Moi, je l’aime bien.
Quoique… D’accord elle est « soce », beurre
et bretonne, mais je ne suis ni sectaire ni raciste pour un sou et j’adore son
sourire et la façon qu’elle a de faire « flotter » son auguste
poitrine à fantasmes.
Ok, elle fumait comme un pompier à en avoir la voix
rauque des futurs cancéreux des voies aériennes, mais quand elle chausse ses
lunettes, c’est un tableau sublime : Femme à lunettes, femme à quéquettes,
ne dit-on pas, et avec un clope au bec, on fantasme encore plus !
D’accord aussi, elle ne sent pas aussi bon que
« Sœur Âne », mais a le même charme des « filles du sud »,
peut-être même en plus « corsé ».
Pour le reste, elle aime « la chose
publique » tel qu’elle en a fait métier & profession et j’ai eu
l’occasion de la croiser quand je faisais « benêt-vol » avec
« mon gardien », dans une de ses associations pour lesquelles vous
« restituez » à l’œil un peu des compétences que vous a pu refourguer
la Nation à travers « l’ékole-pue-blique » dans vos jeunes années.
Je ne vous raconte pas les séances de travail à quatre
paires d’yeux dans les salons dorés de l’Hôtel-de-Ville, dont deux paires qui
divergeaient de l’une à l’autre des deux silhouettes offertes à nos maculas.
Une bosseuse, c’est vrai, connaissant ses dossiers sur
le bout des ongles, faisant un duo fabuleux avec « Sœur-Âne » – qui
connaissait ses dossiers au moins aussi bien – et avec qui elle partageait une
vision commune de « la ville » assez pointue.
« Mais ça,
c’était avant », quand « De-la-Nuée » en était encore maire
de la kapitale.
« Sœur-Âne » s’occupait de l’urbanisme,
Myriam des enfants en difficulté, puis plus tard des activités sociales et au
milieu, « mon gardien » et moi administrions plusieurs associations
qui géraient entre autres quelques crèches et des centres-sociaux.
Les crèches, vous savez ce que c’est : Des
parents indignes y mettent leurs rejetons « en parking » au kolkhoze
pour leur journée … de labeur.
Ils payent le tiers des coûts en attendant qu’ils
soient « propres sur eux » pour les coller à l’ékole, qui est
gratuite ; le deuxième tiers est payé par la CAF où leurs employeurs
cotisent un max à robinet grand ouvert ; le solde est en principe pris en
charge par la municipalité, qui n’a jamais les moyens de ses ambitions, financé
par les impôts locaux dispendieux…
Un centre-social, c’est un peu différent : On s’y
occupe d’assister les « perdus pour la Nation » de façon à ce qu’à un
moment, les gosses ne basculent pas dans la primo-délinquance et les trafics,
histoire de ne pas engorger les tribunaux et les prisons, que les adultes
soient capables de s’intégrer, ânonnent un peu de « francilien-natif »
pour retrouver un boulot, et se mettent à cotiser eux aussi, et à payer leur
loyer…
Pas facile.
C’est financé par la même CAF et par le département
avec force cotisation et impôts locaux, un peu l’État dans les zones prioritaires
et encore un peu et sur projets éphémères par la région qui reçoit des
subventions européennes.
Et comme à Paris, le département et la municipalité,
ce sont les mêmes élus, si on a à faire à des administrations nettement
découpées dans leurs compétences d’intervention (jusqu’à 7 services incapables
de se téléphoner alors qu’ils sont dans le même bâtiment des bords de Seine et
déjeunent à la même cantine), la synthèse est donc faite à l’Hôtel-de-Ville,
également sur bord de Seine, mais plus loin et avec les élus…
Quand « Sœur Âne » a eu été élue mairesse,
Myriam a gardé son portefeuille qui avait évolué entre-temps de
« l’enfance difficile » vers les « activités sociales »
prises en général et les « quartiers difficiles », là où on se bat à
coup de bazooka où qu’on en crame des immeubles entiers avec des gens dedans.
Et puis quand elle est partie sous-secrétaire à la
ville chez « Menuet-valse », ça a commencé à être le boxon dans la
gestion des dossiers.
D’abord tous les « contacts habituels » ont
été remplacés – la nouvelle venue avait ses potes à elle à caser qui
découvraient le « business » –, on ne savait même plus à qui s’adresser.
Ensuite, ils ont déménagé de l’autre côté de la place
de l’Hôtel de Ville, en face du siège de l’APHP, que mon gardien s’en est perdu
à plusieurs occasions, d’autant que les entrées se tournent le dos telles qu’il
faut faire à pied le tour des bâtiments : T’es donc systématiquement en
retard et passes les contrôles de sécurité au moins deux fois, là où il faut en
récupérer ses papiers à la sortie.
Moi, là, j’ai laissé lâchement choir « mon
gardien », pour un exil mérité jusque chez les Grimaldi plantés sur leur
Rocher, écœuré d’avoir à refaire deux ans de travail de préparation de
« dossier-chauds » pour pas un rond, égarés, perdus dans les couloirs
et les cartons…
Une façon comme une autre de faire faire des économies
à la finance locale !
Passons.
Ce qui est fantastique, c’est qu’au gouvernement et
sous tutelle d’un ministre dont on n’entend peu parler, la « politique de
la ville » et autres exclusions, on n’en a rien vu pendant un an.
Et puis là, pof, « Red-s’amène », sentant le
roussi de la situation économique et sociale du pays se dégrader à vive allure,
profite du décès du maire de sa ville (mais à qui donc profite le
crime ?), va pour reprendre son fauteuil municipal.
Il faut dire qu’il avait fait des pieds et des mains
pour devenir ministre-majeur, l’oublié de son ami de 30 ans, « François
III », dit aussi « Gras-nul-laid » depuis peu.
Un ministère important, celui du travail, puisqu’il
est prévu que c’est de la réussite dudit ministre dans ses efforts à remettre le
pays au travail dont dépendra l’organisation de primaire ou non chez les « soces »,
selon que notre vaillant « capitaine de pédalo à la fraise des bois »
se représentera ou renoncera à un second mandat en 2017.
Poste clé s’il en est, n’est-ce pas, quasiment stratégique
à ne confier qu’à un « ami-sûr »…
Et comme personne ne veut y aller, tellement c’est
casse-gueule et lourd de conséquences, c’est la
« petite-Elle-Konnerie » qui a été désignée volontaire « amie
sûre » !
Magnifique, trouve-je…
D’ailleurs, je suis content pour elle : Au moins,
elle prend un poids-politique assez mérité – peut-on espérer – qui nous fera
mirer ses charmes incendiaires au moins une fois par mois à la télé, au moment
de l’annonce des chiffres du chômage.
À en faire une concurrence effrénée à toutes les
autres, d’ailleurs, même si elles ne boxent pas toutes dans la même catégorie question « charme »,
finalement.
Et que son prédécesseur en a dit qu’il aura une pensée
pour elle, tellement l’exercice est difficile.
Mais comme elle est « sexy », en tout cas
plus que lui, je suis persuadé qu’elle y réussira au mieux !
Mais il n’y a pas que ça : « Mc-Rond »,
il a déjà engagé des axes de réformes du droit du travail qui font d’ailleurs
hurler les « frondeurs » et les « syndicaleux », et qu’elle
aura la charge de piloter devant un Parlement « chahuteux ».
J’en rigole déjà pour la pôvre-minette !
Parce que bon, la situation est compliquée :
Elle, elle n’a pas fait l’ENÂ, mais un vague DESS de science des politiques
publiques à la « sort-bonne » (Paris I).
Elle ne sera donc pas aidée par la technostructure
ambiante des « sachants ».
Elle est de gôche, mais de la
« gôche-mièvre », celle du bureau national après avoir été
conseillère de « Dany-Vaille-An » dans le 18ème parigot,
c’est dire si elle ne connaît pas trop la « Gauloisie-profonde » des
culs-terreux et des hauts-fourneaux industrieux.
La pêche-bretonne, elle connaîtrait presque mieux,
mais « Le-Fol » ne voulait pas lâcher…
Dans le sillage de « Sœur-Âne », elle a été
forcément de tendance « Eau-brilliste », l’une étant énarque ayant
choisi « le travail et les affaires sociales » (hors-cadre) et
l’autre inspectrice du boulot (carde A), sa subalterne.
On signale d’ailleurs que l’actuelle
« moitié » de « Sœur-Âne » n’est autre que ce député
frondeur, tendance « Eau-Brie » pour avoir longtemps été son « sachant »
de bras droit avant d’avoir pu être élu en région parisienne.
Et les rancœurs sont tenaces, depuis que miss
« Tititne » elle a imposée « Sicile-du-Flot-Vert » sur les
têtes de liste à Paris 9ème contre l’avis de
« Sœur-Âne » : Des choses qui ne s’oublient pas, puisque les
deux « co-pines » se détestent finalement et désormais au plus haut
point !
Je ne vous raconte pas les discussions, le soir au
coin du feu avant de partager la couche et ses accessoires…
Faut dire que « la verdâtre », ce n’est finalement
pas le bon choix, tellement c’est une « sectaire-gôchiste » !
Aussi Myriam, désormais chouchoute de « François
III » – qui a dû lui aussi fantasmer comme les copains sur le physique de
la dame, après avoir fantasmé sur le physique de
« Nagea-belle-qu’à-s’aime » et se contenter de
« Juju-Gallet » pour ses escapades en scooter – ne peut être
désormais qu’« Haut-land-iste ».
Permettez-moi de me marrer profondément.
Normalement, elle devrait craquer sous l’influence de
« Menuet-Valse », son patron direct, qui navigue entre
« Pas-sain » et « Mc-Rond », des antagonistes incompatibles
malgré ce que tout le monde en dit.
Mais elle va tenir et s’attacher à démontrer qu’elle
n’est pas si mauvaise que ça : Non seulement, elle communique plutôt bien
tout en restant discrète – elle bosse et ne cause pas faute de temps – mais de
plus, tout le monde oublie qu’elle est bretonne, donc têtue et opiniâtre.
Et son problème, ce sera de cacher qu’elle n’y connaît
absolument rien mais fera semblant très bien !
De toute façon, en « Gauloisie du labeur »,
tant que nous n’aurons pas un ministre du travail Corsu, personne n’y
arrivera !
Alors qu’un « vrai-Corsu », il a dans les
gènes un rapport au travail quasi-inné qui ferait le bonheur de tous les
pinzuti !
Mais bon, la conjoncture ne s’y prête peut-être pas
forcément.
Parce que oui, c’est quand même curieux de choisir des
ministres, surtout du travail, parmi des gens qui n’ont jamais vraiment travaillé
à financer leur propre boulot, n’ont jamais rien vendu de leur labeur…
Mais se font payer par le « kon-tri-buvable » !
C’est une particularité de la vie politique de la
« Gauloiserie-éclairée », depuis à peu-près l’ère « Gis-car-diène »,
aucun ne brille par une expérience professionnelle, même à demi-ratée, autre
que la politique.
À part « Manu Mc-Rond », et encore…
Mais lui c’est un cas : Il en a même épousé sa
prof, déjà mariée par ailleurs, avec des gnomes tout faits à charge.
Un cas, vous dis-je !
C’est même là la mère de tous les échecs de nos
« politiques » : Des hâbleurs, des grandes-gueules qui vont tout
casser qu’on va voir ce qu’on va voir, parce que eux, ils savent, au moins
autant mieux que les « sachants », et puis ils ne parviennent même
pas à changer de place les « virgules » !
Une constante majeure.
Pour ma part, je trouve d’ailleurs assez béotien
d’avoir encore un « ministère du travail, de l’emploi et de la formation
professionnelle ».
La formation professionnelle devrait être rattachée à
« Les-ducs-à-Sion » nationale. Après tout, c’est de l’enseignement.
Et le ministère de « Les-ducs-à-Sion »
nationale ne devrait que s’occuper de payer les enseignants (ce n’est pas
obligé, mais pourquoi pas !) et de valider des diplômes.
Parce que là, la « formation
professionnelle », c’est une gabegie de 30 milliards minimum tous les ans
(dont au moins 3 viennent d’être attribués aux « agri-cules »), qui
finance l’inactivité de pas mal de « syndicaleux » et autres
glandeurs, loin, très loin de l’emploi.
Ils ne savent d’ailleurs plus ce que c’est.
Ce n’est qu’un constat, très partagé au surplus, et émis
sans aucune méchanceté de ma part, en plus…
L’emploi, ce ne sera jamais à la puissance
« pue-blique » d’en créer.
Quand elle le fait, c’est à coup de subventions
distribuées sous conditions (donc avec une administration coûteuse et tatillonne
chargée du contrôle), tel un vaste « saupoudrage », ou quelques
postes de fonctionnaires de plus.
Notez que tout ça a un coût, qui est directement piqué
dans la poche du « kon-tri-buvable » qui n’a rien demandé (parce que
tout le monde croit qu’il n’est pas concerné par la ponction, mais que ce sont
d’autres qui payent, alors que pas du tout) et qui du coup n’a plus les moyens
de consommer autant, ce qui empêche nos employeurs de faire croître leurs entreprises et de recruter…
Tout le monde sait ça, sauf les « autistes »
et les « trisomiques » dogmatiques…
Les relations du travail, d’accord, il faut les
organiser, les encadrer.
D’ailleurs, c’est tellement bien « organisé &
encadré », si étroitement, que plus personne ne sait de quoi on cause et
qu’on parle de simplifier, mais si !
Et c’est d’une urgence telle que j’en faisais déjà un
point clé à mes étudiants, il y a bien des décennies de ça, qu’ils devront
prendre à bras-le-corps s’ils ne veulent pas tuer le contrat de travail ou
s’exiler.
Une génération qui arrive aux commandes avec
« Myriam Elle-Konnerie », que ça m’amuse : Elle est
l’avant-garde.
Notez au passage que l’ubérisation de l’économie tue
encore plus sûrement l’économie du labeur (7 % des postes vont disparaître
d’ici 10 ans, d’après les projections), tel qu’il est vraiment très urgent de
prévoir les financements de l’inactivité (éducation, formation, maladie,
incapacité, invalidité, chômage, retraite, dépendance) sur de nouvelles bases
et non plus seulement sur le dos des entreprises et de leurs salariés…
Des défis qui se présentent à l’horizon de
« Myriam Elle-Konnerie », que bien sûr, en « bonne
politique », elle éludera comme tous les « autistes », je ne me
fais aucune illusion à son sujet, c’est son seul « vrai » métier !
Moi je l’aime bien, pour les raisons évoquées
ci-dessus, mais elle, elle en aime un autre qui lui a fait des gosses et fait
des logiciels et des « applis » qui réduisent les coûts financiers des
entreprises et augmentent la « destruction-créatrice » de la future
économie du « non-labeur », puisqu’il n’y a plus que ça pour survivre.
Des fabriques de rentiers, n’est-ce pas…
Assez paradoxal, finalement.
Alors, comme elle ne me convoquera jamais pour
l’éclairer, je jette le tout sur ce blog en lui souhaitant bon courage, même si
je n’y crois pas une seule seconde.
De toute façon, sa sortie de la mairie de « Daβ
Gross Paris », en y laissant des incompétents qui ne savaient même pas
piloter ses dossiers, à devoir les refaire systématiquement, c’est comme une
arête restée coincée en travers de la gorge.
De l’inconséquence, très classique en politique.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire