Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 23 mars 2018

Leçons de vie de nos enfants

La vérité sort toujours de la bouche des enfants…

1. Ne demandez jamais à un chien de surveiller votre repas. (Jean-Luc, 10 ans).


2. Si votre père est en colère et vous demande : « Est-ce que j’ai l’air d’un gars stupide ? », ne répondez pas ! (Marie-Jeanne, 9 ans).


3. Ne dites jamais à votre mère que sa diète ne semble pas fonctionner. (Jean-Michel, 11 ans).


4. Quand votre mère est fâchée après votre papa, ne la laissez pas brosser vos cheveux. (Marianne, 10 ans).


5. Ne laissez jamais votre frère de 2 ans jouer seul dans la même pièce que vos devoirs d’école. (Jean-Christophe, 14 ans).


6. Un chien a toujours mauvaise haleine, même après avoir mangé une Tic-Tac. (Jean-André, 8 ans).


7. C’est impossible de cacher un morceau de brocoli dans un verre de lait. (Jean-Gabriel, 9 ans).


8. Évitez de porter des sous-vêtements à pois noirs en-dessous de shorts blancs (Priscilla, 11 ans).


9. Si vous voulez un chat, commencez par demander un cheval. (Jean-François, 15 ans).


10. Les crayons feutres ne sont pas bons à utiliser comme rouge à lèvres. (Charlotte, 9 ans).


11. Ne mettez jamais en colère votre sœur quand elle tient une batte de baseball à la main. (Jean-Charles, 10 ans).


12. Montrez toujours vos mauvaises notes à votre mère lorsqu’elle est au téléphone. (Jean-Paul,13 ans).


13. N’essayez jamais de baptiser un chat. (Françoise, 8 ans).


Terminant enfin un parcours de golf où il fit beaucoup de ratés, Jean-Marc se tourne vers son caddie et lui dit d’un air dépité :
« J’aurai remué ciel et terre pour passer sous les cent points sur ce parcours. »
Et le caddie lui répond :
« Il n’y a plus qu’à essayer le ciel alors, parce que vous avez déjà remué quasiment toute la terre ici ! »


Un couple dans la cinquantaine est au lit.
En enlevant les lunettes de son mari, la femme dit chaleureusement :
« Tu sais chéri, sans tes lunettes, tu ressembles toujours au beau jeune homme que jai épousé ! »
Jean-Marc voulant lui retourner le compliment lui répond :
« Ma chérie, tu sais, sans mes lunettes, toi aussi tu parais encore très bien ! »


Germaine à Jean-Marc :
« – Qu’est-ce que tu aimes le plus chez moi ? Mon esprit ou ma beauté naturelle ?
– Ton sens de l’humour… »
C’est la suite de la même discussion…


Dans le même style, une « recyclée » :
Jean-Marc, dont les mains tremblent sans interruption, va consulter un médecin. Après l’avoir examiné, celui-ci lui demande :
« – Vous buvez quoi d’habitude ?
– Du vin rouge, docteur.
– Quelle quantité quotidienne ?
– Bof… 7 ou 8 litres !
– 7 ou 8 litres ! Mon pauvre ami, ne cherchez plus l’origine de vos tremblements. Vous buvez trop !
– Oh, vous savez, docteur, j’en renverse beaucoup… »
Dans l’originale, c’était moâ, mais avec mes bouteilles de vodka : Maintenant, je suis passé au whisky…


Un cow-boy de la taille d’un colosse, deux rangées de revolvers autour de la taille, pénètre dans un saloon.
Il s’approche du barman et gueule :
« UN WHISKY garçon ! »
Le garçon le lui sert et il boit cul-sec, paye puis quitte la place à pas pesants.
Pour revenir aussi brutalement, furieux.
Incroyable ! Quelqu’un s’est permit de peindre son cheval en vert pendant son absence !
« QUI A PEINT MON CHEVAL EN VERT ? »
Un silence de plomb règne alors dans le saloon, un ange passe chargé de grenades dégoupillées, quand un cow-boy haut comme une montagne, quatre rangées de revolvers autour de la taille, s’approche en hurlant :
« C’EST MOI ! TU AS UN PROBLÈME AVEC ÇA ? »
Alors d’une toute petite voix, le premier lui répond :
« Nnn, nnon… Non-non, c’était pour vous prévenir que si vous voulez passer la deuxième couche… C’est sec. »
Elle est bête, n’est-ce pas ?


Et celle-là, alors ?
Au beau milieu du fleuve immense, deux énormes hippopotames ne laissent paraître aux regards que les masses immobiles de leurs dos gris jaunâtres au cuir craquelé de boues éparses et d’algues mortes…
L’un des deux mastodontes émerge des eaux sombres.
Ses immenses naseaux frémissent et recrachent des trombes d’eau dans un éternuement obscène et fracassant.
Puis il baille.
Un bâillement cérémonial, lent et majestueux, qui lui déchire la gueule en deux, aux limites de l’éclatement, en même temps qu’étincelle l’ivoire de sa bouche béante et que monte aux nues son beuglement sauvage.
Presque aussitôt, l’autre bête sort sa tête de l’eau en s’ébrouant frénétiquement. Puis les deux mastodontes se regardent longuement…
On a l’impression que le temps s’est arrêté.
Alors, après avoir humé longuement, en balançant la tête, l’air saturé d’une lourde chaleur humide, le premier hippopotame dit à l’autre :
« C’est bête, j’arrive pas à me faire à l’idée qu’on est déjà vendredi ! »


Et cette autre :
Le lion, c’est bien connu, est un animal bien vaniteux.
Un jour qu’il se promène dans la savane, il hèle une antilope :
« – Eh, l’antilope, qui est le roi de la savane ?
– C’est toi, le lion, ça, pour sûr », répond le frêle animal terrorisé.
Le lion se rengorge et, bouffi d’orgueil, poursuit sa route.
Il tombe sur une girafe :
« – Ohé, là-haut, qui est le roi de la savane ?
– Toi… toi, bien évidemment » répond la girafe qui en bégaye de peur.
Alors là, le lion ne se sent plus.
À tel point que, passant devant un éléphant, il lui prend l’envie de tester son prestige :
« Et toi, le gros patapouf, tu sais qui est le roi de la savane ? »
L’éléphant, pas très content qu’un minus s’adresse à lui sur ce ton, attrape le lion par la queue, le fait tournoyer au-dessus de sa tête et le projette à 30 m de là, dans une flaque de boue.
Groggy, le lion se redresse et lance à l’adresse du pachyderme :
« Ben quoi ? On peut même plus se renseigner ? »


C’est Jean-Marc qui se rend dans un restaurant pour déjeuner.
Arrivé sur les lieux, son smartphone capte la connexion Wi-Fi du restaurant.
Quand la serveuse vient prendre sa commande, il lui demande :
« – S’il vous plaît, mademoiselle, pourrais-je avoir le mot de passe du Wi-Fi ?
– Mangez d’abord, monsieur. »
Jean-Marc s’empresse alors de commander un repas copieux.
Après avoir fini de manger, il redemande à la serveuse :
« – Ça y est, j’ai fini de manger, pourrais-je avoir ce mot de passe maintenant ?
– Mangez d’abord. »
Jean-Marc se sentant un peu gêné, commande un volumineux dessert.
Après s’être gavé avec, il s’en va directement demander le mot de passe au gérant :
« – Excusez-moi monsieur, mais vos serveuses me font du chantage. Elles veulent que je commande d’abord à manger avant de pouvoir obtenir d’elles le mot de passe Wi-Fi. Pouvez-vous me le donner, s’il vous plaît ?
– C’est « mangezdabord », sans majuscules, sans espace et sans apostrophe. »


Il y a quelque temps Germaine entre chez son médecin, le visage tout enflé et des bleus partout.
Le médecin :
« – Que vous est-il arrivé ?
– Docteur, chaque fois que mon mari arrive à la maison après avoir bu, il me frappe et je ne sais plus quoi faire.
– J’ai un bon remède pour ça. La prochaine fois que votre mari arrive totalement beurré, prenez une tisane à la camomille et gargarisez-vous.
Gargarisez-vous le plus longtemps possible et surtout … n’arrêtez pas ! »
Deux semaines plus tard elle retourne chez le médecin.
Elle a l’air très calme et parfaitement heureuse.
« – Docteur, c’est brillant comme idée ! Dès que mon mari arrive éméché, je me précipite sur ma tisane et je me gargarise comme vous me l’avez indiqué. Du coup, plus de violences !
– Ben vous voyez, quand on la ferme, ça peut aider… »

Encore une revenue :
Jean-Marc rentre de voyage d’affaires, un jour plus tôt que prévu.
Il est tard et il prend un taxi.
Près de la maison, il demande au chauffeur s’il veut être témoin parce qu’il pense que sa femme le trompe et qu’elle est en ce moment avec son amant.
Ce dernier accepte, contre 150 €.
Ils entrent sans bruit, ouvrent doucement la porte de la chambre, Jean-Marc allume la lumière et enlève la couverture du lit.
Et il découvre effectivement sa femme nue avec son amant.
Hors de lui, il sort le pistolet du fond du tiroir de la commode et le braque contre la tête de l’amant.
Germaine hurle :
« Ne tire pas, ne tire pas ! Je t’ai menti ! Je n’ai pas hérité l’argent de ma tante… C’est LUI qui a acheté la Ferrari que je t’ai offerte, notre yacht aussi, la maison au bord du lac et tous les billets des grands matchs auxquels tu assistes ! Il paye même nos impôts ! »
Jean-Marc, désemparé, baisse le pistolet et se tourne vers le chauffeur de taxi.
« – Tu ferais quoi, toi, à ma place ?
– Moi ? Je remettrais la couverture pour qu’il ne prenne pas froid… »

Jean-Marc est le seul survivant du crash d’un petit avion de tourisme dans les Andes.
Appuyé sur un arbre, il lance vers un grand tas d’os, le dernier os qu’il vient de finir de décortiquer.
Soudain, il voit une colonne d’hommes qui s’approchent.
Fou de joie, il bondit et se met à crier.
« Je suis ici ! Je suis ici ! C’est moi ! Merci mon Dieu. Je suis sauvé. »
Les hommes s’approchent et découvrent, horrifiés, qu’il a mangé tous ses petits camarades.
« – Quoi ! Vous n’allez pas me juger ni me blâmer d’avoir voulu survivre ?
– Non », dit le chef d’équipe, « sauf que l’avion ne s’est écrasé qu’avant-hier ! »

« – Quelle est la différence entre un gars et une grenouille ?
– Il n’y en a pas, les deux ne pensent qu’à sauter ! »

Ça se passe dans un club de danseuses nues.
Entre deux danses, la blonde dit à la brune :
« – Moi, je ne ferais pas confiance aux deux gars qui sont à la table 22.
– Ah bon ! Et pourquoi ?
– Ben, ils sont ici depuis trois danses, au moins, et pas une seule fois ils m’ont regardée dans les yeux. »

Une petite devinette idiote pour finir :
C’est l’histoire de trois personnes qui sont dans un ascenseur.
Un gars intelligent, une femme blonde et le Père-Noël !
Qui va pousser sur le bouton pour monter à l’étage ?
La femme blonde, voyons !
Parce que tout le monde sait qu’un homme intelligent, ça n’existe pas et que le père Noël non plus !

Allez, sans rancune : Bon week-end à toutes et à tous quand même !

I3

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire