Question posée à une jeune femme :
« – Quelle
différence faites-vous entre un mari et un amant ?
– Mon
Dieu ! Mais c'est le jour et la nuit ! »
C'est une sage-femme qui se rend chez le boucher.
« Bonjour, je
voudrais 450 g de petite saucisse SVP ».
Et le boucher coupe un morceau qui pèse pile poil 450 g.
« Un coup de
chance », dit la dame.
« Oh non,
juste 30 ans de métier, madame ! »
Elle se dit qu'elle va l'avoir et demande 225 g de
pâté de foie.
Et le boucher lui coupe un morceau de 225 g.
« Vous
voyez que ce n'est pas un coup de chance… »
Tout à coup, on appelle à l'aide car une femme est en
train d'accoucher dans la rue, sur le trottoir.
La sage-femme accourt et met au monde un petit bébé.
« – 3,800 kg
» estime-t-elle.
– Ah
non – lui
répond le boucher – 3,700 kg. »
Pour être fixé, le boucher demande à son apprenti de
prendre le bébé et d'aller le peser.
« 2,300 kg
», clame l'apprenti depuis l'arrière-boutique.
Le boucher et la sage-femme sont tous deux étonnés de
se tromper autant.
« Tu es sûr ?
» demande le boucher à son apprenti.
« Tout-à-fait
: 2,300 kg, vidé et désossé. »
C'est un charpentier qui un jour, sur un chantier,
tombe d'un échafaudage. Il s'explose la tronche par terre et les pompiers
viennent le ramasser pour l'emmener au pavillon des urgences.
Arrivé à l'hosto, le chirurgien s'aperçoit qu'il a
perdu une oreille dans l'accident.
Le toubib engueule alors les pompiers qui ont oublié
de la ramasser et les envoie la rechercher sur le chantier.
Ils reviennent avec l'oreille du type et la donnent au
chirurgien.
Le chirurgien (s'adressant au charpentier) :
« Dites mon
ami, c'est bien votre oreille au moins ? »
Le charpentier (un peu vaseux) :
« Ah non,
j'crois pas. La mienne, y'avait un crayon dessus. »
Un couple bon chic bon genre. Un soir comme il y en
tant d'autres, il demande à sa femme :
« – Marie-Chantal,
j'aimerais vous prendre comme une chienne !
– Mais
vous êtes fou mon ami ! Entendre cela après 15 ans de mariage et que vous
m'ayez donné trois enfants ! »
Elle éclate en sanglots et Georges-Henri ne sait plus
trop quelle contenance prendre.
Les jours suivants, il pose à nouveau sa question qui
suscite toujours le même refus scandalisé.
Un jour Marie-Chantal prend le thé chez une amie
proche et lui expose ses soucis conjugaux.
L'amie tente de relativiser.
« Marie-Chantal,
si tu ne fais rien, ton mari ira voir ailleurs, et peut-être n'importe qui : Une
prostituée, un travesti que sais-je encore. Ça arrive tous les jours… »
Marie-Chantal est très ébranlée par ces conseils.
Aussi, le soir venu, lorsque Georges-Henri lui pose à
nouveau la même question, sans conviction, elle répond faiblement :
« Je veux bien
que vous me preniez comme une chienne, mais s'il vous plaît, faisons cela dans
une rue où nous ne sommes pas connus. »
Tu t'aperçois que tu vis en 2015 quand :
– Toutes les pubs télé ont une adresse Web en bas de
l'écran.
– Par accident, tu tapes ton mot de passe sur le
micro-onde.
– Ça fait des années que t'as pas joué au solitaire
avec des vraies cartes.
– Tu as une liste de 15 numéros de téléphone pour
joindre une famille composée de 3 personnes.
– Tu envoies un e-mail à ton collègue qui a le bureau
juste à côté du tien.
– Tu as perdu le contact avec tes amis ou ta famille
parce qu'ils n'ont pas d'adresse e-mail.
– Tu arrives chez toi après une longue journée de
travail et tu réponds au téléphone comme si tu étais encore au bureau.
– Tu fais le zéro sur ton téléphone de la maison pour
prendre la ligne.
– Tu es au même poste de travail depuis 4 ans mais
t'as déjà travaillé pour trois entreprises différentes.
– Tu paniques si tu sors de chez toi sans portable et
tu fais demi-tour pour le prendre.
– Tu te lèves le matin et la première chose que tu
fais c'est d'allumer ton ordinateur avant même de prendre ton café.
Moshé se tourne et se retourne dans son lit, il
n'arrive pas à trouver le sommeil. Au bout d'un moment Sarah, son épouse,
commence à s'inquiéter et lui demande :
« – Mais dis-moi
Moshé, qu'est-ce qui t'empêche de dormir comme ça, tu emm… tout le monde, là ?
– Et bien
voilà, je dois 5.000 € à Lévi et je dois lui rendre demain.
– Et
alors ? Plaie d'argent n'est pas mortelle !
– Mais
j'les ai pas les 5.000 €, j'vais pas pouvoir lui donner.
– Et
c'est pour ça que tu dors pas ? Attends… »
Sarah se lève alors, va à la fenêtre, l'ouvre et
appelle « Lévi, Lévi ! »
De l'autre côté de la rue, une autre fenêtre s'ouvre
et Lévi demande, la tête enfarinée :
« – Quoi, Sarah,
pourquoi tu m'appelles la nuit ?
– Moshé
te doit 5.000 €, il les a pas, il pourra pas te les donner demain ! »
Elle referme la fenêtre, se tourne vers son mari :
« Maintenant,
c'est lui qui ne dort pas. »
« C'est bien toi
qui m'a dit que plusieurs hommes avaient demandé ta main, hein ? » demande
le mari, énervé.
« Oui,
plusieurs », répond sa femme.
« – Eh bien tu
aurais mieux fait de te marier avec celui qui t'avait demandée le premier.
– Mais,
c'est ce que j'ai fait ! »
C'est l'été et la canicule fait rage.
« Il fait
trop chaud pour porter des vêtements », dit le mari alors qu'il sort
de la douche dans son costume d'Adam.
« – Chérie,
qu'est-ce que tu penses que les voisins diraient si j'allais tondre la pelouse
dans cette tenue ?
– Probablement
que je t'ai épousé pour ton argent », répond la femme.
Un vieil homme et sa femme décident de se séparer.
Avant que le divorce ne soit prononcé officiellement,
le juge insiste pour que les époux rencontrent un médiateur familial.
Le couple accepte, mais dès la première réunion, il
est clair qu'il ne sera pas possible d'éviter le divorce.
Étonné par une telle obstination, le médiateur leur
demande :
« Monsieur,
vous avez 95 ans, et vous Madame 92 ans. Cela fait 72 ans que vous êtes mariés !
Pourquoi vous séparer maintenant ? »
La femme répond :
« Cela fait
46 ans qu'on ne peut plus se supporter. Mais on a pensé qu'il valait mieux
attendre que les enfants meurent avant de divorcer. »
Un collègue revient au bureau après 15 jours d'arrêt
maladie.
« – Alors tu vas
mieux ?
– Oui
et ça a été pour moi une expérience magnifique !
– La
grippe, une expérience magnifique ?
– Oui
parce que j'ai compris à quel point ma femme m'aimait !
–
Comment ça ?
– Ben,
à chaque fois que le facteur sonnait, elle ne pouvait s'empêcher de crier sa
joie : Mon mari est à la maison, mon mari est à la maison ! »
Anne-Marie a une crise cardiaque, et se retrouve à
l'hôpital.
Sur la table d'opération, proche de la mort, elle vit
une expérience extraordinaire.
Elle voit Dieu par hasard et lui demande :
« Mon heure
est-elle arrivée ? »
Dieu lui répond :
« Non, il
te reste 43 ans, 2 mois et 8 jours. »
À son réveil, elle décide de demeurer à l'hôpital, de
se faire remonter le visage, faire une liposuccion, injecter du collagène dans
les lèvres, refaire ses seins, réduire ses fesses et tout le reste.
Comme elle devait encore vivre longtemps, cela en
valait la peine.
Après sa dernière opération, elle sort de l'hôpital,
traverse la rue, et se fait renverser par un camion.
Arrivée au ciel devant Dieu, elle lui demande :
« – Il me
semble que je devais vivre encore 40 ans et plus ! Pourquoi ne m'avez-vous pas
fait éviter la trajectoire de ce camion ?
– Oh zut
! Je ne t'ai pas reconnue ! »
Donner un médicament au chat de la voisine (du
vécu récemment) :
Prenez le chat dans le creux de votre bras gauche
comme vous le feriez pour un bébé.
Mettez l'index et le pouce de chaque côté de sa gueule
et exercez une légère pression tout en tenant le comprimé dans la main droite.
Quand la bouche s'ouvre, lancez la pilule.
Laissez le chat refermer sa gueule et avaler.
Ramassez le comprimé sur le sol et récupérez le chat
derrière le canapé et recommencez.
Récupérez le chat sous le lit et jetez le comprimé qui
est tout ramolli.
Prenez un nouveau comprimé, reprenez le chat dans le
creux du bras gauche en lui maintenant fermement les pattes arrière de la main
gauche.
Écartez les mâchoires avec force et poussez le
comprimé dans le fond de la gueule avec l'index droit.
Maintenez la gueule fermée pendant 10 secondes.
Repêchez le comprimé dans le fond de l'aquarium,
récupérez le chat au sommet de l'armoire et sollicitez l'aide de votre voisin
de palier (I-Cube soi-même).
Agenouillez-vous, le chat fermement coincé entre vos
cuisses, tout en lui tenant les pattes avant et arrière.
Ignorez les grondements du chat.
Demandez à votre voisin de lui ouvrir la gueule, d'y
jeter le comprimé et de masser la gorge avec vigueur.
Récupérez le chat sur la tringle à rideaux.
Faites une note pour songer à réparer les rideaux et
recoller les morceaux du vase.
Enveloppez le chat dans une serviette de bain et
demandez à votre voisin de se coucher dessus en laissant la tête du chat
apparente.
Mettez le comprimé dans une paille, forcez la gueule
du chat et soufflez dans la paille.
Assurez-vous que le comprimé n'est pas nocif pour les
humains et buvez un verre d'eau pour chasser le goût.
Pansez le bras de votre voisin et lavez le sang sur le
tapis avec de l'eau et du savon.
Récupérez le chat chez ce voisin et prenez un autre
comprimé.
Coincez la tête du chat dans l'entrebâillement de la
porte de l'armoire.
Forcez sa gueule avec une cuillère et lancez le
comprimé à l'intérieur avec un élastique.
Allez chercher un tournevis dans votre boite à outils
pour remonter les charnières de la porte.
Appliquez-vous une compresse froide sur la joue,
vérifiez la date de votre rappel de vaccination antitétanique.
Jetez votre tee-shirt et allez en chercher un autre.
Appelez les pompiers pour récupérer le chat dans
l'arbre du jardin.
Excusez-vous auprès de votre voisin qui s'est écrasé le
nez contre un mur en évitant le chat.
Prenez le dernier comprimé.
Liez les pattes du chat avec du fil de fer et attachez
le tout au pied de la table.
Mettez des gants de jardinier, ouvrez la gueule du
chat avec une clef à molette, poussez y le comprimé suivi d'un morceau de filet
de bœuf.
Maintenez la tête verticale et faites couler un bon
demi-litre d'eau pour dissoudre le comprimé.
Demandez à votre voisin de vous conduire aux urgences
et gardez votre calme pendant que le médecin vous met les agrafes aux doigts et
à l'avant-bras et vous retire les déchets de comprimé de l'œil droit.
Sur le chemin du retour, arrêtez-vous chez le marchand
de meubles pour commander une nouvelle table.
Appelez le vétérinaire et demandez-lui s'il fait des
visites à domicile.
Et puis une petite « revenue » (juste pour
le plaisir) :
Un homme rentre chez lui le soir et croise un type
dans l'escalier qui, arrive à son niveau et sans même lui adresser un regard,
murmure :
« T'es
cocu ! T'es cocu ! »
Un peu surpris, il poursuit son chemin, retrouve sa
femme et oublie vite l'histoire.
Mais le lendemain, toujours en montant l'escalier, il
rencontre le même personnage qui lui glisse discrètement :
« T'es
cocu ! T'es cocu ! »
Un peu outré, il décide néanmoins de ne pas en parler
à son épouse, pensant qu'il s'agit probablement là d'un fou.
Toutefois le troisième soir, lorsque l'incident se
reproduit, il prend la décision de demander quelques explications à sa femme.
Cette dernière semble surprise et rassure son mari
quant à sa fidélité.
L'homme oublie définitivement ce trouble-fête.
Le quatrième soir, voilà que le même type redescend
l'escalier alors que notre homme rentre chez lui.
Cette fois, il l'attend de pied ferme.
Arrivé à son niveau, le personnage murmure :
« Cocu… et
rapporteur avec ça ! »
La chute de l’originelle de Jean-Marc était la même, mais le texte
a été enrichi quand Luigi me l’a racontée…
Bien à vous toutes et tous !
Bon week-end !
I3
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