Et
quelques « incontournables »
« – Pourquoi », demande-t-on
à un poète, « as-tu laissé tomber
cette fille charmante qu’est Sarah pour vivre avec cette mocheté de Paulette ?
– Quand je voulais écrire
un poème pour vanter les charmes de Sarah, je ne trouvais guère de rimes à son
prénom que « Sahara » et « ça ira ». Alors qu’avec Paulette, je n’ai que
l’embarras du choix : « fillette, violettes, rillettes, gambettes, chaussettes,
et plus encore ». »
Remarquez, c’est comme pour les « saints-de-glace » :
Saint Mamert, Saint Servais et Saint Pancrace… sainte pouffiasse, sainte
pétasse, sainte konnasse et saint j’en passe…
Dans le grand nord, un Esquimau et un explorateur parcourent la banquise.
Soudain un ours blanc se dresse devant eux. L’Esquimau chausse ses skis et
s’enfuit.
L’explorateur lui crie :
« – C’est pas la peine, l’ours
court plus vite que toi !
– Pas grave », lui répond l’esquimau. « Le principal c’est que moi j’aille plus vite
que toi ! »
C’est une « adaptation » de Jean-Marc et Jean-Paul, dans la brousse poursuivis par un lion
affamé…
On est en Islande. La vente d’alcool aux mineurs y est interdite.
Trois jeunes gens entrent dans un café et commandent de la bière.
La serveuse exige leurs cartes d’identité.
Deux d’entre eux présentent la leur mais le troisième, qui n’a pas l’âge
légal, continue à fouiller dans ses poches et finit par demander si sa carte
d’abonnement à la bibliothèque ne ferait pas l’affaire.
La serveuse crie alors au barman :
« – Deux bières et… Un livre ! »
Pour bien comprendre toute la saveur de cette réponse, il
faut savoir qu’à Reykjavik, tous les « pubs » ont un coin
« bibliothèque » et … réciproquement !
Dans la salle de jeu du casino de Monte-Carlo, Jean-Marc a prêté de l’argent à son voisin de table.
Comme ce dernier ne paraît pas très pressé de lui rendre, il lui dit :
« Si vous avez des difficultés
à me rembourser, je vous propose de me payer en nature. Je m’explique : Par
exemple si vous êtes tailleur vous me ferez un complet, si vous êtes boucher
vous me débiterez un veau, etc. Qu’en pensez-vous ? »
Alors le monsieur lui sourit, tend sa carte de visite et lui murmure :
« Je veux bien, je suis
entrepreneur de pompes funèbres… »
En « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », à la poste de Calvi.
Le chef de bureau :
« – Voilà deux mois, Monsieur
Césarini, que je rentre à l’improviste et que je vous surprends en train de
dormir alors qu’il y a du monde qui attend au guichet.
– Mais c’est la faute du
stagiaire ! » proteste Jean-Do
Césarini.
« – Comment cela ? Est-ce que
Môssieur le stagiaire pourrais s’expliquer… »
Le stagiaire : « Euh… C’est
exact monsieur, je m’en excuse, Monsieur Césarini m’avait bien dit : « Et
surtout n’oubliez pas de me réveiller lorsque cet abruti de chef rentrera ! » »
Jean-Marc rentre chez lui furax et s’adresse à
Germaine, son épouse…
« Tu me trompes je le sais !
Alors combien d’amants t’as eu depuis qu’on est marie hein ? Et crois pas que
je vais me laisser faire ! »
Et Jean-Marc s’en va en jetant le vase que sa belle-mère leur a offert.
Il va dans la cuisine, s’ouvre une bière et un peu penaud revient voir sa
femme.
« Excuse-moi j’étais énervé je
savais plus ce que disais. »
Germaine reste silencieuse.
« Excuse-moi, j’te dis… Écoute,
tu ne vas pas faire la tête, j’te dis que je me suis emporté. »
Germaine lève la tête : « Je
ne fais pas la tête, je compte… »
Une tante d’aspect sévère vient prendre le thé chez sa nièce et lui dit :
« – Mange tes épinards, mon
enfant, et tu deviendras belle.
– Pourquoi ma tante ?
Les épinards n’existaient pas de votre temps ? »
« Imagine que tu es au milieu
de la jungle et que tu trouves une cabane bordée d’une rivière.
Tu entres dans la cabane
et tu vois, à gauche 7 petits lits et à droite une petite table avec 7 petites
chaises.
Sur la table il y a un
saladier avec 5 sortes de légumes différents :
– Pommes de terre
– Carottes
– Tomates
– Salade
– Oranges
Quel légume choisirais-tu
?
Ta sélection nous apprend
beaucoup de ta personnalité :
Pomme de terre : Signifie
que tu es le genre de personne qui aime manger des pommes de terre.
Carotte : T’aimes
pas les pommes de terre ?
Tomate : D’abord,
qu’est-ce que tu as contre les pommes de terre ?
Salade : À tes
risques et périls…
Orange : Eh !!!
C’est même pas un légume ! »
« – Docteur ! C’est terrible,
mon bébé vient d’avaler un préservatif !
– Calmez-vous madame,
j’arrive tout de suite. »
Le toubib n’a pas le temps d’enfiler un manteau que le téléphone sonne à
nouveau.
« Docteur ! C’est encore moi.
C’est pas la peine de vous déplacer… On a trouvé un autre préservatif… »
Dans une petite ville de province, une petite entreprise avait la
singularité de ne compter parmi ses employés que des hommes mariés.
Une jeune femme qui postulait pour un emploi dans cette société et qui
venait de se faire refuser décida de ne pas se laisser faire :
« Pourquoi n’embauchez-vous que
des hommes mariés ? Est-ce parce que vous pensez que les femmes sont faibles,
idiotes, cancanières… ou autre chose encore ? »
La personne chargée du recrutement lui répond :
« Vous n’y êtes pas, madame. Si
je n’ embauche que des hommes mariés, c’est uniquement parce qu’ils ont
l’habitude d’obéir aux ordres, qu’ils savent ce que c’est que d’être poussés au
cul, et qu’enfin, ils savent se taire et encaisser sans broncher ni faire la
gueule à chaque fois que je leur crie dessus… »
Notés pour vous quelques incontournables :
« Ne cours pas après un homme
ou un autobus : Il y en aura toujours un autre. »
(Proverbe latino-américain)
« Un groupe de loups, c’est une
horde.
Un groupe de vaches,
c’est un troupeau.
Un groupe d’hommes, c’est
souvent une bande de cons. »
(Philippe Geluck)
« En matière de sexe, la
plupart des hommes se prennent pour des dieux.
Manque de pot, en matière
de sexe, la plupart des femmes sont athées. »
(Bernard Lherbier)
« En tous pays, avant de juger
un homme, le monde écoute ce qu’en pense sa femme. »
(Honoré de Balzac)
« La femme serait vraiment
l’égale de l’homme le jour où, à un poste important, on désignerait une femme
incompétente. »
(Françoise Giroud)
« Les femmes préfèrent être
belles, plutôt qu’intelligentes parce que, chez les hommes, il y a plus
d’idiots que d’aveugles. »
(Yvonne Printemps)
« Les femmes qui veulent être
les égales des hommes manquent sérieusement d’ambition. »
(Jean-Marc Reiser)
« Les hommes sont comme…
l’horoscope.
Ils vous disent toujours
quoi faire et habituellement ils se trompent… »
« Les hommes sont comme… le
mascara.
Ils disparaissent au
moindre signe d’émotion. »
« Les hommes sont comme… une
tempête de neige.
Vous ne savez jamais
quand ils vont venir, à combien de centimètres vous aurez affaire et combien de
temps ça va durer. »
« Les hommes sont comme… les
places de stationnement.
Les meilleurs sont déjà
pris et les autres sont trop petits ou incompétents. »
« Les hommes sont comme… le
café. Les meilleurs sont riches, chauds et peuvent te tenir éveillée toute la
nuit. »
« Quelle est la différence
entre un meurtrier et un homme qui vient de faire l’amour ?
Aucune. Ils ne savent pas
comment se débarrasser du corps. »
(Pierre Desproges)
C’est l’été au bord de la mer.
Le soleil est au rendez-vous et les touristes aussi.
Une petite fille demande à sa maman en montrant un monsieur en slip de
bain :
« Maman, c’est quoi la bosse
dans le slip du monsieur ? »
Sa mère, gênée, répond :
« – C’est son porte-monnaie mon
chéri.
– Oh là là ! Plus il te
regarde, plus il a d’argent ! »
C’est une revenue…
Une autre qui circule à l’Assemblée Nationale en ce moment :
La scène se passe lors du premier Conseil des ministres post élection « Jupitérienne ».
Le Président de la République fait un tour de table et s’arrête sur un
ministre dont il ne se souvient plus du nom.
Il prend un bout de papier, écrit une phrase et le fait passer à plusieurs
membres du Conseil jusqu’à son Premier Ministre.
Ce dernier, recevant le mot, lit : « Savez-vous comment s’appelle le ministre au bout, à droite ? »
Édouard répond et fait de nouveau passer le papier à destination du
Président.
Le Président lit la réponse : « Oui. »
Un peu énervé qu’on se moque de lui, il paraphe un autre mot.
La navette circule à nouveau et le Premier Ministre lit : « Oui qui ? »
Incrédule, le premier ministre gribouille sa réponse et la navette part
dans l’autre sens.
Fébrile, le Président déplie le bout de papier et lit : « Oui, Monsieur le Président. »
Jean-Marc est le grand champion du monde de
l’absentéisme au travail.
Encore une fois, ce matin, il ne s’est pas montré.
L’après-midi, le patron vient le voir :
« – Alors, vous n’êtes pas venu
travailler ce matin ?
– Oh oui, je m’excuse. Ma
femme a eu un accouchement difficile.
– Un accouchement
difficile dites-vous ? Comme la semaine dernière, et la semaine d’avant…
Votre femme accouche donc
en moyenne 4 à 5 fois par mois…
Vous vous foutez de moi
ou quoi ?
– Pas du tout… Ma femme
est sage-femme à domicile. »
« – Quelle belle décapotable ! »
dit la femme en regardant la Lamborghini décapotable de sa voisine.
« – Oh elle n’est
pas neuve…
– Combien elle a coûté ?
– Une baise…
– Une baise ?
– Oui, c’est ça, j’ai
attrapé mon mari avec sa secrétaire. »
Et une d’actualité :
Après avoir tué un mécréant, en avoir blessé plusieurs et s’être fait «
neutralisé » dans le quartier de l’Opéra à Paris, le djihadiste de la semaine
dernière arrive devant Allah.
« – Bonjour Allah, je suis un
martyr et je viens pour les 72 vierges qu’Internet m’a promis, là-bas en bas.
– Mais bien sûr… Elles
sont dans la grande chambre, au bout du couloir. Elles sont toutes pour toi. »
Le gars revient quelques instants plus tard, pas content du tout :
« – Allah, c’est n’importe quoi !
Tes 72 vierges, elles sont moches, mais moches, mais qu’est-ce qu’elles peuvent
être moches !
– Et pourquoi tu crois
qu’elles sont encore vierges ? »
Bon week-end à toutes et à tous !
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