans doute pas moi non plus.
– On vous avait dit de ne pas y aller
tout seul !
– Je sais, mais justement, il fallait
que je sois tout seul alors même que finalement je n’y étais pas, tout en
l’étant…
– Pardon ? Je ne vous suis pas là… »
Un autre gorgeon d’américano où on passe à table ?
Ils passent à table et Haddock salive déjà à la vue du gigantesque plateau
de fruits de mer qui est dressé :
« – Ce n’est pas bon pour mon
régime sans sel, mais ça a l’air exquis. Bon, expliquez-moi ce que vous venez
de me dire, s’il vous plait !
– J’y viens. Depuis la naissance de mon
fils, donc 8 mois plus tard, j’ai refait trois autres sauts ce soir-là, sur la
même cible.
Et je ne m’en étais pas rendu compte
lors du premier.
– Vous y êtes retourné ? Mais
pourquoi ?
– Pas retourné hier soir, ou un peu
avant. Retourné avant que je ne saute de notre avion ! Et justement pour
« me donner » un coup de main bienvenu à moi-même, le premier saut,
en parachute, ce soir de l’année dernière.
– Un saut dans le passé ? Mais ce
n’est pas possible, vous le savez bien !
– Et pourtant, c’est ce qui s’est
passé, figurez-vous. Et une fois encore à cause, ou plutôt grâce, à ma WIB.
– Attendez, je ne comprends plus rien !
Vous avez fait un saut dans votre passé, c’est ça ?
– Vous comprenez au contraire plutôt vite :
c’est ça et trois fois de suite en plus !
Pour des arrivées coordonnées un peu
avant mon premier saut, avec vous au commande de l’avion qui nous y emmenés, en
parachute.
Par les « voies naturelles »,
en quelle que sorte !
– Non mais ce n’est pas possible, vous
le savez bien ! », radote-t-il.
« – Avec nos technologies actuelles,
même l’idée est inenvisageable ! Je crois que dans la littérature de
science-fiction, on n’en entend plus parler, ça a disparu…
Mais pas avec les technologies du
futur, manifestement. Et un futur qui me semble-t-il est assez lointain. Enfin
peu importe : le futur, quoi, celui qui n’existe pas encore !
– Vous plaisantez j’espère. Et le futur
viendrait modifier son propre passé jusqu’au jour où un de mes descendants
vient me tuer sur la route du retour avant même que je donne naissance à ma
lignée ?
Modifiant du coup le cours du temps et
empêchant mon accident de la route provoqué par mon descendant qui n’existerait plus
alors. C'est le fameux paradoxe du « voyageur imprudent ».
Mais vous dératez complètement, mon
pauvre ami !
– Ils ne modifient pas : ils
assistent en spectateur, ils inspectent, voire inspirent leurs ancêtres, les guident peut-être, comme le faisaient les dieux grecs, comme le feraient des mains invisibles. Et quand ils interviennent, comme en ce qui concerne
notre épisode de Biskra, c’est parce qu’ils détectent, dans leurs archives,
leurs propres interventions.
Le tout pour surtout ne pas dévier le
cours des choses qui aboutira nécessairement un jour ou l’autre à leur présent
et leur fameuse technologie du voyage dans le temps !
– Mais c’est incroyable, ça !
Vertigineux, même !
– Exactement. Je vous signale que vous
l’évoquiez déjà lors de notre vol du retour… »
Haddock digère l’information nettement plus lentement qu’il ne gobe et
mâche ses clams et autres bigorneaux.
Il a pourtant ralenti sa dégustation et se sert même un verre de vin en
silence, complètement perturbé.
« – Si je vous comprends bien, notre
futur, je veux dire que la technologie humaine future, parviendra un jour à
parcourir la flèche du temps, vers le passé et vers l’avenir ?
– Il me semble avoir compris que ce
n’est que vers le passé…
– Et comment on revient à
« son » présent situé dans le futur après un voyage dans le passé … Futur
d’où l’on vient dans une époque où le voyage temporel est maîtrisé ?
– Simplement en coupant le courant de la
machine temporelle. « Comme d’un élastique », m’a-t-elle dit.
– Vertigineux ! Vraiment
vertigineux ! Aussi simplement que ça…
– Notre ovni de ce soir-là n’était
qu’un relai. Juste une machine. Ne m’en demandez pas plus.
Et nous on sait qu’elle y était
positionnée.
– D’où le « flou » indiqué
par les stations radars : rien que du rayonnement… Je ne comprends pas… »
Il s’arrête et finit son verre.
Paul le lui remplit à nouveau.
« – Doucement, je reprends la
route tout-à-l’heure !
Je ne comprends pas. Je veux bien
admettre votre histoire. Vous faites trois allers-et-retours il y a quelques
semaines, pour vous retrouver à plusieurs mois avant et vous donner un
« coup de main » à vous-même.
Sans autre intervention qu’une WIB et
ses machines.
Est-ce la même qui vous a donné votre
« gel-Birgit » qui a fait merveille en Chine sur le
« 002 » ?
– Oui. Et c’est là que c’est
curieux : je lui ai donné la formule dudit gel il y a quelques semaines seulement,
parce qu’elle ne la connaissait pas, celle-là même qu’elle m’aura remise plus
tôt pour moi, mais plus tard pour elle…
Et encore plus tard pour elle… mais « avant »
pour nous, les photos satellitaires qui nous aurons guidés jusqu’à Florence.
– Extraordinaire.
– Absolument ! Donc vers le passé
et ailleurs, puis retour au point de départ dans le temps et l’espace.
– Mais pas de saut vers le futur ?
– Mais pas de saut vers le futur ?
– Le « futur » l’interdit
peut-être aussi, je ne sais pas.
– Oui mais alors, vous venez de me
suggérer que ça a un lien avec les voyages interstellaires. Comment ça ?
– Absolument. Je ne me souviens plus
comment elle m’en a fait la présentation, mais globalement, nous ne voyons
jamais que les étoiles là où elles étaient quand leurs photons ont été émis.
Puis ils voyagent vers nous pendant de longues années, parfois des siècles.
Or, durant ces siècles, les étoiles se
sont déplacées. Elles ne sont plus là où on les regarde.
Et plus on regarde loin, plus on
regarde « vieux », donc plus elles ont eu le temps de bouger.
– Oui bon et alors ? Tout le monde
sait ça !
– Eh bien, même si vous allez à une
vitesse infinie, très largement supérieure à la vitesse de la lumière et que
vous visez une étoile à plusieurs milliers d’année-lumière de là, vous la raterez
systématiquement, parce qu’au moment de votre départ, elle n’y est déjà plus.
Vous saisissez ?
– … Je vois, en effet. Il faudrait
calculer sa trajectoire putative durant la durée du parcours de sa lumière
originelle, anticiper les perturbations de sa route, tout en tenant compte des
effets d’éventuelles « lentilles gravitationnelles » sur le trajet,
et viser « à côté ».
Effectivement totalement impossible,
même avec les meilleurs calculateurs : il faudrait en plus prévoir
l’avenir de l’étoile…
Les Ummos n'ont jamais parlé de cette difficulté, dans leurs lettres aux humains, si je me souviens bien.
Sans boule de cristal, je ne sais pas comment on pourrait faire « scientifiquement » !
Sans boule de cristal, je ne sais pas comment on pourrait faire « scientifiquement » !
– Alors qu’avec un dispositif qui vous
projette dans le passé de l’étoile, il n’y a aucun problème de visée !
– Mais oui, bien sûr : c’est
tellement évident ! »
s’enthousiasme-t-il tout d’un coup.
Il a compris.
« – Ce qui veut dire que tous
nos visiteurs, forcément, ils viennent tous de notre futur, même les
exogènes !
Voilà qui ouvre des perspectives
vertigineuses, parce que s’ils viennent de leur présent situé dans notre futur,
forcément, ils ont une avance technologique sur nous que nous pouvons constater, ne serait-ce que par leur présence dans l'environnement de notre planète, ce que nous ne pouvons pas faire en retour, au moins dans leur développement
scientifique, pour devoir maîtriser aussi les sauts temporels.
Même dans l’hypothèse où l’intelligence
se développerait au même rythme des civilisations telles qu’on connaît la
nôtre.
Mais c’est fabuleux, c’est absolument fabuleux !
– Exactement.
– Plus besoin non plus de spéculer sur
ces développements justement. Plus nos visiteurs viennent de loin, plus ils
sont avancés.
– Peut-être même qu’ils ont ensemencé
notre planète et qu’ils reviennent régulièrement visiter l’avancement de leurs
travaux antérieurs sur place.
Tout comme il devient aussi évident qu'une grosse partie du trafic, sinon l'essentielle, nos drovnis et autres ovnis qui circulent sous nos yeux actuellement, ne serait rien d'autre que nos descendants qui viennent vérifier toutes nos conneries in vivo : une sorte de leçon d'Histoire, sur place au moment où ça se passe, juste en achetant le journal du matin…
Tout comme il devient aussi évident qu'une grosse partie du trafic, sinon l'essentielle, nos drovnis et autres ovnis qui circulent sous nos yeux actuellement, ne serait rien d'autre que nos descendants qui viennent vérifier toutes nos conneries in vivo : une sorte de leçon d'Histoire, sur place au moment où ça se passe, juste en achetant le journal du matin…
– Peut-être, peut-être ! Paul,
vous êtes vraiment un type extraordinaire. Vous me permettez de parler de ces
hypothèses à quelques-uns de mes cercles d’ufologues ?
– Naturellement. D’autant que c’est
déjà en ligne depuis le 2 août sur le blog de « I-Cube », un type que
je crois que vous connaissez bien.
– Son blog, naturellement. Lui, je ne l’ai
eu que deux fois, peut-être trois, au téléphone.
On ne communique que par mails !
Et effectivement, il a déjà mis en
ligne pas mal de choses cet été. Mais, j’étais en déplacement, je n’ai pas eu le
temps de tout suivre. »
Haddock repartira en début de soirée, après une petite sieste réparatrice
et agitée des habitués des vols au long-cours.
Histoire de réduire un peu son taux d’alcoolémie aussi, par voie métabolisation-courante.
Et non sans avoir entretenu une conversation bouillonnante et décousue à son réveil, la
cervelle en ébullition à cause de l’hypothèse émise par Paul pendant le repas.
Paul repartira de son côté vers Cabourg un peu plus tard avec son tiramisu, après avoir
rangé et fermé le voilier pour aller dîner en famille.
L’âme en paix, le sentiment d’avoir enfin accompli tous « ses devoirs ».
Fin de l’épisode,
Venise, le 30 juillet 2015
I3
Pas de soins appropriés... Pas de soins appropriés...
RépondreSupprimerM’enfin, vu la chimio au Sutent que les toubibs ont proposé à « Haddock », est-ce que c’était vraiment approprié sachant qu’avec la chimio il n’avait que deux à trois ans devant lui ?...
Autant mourir en forme, c’est-à-dire pas empoisonné !...
Il faut savoir qu’un tiers des décès en soins palliatifs sont causés par les effets secondaires des traitements…
J’avais besoin d’être en forme pour traiter le dossier des « milliards de la Division Daguet » et comme m’a dit le chirurgien : « Vous préférez vivre deux ans en forme que 5 ans à l’hôpital » !... C’est exactement ça !...
Et puis, le docteur « Denis-Roger » m’a dit : « Il faut que tu prennes de la Bromélaïne à très haute dose (90 gélules par jour) pendant une semaine et ça devrait aller. J’ai fait deux fois.
Effectivement, au scanner suivant, la multitude de petites adénopathies en grappes disséminés dans les poumons avait disparues !...
Complètement inexplicable d’après les médecins qui sont surpris de ma forme physique et intellectuelle.
En fait, j’ai bien l’impression que le traitement adapté a été appliqué même si le problème n’est pas réglé… Mais autant mourir debout que couché, empoisonné par des produits chimiques pour le grand bénéfice des laboratoires.
Et avec un peu de chance, j’aurais juste le temps de sortir ce dossier et de lancer mon projet de grands voiliers-écoles pour les jeunes, encore que des petites goélettes du genre Eurydice sont parfaitement adaptées aux petits ports côtiers et à des groupes d’une vingtaine de jeunes. C’est de la taille de la « Belle Poule » et de « l’Étoile ».
L’amiral Jean-Louis Le Deuff, lorsque j’étais président des « Clippers de France » voulait en construire 16 pour nos ports de Métropole pour les jeunes.
En fait, il faut demander aux principaux utilisateurs (ports, associations, jeunes) quel type de voilier ils désirent.
Oui mais Eurydice jauge deux à trois fois moins que la "Belle-poule" ou "l'Etoile".
SupprimerC'est un voilier de plaisance, conçu pour la plaisance, fin et racé, et à peine qu'un équipage de trois, dont un bosco et 8 à 10 passagers, pas plus sauf à devenir franchement inconfortable.
Pour votre traitement, il n'a rien de miraculeux : http://www.alternativesante.fr/cancer/la-bromelaine-contre-les-tumeurs
Mais ne fait pas partie des "bonnes pratiques", pondues par les agences officielles et la CNAM, désormais obligatoires pour n'importe quel toubib : Aucun ne peut vous le prescrire.
Ce qui n'empêche pas d'être intelligent et de "conseiller" adroitement.
Votre choix est le bon, non ?
Vous pétez la forme et vous vous surveillez (surveillance remboursée par la séku, elle).
Alors que demandez de plus ?
Au moins la "Baronne" se met en quatre pour sa cuisine "Cauchoise".
Et je dois dire que sa "crème à la crème" et aux griottes helvétique est fameuse.
Je sais, j'en ai mangé récemment, même si ce n'est pas elle qui me l'a cuisinée...
Le reste, c'est du roman, n'est-ce pas : "Toute ressemblance avec des personnages, des lieux," etc.
Bonne fin de lecture...
J'ai vu que vous repreniez ces textes sur un de vos blogs : C'est lu au moins ?
Pour ma part je compte plus de 6.000 de ces pages/lues depuis la fin juillet...
pas mal pour un "plumitif" !
Bien à vous !
I-Cube
I3
SupprimerCe sera aux marins expérimentés de définir la taille et le nombre de navires.
Pour l’instant, le seul projet spectaculaire et d’envergure est « l’Hermione ».
Le projet de l’association du grand voilier-école de l’amiral FORISSIER est en rade : ils n’ont pas le rescrit fiscal !...
Mon objectif est de faire « péter » le système politique pour être enfin écouté sur ce projet !... Une motivation qui était déjà à l’origine de mon action politique…
Je pense avoir fait le bon choix.
De toute façon, je me serais laissé mourir si j’avais accepté la proposition des toubibs de m’empoisonner au Sutent, sans aucun espoir de guérison.
Quel intérêt de se battre contre un empoisonnement que l’on s’inflige alors que l’on est en bonne santé ?... Complètement stupide !...
Autant vivre pleinement, debout tant que l’on peut.
J’aurais été affaibli par la maladie, cela aurait été différent.
Bien sûr que c’est du roman !...
Mais au moins vous développez une hypothèse séduisante – le voyage dans le passé - dont on retrouve d’ailleurs des traces dans l’observation d’un OVNI dans la forêt de Rendlesham près de la base de Woodbridge le 25 décembre 1980.
C’est le témoignage de Jim Penniston :
http://www.mystere-tv.com/un-mysterieux-message-decode-suite-a-l-apparition-d-un-ovni-v5142.html
Et aussi ici :
http://www.therendleshamforestincident.com/The_Decoded_Binary_Code.php
J’ai repris sur « alerte-ethique.fr » et c’est bien lu.
Le nombre de visites est de 6800 pour le mois d’août 2015.
Le meilleur score de l’année (moyenne de 4000) !...
Vraiment bien !...
Bien à vous !...
Haddock
Bien, en effet !
SupprimerPerso, je pense à une suite : Paul envoyé dans son passé pour savoir ce qui c'est passé, sur place, le 2 août 1990 à Koweït-city.
C'est que la nouvelle génération des "politiques" américains veut elle aussi solder les comptes du passé.
Mais que c'est dur de restituer un environnement : On naviguait sous UNIX et Dos 5.5 ou 6, ou encore Windows 2, Work ou Multiplan, et l'IOS balbutiait avec les affreux mac de première génération.
La wifi n'existait pas et les modem fonctionnaient en mode ralenti : La télécopie et le telex étaient bien plus rapides et sûr.
Enfin bref, ça m'occupe entre deux RDV.
Le phénomène OVNI n’est pas pris au sérieux par la population, qui d’une façon générale, possède un niveau de connaissances en astronomie qui est extrêmement bas.
RépondreSupprimerLes déclarations sont du domaine du spectaculaire et toute communication un tant soit peu sérieuse risque de provoquer des paniques, des interprétations délirantes ainsi que l’apparition de sectes.
Pas facile à gérer…
Aussi Haddock est resté très méfiant pour la communication et les contacts avec les gens intéressés par le phénomène.
Il suffit de voir le succès un peu délirant du « groupe exopolitique » américain…. Cela m’a franchement fait fuir…
Et aborder le concept de voyage temporel complique encore plus la situation.
Plus j’en sais, et moins je comprends...
La seule chose dont je suis certain est l’extrême complexité des technologies qui permettront le voyage galactique, y compris en agissant sur la flèche du temps.
Il n’y a rien dans la physique actuelle qui puisse offrir un début de compréhension de ces technologies qui existent bel et bien vu le nombre de témoignages, ne serait-ce que dans la vague d’OVNI de 1954.
Le concept de voyage vers le passé est vraiment surprenant, mais il permet de résoudre un peu mieux les difficultés du voyage spatial en centaines, milliers d’années-lumière, ou même millions d’années-lumière.
L’observation du ciel avec un modeste télescope de 14 pouces de diamètre, et même avec un 11 pouces, m’a fortement interprété sur les incroyables distances cosmiques qui nous séparent des autres étoiles, des autres galaxies.
Comment rejoindre une étoile située à seulement 3.000 années-lumière, qui ressemble fortement à notre soleil, pour espérer y trouver une forme de vie proche de la nôtre ?...
Si on s’en tient à la physique actuelle, il faut 3000 ans en restant juste sous la vitesse de la lumière et en faisant un aller-retour qui fera 6000 ans.
Complètement absurde et inenvisageable tant en énergie nécessaire qu’en durée de la mission spatiale
Aussi, il y a autre chose car nous n’aurions pas autant d’observations d’espèces franchement bizarres, pour ne pas dire effrayantes.
Un vrai bestiaire galactique où notre pays tient une place intéressante (vague de 1954).
Effectivement, en visant une étoile, et en modifiant la flèche du temps pour arriver à l’époque de l’émission de la lumière, on arrive à destination sans avoir à corriger le déplacement de l’étoile, et on connait le chemin du retour.
Bien sûr, il y a une toute nouvelle physique à découvrir qui permettra de s’affranchir des contraintes de la relativité générale, vraisemblablement en modifiant l’espace autour, et dans le vaisseau spatial, peut être en passant dans un autre Univers.
Mais y mettrons- nous des humains ou des intelligences artificielles ?...
Peut-être les deux…
Alors, que nos descendants puissent voyager dans leur passé, notre présent, devient tout à fait envisageable à condition de ne pas modifier le cours de l‘Histoire. D’où l’apparition d’OVNI à des moments clés de notre histoire comme le passage de Magellan en Terre de Feu… Des observations maintes fois constatées dans l’Histoire avec, aussi, très vraisemblablement, la volonté de saisir des vidéos « d’époque » !...
Parce qu’en fait, comme tout incursion dans notre passé doit être neutre historiquement, l’une des grandes activités de nos descendants sera l’envoi de sondes pour filmer nos ancêtres – du « Live temporel » !...
A cela s’ajoutera des envois où auront été observés des OVNI identifiables comme venant de chez nous.
Une activité passionnante !...
Haddock
Vous avez tout compris !
SupprimerC'est exactement cela.
Notez que je ne m'étends pas sur les dites technologies, même si j'ai mon idée sur le sujet.
Relativement simple d'ailleurs, presque à notre portée. Mais il ne faut pas la diffuser, parce qu'avec un peu de malchance, la prochaine génération qu'on aura fait rêver sur le sujet sera capable de faire siennes ces technologies.
Or, personne n'est encore prêt à ne jamais en abuser !
Même en cas de dictature protectrice de ces secrets-là.
Quant aux passages d'Ovni à des moments clés de l'histoire de l'humanité, ça démontre bien une forte connaissance historique. Pointue même.
Donc des archives plutôt bien faites.
Et l'idée de faire des vidéos (ou des classes scolaires in vivo) n'est pas idiote, d'autant qu'elles ont déjà leurs traces dans les livres d'observation qui en ont été faites.
Pas du tout incohérent et qui démontre par induction que ça existe réellement.
Mais bien sûr, il n'y a pas que ça au titre des Ovnis : On a aussi à faire avec de réels aliènes qui maîtrisent eux-aussi la technologie de la flèche du temps, mais sont assez sages pour ne pas intervenir.
De toute façon, notre futur nous protège de telles ambitions...
C'est un chaîne sans fin de réaction "feed-back" qui repoussent toujours plus loin le futur.
En effet passionnant !
Mais à notre stade, on ne peut que l'imaginer...
N'empêche "Haddock" a reçu la permission d'en parler autour de lui, mais pas chez les fous ni les sectes : et il est asses sage pour ne pas le faire.
Notez aussi à cette occasion, qu'au passage, on comprend un peu mieux les sources des religions révélées (pour ceux qui aiment l'ésotérisme) et leur déroulement historique : rien de hasardeux là dedans.
Mais ça retire bien des choses à la nature du Divin.
Ou au contraire consolide ses commandements, selon le point de vue, je ne sais pas, et les prophéties qui émanent des uns ou des autres, comme autant d'avertissements "censés".
Souvenez-vous du Pape "François Ier" et de sa dernière encyclique... ("Loué sois-tu")
Il n'y a pas de hasard : Il a au moins lu "Jean de Jérusalem" et ce dernier n'est pas non plus un hasard.
Bien à vous !
I-Cube