Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 15 septembre 2025

Vous n’étiez peut-être pas né(e)s…

À la recherche du Titanic…
 
La découverte du Titanic le 1er septembre 1985 fut saluée comme une victoire technologique et historique, souvenez-vous en.
Mais je viens d’apprendre que, dans l’ombre, l’expédition répondait surtout à une mission classée confidentielle de la marine américaine, mêlant nucléaire, sécurité et stratégie militaire.
Ce jour-là, des images tremblantes surgissent sur les écrans de contrôle : Une chaudière rouillée, des plaques de métal éparpillées, des objets émergeant de l’obscurité abyssale : L’équipe de Robert Ballard vient de mettre la main sur l’un des trésors les plus mythiques de l’histoire maritime, l'épave du Titanic, disparue depuis plus de 70 ans au fond de l’Atlantique.
Le monde entier retenait alors son souffle.
Mais personne ne savait alors que cette découverte spectaculaire n’était jamais qu’un… bonus.
Car derrière le récit officiel se cache une histoire bien plus secrète, une mission de la marine américaine qui n’a été révélée que des décennies plus tard.
Et que je viens de découvrir cet été…
 
En réalité, tout commence en 1982. Robert Ballard, océanographe et ancien officier de l’US Navy, rêve de retrouver le Titanic depuis des années. Pour cela, il a besoin de financements considérables et d’une technologie révolutionnaire : Un robot téléopéré, baptisé Argo, capable de descendre dans les abysses pour cartographier les fonds marins.
Ballard se tourne alors vers un allié inattendu : La marine « ricaine ».
À cette époque-là (je me répète, vous n’étiez peut-être pas né(e)s, le Mur de Berlin n’était pas tombé et restait étanche, la guerre froide battait son plein.
Et la Navy avait d’autres préoccupations : Deux sous-marins nucléaires « ricains » avaient sombré mystérieusement : L’USS Thresher en 1963 et l’USS Scorpion en 1968 !
Leurs carcasses reposent quelque part au fond de l’Atlantique, avec leurs réacteurs nucléaires et leurs secrets technologiques. Et pour Washington, il est vital de s’assurer que ces épaves ne tombent pas entre de mauvaises mains, surtout soviétiques.
L’accord est alors simple : Si Ballard veut du soutien, il doit d’abord retrouver les sous-marins perdus et évaluer leur état. S’il réussit, alors seulement, on lui laissera quelques jours pour se lancer à la recherche du Titanic.
Ballard accepte.
 
L’opération doit rester confidentielle. Officiellement, l’expédition de 1985 a pour seul objectif le paquebot légendaire. En réalité, les premiers mois sont consacrés à une mission à haut risque : Plonger sur les épaves militaires, documenter leur état, vérifier les réacteurs, et surtout s’assurer qu’aucune technologie sensible ne puisse être récupérée.
En suivant la traînée de débris laissée par les submersibles en sombrant, l’Argo parvient à filmer les restes de l’USS Thresher, puis ceux de l’USS Scorpion. Mission accomplie.
Mais le temps presse : Il ne reste que douze jours pour tenter l’impossible et trouver le Titanic dans l’immensité de l’Atlantique Nord.
Ballard décide alors d’utiliser la même méthode que pour les sous-marins : Suivre la piste des débris !
Une intuition payante. Dans la nuit du 1er septembre, la caméra de l’Argo tombe sur des morceaux de la coque, puis une chaudière massive. Les chercheurs comprennent immédiatement : Ils ont réussi !
Le Titanic est enfin retrouvé.
 
Ce que le monde retiendra, ce sont ces images bouleversantes de l’épave, symbole d’un rêve brisé et d’une prouesse technologique.
Ce que l’on ignorera pendant plus de 20 ans, c’est que cette découverte historique a été rendue possible par une mission militaire secrète, menée au cœur de la guerre froide.
Ainsi, derrière la légende romantique du Titanic se cache une histoire d’espionnage, de nucléaire et de guerre froide, où la science et la stratégie ont discrètement fait cause commune pour écrire une des pages les plus fascinantes de l’exploration sous-marine.
Ce qui me rappelle une autre histoire organisée par la CIA sous la couverture de l’homme le plus riche du moment, le légendaire Howard Hugues…
 
Au début des années 1970, il participa au projet Jennifer consistant à récupérer le sous-marin soviétique K-129, ayant sombré dans l’océan Pacifique en 1968. Sous couvert de prospection minière, il affréta un bateau, le Glomar Explorer officiellement destiné à prospecter les nodules polymétalliques que déjà les « proto-écolologistes » du moment s’indignaient – sans grand succès – qu’on puisse exploiter les ressources de la planète…
En réalité, le bâtiment devait hisser le sous-marin échoué à 5.000 mètres de profondeur.
Le Glomar Explorer était un navire conçu spécialement pour cette opération et mis en œuvre par les entreprises du milliardaire Howard Hughes, devait hisser l'épave depuis les fonds marins pour en récupérer, au profit des États-Unis, des données et des technologies soviétiques. Ce fut l’une des opérations les plus complexes et secrètes menées durant la guerre froide.
 
Pour rappel, le 1er mars 1968, le sous-marin soviétique K-129 (numéro de coque 722), un sous-marin lanceur d’engins à propulsion classique de classe Golf II armé de trois missiles balistiques à tête nucléaire R-13 (SS-N-4 Sark), quitte le port de Petropavlovsk dans la péninsule du Kamtchatka pour une patrouille classique de dissuasion nucléaire dans l’océan Pacifique.
Au cours du mois de mars, il sombre avec tout son équipage.
La cause du naufrage, selon un document de la CIA est restée inconnue.
La marine soviétique effectue d’intenses recherches pendant deux mois, sans résultat.
 
D’une manière qui reste encore aujourd’hui classée confidentielle, le gouvernement américain apprend la perte du K-129 et parvient à le localiser à 2.500 km au Nord-ouest d’Hawaï.
Mais vraisemblablement, les choses se sont passées de la façon suivante : Le sous-marin USS Barb (SSN-596) repère plusieurs sous-marins soviétiques qui recherchent un des leurs. Le Barb et d’autres navires américains surveillent l’opération. Il semble que les Soviétiques ignorent la localisation de leur sous-marin.
Le bureau « opérations navales » du département de la Navy des USA, commandé par le capitaine James F. Bradley Jr., qui gère en fait le renseignement sous-marin, analyse les archives des écoutes de transmissions électroniques et trouve qu’un sous-marin de classe Golf II a appareillé le 24 février 1968 mais qu’arrivé à mi-parcours, il n’a plus émis de messages.
Les enregistrements du réseau « ricain » d’hydrophones SOSUS permettent de localiser approximativement les lieux du naufrage.
L’USS Halibut est ensuite sollicité : Le Halibut a été spécialement modifié pour trouver clandestinement des objets à grande profondeur, et avait jusque-là mené deux campagnes infructueuses à la recherche de missiles d’essais soviétiques.
Lors d’une mission qui dure du 15 juillet au 9 septembre 1968, le Halibut parvient à localiser l’épave du K-129 et à en prendre 22.000 clichés photographiques.
 
À partir des derniers mois de l’année 1968, des experts techniques de la CIA et du département de la Défense des États-Unis étudient la faisabilité de récupérer des parties du K-129.
C’est alors que l’homme d’affaires prolifique, Howard Hughes est secrètement contacté par le gouvernement américain pour construire un énorme bateau qui serait utilisé pour extraire le sous-marin soviétique. Ainsi le 4 novembre 1972, le Glomar Explorer (ou HGE pour Hughes Glomar Explorer), navire de 63.000 tonnes, est lancé.
Ce navire est doté d'une immense pince mécanique conçue pour atteindre le fond océanique et tirer vers le haut le sous-marin qui est à 5.000 mètres de fond. Il est équipé d’un moonpool géant adapté aux dimensions du K-129 pour les besoins de sa mission.
Le navire est également accompagné d’une grande barge submersible également construite spécialement pour cette mission. Nommée la Hughes Mining Barge ou HMB-1, elle doit accueillir l’épave récupérée.
La mission pourrait être ainsi entièrement menée sous la surface donc hors de vue d’autres bateaux, avions, ou satellites espions.
Le Glomar Explorer et le HMB-1 arrivent le 4 juillet 1974 sur la zone du naufrage et mènent les opérations de récupération pendant plus d’un mois.
Pendant l’étape finale de l’opération, le 8 août, une partie de la pince casse, ce qui entraîne la rupture en deux de l’épave, dont la plus grande partie retombe au fond de l’océan.
Seul un morceau de la partie avant du sous-marin soviétique est récupérée : La section repêchée ne contient ni les missiles atomiques, ni les livres de codes qui auraient été d’une valeur inestimable pour la Central Intelligence Agency.
Selon quelques sources, deux torpilles nucléaires, du matériel de cryptographie et divers documents de renseignement militaire se trouvaient dans la partie récupérée. Et corps de six membres d’équipage ont été remontés pour être sitôt immergés en mer au cours d’une cérémonie funéraires respectueuse des rituels marins.
 
Comme quoi, la science avance souvent grâce aux militaires !
Mais ça, on le savait depuis toujours…

Bon retour de week-end à toutes et à tous !

I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire