Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 26 septembre 2025

Jean-Marc prévient…

En rentrant du boulot,
 
Il s’adresse à Germaine :
« — Ce soir, je me couche tôt !
— Ah bon ? Et pourquoi ?
— Demain je dois commencer à m’énerver de bonne heure… »
 
Le lendemain, en consultation chez le médecin du travail, le praticien, à la vue de son taux de gamma GT dans le sang…
« — Vous buvez quoi ? Whisky, vodka, martini ?
— Il ne faut rien ouvrir pour moi, Docteur. Je me contenterai de la même chose que vous… »
 
Plus tard, Jean-Paul lui fait remarquer qu’au restaurant, il y a comme ça toujours un moment délicat…
« — Lequel ?
— Celui où on te fait goûter le vin qui va être servi à table…
— Ah bon ?
— Oui ! Tu es obligé de « faire genre », alors que ta seule compétence c’est finalement ton alcoolisme… »
 
Germaine demande à brûle-pourpoint à Marie-Chantal, en leur salon de thé, devant quelques mignardises :
« — Tu es plutôt pilule ou capote avec tes conquêtes ?
— Pilule voyons ! C’est plus facile à avaler ! »
 
Jean-Marc lâche un texto :
« Ma femme est absente la semaine prochaine… On peut se voir ? »
Réponse :
« D’abord ce n’est pas la semaine prochaine mais la suivante… »
« Comment tu sais ça ? Elle te l’a dit ? »
« Non ! Tu t’es trompé de numéro ! »
 
Lu pour vous l’annonce suivante de Jean-Paul :
« Pantouflard, cherche charentaise pour prendre son pied ! »
 
Jean-Marc fait un aveu à Jean-Paul :
« — Parfois, je dis à ma femme : ‘‘Ce soir je vais te faire l’amour pendant des heures’’.
— Et elle te croit ?
— Pas du tout, mais c’est important de la faire rire…
— Femme qui rit à moitié dans ton lit, c’est ça ? »
 
Un aveu de Germaine à Marie-Chantal :
« — Parfois je rêve d’un homme, d’un vrai !
Un qui sort de table, tape du poing dessus et dit ‘‘Germaine, remplit l’évier d’eau chaude, je vais faire la vaisselle’’…
— Quoi ? Tu n’as pas de lave-vaisselle ? »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
«  Tu te rends compte, dans certains pays peuvent être mariés à plusieurs femmes…
— Oui… Heureusement que la loi française protège les hommes ! »
 
Les deux mêmes, un autre soir, attablés devant une bière :
« — J’ai le vague anal !
— C’est quoi ça ? Tu veux dire le vague à l’âme.
— Oui, c’est comme ça, sauf que là j’en ai plein le kul ! »
 
Un autre soir :
« — Dis donc, toi le sportif, tu connais la différence entre un pilier de bar et un pilier de rugby ?
— La différence ? Non, je ne vois pas…
— C’est la forme du ballon !
— … ! »
 
« — Et tu sais la différence entre un bucheron et un buceron ?
— … Non… Je ne vois pas !
— Le buceron c’est un bucheron sans sa hache !
— Oh punaise ! Tu as dû en scier pour la trouver, celle-là ! »
 
« — En attendant, je suis en plein Burn janvier…
— C’est quoi encore, ça le « Burn-Gens-vier » ?
— Bé c’est comme le « Burn août », mais un peu en avance…
— … Ah ! On a saison de dire qu’il n’y a plus de saison depuis qu’ils ont envoyé leur spoutnik ! »
 
Marie-Chantal faisant face à la maréchaussée :
« — Comment ça, un feu-rouge, c’est 4 points ?
Vous donnez des points comme à l’école, maintenant ?…
— Oui et au bout de 12 points, vous gagnez un vélo, madame ! »
 
Jean-Marc, un autre soir, devant une autre bière, dans le même bar sur le chemin du retour de boulot, à Jean-Paul.
« — Tu sais ce que c’est un castrat, toi ?
— Oui… Un chanteur un peu spécial… non ?
— Et il a quoi de spécial ?
— C’est un chanteur « hors pair » !
— C’est ça…
— Bé pourquoi tu me demandes si tu savais ?
Tu me fous les boules, parfois avec tes questions stupides… »
 
C’est l’histoire de cette vieille dame qui se promène dans la rue avec son chien…
Jean-Marc la voit approchée par un voyou qui lui arrache son sac…
N’entendant que son courage, Jean-Marc se met à poursuivre le voleur mais la vielle dame le retient…
« Ce n’est pas grave ! Laissez tomber : C’est juste le sac qui me sert à ramasser les crottes de mon chien et que je jette en rentrant à la maison… »
 
Germaine, un peu jalouse, à Jean-Marc :
« — Tu as vu notre nouveau voisin…
— Oui… enfin à peine, je l’ai croisé hier soir…
— Tu devrais le voir le matin !
— Et pourquoi ça ?
— Parce que lui, tous les matins en partant travailler, il embrasse sa femme jusque sur le trottoir…
— Oui… bon et alors ?
— Eh bien tu pourrais en faire autant !
— Je veux bien, mais je ne connais pas encore bien sa femme ! »
 
« — À propos, Germaine…
— Quoi donc Jean-Marc ?
— Je te préviens que j’ai installé sur l’ordinateur une nouvelle application sur le modèle du contrôle parentale pour les achats en ligne…
— …
— C’est un peu comme le contrôle marital en somme !
— … »
 
Plus tard, les mêmes :
Germaine : « Qu’est-ce qu’elle a de plus que moi, ta nouvelle console ? »
Jean-Marc : « Un interrupteur ! » 
 
Jean-Paul, un matin, devant une bière, au comptoir avec Jean-Marc :
« — Tu te rends compte…
— De quoi ?
— Je suis né sans le vouloir…
— Comme tout le monde.
— Je vais mourir sans le demander…
— … comme tout le monde !
— Alors qu’on me laisse vivre sans me faire chier ! »
 
Jean-Paul raconte, un matin, devant une bière servie au comptoir du bar situé à proximité de ses ateliers :
« — Un jour, j’avais demandé sa main à son père. Tu sais ce qu’il m’a répondu ?
— … Non, je n’y étais pas !
— Que je devais continuer à utiliser la mienne ! »
 
Avec Jean-Marc :
«  Alors elle est bien cette nouvelle série télé ?
— Oui tu adorerais ! Dommage que tu sois occupée à la vaisselle… »
 
Conversation moderne (par texto) :
« Salut ! C’est Jean-Paul… »
« ??? »
« Tu te souviens de moi ? »
« ??? »
« Jean-Paul le type un peu dodu, pas très grand et un peu chauve à qui tu as donné ton numéro de portable hier soir… »
« ??? »
« Je t’ai même raccompagné avec ma Porsche… »
« Ah oui ! Salut chéri ! »
 
« Maman !
Quoi ?
À quel âge puis-je sortir et revenir quand je veux ?
Quel âge ? Mais même ton père ne l’a pas encore atteint ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant leur bière post-méridienne :
« — Tu sais, certains couples restent ensemble parce qu’ils ont des crédits sur la maison, sur la voiture, sur le sèche-linge et la télé à rembourser…
— Oui je sais ! Même qu’on appelle ça ‘‘l’amour est dans le prêt’’ ! »
 
Germaine se mirant devant un miroir, à Jean-Marc :
« — 50 ans de crème anti-rides… Tu devrais essayer…
— Euh, quand je te regarde… J’hésite ! »
 
Jean-Paul, furieux de péter de froid, devant sa bière fraîche :
« — Punaise de crotte de bique faisandée !
— Quoi ?
— Quoi ? Mais la température a baissé de plus de 15° en une semaine et je me les gèle sur mon scooter !
— Tu devrais être content !
— Et pourquoi ça, s’il te plait ?
— Et féliciter les écologistes pour ces résultats concrets et rapides dans leur lutte contre le réchauffement climatique !
— … Dukonno, va ! »
 
Germaine à Jean-Marc :
« — Si je te disais que je suis enceinte, tu aimerais que ce soit quoi ?
— Une blague ! »
 
Les mêmes :
« — Mais punaise de caca-boudin !
Tu me demandes d’être galant avec ta mère… Qu’est-ce que tu as à râler parce que je lui ouvre la portière ?
— C’est bien, Jean-Marc ! Ne te fâche pas… J’aimerai que ce ne soit pas sur l’autoroute à 130 km/heure… T’étais pas obligé d’en faire autant ! »
 
Dans le hall de l’immeuble de Jean-Marc, une affichette :
« Votre chien hurle à la mort quand il est seul… ».
Avertissement qui reçoit la réponse suivante.
« Ta femme aussi quand tu n’es pas là… »
 
Jean-Paul drague :
« — Tu as eu beaucoup d’hommes avant de me rencontrer ?
— Cinq… Avec toi ça fera six !
— Ce n’est pas beaucoup pour une femme de ta classe…
— C’est vrai que ça aura été une semaine plutôt calme ! »

« Si votre couette fait de l’électricité statique…
N’allez pas en conclure que vous faites des étincelles au lit ! »
 
« On n’apprécie jamais autant ce qu’on a jusqu’à ce que justement on ne l’ait plus !
Le papier toilette en est un bon exemple… »
 
Jean-Paul, un soir devant une bière avec Jean-Marc
« — Il y a un truc qui me dépasse…
— Quoi donc ?
Sucer un sein est un instinct de survie que les hommes apprennent dès la naissance.
— Oui, c’est inné…
— On est d’accord. Mais alors comment les femmes ont appris à sucer un pénis ?
Ça me dépasse vraiment, là !
— … »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire