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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 10 juin 2018

Comment devenir moins kon…

Une question importante

Et je m’y essaye depuis des années avec le si peu de succès que vous pouvez imaginer, parce qu’avec un seul neurone en fonction (celui du « nerf-honteux ») j’ai du mal à progresser.

Et pourtant, à en lire les revues scientifiques britanniques, on commence à percevoir quelques réalités incontournables. En effet, une nouvelle étude basée sur un modèle mathématique suggère que, au cours de l'évolution, le cerveau de du genre « homo » a grossi en réponse aux contraintes… environnementales !
Hein, le stress de l’environnement, ça ferait bouillir votre caboche.
Fabuleuse découverte : Attention plus l’environnement (et son devenir) devient difficile, plus vous devenez intelligent.
Enfin… pas exactement : Votre cerveau grossit !
Raisonnement a contrario, plus tu « défends » l’environnement, plus tu deviens kon ?
Notez que je suis parfois près de le croire, tellement les « écololos » nous bassinent avec leur propre « konnerie-dogmatique » tous-azimuts…
Mais il n’y a pas non plus « que du faux » dans leurs dires, il me faut aussi l’admettre.

Le raisonnement desdits chercheurs est le suivant : Plus un animal est grand, plus il risque d’avoir un gros cerveau.
Notez qu’il y a un taux dit « d’encéphaloïsation » (le rapport entre la masse du cerveau et la masse totale) qui donne un avantage à l’homo… neanderthalensis. Même si ce n’est pas certain (puisqu’on n’en a jamais pesé pour n’en avoir jamais eu sous la main) : Ce ne sont que des estimations.
Le problème, et là, c’est certain, c’est que la taille du cerveau humain est particulièrement importante : Elle a triplé entre l’australopithèque et sapiens.
Rien de moins !
Impressionnant…
Tripler de dimension, a priori, il n’y a que deux choses chez moi : La pupille et… bon, vous avez deviné quoi d’autre.

Alors pourquoi les humains ont-ils développé des cerveaux si gros et coûteux en énergie ?
20 % de la consommation totale de l’usine qui turbine en-dessous, gros « bouffeur de glucide » (et tout ce qui est en « ose » : Je sais, j’en consomme presque plus pour cause diabète type 2, et du coup j’ai un QI à la ramasse… Mais ça ne se voit pas, parce qu’il y était déjà, avant), centrale électrique à courant faible, et surtout dictateur de tout le reste qui aurait une « certaine autonomie » de fonctionnement.
Personnellement, j’en étais resté au fait qu’en devenant « omnivore » plutôt que de rester herbivore, mes ancêtres ont perdu une panse (probablement au bout de l’appendice qui ne sert plus à rien qu’accumuler les cochonneries et métaux-lourds indigestes) pour gagner en « pensée ».
Bé oui, l’excédent de sang dégagé dans l’opération, il bien fallu le loger quelle que part, et comme l’homo avait perdu une de ses queues et que l’autre ne supportait pas tout, c’est parti au cerveau qui en aura enflé.

Pas du tout nous en disent les chercheurs !
Une hypothèse souvent avancée est que ce cerveau a permis de répondre aux sollicitations de la vie sociale, favorisant ainsi les interactions entre individus : Par exemple, les humains ont dû développer des compétences pour coopérer pendant la chasse ou pour s’organiser face à des ennemis. Et prédateurs.
Peut-être…
Et un nouvel article publié par Nature suggère que la principale cause de l’accroissement du volume du cerveau humain serait non plus seulement d’ordre « social », mais également d’ordre « environnemental ».
Dans « The Conversation », Mauricio Gonzalez Forero, un des deux auteurs de cette recherche, explique la démarche.
Les chercheurs semblent d'accord pour dire que l'augmentation de la taille du cerveau a aidé l’Homme à résoudre des problèmes qui se posaient à lui, style d’où vins-je, où erre-je où coure-je ?
Peut-être car on n’aura pas la réponse, vu que ce n’est pas comme ça qu’ils posent leur question.

Quels problèmes au juste ? Métaphysique ou plutôt sociaux ou environnementaux ?
Attention, c’est sérieux à les en croire : Quels problèmes écologiques pouvaient-ils se poser ?
Les déchets nucléaires ou le réchauffement global ?
Non, seulement comment trouver de la nourriture dans la savane ?
Comment la stocker ?
Comment la cuisiner ?
Dans cette dernière hypothèse, l’Homme a dû inventer de nouveaux outils, apprendre à traquer des proies ou à allumer un feu.
Sauf qu’à mon sens, aucun autre animal que l’homo ne sait allumer un feu. Donc, pour se faire, il aura dû raccourcir son tube digestif, avant – pour que le sang monte au cerveau – sans savoir cuisiner.
Il me semble qu’une fois de plus, on confond la cause et les effets (même parmi les cerveaux les mieux profilés pour la recherche scientifique).
Enfin, passons…

Car pour savoir quelle était la cause de l’accroissement de la taille du cerveau, ces chercheurs ont utilisé un modèle mathématique : Ils ont calculé (pas eux, mais le robot-calculateur) comment peut évoluer le cerveau lorsqu’il doit faire face à des défis écologiques ou sociaux, en tenant compte de l’énergie que l’organisme consacre à l’expansion du cerveau (et à son entretien).
Pour conclure que la taille actuelle du cerveau humain s’explique par la combinaison des défis sociaux et écologiques, mais que l’augmentation de taille serait plutôt la conséquence des défis environnementaux…
Inversement, la coopération sociale réduirait la taille du cerveau : Lorsque deux individus coopèrent, chacun peut compter sur l’autre, en plus de son propre cerveau…
Jusque-là, c’est logique.
Plus on « collabore », plus on deviendrait un « rachitique du bulbe ». Pour approcher cette triste réalité, on peut aussi se référer à l’histoire contemporaine de l’occupation du dernier siècle du millénaire passé.
Par exemple…
Et plus on est « en conflit », plus on fait grossir le cabochon : Il n’y a qu’à regarder toutes ces débauches d’énergie et d’inventivité à créer des armes de destruction et mille façons de faire mourir autrui avant l’heure pour s’en convaincre.
Le défi « social »…

En fait, dans ce complément d’explication que je vous fournis nulle trace de contrainte écologique ou seulement environnementale.
De toute façon, quand ils n’avaient plus à grailler sur place, nos ancêtres déménageaient avec armes, femmes et rejetons sur le dos vers des contrées plus hospitalières : C’est d’ailleurs comme ça que l’espèce est désormais présente à peu-près partout et que la tradition perdure encore chez les « non-sédentarisés » qui parcourent l’Europe sans frontière ou les plaines de l’ouest américain.
Notez que c’est aussi – mais c’est probablement un autre sujet – une des raisons de l’ère-migratoire qui pousse les gens à traverser encore la « Grande-Bleue » de nos jours, jusque sur des embarcations de fortune.
À ce jeu-là, le migrant est donc moins kon que le sédentaire (qui compense comme il peut en faisant « touriste » à son tour…)

Tout ça pour vous dire qu’en ce qui me concerne, c’est raté : Né kon, je le reste et ne démords pas de l’idée que pour que le cerveau grossisse, il faut bouffer carné et surtout cuit afin de raccourcir et simplifier le circuit de digestion. Sans ça vous faites la sieste et chopez des maladies que votre intestin ne sait pas dégrader.
Donc, la maîtrise du feu d’abord, apparue probablement « par hasard » (et curiosité), le changement de régime alimentaire ayant fait le reste au fil du temps.
Et ce n’est probablement pas pour des raisons climatologiques ou environnementales, même si forcément, la concurrence avec d’autres, et notamment les prédateurs qui bouffent encore « cru », a forcément joué un rôle important.
Jusqu’à inventer la bombe à neutron, n’est-ce pas…

À moins que je n’aie encore rien compris. Mais ça confirmerait alors mon propre diagnostic exposé ci-dessus.
 
Bonne fin de journée à toutes et à tous !
À la semaine prochaine.

I3

2 commentaires:

  1. Etre moins con. Vaste programme, pour paraphraser un Général! Bien à toi.

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    1. En tout cas, moâ je n'y arrive pas !
      Et ce n'est pas fôte d'essayer...
      Juré !

      Bonne journée à toi !

      I-Cube

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