Il y
a désormais contagion !
On savait que les « forçats de rentier » n’aiment pas, mais
alors pas du tout, l’arrivée d’un concurrent sur leur territoire commercial
et/ou artisanal.
C’est vrai pour un « pisse-marre » (« épicier » en
langage « louchebem ») quand il voit débarquer une enseigne
concurrente de la sienne sur le trottoir d’en face, moins pour des
« spécialistes », de la fripe aux produits de luxe, mais réel quand
il s’agit de caviste ou de marchand de presse, même si ceux-là feront comme le
boulanger : Se distinguer par la qualité de leur offre et de leur accueil,
plus ou moins plaisant…
Je me souviens encore avec émotion de cette boulangère s’habillant en
vêtements « très » moulants et fortes échancrures sur sa généreuse
poitrine, une vraie leçon d’anatomie sur pattes, qui a fait faillite quand elle
a quitté son « cher & tendre » pétrisseur pour le quincaillier
d’une autre ville et a été remplacée par une « porte de prison » au
comptoir.
Faut dire que le pain était dégueulasse et il y avait des vers dans la
farine, jaunes et noirs.
Les taxis, c’est pareil.
Ils payent cher le droit de travailler (payer pour bosser, je vous demande
un peu !)
Et n’apprécie pas de devoir partager le « maigre » gâteau
(maigre parce qu’ils n’ont jamais pensé à l’élargir, le faire croître).
Il faut dire aussi, que justement ils payent pour ne pas partager ni croître,
mais seulement partager la pénurie (en vrai « déclinistes » assumés et revendiqués) et mieux assommer le chaland.
Tel que les tarifs sont limités… quand le compteur tourne autrement qu’au
forfait.
Depuis peu, les restaurateurs dénoncent à leur tour la multiplication des
restaurants « clandestins ».
Leur « sein-dikat », le « Syndicat national des hôteliers,
restaurateurs, cafetiers et traiteurs » est parti en guerre contre les
restaurants clandestins, tenus par des particuliers qui proposent leurs
services via Internet.
Ils seraient plus de 3.000 à offrir ainsi leurs services.
L’idée est simple et séduit un nombre croissant de particuliers : Arrondir
ses fins de mois et partager de la sorte son amour de la cuisine et ses
recettes en s’improvisant restaurateurs le temps d’un déjeuner ou d’une soirée.
Et de trouver ses clients via un site Internet, sur le même principe
qu’Airbnb et donc, d’une certaine manière à profiter de l’ « ubérisation » de grands nombre de
secteurs d’activité.
Si le concept est séduisant, il n’est pas du goût des professionnels qui y
voient plus une activité professionnelle qu’une pratique conviviale pour laquelle,
le restaurateur improvisé demande à ses convives une simple participation aux
frais.
Moi, je serais eux, je ne demanderai jamais de « participation aux
frais », mais ne laisserai pas sortir le goinfre sans une « juste
indemnité-préalable » de la cession obligatoire d’un colifichet en toc remis en
souvenir !
Et encore, on ne parle même pas des « cyber-traiteur » qui vous
livrent leurs pizzas ou leurs sushis en moins de 30 minutes après votre dernier
« clic ».
Ou appel téléphonique quand il n’y a pas de réseau.
Même à Venise, je peux me faire livrer un dîner complet chaud et « aux
chandelles », vin et fiasque de digestif sans souci.
Quoique… il faut que j’y pense assez tôt.
Et le Sprizt, je le fais moi-même, c'est bien meilleur.
Alors, le Synhorcat, dénonce les restaurants s’affranchissant des questions de
fiscalité et de réglementation.
Faux : Il profite d’une franchise de TVA et payent leurs impôts au
titre d’une activité accessoire et non commerciale…
« Pour
un repas comprenant une entrée,
un plat, un dessert, des alcools servis sur fond de musique, on trouve des
offres à 80
euros sur des plateformes numériques.
Nous ne sommes plus là
dans un modèle
de participation aux frais, mais bien dans un commerce qui s’affranchit
totalement des questions de santé publique et de toute fiscalité et
réglementation », souligne le communiqué, publié à l’issue d’une réunion avec la secrétaire d’État chargée du Commerce et de la Consommation.
80 euros, c’est la fiesta avec grand cru à déboucher !
Ou grande tablée, parce que les prix sont plutôt de l’ordre de 20 à 30
euros tout compris.
Passons : Encore un grand ignorant.
Pour le président du Synhorcat, « on pourrait imaginer qu’il y
aura 20.000 restaurants clandestins dans 3 à 5 ans » si ce modèle suit le développement d’Airbnb.
Le syndicat réclame « une
déclaration systématique et obligatoire à l’administration ainsi qu’aux services fiscaux ».
Il demande également le « respect des règles existantes, notamment l’obligation de disposer d’une licence pour pouvoir vendre de l’alcool ».
Bé non, l’alcool et les vins sont offerts par l’invitant organisateur…
Quant au reste également : Le client repart avec quelques photos
souvenirs de jolis paysages.
C’est d’ailleurs la seule chose qui est vendue, comme dans toutes les
réunions « Tupperware », bande de malins qui voient malice
partout !
« Nous
vivons dans un monde de fous où les acteurs de l’économie traditionnelle de
l’hôtellerie et de la restauration se voient imposer toujours plus de
réglementations au nom de l’intérêt et de la protection du consommateur, alors
que pendant ce temps les plateformes de l’économie collaborative nous
concurrencent en s’affranchissant de la loi », a encore déclaré leur
Président.
Et oui, la « konnerie » du « principe de précaution »
constitutionnalisé par « le Chi ».
Notez que chez Vizeat, « l’invitant » est assuré via le site
contre les empoisonnements pour 100.000 euros… Le restaurateur, pas bien sûr…
Et puis, en gros malin, il devrait aussi offrir repas et boisson et ne vendre
que des colifichets, des cendriers, des portes-clés ou des hochets à ses clients !
Notez que la réplique est venue autrement : « Le fait que les hôtes soient censés être
présents autour de la table exclut toute forme d'industrialisation »,
selon les fondateurs de la plateforme VizEat.
Ce qui fait effectivement et juridiquement toute la différence.
Que je me vois bien d’en faire autant jusqu’à Venise, après tout. J’ai
même une chambre d’amis disponible…
Interrogés par La Tribune au mois de février dernier, les fondateurs de
VizEat, plateforme comptant un millier d'hôtes et plus de dix-mille invités – et
qui entretient par ailleurs des partenariats avec l'Office de tourisme de Paris
et l'organisme de promotion de la France à l'étranger, Atout France – se
montraient toutefois aussi sereins que rassurants : « Tant que l'activité restera non
professionnelle, la marge de manœuvre du
législateur sera limitée », pariaient-ils, en soulignant que « nous n'interdirons pas à des professionnels
de proposer des repas sur le site. »
Et s'adressant encore aux professionnels de la restauration, ils
ajoutaient : « L'expérience que nous
offrons est par essence complémentaire de celle d'un restaurant ou d'un bistrot
: Les voyageurs continueront sans doute d'y recourir à de manière occasionnelle ».
Notez que de son côté Airbnb a décidé de collecter de la taxe de séjour au
profit des communes dès le 1er octobre prochain, ce qui règle le
problème.
Si VizEat se met à collecter de la TVA ou acheter des licences, c’est
fini, plus aucun problème.
D’ailleurs Uber finira par payer des charges sociales et un peu de TVA, et
on n’en parlera plus non plus.
Parce que c’est bien de ça qu’il s’agit : Pour l’heure, le succès de
l’ubérisation de l’économie s’appuie sur une « niche
fiscalo-sociale ».
Au moins tout autant que le service rendu de n’avoir pas attendre ou
courir après son taxi, à prix convenu à l’avance et prélevé par télépaiement,
là où les taxis ne sont pas tous équipés de terminal de lecture de carte de
paiement et n’acceptent plus les chèques : Quand même plus
confortable !
C’est d’ailleurs ce qui me fait bien marrer : Un jour, même les
pharmaciens livreront – comme certains le font déjà – leurs médicaments.
Un petit clic de plus et le malade n’aura même pas à se déplacer et faire
la queue pour être livré de l’autre bout de la ville.
Comme pour les plateformes qui font e-supermarchés…
Dans une autre-vie, j'avais accompagné la création du premier, 3615 Anatole, à une époque où
il n’y avait que le minitel 57,6 k/baud de disponible…
Quelle rigolade : Il s’appuyait sur une dizaine de supermarchés
centre-ville, pour la logistique et ça marchait tellement fort avec ses 4.000 références, qu’il s’est fait
laminé par plus gros que lui et les sites internet proposant jusqu’à 45.000
références !
Reste les « professions réglementées », avocats, notaires,
experts comptables, menacés aux aussi.
Avec les miens restés en « Gauloisie-progressiste », je
travaille par internet.
Seuls les pouvoirs voyagent par la poste en LRAR.
Quand ça marche depuis l’Italie.
Après tout, la banque s’y est mise il y a déjà quelques années… Alors
qu’il s’agit d’argent.
Mais notez que mes ex-confrères experts comptables – en fait, dans ma
prime jeunesse je bossais pour eux mais refusais déjà « de payer pour
travailler », je n’ai donc jamais cotisé à leur ordre – ils se la pètent
un maximum avec leurs logiciels-experts, alors qu’avec une simple feuille
Excel, voir Access en support « légal », qui fait « comme
si » les vrais, puisque le principe de fonctionnement reste le même, on
fait déjà de l’excellent travail.
Et ils s’inquiètent cachés derrière leur petit doigt.
La profession comptable francilienne a tenu ainsi à placer son université
d'été (du 1er au 4 septembre dernier) sur le thème de l'innovation.
En effet, leurs métiers de services doivent aussi innover en permanence tout en
gardant leur identité et leur éthique, en disent-ils.
« Et l'une des innovations
fortes que nous proposons est d'ouvrir nos commissions et comités d'éthique à
des personnalités venues de tous les horizons : philosophes, déontologues,
experts du numérique, économistes, représentants de l'État et des entreprises.
Les règles et leurs interprétations possibles doivent en effet être partagées
par le plus grand nombre pour faire autorité. »
Fort, non ?
Pourquoi ? Parce que l'innovation au XXIème siècle consiste à
libérer l'être humain de tâches subalternes pour lui permettre de se consacrer
à des fonctions ou loisirs toujours plus « intelligents
» et créatifs.
C'est un progrès pour l'humanité et ce, pas depuis 15 ans, mais de tout temps : Une lapalissade en somme.
Mais en contrepartie les emplois peu qualifiés, ou dont les tâches sont
répétitives disparaitront à un rythme rapide puisqu'automatisables.
Résultat, « les tâches
préservées pour nos enfants seront donc celles qui nécessitent de la créativité, du sens artistique, ou de
l'intelligence sociale et du contact humain, qu'elles se rapportent à un métier
manuel ou intellectuel, peu ou bien qualifié ».
Voilà qui est bien vu.
« Dans notre profession
d'expert-comptable et de commissaires aux comptes la puissance des processeurs
et la force des algorithmes transforment déjà profondément les processus de
production de l'information comptable et financière.
Les progiciels de
comptabilité sont au cœur du système de production de l'information. La
numérisation des données, des factures bientôt électroniques, réduisent peu à
peu le champ d'intervention de l'homme. »
Alors pourrait-on se passer un jour d'experts comptables ou de
commissaires aux comptes ? « Sans
doute pas, mais ils consacreront plutôt le temps et l'énergie disponible à
mieux orienter les choix stratégiques des clients, à les accompagner vers plus
de valeur ajoutée : contrôle interne, coaching, recherche des financements
indispensables au développement, cyber-sécurité… »
Et je vous annonce des dégâts irréversibles quand on sait que la plupart
des dépôts de bilan sont dus à l’ignorance et l’aveuglement desdits
« experts-kons-tables » dans ces domaines-là.
Sans même parler du reste et des erreurs de gestion propres à
l’infogérance dont ils se disaient il y a 20 ans, les spécialistes…
Mais notez que ça fait du boulot à toutes les professions juridiques,
elles-mêmes déjà bardées de bases de données et automates « hors-norme »,
pour démêler les errements.
C’est pour cette raison que celles-ci ne sont pas trop inquiètes : Il
faut savoir comprendre les textes pour parvenir à rendre un service utile.
Ce n’est jamais du « prêt-à-porter », mais toujours du « sur-mesure »,
même pour une lettre-recommandée ou une simple signification.
En fait, de l’aveu même desdits experts du chiffre, le champ du numérique
« est un nouveau Far West… Une terra
incognita à conquérir sans règle
véritablement stable ». Une nouvelle contrée non exempte de dangers.
« Or, la confiance que le monde
économique accorde à l'information comptable et financière est essentielle pour
son développement. Sans états financiers fiables, sincères et transparents,
plus de crédits, plus d'innovation… plus de croissance. »
Et si le métier évolue dans ses modes de production, ses principes eux,
adaptés à cette nouvelle réalité, doivent rester immuables : « En somme, le rôle d'une profession comptable
réglementée s'en trouve renforcé. Elle seule est à même d'assurer ce lien
indispensable entre progrès et éthique. »
Et c’est énoncé sans une once d’humour, en plus.
« L'automate ne peut pas être
éthique car il n'a pas d'intuition » !
Hein, même eux ne parlent pas d’intelligence, pour leur métier, la
capacité de mettre en relation au moins deux concepts différents : C’est
dire s’ils sont kons…
« Ses capacités d'adaptation et
d'interprétation face à des situations concrètes et humaines toujours
différentes sont au mieux, limitées, au pire, aléatoires. »
Notez que depuis que les « Google-cars » circulent sur les
routes californiennes, elles n’ont généré aucun accident routier.
Et quand un avion tombe, finalement la plupart du temps, c’est de la faute
au pilote…
Par ailleurs, piloter des systèmes complexes comme une centrale à neutrons
divagants ou une navette spatiale, sans système expert informatisé, c’est aussi
un peu casse-gueule.
En fait, il me semble que des millions d’emplois en jeu s’accrochent à une
organisation des tâches au travail hyper-réglementée déconnectée des réalités.
Et que c’est justement « la niche » dans lesquelles s’engouffre
la nouvelle e-économie.
Qu’on y songe : Le dernier constructeur automobile à monter ses
voitures uniquement « au doigt », c’était Facel-Vega, mort avec l’arrivée des premiers « robots » chez sa
concurrence au milieu des années 60.
De sacrées bagnoles…
Trop de réglementations, de contraintes, créent un rétrécissement de la
demande, par simple approche du coût financier.
Qui se reporte sur les offres innovantes et plus abordables dès qu’elles apparaissent.
C’est comme ça.
Et avec l’avènement de l’internet-nomade, c’est l’explosion.
En fait, Uber ne fait que mettre en évidence les multiples problèmes
engendrés par la réglementation de l’industrie du taxi. Pour beaucoup, la
réglementation gouvernementale est la solution idéale à tous les problèmes de
l’humanité.
L’exemple d’Uber démontre qu’au contraire, elle cause bien plus de
problèmes qu’elle n’en règle.
Tout a pourtant commencé par de bonnes intentions : Limiter le nombre de
permis de taxi pour s’assurer qu’il n’y ait pas trop d’offre et ainsi que les
chauffeurs puissent bien gagner leur vie. En théorie, ce système devrait bien
fonctionner, mais ce n’est pas le cas en pratique.
Tout d’abord, beaucoup de personnes de faible niveau de compétence
aimeraient gagner leur vie dans cette industrie. C’est pourquoi la demande pour
les permis excède largement la limite, entraînant l’explosion du prix de
revente d’une plaque. Beaucoup ont englouti leur épargne dans ces permis et ont
même emprunté pour les acquérir. La venue d’Uber aurait comme effet de les
ruiner puisque la valeur de ces permis s’effondrerait, tout comme les revenus
potentiels qu’ils permettent de générer.
C’est ce qu’on nous raconte et on veut bien le croire quand on aligne deux
chiffres.
Puis, vient l’innovation : Il n’y a pas de raison pour que les agences de
taxi n’adoptent pas les technologies qui rendent Uber si pratique et convivial.
Mais, en situation de monopole et en l’absence de concurrence, pourquoi ces
firmes investiraient-elles dans de tels systèmes ?
Par ailleurs, il n’est pas possible de donner une note ou d’afficher des
commentaires sur un chauffeur en particulier. Les chauffeurs n’ont donc aucun
incitatif à rendre un bon service, puisqu’ils sont « anonymisés »
dans leur fonction.
Conclusion, ce qui est aberrant, c’est la réglementation, pas Uber…
D’ailleurs, pour confirmer, ce fait intéressant : Un récent article publié dans The Economist
démontre qu’en banlieue de Manhattan, la croissance d’Uber n’a pas cannibalisé
les taxis traditionnels.
En fait, Uber a permis l’expansion du nombre de courses ce qui indique que
ce marché était mal servi. En revanche, dans le quartier des affaires, où les
taxis jaunes affluent, Uber n’a pas connu beaucoup de croissance.
Mais ailleurs, 87 % de celle-ci s’est faite hors les taxis traditionnels.
On constate donc qu’en plus de tous ses avantages énoncés précédemment, Uber a
pour mérite d’accroître le marché du taxi en servant des zones que les taxis
traditionnels délaissaient.
Demain, ce sont bien des pans entiers de l’économie qui basculeront dans
le low-cost, après les avions et l’ouverture des lignes de cars de la filiale
de la SNCF, le développement du covoiturage sur internet,
« l’échange » de logements de loisir, les « nounous » et
tant d’autres activités.
À la recherche d’une adéquation optimale de l’offre et de la demande, au
« juste-prix ».
Un projet qui aurait dû être « socialiste » pour créer des liens
sociaux à leur « juste valeur » : Un argument de campagne de
« Ségololo » en 2007, souvenez-vous.
On l’entendait toutes les minutes dans ses discours…
Ceux-là ont fini par se ranger du côté de la défense de la « rente de
situation ».
Assez curieux, finalement que de tourner le dos « aux forces de
progrès » !
Le « e-échange » c’est vraiment génial !...
RépondreSupprimerJ’ai dit à la « Baronne » :
« Et si on faisait de l’échangisme ?... »
« Tu ne penses qu’à ça !... Dès que l’on sort tu regardes toutes les créatures qui passent… Tu es intenable… etc… »
« Mais non, de l’échange de maison !... »
« De l’échange maison ?.. »
« Mais oui !... C’est gratuit, on échange logement, voiture si c’est trop loin, et l’économie est absolument énorme, totale en fait !... »
Après avoir bien réfléchi et s’être inscrit sur un site connu d’échange de maison on a finalement échangé avec un couple de Norvégiens la maison et la voiture, et on est actuellement à Bordeaux avant d’aller ailleurs !...
Avant de partir pour un exil en Norvège en 2016, lorsque les affaires sortiront.
J’ai envie d’être tranquille et de ne pas connaître la déprime de Béré et de Grossouvre…
Et dans l’échange maison, il n’y a pas de frais de réservation, pas d’assurance, pas de location, pas de caution, pas de taxe, c’est un « gentleman agreement entre amis !...
On a quand même le droit de recevoir qui ont veut chez soi !...
Il suffit juste d’entrer en contact avec des propriétaires dont vous appréciez le profil, de communiquer par internet puis par tel, et le tour est joué !...
Il faut juste être un peu sociable !...
C’est juste un début, mais c’est une remarquable façon de voyager dans des conditions absolument remarquable.
Inégalable, en fait !...
Tant qu'il y a de la bière dans le frigo, rien n'est impossible, effectivement !
SupprimerReste le voyage, mais avec vos "bons-kilométriques" d'Air-transe", vous avez un avantage supplémentaire...
Et il est clair qu'avec le réseautage de "fesse-book" et autre, ça va devenir de plus en plus fréquent.
Je connais un couple, comme ça, un ancien coach qui a failli faire curé, qui échange son loft montmartrois depuis des décennies et voyage dans le luxe à prix "low-cost".
Bon, il a simplement l'esprit un peu trop mesquin qui gâche notre amitié, mais au demeurant son épouse me trouve "beau" (mais si !), ce qui rachète partiellement le reste.
Et c'est l'économie de demain : celle des "réseaux", qui est marche à côté de tout le reste.
Bien à vous !
I-Cube
la meilleure méthode, c'est l'échange en nature varié! Par exemple, une chambre chez moi avec petit déjeuner compris pour une semaine en échange de diverses prestations intellectuelles et corporelles, évidemment non tarifées!
RépondreSupprimerPossibilités ouvertes à toute femme d'environ quarante ans voire plus, seule ou en couple ... Echange d'argent rigoureusement interdit!
Ca existe depuis des décennies et s'appelle les SEL : Société de Libre Echange.
SupprimerUn cauchemar pour le fisc : Pas d'argent, pas de TVA, mais des "allumettes nominatives" échangées entre membres consentants au sein d'un même groupement.
Ce que j'appelle de la "monnaie molle" qui ne fonctionne que dans le cadre d'un petit groupe.
Je crois qu'une loi récente organise ce type de marché et que plusieurs communes sont ainsi autorisées à "tirer" des "billets d'échange"...
Le problème de la "monnaie molle", c'est que ça ne se capitalise pas au-delà du cercle des membres.
Et que s'il reste possible de se faire ainsi bâtir une maison, c'est plus difficile pour un avion ou une centrale nucléaire.
Quant à des navires du type Mistral, c'est quasiment impensable.
Bref, le troc finit toujours par être monétiser et on le voit jusque dans l'usage du Bitcoin...
C'est finalement recréer de la monnaie, ni plus ni moins.
Quant à échanger nos femmes, faut-il encore qu'elles le veuillent bien...
Notez que j'en connais au moins une qui a fini par épouser son "échangeur"... avec deux divorces à la clé. Mais lui était juge en exercice, ils se sont bien démerdés...
Bien à vous !
I-Cube