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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 19 avril 2019

En manque d’inspiration,

Notre Jean-Marc national, en ce vendredi saint !
 
La preuve, après le bouleversant incendie de Notre-Dame de Paris :
 
Un directeur à son employé :
« – Rappelez-moi votre nom?
– Convert, monsieur le directeur.
– Ah oui, c’est la couleur qui m’échappait ! »
 
Dans un magasin, une jeune femme cherche un cadeau pour son amoureux.
Coopératif, le vendeur lui demande :
« – Qu’est-ce qu’il fait comme métier votre ami ?
– Il est écrivain.
– Ah ! Alors, offrez-lui cette grande corbeille à papier. »
 
Dans le cabinet d’un médecin :
« – Docteur, que faire ? Je me sens lourd comme un éléphant, je mange comme un oiseau et j’ai une fièvre de cheval.
– Cher Monsieur, voyez plutôt un vétérinaire. »
 
« – Dis donc, qu’est devenu ce merveilleux perroquet que tu possédais ?
– Je me suis marié et il est mort de chagrin.
– Il était jaloux de ta femme ?
– Oui, forcément, il ne pouvait pas placer un mot. »
 
Le petit-garçon de Jean-Marc dit à son père :
« – Dis papa qui a acheté mon vélo pour Noël ?
– Le Père Noël évidement, mon fils.
– Alors, est-ce que tu peux le joindre, parce-qu’il y a un type qui a appelé cet après-midi et il a dit qu’il n’était pas payé ! »
 
Une reprise pas encore vue :
Trois chiens, un Polonais, un Russe et un français, discutent tranquillement :
Le chien français s’exclame :
« – C’est un véritable scandale, ce matin, j’ai dû aboyer pour avoir ma pâtée…
– C’est quoi, la pâtée » demande le chien polonais ?
Le chien russe : « C’est quoi, aboyer ? »
 
Il était temps pour le vieux Père Joseph de prendre son bain du samedi soir et la jeune sœur, Sœur Nathalie, avait préparé l’eau du bain, les serviettes et tout le reste, suivant exactement les instructions données par la vieille sœur, Sœur Berthe.
Sœur Berthe avait également recommandé à Sœur Nathalie de ne pas regarder la nudité du Père Joseph autant que possible, de faire tout ce qu’il lui demanderait et de prier.
Le matin suivant, Sœur Berthe demande à Sœur Nathalie comment le bain de la veille s’était déroulé.
« – Oh, ma Sœur ! » répond Sœur Nathalie les yeux rêveurs, « j’ai été sauvée !
– Sauvée ? Et comment est-ce que ce beau miracle s’est-il produit ? » demande la vieille sœur incrédule qui savait que le vieux Père Joseph avait plus d’un tour dans son sac.
« – Eh bien, lorsque le Père Joseph était dans son bain, il m’a demandé de le laver, et pendant que je le lavais, il a guidé ma main entre ses jambes, à l’endroit où le Seigneur garde la Clé du Paradis. C’est ce qu’il m’a dit.
– Ah bon ! Il a fait ça ? » répliqua la vieille sœur, le regard froid et direct.
Sœur Nathalie continue :
« – Oui, et le Père Joseph m’a dit que si la Clé du Paradis fonctionnait avec ma serrure, les portes des Cieux seraient ouvertes pour moi et je serais assurée d’être sauvée et j’aurais la paix éternelle.
Et ensuite le Père Joseph a guidé sa Clé du Paradis dans ma serrure.
– Ah oui… », dit la vieille sœur encore plus froidement.
« Au début, c’était très douloureux, mais le Père Joseph a dit que le chemin de la rédemption était souvent rempli de douleur, mais que la Gloire de Dieu remplirait bientôt mon cœur avec extase. Et c’est arrivé !
C’était si bon d’être sauvée ! »
Sur ce, la vieille sœur fut outré :
« Le vieil escroc ! Il m’avait dit que c’était la Trompette de l’Ange Gabriel et il m’a fait souffler dedans durant les 40 dernières années ! »
 
C’est une petite fille qui surprend Jean-Marc, son père, tout nu dans la salle de bain.
Comme c’est la première fois, elle est toute surprise de voir son ustensile d’amour au garde à vous.
« Qu’est-ce que c’est ça papa ? »
Jean-Marc comprend qu’il n’a pas le choix de lui expliquer mais comment sans la traumatiser.
« Écoute ma petite fille… ça c’est l’ustensile d’amour que les hommes transportent, mais quelque fois, ils le prêtent à la maman. Si tu es sage, quand tu seras grande, tu en auras un, mais si tu n’es pas sage, tu en auras plusieurs. »
 
Une « classique », revue et un peu « corrigée » :
Quatre mères catholiques discutent lors d’une réunion de bienfaisance.
Elles ont été à l’école ensemble mais elles ne se sont pas revues depuis 40 ans.
La première dit aux autres que son fils est prêtre et qu’elle en est très fière.
« – C’est merveilleux, quand il entre dans une pièce, tout le monde l’appelle « Mon père ».
– Le mien est évêque » dit la deuxième « et, quand il entre dans une pièce, tout le monde l’appelle « Monseigneur ».
– Le mien est Cardinal, dit la troisième « et, quand il entre dans une salle, tout le monde se lève et on l’appelle « Éminence ». »
Les trois autres se tournent alors vers la quatrième…
« Ben… le mien mesure 1,85 mètre, il est extraordinairement beau et il travaille comme danseur nu.
Quand il entre dans la salle, toutes les femmes se pâment et disent : « Ô mon Dieu ! » »
 
Deux copines vont au restaurant.
En arrivant, elles voient le restaurant complètement plein, la majorité des tables étant occupées par des couples.
Une des deux femmes prend son téléphone portable et fait un appel à voix haute en regardant les couples assis…
« Bonjour ma chérie. Je suis arrivée au restaurant et ton mari est ici, avec une autre femme. Viens tout de suite… »
Cinq hommes sortent en courant, deux femmes s'évanouissent.
En rangeant son téléphone, la femme dit à sa copine :
« Suis-moi, il y a de la place maintenant ! »
 
Une petite théorie intéressante qui donne à réfléchir ?
 
« Un troupeau de buffles ne peut pas se déplacer plus vite que le buffle le plus lent. Et quand le troupeau est pourchassé par un prédateur, ce sont les buffles les plus faibles qui restent à l’arrière et qui meurent les premiers.
Cette règle de sélection naturelle est une bonne chose pour le troupeau dans son ensemble, puisque la vitesse générale et la santé du groupe augmentent avec la disparition régulière de ses membres les plus faibles.
Or, de la même manière, le cerveau humain ne peut pas aller plus vite que le plus lent de ses neurones.
Or comme chacun le sait, la consommation excessive d’alcool détruit les neurones, mais naturellement ce sont les neurones les plus faibles qui sont attaqués en premier lieu.
Dans ce sens, la consommation régulière d’alcool élimine les neurones les plus faibles, faisant du cerveau une machine toujours plus rapide et plus efficace.
Le résultat de cette profonde étude neurologique vérifie et valide la relation causale entre les fêtes de fin de semaine et le rendement des mathématiciens, informaticiens, ingénieurs, économistes, avocats, architectes, stagiaires, etc.
De cette façon on explique pourquoi, quelques années après la sortie de l’université et après s’être marié, la plupart des professionnels ne peuvent maintenir les niveaux de rendement des étudiants récemment diplômés.
Seuls les rares qui persistent à imbiber des litres d’alcool, peuvent maintenir les niveaux intellectuels tels qu’ils étaient durant leurs années estudiantines.
Pour toutes ces raisons, ceci est un appel aux armes :
Pendant que notre pays est en train de perdre son potentiel intellectuel, nous ne pouvons décemment pas rester à la maison sans rien faire !
Allons tous au bar, les amis ! »
 
Deux religieuses se dirigent vers le réfectoire pour prendre le petit-déjeuner.
Elles rencontrent la mère supérieure qui semble d’une humeur massacrante.
« – Hoho ! Notre mère supérieure a dû se lever du mauvais pied ce matin…
– Elle s’est plutôt levée du mauvais côté du lit !
– Oui, c’est ça : Elle a réussi à enfiler les chaussures de Père Barnabé. »
 
Une « revenue » du paradis :
Un Anglais, un Français et un Russe se trouvent devant un tableau d’Adam et Eve au paradis originel.
L’Anglais dit :
« Regardez leur réserve, leur calme… Ils doivent être Anglais »
Le Français dit alors :
« Je ne pense pas. Regardez-les comme ils sont beaux et impudiques. À mon avis, ils sont Français. »
Le Russe les achève en se marrant bruyamment :
« Vous n’y êtes pas du tout les amis. Regardez mieux. Ils n’ont pas de vêtement, pas de maison, seulement une pomme à manger et on leur dit que c’est le Paradis !
Ils sont Russes évidemment. »
 
Germaine et sa copine :
« – Mon mari chiale tout le temps contre ma cuisine.
– Pourquoi ?
– Il n’aime pas ce que je prépare. Il compare toujours mes plats avec ceux de sa mère.
– Pas moi. Il ne dit jamais un mot.
– Tu dois être un véritable cordon bleu ?
– Non, ceinture noire. »
 
Jean-Marc, jeune marié :
« – Chéri, il faut que je te dise quelque chose.
– Quoi donc, mon bel amour ?
– J’ai pas tellement le goût d’aller en lune de miel.
– Mais pourquoi ça ?
– Parce que le docteur m’a dit que je devais me mettre au régime ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul sont convoqués au bureau des impôts :
Le second rentre et ressort 30 minutes plus tard, complètement à poil.
Jean-Marc s’adresse à son pote
« – Mais qu’est ce qui t’es arrivé ?
– Ils m’ont tout enlevé ! »
Alors Jean-Marc ne perd pas de temps : Il se déshabille immédiatement et pousse la porte.
Il ressort, dix minutes plus tard, avec une ficelle autour du zizi et un bouchon dans le cul…
« – Mais… qu’est ce qu’ils t’ont fait?
– Ils m’ont coupé l’eau et le gaz ! »
 
Deux puces se rencontrent, en vacances à Miami.
L’une arrive à Miami transie et grelottante.
L’autre lui demande:
« – Mais qu’est-ce qui t’arrive ? T’as l’air complètement gelée.
– Ben, je suis arrivée du New-Jersey dans la moustache d’un gars sur une Harley.
– C’est la pire façon de voyager !
Essaie plutôt ceci : Va-t’en à l’aéroport, et trouve-toi une belle hôtesse de l’air. Grimpe le long de sa cuisse, et cache-toi où c’est bien chaud et confortable.
C’est la meilleure façon de voyager.
– Merci ! J’essayerai ça l’hiver prochain. »
Une année passe et lorsque la première puce arrive à Miami elle est encore toute grelottante.
« – T’as pas fait ce que je t’ai dit l’année dernière ?
– Oh si ! J’ai fait exactement ce que tu m’as conseillé. Je suis allée au bar de l’aéroport, j’en ai profité pour prendre quelques verres et, finalement une jolie et jeune hôtesse est entrée.
Alors j’ai grimpé le long de sa cuisse et je me suis cachée dans son nid douillet.
C’était si doux et chaud que je me suis endormie.
Et lorsque je me suis réveillée, j’étais dans la moustache d’un gars sur une Harley. »
 
Bonne fin de semaine à toutes et à tous !
 
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PS : N’omettez pas les publications de « mon gardien » où vous retrouverez quelques-unes des blagues de Jean-Marc (et surtout quelques autres déjà oubliées) :

Ma bibilothèque (1)
L'ouvrage que vous tenez devant vos yeux ne devrait pas exister...
Bibliothèque de "mon Gardien"
Première reprise
Bibliothèque de "mon Gardien" (2)
Humour Kameulf

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