Fournie par ma petite sœur la semaine
dernière !
C’est Mathilde Panot qui rencontre en secret Sarah Knafo.
Elle lui demande : « Comment avez-vous fait pour vous entourer de gens intelligents ? »
Sarah Knafo lui répond : « C’est très simple. Je les tiens constamment en alerte. Je leur fais passer régulièrement des petits tests, pour être bien sûr que leur intelligence reste vive ».
Mathilde Panot est stupéfaite : « Ah oui ? Comment faites-vous cela ? »
Sarah Knafo s’empare alors de son téléphone et dit à Mathilde Panot : « C’est très simple, je vais appeler Éric Zemmour ».
« — Bonjour Éric !
— Bonjour Sarah !
— Éric, j'ai un petit test d’intelligence pour toi : « C’est l’enfant de ta mère et de ton père, mais ce n’est ni ton frère, ni ta sœur. Qui est-ce ? » »
Éric répond : « C’est moi ! »
Sarah lui dit : « Bravo, c’est juste ! Merci Éric, à ce soir »
Elle raccroche.
Mathilde Panot est très impressionnée.
De retour à son domicile, elle décide de mettre en pratique la technique de Sarah Knafo.
Elle téléphone à Sébastien Delogu : « Bonjour Sébastien, c’est Mathilde ! J’ai un petit test d’intelligence pour toi. »
Sébastien Delogu : « OK. Vas-y ! »
Mathilde Panot : « C’est l’enfant de ton père et de ta mère, mais ce n’est ni ton frère, ni ta sœur. Qui est-ce ? »
Sébastien Delogu : « Oh ! Attends un petit peu. Je n’étais pas préparé à cette question. Je note. Laisse-moi quelques minutes pour réfléchir. Je te rappelle. D’accord ? »
Mathilde Panot : « Pas de problème ! »
Sébastien Delogu s’empresse alors d’appeler Jean-Luc Mélenchon : « Bonjour Jean-Luc, c’est Sébastien. Je ne sais pas ce qui lui prend, mais Mathilde Panot vient de me faire passer un test. Veux-tu bien m’aider ? »
Mélenchon : « Pas de problème, énonce-moi la question. »
Delogu : « C’est l’enfant de ton père et de ta mère, mais ce n’est ni ton frère, ni ta sœur. Qui est-ce ? »
Mélenchon : « C’est moi… »
Delogu : « Aaah, ok, merci Jean-Luc ! »
Puis il s’empresse de rappeler Mathilde Panot : « Mathilde, tu peux me reposer ton énigme ? »
Mathilde Panot : « Ok. C’est l’enfant de ton père et de ta mère, mais ce n’est ni ton frère, ni ta sœur. Qui est-ce ? »
Delogu : « C’est Jean-Luc Mélenchon ! »
Mathilde Panot : « Perdu ! C’est Zemmour… »
C’est une très vieille « revenue ». L’originale, c’était Bill Clinton qui s’étonnait auprès de la Reine Elisabeth d’Angleterre de l’intelligence de son premier ministre du moment et qui « piégeait » Bush-fiston (ou l’inverse, je ne me souviens plus).
Elle aura été reprise ensuite avec « Bling-bling » et la même souveraine qui tentait de piéger « Fifi-le-souteneur » (qui ne l’était pas encore, souteneur, mais déjà en marche…)
Dialogue entre Jean-Marc et Jean-Paul :
« — Dis donc, tu aimes le ski ou pas ?
— Ça dépend. Parfois oui, parfois non…
— Et qu’est-ce qui fait que parfois tu l’aimes et parfois pas ?
— Seulement quand il y a « oui » devant… Le « oui-ski », quoi ! »
Plus tard les mêmes :
« — Moi, mon médecin m’a conseillé de boire au minimum un litre et demi d’eau par jour…
— Oh punaise de gourgandine ! Ça te fait combien de pastis,
ça ?
— Je ne sais pas… Je n’arrive jamais à les compter… »
Dans une prison du pays, deux criminels papotent :
« — Et toi, tu as fait quoi pour te retrouver ici !
— J’ai enc… un poussin !
— Oh, eh arrête… C’est dégueulasse, mais on ne va pas en prison pour ça !
— Si… En fait je suis l’entraineur de l’équipe de foot ! »
Marie-Chantal à Marie-Madeleine, devant un thé, en attendant Germaine :
« — Tu en fais une tête, ma belle, aujourd’hui… Qu’est-ce qui se passe ?
— Je suis rentrée du boulot. Mon mec avait congé. La maison
était rangée. Il avait repassé le linge propre. Il avait lavé la vaisselle et
réparé la porte de l’armoire… voilà ce qu’il y a !
— Bé je ne comprends pas pourquoi tu es comme ça… Tu devrais être contente d’avoir autant de chance que ça !
— Tu rigoles ? Je n’arrive pas à trouver une raison pour lui casser les couilles aujourd’hui ! »
Les deux mêmes, toujours en attente de Germaine qui est en retard :
« — Dis donc, tu as les mains drôlement douce… Tu utilises quoi comme lotion hydratante ?
— Non, j’utilise Alex pour faire la vaisselle…
— Et où peut-on trouver ce produit… Je ne connais pas ?
— Non, non ! Alex, c’est mon mari… »
Une autre « revenue »…
C’est la rentrée des classes et la petite Marie-Clothilde raconte à sa mère qu’elle a eu sa première leçon :
« — Et comment ça s’est passé, cette première leçon ?
— La maitresse a demandé tout le monde d’où il venait. Jean-Paul
a dit que son papa l’avait acheté à l’orphelinat.
Marie-Aline que ses parents l’ont achetée à l’étranger…
Marie-Christine a été acheté dans un laboratoire.
Jean-Étienne a dit que ses papas ont acheté le ventre d’une dame.
— Et toi, qu’as-tu dit » demande la mère ?
« — Moi, je n’ai rien dit…
— Et pourquoi ?
— Je n’ai pas osé avouer que mes parents sont tellement pauvres qu’ils ont dû me faire eux-mêmes ! »
Jean-Marc à Germaine :
« — Ça te dirait que ce soir on regarde un film sur l’ordinateur après
s’être acheté un plat tout préparé au supermarché ?
— Un dîner Auchan-Dell, quoi ? »
Les mêmes dans leur cuisine :
« — Chérie, comment as-tu-fait pour ramener toutes ces saucisses alors que tu n’avais même pas un sac à provision ?
— Il y a des choses qu’il vaut mieux ne pas savoir… »
Marie-Chantal est tout excitée, à Germaine…
« — J’ai rencontré un mec, extra…
— Ah oui ? Je le connais ?
— Je ne sais pas mais je crois que c’est du sérieux…
— Ah bon ?
— Il ne veut pas qu’on aille trop vite.
— Ah…
— Pour le moment, il ne m’adresse pas la parole…
— … »
Les mêmes, plus tard après leur premier thé.
« — Tu vas faire quoi cette après-midi ?
— Je t’emmène : On va s’acheter des lunettes !
— Ok… mais après ?
— Après, on verra bien ! »
Germaine avoue à sa copine Marie-Chantal :
« — Ce matin, j’ai sorti mon short pour faire du sport…
— Bonne idée… Tu vas courir ?
— Je ne sais pas : J’ai trouvé des francs dans une poche ! »
Question existentielle de Marie-Madeleine à Marie-Chantal :
« — Mon dieu, pourquoi se la péter avec des fringues hors de prix alors que nos meilleurs moments se passent à poil ?
— … »
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Tu savais que le « je m’en ventouse la foufounette » c’est le nouvel équivalent féminin du « je m’en bats les kouilles ? »
— Ah ? »
Les mêmes :
« Quand je pense que les fascistes et autres réactionnaires style suppôts de Trump ou Poutine assure que la place des femmes ça reste dans la cuisine…
Je me dis qu’ils ne savent certainement pas quoi en faire
dans un lit ! »
Jean-Henri à Jean-Marc, à la machine à café :
« Tu sais, il y en a qui prennent des jets-privés… Moi je prends des Get 27 !
Tu vois, les vrais écolos, ça se met au vert ! »
Jean-Paul drague :
« — Sinon, t’es une coquine toi ?
— Pas vraiment…
— T’as déjà fait quoi de chaud ?
— Un café… »
Germaine à Jean-Marc :
« — Chéri, devine ce que j’ai cuisiné pour le dîner ce soir ?
— Je n’arrive déjà pas à deviner une fois que c’est servi,
alors avant, encore moins… »
Remarque de bon sens de Jean-Paul :
« — C’est quand même kon…
— Quoi donc ?
— L’électricité a augmenté de 72 % en 5 ans, et c’est à ce moment-là qu’ils te disent d’acheter une voiture électrique… »
Le même à Jean-Marc :
« — Tu as un accent bizarre…
— Ah ? Depuis quand ?
— Tu viens d’où au juste ?
— Du bar ! »
Jean-Marc à Jean-Paul devant une énième bière, en fin d’après-midi :
« — Tu sais, ce qui serait bien, c’est que quand je serai mort, il
faudra m’enterrer dans une vigne…
— Ah bon ? Et pourquoi ?
— Pour rendre à la terre tout ce que j’ai bu…
— Dans ce cas, ce serait mieux que tu reposes dans un champ de houblon… »
C’est un nourrisson qui fait le bonheur de sa mère :
« Et dire que j’ai failli t’avaler !!! »
Germaine à Jean-Marc :
« — Mon chien est mort… Je suis triste à en pleurer…
Elle lui demande : « Comment avez-vous fait pour vous entourer de gens intelligents ? »
Sarah Knafo lui répond : « C’est très simple. Je les tiens constamment en alerte. Je leur fais passer régulièrement des petits tests, pour être bien sûr que leur intelligence reste vive ».
Mathilde Panot est stupéfaite : « Ah oui ? Comment faites-vous cela ? »
Sarah Knafo s’empare alors de son téléphone et dit à Mathilde Panot : « C’est très simple, je vais appeler Éric Zemmour ».
« — Bonjour Éric !
— Éric, j'ai un petit test d’intelligence pour toi : « C’est l’enfant de ta mère et de ton père, mais ce n’est ni ton frère, ni ta sœur. Qui est-ce ? » »
Sarah lui dit : « Bravo, c’est juste ! Merci Éric, à ce soir »
Elle raccroche.
Mathilde Panot est très impressionnée.
De retour à son domicile, elle décide de mettre en pratique la technique de Sarah Knafo.
Elle téléphone à Sébastien Delogu : « Bonjour Sébastien, c’est Mathilde ! J’ai un petit test d’intelligence pour toi. »
Sébastien Delogu : « OK. Vas-y ! »
Mathilde Panot : « C’est l’enfant de ton père et de ta mère, mais ce n’est ni ton frère, ni ta sœur. Qui est-ce ? »
Sébastien Delogu : « Oh ! Attends un petit peu. Je n’étais pas préparé à cette question. Je note. Laisse-moi quelques minutes pour réfléchir. Je te rappelle. D’accord ? »
Mathilde Panot : « Pas de problème ! »
Sébastien Delogu s’empresse alors d’appeler Jean-Luc Mélenchon : « Bonjour Jean-Luc, c’est Sébastien. Je ne sais pas ce qui lui prend, mais Mathilde Panot vient de me faire passer un test. Veux-tu bien m’aider ? »
Mélenchon : « Pas de problème, énonce-moi la question. »
Delogu : « C’est l’enfant de ton père et de ta mère, mais ce n’est ni ton frère, ni ta sœur. Qui est-ce ? »
Mélenchon : « C’est moi… »
Delogu : « Aaah, ok, merci Jean-Luc ! »
Puis il s’empresse de rappeler Mathilde Panot : « Mathilde, tu peux me reposer ton énigme ? »
Mathilde Panot : « Ok. C’est l’enfant de ton père et de ta mère, mais ce n’est ni ton frère, ni ta sœur. Qui est-ce ? »
Delogu : « C’est Jean-Luc Mélenchon ! »
Mathilde Panot : « Perdu ! C’est Zemmour… »
C’est une très vieille « revenue ». L’originale, c’était Bill Clinton qui s’étonnait auprès de la Reine Elisabeth d’Angleterre de l’intelligence de son premier ministre du moment et qui « piégeait » Bush-fiston (ou l’inverse, je ne me souviens plus).
Elle aura été reprise ensuite avec « Bling-bling » et la même souveraine qui tentait de piéger « Fifi-le-souteneur » (qui ne l’était pas encore, souteneur, mais déjà en marche…)
« — Dis donc, tu aimes le ski ou pas ?
— Et qu’est-ce qui fait que parfois tu l’aimes et parfois pas ?
— Seulement quand il y a « oui » devant… Le « oui-ski », quoi ! »
« — Moi, mon médecin m’a conseillé de boire au minimum un litre et demi d’eau par jour…
— Je ne sais pas… Je n’arrive jamais à les compter… »
« — Et toi, tu as fait quoi pour te retrouver ici !
— Oh, eh arrête… C’est dégueulasse, mais on ne va pas en prison pour ça !
— Si… En fait je suis l’entraineur de l’équipe de foot ! »
« — Tu en fais une tête, ma belle, aujourd’hui… Qu’est-ce qui se passe ?
— Bé je ne comprends pas pourquoi tu es comme ça… Tu devrais être contente d’avoir autant de chance que ça !
— Tu rigoles ? Je n’arrive pas à trouver une raison pour lui casser les couilles aujourd’hui ! »
« — Dis donc, tu as les mains drôlement douce… Tu utilises quoi comme lotion hydratante ?
— Et où peut-on trouver ce produit… Je ne connais pas ?
— Non, non ! Alex, c’est mon mari… »
C’est la rentrée des classes et la petite Marie-Clothilde raconte à sa mère qu’elle a eu sa première leçon :
« — Et comment ça s’est passé, cette première leçon ?
Marie-Aline que ses parents l’ont achetée à l’étranger…
Marie-Christine a été acheté dans un laboratoire.
Jean-Étienne a dit que ses papas ont acheté le ventre d’une dame.
— Et toi, qu’as-tu dit » demande la mère ?
— Je n’ai pas osé avouer que mes parents sont tellement pauvres qu’ils ont dû me faire eux-mêmes ! »
« — Chérie, comment as-tu-fait pour ramener toutes ces saucisses alors que tu n’avais même pas un sac à provision ?
« — J’ai rencontré un mec, extra…
— Je ne sais pas mais je crois que c’est du sérieux…
— Ah bon ?
— Il ne veut pas qu’on aille trop vite.
— Ah…
— Pour le moment, il ne m’adresse pas la parole…
— … »
« — Tu vas faire quoi cette après-midi ?
— Ok… mais après ?
— Après, on verra bien ! »
« — Ce matin, j’ai sorti mon short pour faire du sport…
— Je ne sais pas : J’ai trouvé des francs dans une poche ! »
« — Mon dieu, pourquoi se la péter avec des fringues hors de prix alors que nos meilleurs moments se passent à poil ?
« — Tu savais que le « je m’en ventouse la foufounette » c’est le nouvel équivalent féminin du « je m’en bats les kouilles ? »
« Quand je pense que les fascistes et autres réactionnaires style suppôts de Trump ou Poutine assure que la place des femmes ça reste dans la cuisine…
« Tu sais, il y en a qui prennent des jets-privés… Moi je prends des Get 27 !
« — Sinon, t’es une coquine toi ?
— T’as déjà fait quoi de chaud ?
— Un café… »
« — Chéri, devine ce que j’ai cuisiné pour le dîner ce soir ?
« — C’est quand même kon…
— L’électricité a augmenté de 72 % en 5 ans, et c’est à ce moment-là qu’ils te disent d’acheter une voiture électrique… »
« — Tu as un accent bizarre…
— Tu viens d’où au juste ?
— Du bar ! »
— Pour rendre à la terre tout ce que j’ai bu…
— Dans ce cas, ce serait mieux que tu reposes dans un champ de houblon… »
« Et dire que j’ai failli t’avaler !!! »
« — Mon chien est mort… Je suis triste à en pleurer…
— Mais qu’est-ce que tu vas foutre de deux chiens morts ? »
« — Mon coiffeur a loupé ma coupe !
— Je vais lui mettre 5 étoiles sur gogol pour qu’il loupe tous les autres… »
Et bon week-end à toutes et à tous…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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