Vous
l’avez remarqué…
Depuis que j’ai embarqué à bord de la « perfide Albion », j’ai
un mal fou « à régler » les paramètres de la mise en page de mes
posts sur « blogspot.england.com ».
J’en suis revenu « aux origines », quand je découvrais cette
plateforme-là.
Au fil du temps en « Ritalie », j’ai pu m’y faire et j’ai su rétablir
un semblant de lisibilité à peu-près correcte.
Depuis Monaco jusqu’à Portoferraio et désormais un peu en passant par « Paris-sur-la
plage », pas de soucis non plus.
Mais from London, une fois ça marche, une fois ça foire.
Alors, comme la mise en ligne d’un post ne doit pas excéder une heure de
mon temps, rédaction incluse, 90 minutes dans le pire des cas, quand il faut
faire des liens, j’abandonne l’idée d’une « remise-en-point » :
Il faut reprendre ligne-à-ligne les paragraphes un-à-un, et quand vous en loupez
un, il faudrait y revenir.
Soit au bas-mot 60 à 90 minutes de plus et il se trouve que je n’ai pas
vraiment le temps.
Déjà que les journées sont si courtes et que le temps restant à vivre est si
compté.
Comme je ne suis pas payé pour ça, je vous prie de bien vouloir m’excuser
du plus profond de moi-même et jusqu’aux tréfonds de vous-mêmes, mais
j’abandonne la lutte (de toute façon perdue d’avance).
Ci-après, quelques collectes de la semaine, pas très riche : Il y a
beaucoup de « revenues » (ces « histoires d’en rire »
parties de ce blog et du précédent parfois depuis des années et « qui me reviennent »)
qui n’ont pas forcément d’intérêt pour ne pas avoir été « enrichies »
ou modifiées depuis leur naissance et mises en ligne, que je vous épargne.
Sans doute « la rançon de la gloire » que je ne recherche pas –
et depuis l’origine – particulièrement.
L’objectif, c’est juste de vous donner « matière à vous détendre »
après avoir abordé des sujets parfois beaucoup plus graves durant toute la
semaine.
Merci infiniment de votre compréhension à toutes et à tous.
Des revenues ? Comme par exemple la suivante :
C’est l’histoire d’une jeune et belle princesse, indépendante et sûre
d’elle, qui rencontre un jour une grenouille sur le bord d’un étang.
La grenouille dit à la princesse :
« Au secours ! Au secours ! Une
affreuse sorcière m’a jeté un sort. Avant, j’étais le fils aîné d’un roi très
puissant. Un baiser de toi et je me transformerai en prince, et nous pourrons
nous marier, car je suis très beau et un amant endurant et sensuel.
Nous irons dans mon château
où je retrouverai ma mère et tu me prépareras de bons plats et tu élèveras nos
enfants et tu feras la conversation à ma mère quand je partirai à la guerre
etc… »
Vous connaissez la suite. Il y en a d’ailleurs plusieurs : La
sorcière du lac, la princesse qui aura fait castrer son chat redevenu
prince-charmant, etc.
Celle-là à une chute différente :
Le soir de ce même jour, en passant à table, la princesse se mit à rire et
dit à haute voix :
« Non, vraiment non, c’est
bidon, cette histoire de prince-charmant transformé en grenouille !
Qui croirait encore à ce
genre de fadaises-là à notre époque ? »
Et elle dégusta une grande assiette de cuisses de grenouilles en sauce.
Pendant la messe, le curé rappelle aux gens qu’ils vont tous finir par
mourir un jour.
« S’il ne vous restait que 4
semaines à vivre, que feriez-vous ? »
Une personne se lève et dit :
« Pour ces 4 semaines, j’irais
voir ces personnes qui ne croient pas en Dieu pour tenter de leur faire
comprendre qu’il est dans nos vies. »
Le curé, satisfait de son ouaille dit :
« C’est un acte très admirable !
Quelqu’un d’autre voudrait partager son opinion ? »
Une autre personne se lève et dit :
« Pour ces 4 semaines, je me donnerais
entièrement à ma famille et à l’église avec plus de conviction ! »
Le curé admire encore ces paroles et demande un autre avis.
Jean-Marc se lève et dit :
« Moi, pour 4 semaines, je
ferais le tour de l’Europe avec ma belle-mère dans ma vieille Golf-diesel et je
dormirais dans les motels les moins chers, chaque soir. »
La salle reste silencieuse un long moment, quand le curé reprend :
« – Et pourquoi feriez-vous
cela ?
– Eh bien tout simplement
parce que ce serait les 4 plus longues semaines de toute ma vie ! »
(C’est une « recuite »,
celle dans laquelle le curé de la paroisse alignait le long d’un mur ses
fidèles qui ne voulaient pas mourir sans être sûrs d’aller au paradis promis
par le Seigneur. Jean-Marc avait
refusé de s’aligner et de souscrire à cette promesse, persuadé qu’il s’agissait
de partir sur le champ…)
Un pépé dans une maison de retraite s’adresse à une nouvelle pensionnaire :
« Hé qu’est-ce que vous faites,
si belle et si jeune, dans un endroit comme ici.
Au fait on est où ici ? »
Lors d’un voyage en groupe, le guide distribue des mots croisés pour
distraire les voyageurs.
« – Alors ça, je ne vois pas »,
dit Jean-Marc… « Un mot de 7 lettres, « se vide quand le coup
est tiré », et ça finit par « ouille ».
– C’est « douille »,
monsieur ! » s’écrit une dame âgée.
« – Qui peut me prêter une
gomme ? » demande alors une jeune fille avec les pommettes toutes rouges…
(Dans l’originale, c’était
des curés dans un train en route vers Rome pour un consistoire)
Pendant une petite pause, entre deux prières au couvent, trois sœurs discutent assez sévèrement de la conduite douteuse du prêtre qui dit la messe dans la chapelle chaque jour.
La première explique :
« Il y a deux semaines, en
nettoyant sa chambre, j’ai trouvé des revues pornographique dans le tiroir de
sa table de nuit. »
Évidemment les deux autres sont scandalisées :
« – Et qu’en as-tu fait, ma sœur
?
– Je les ai immédiatement
jetées aux ordures ! »
La seconde raconte :
« C’était mon tour de faire sa
chambre la semaine passée. En rangeant son armoire, j’ai découvert des
préservatifs… »
Offusquées, les deux autres :
« – Et qu’en as-tu fait, ma sœur
?
– Je lui ai joué un bon
tour », raconte-t-elle. « J’ai percé tous les préservatifs avec une
aiguille. »
C’est alors que la troisième religieuse s’évanouit.
(Dans l’originale, il s’agissait
de mes trois secrétaires monégasques… C’est quand même plus drôle !)
Encore une dernière revenue (même pas à peine modifiée, juste « enrichie »,
mais elle me fait tellement rire en visualisant la scène) :
Jean-Marc entre chez lui à 7 h le matin.
Sa Germaine l’attend de pied ferme.
Quand il pousse la porte, elle lui lance un regard de feu et lui dit :
« – Ouin, belle heure pour
arriver. Supermannnnnnnnnn !
D’où t’arrives comme ça,
Supermannnnnnnnnn ?
– Laisse-moi t’expliquer
mon amour, c’est que j’ai eu une réunion d’affaire.
– Une réunion d’affaire
qui s’est terminée à 7 h. Supermannnnnnnnnnn !
– Voyons mon amour,
laisse-moi t’expliquer, nous avons décroché un nouveau client et sommes allés au
restaurant avec lui…
– Un souper ! Un souper
qui s’est terminé à 7 h. Supermannnnnnnnnnn !
– Voyons mon amour,
laisse-moi t’expliquer 2 minutes. Après le souper d’affaire, notre client
voulait aller dans une discothèque.
– Une discothèque ! Une discothèque
jusqu’à 7 h ? Supermannnnnnnnnnn !
– Voyons ma chérie,
laisse-moi t’expliquer 2 minutes… Après il a voulu aller au club de danseuses,
mais je te JURE que je n’ai pas regardé. J’ai passé le reste de la soirée à
regarder ma montre, je te JURE que je n’ai rien vu. J’étais assez mal d’être là.
– Club de danseuses ?
Club de danseuses pis tu n’as pas regardé. SUPERMANNNNNNNNNNNN !!!!!!
– Voyons mon cœur,
laisse-moi t’expliquer. Et pourquoi m’appelles-tu Supermannnnn ?
– Y a juste
SUPERMANNNNNNNNNNN qui met son slip par-dessus son pantalon… »
Et puis les « petites-toutes-neuves » du moment :
Jean-Marc pressé ce jour-là entre dans un hôtel
et se dirige tout droit vers la réception, à toute vitesse, sans faire
attention.
Il heurte une femme près de lui et son coude s’enfonce voluptueusement
dans le sein de la dame.
Et les voilà tous deux très embarrassés.
C’est qu’on est en pleine affaire du hashtag #metoo
et de sa marée de dégueulasseries qui dégoulinent de partout à agresser « nos
bien-aimées femmes », sujets de toutes nos intentions premières de
kouillus bien-nés pour leur seul bonheur.
Jean-Marc, poli et bien élevé par sa « môman », se tourne vers
elle et lui dit sur un ton le plus aimable possible :
« – Madame, si votre cœur est
aussi tendre que votre sein, je sais que vous me pardonnerez !
– Seulement si votre pénis
est aussi dur que votre coude. Dans ce cas, je suis dans la chambre 112 ! »
Jean-Marc se présente au confessionnal.
« – Mon père, une chose
terrible m’arrive et je dois en parler.
– Que ce passe-t-il mon
fils ?
– Ma femme tente de
m’empoisonner. »
Surpris, le prêtre lui demande s’il ne se trompe pas, mais Jean-Marc lui
dit en être convaincu et lui demande ce qu’il doit faire.
Le curé lui dit alors qu’il parlera à sa femme en essayant de trouver une
solution.
Une semaine plus tard le prêtre téléphone à Jean-Marc et lui dit :
« – J’ai parlé avec votre
épouse. Nous avons eu une conversation de 3 heures au téléphone. Vous voulez
mon avis ?
– Oui », répond anxieusement Jean-Marc.
« – Prenez le poison. »
Au moment où le train démarre, un homme se penche à la fenêtre et salue un
copain resté sur le quai en criant :
« Salut, Georges ! Et merci
pour ce superbe week-end. Ta femme est vraiment une sacrée baiseuse ! »
Jean-Marc reste étonné.
« – Excusez-moi », lui
demande-t-il. « J’ai du mal à y
croire. Vous avez réellement dit à cet homme que sa femme était une sacrée
baiseuse ?
– Oui, j’ai dit ça, mais
en fait, ce n’est pas vrai du tout. C’était juste pour ne pas lui faire de
peine. »
Et on finit par un mot d’auteur, juste pour mieux en rire :
« Je prends du viagra seulement
lorsque je suis avec deux femmes. »
Jack Nicholson, le comédien (Vol au-dessus d’un nid de coucous, Shining et
tant d’autres somptuosités du 7ème art).
Bon week-end à toutes et à tous !
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