En pleine double page dans la presse locale…
On apprenait que vingt équipes criminelles, structurées en deux blocs,
tentaient d’imposer une « emprise de type mafieux » sur les secteurs
économiques les plus lucratifs de « l’île-de-Beauté ».
C’est ce que révèlerait une note confidentielle du Sirasco, le service de renseignement de la police judiciaire, dévoilée par Le Monde (cetorchon)
et consultée par l’AFP.
Un document qui décrit un banditisme organisé, connecté aux sphères politiques et en pleine recomposition, sur fond de vendettas et d’alliances mouvantes.
De quoi régaler mon « café matinal », sur le port, face la mer, un peu avant midi…
J’ai des habitudes de vieux kon et je n’y déroge pas quand je suis en estives !
C’est la direction nationale de la police judiciaire (DNPJ) qui tente de remettre
un peu le boxon dans les « affaires » insulaires en désignant du
doigt quelques citoyens infréquentables.
Une petite fiche « confidentielle », destinée à être rendue publique, rédigée en 2025 par le service information, renseignement et analyse stratégique sur la criminalité organisée (Sirasco) de la DNPJ qui précise que « la majorité » de ces 20 bandes criminelles « ont pénétré les secteurs politiques, sociaux et économiques de l’île, et cherchent à dominer les activités légales qui leur semblent les plus lucratives » : BTP, immobilier, restauration, hôtellerie, ou batellerie.
Comme si c’était un scoop !
Quoique la batellerie, elle bat de l’aile depuis des années et le « Cristal » de la Colombo Line est toujours à quai en quête de capitaine qui s’est réfugié à Toulon…
Ici, tout le monde est au courant depuis des lustres, on connaît les noms, les visages, les ambitions et les complicités…
D’autant que bon an mal an, tout le monde en croque, ou presque.
En tout cas quand on a « un peu d’importance » dans le paysage économique local et des « microrégions », il faudrait être né manchot pour ne pas être happé par les habitudes locales.
Si ces groupes sont « autonomes » on nous précise toutefois qu’ils
« ne fonctionnent pas pour autant de manière isolée »,
développant « des stratégies d’alliance autour d’intérêts communs qui
les conduisent à se rendre des services mutuels » pour « éviter
les conflits ouverts ». Logique puisque tout le monde connaît tout le
monde…
Le document pointe toutefois un « paysage instable depuis quelques mois » et les policiers l’expliquent par « une vaste recomposition bousculant les équilibres locaux et laissant craindre une escalade des tensions » dans l’île, où sept homicides dont six règlements de compte ont été commis depuis le début de l’année.
Traduction : Les flics commencent à patauger sévère…
Et puis 7, c’est largement moins que du temps des « natios » et surtout que des routes Corsi et ses virages qui effraient tant les Pinzuti…
Deux blocs majeurs sont identifiés, « ce qui pourrait constituer
les prémices d’un nouvel équilibrage », écrivent-ils, parce qu’ils n’en
savent rien.
D’un côté, la bande criminelle du « Petit Bar » d’Ajaccio, dont le noyau dur vient d’être condamné à Marseille à des peines de 10 à 13 ans de prison, « reste très influente, à la tête d’une manne financière conséquente ».
Elle « dispose de nombreuses connexions dans les milieux politiques et économiques et a développé des ramifications en France et à l’étranger ».
Admettons…
Il faut seulement savoir que le « Petit Bar » est considéré comme allié à des « mafionalistes », néologisme mêlant mafia et nationalistes, dont la tête serait Pierre Paoli en Corse-du-Sud.
Le chef présumé du mouvement clandestin FLNC UC (Front national de libération corse Union des combattants) pour la Corse-du-Sud et aujourd’hui cadre du parti indépendantiste Nazione, Pierre Paoli serait, selon le Sirasco, à la tête de « l’une des équipes les plus puissantes actuellement », cherchant « à dominer certains secteurs (BTP, restauration) par des méthodes illégales ».
Et après on s’étonne que les restaurateurs du coin et les « piti-commerçants » n’acceptent pas la carte bleue… Ce n’est pas que pour frauder le fisc, les Urssaf et la TVA, c’est aussi pour financer leurs « parrains » mafieux…
D’ailleurs c’est tout autant vrai en Haute-Corse.
Et ça m’énerve moâ qui n’est jamais un radis sur môa.
Pour ce qui est du BTP, ça a toujours été : Ils ne sont même pas capables d’étaler « du noir » (le surnom des revêtements des routes), qui tiennent plus de deux saisons. Logique : Ils facturent 3 centimètres quand il n’y en a que 2 et il n’y a pas une seule route, pas une seule chaussée, pas un seul trottoir sans fissure et nid de poule.
C’est simple, ça n’existe pas en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » : Il n’y a rien de droit, de plat, et ça veut concurrencer Saint-Tropez…
Ce premier bloc est également composé des équipes criminelles baptisées du
nom de leur chefs locaux présumés : Lucchini, Pantalacci, Carboni et Costa.
Quand je vous dis qu’on cite des noms, je ne rigole pas, mais j’en reste très surpris à l’occasion de mon café-matinal de midi.
L’ancien militant indépendantiste Alain Lucchini est ainsi présenté comme le « patron occulte de la chambre de commerce et d’industrie d’Ajaccio » mais reste « suffisamment discret pour ne pas être trop inquiété judiciairement ».
Originalité de ce premier bloc, Yassine Akhazzane, incarcéré avec une
vingtaine de condamnations à son casier, serait parvenu « à constituer
la première équipe du banditisme insulaire construite autour d’individus issus
de la communauté maghrébine et des gens du voyage ».
Son groupe, qui a étendu « son influence de Propriano à Ajaccio », « pourrait profiter des connexions de Yassine Akhazzane avec les milieux marseillais et niçois pour poursuivre son développement », « notamment la DZ Mafia ».
Comme si mes « cousins-mafieux » se laissaient envahir sans réagir : Eh, né Corsu, né so Fieru…, ils les mettent au pas et s’en servent comme de la main-d’œuvre docile et pas regardante !
Face à eux, dans l’autre alliance d’équipes criminelles, figurent justement
les clans Mattei, Luciani, Sisti, Germani et Codaccioni.
En Haute-Corse, le clan Mattei, bien connu depuis des décennies pour sa « vendetta historique » avec la famille Costa, est présenté comme « l’une des équipes les plus puissantes du moment », en particulier dans les stupéfiants.
Il faut dire que la farine circule sous le nez des gendarmes qu’ils en évitent ostensiblement les points de deal.
Toutefois cette note ne prend pas en compte le possible affaiblissement de la bande par une série d’arrestations de ses membres, fin juin, dans l’enquête sur l’assassinat, en janvier, de Camille Orsoni, considéré comme proche des Costa.
Autre allié de ce second bloc, la bande dite des « Africains »,
surnommés ainsi pour leur lien entre le Gabon et « l’Île de beauté »
(vous savez, les réseaux Pasqua, ses casinos, ses alcools frelatés, la Centre-Afrique
et la filière des exécuteurs du préfet Érignac, notamment du « grand-blond »
qu’on n’aura pas cherché longtemps, vu par la seule témoin directe de l’assassinat
du préfet de région), entoure l’homme d’affaires natif Michel Tomi.
Dirigée par Jean-Luc Codaccioni junior, dont le père a été tué dans le double assassinat de Bastia-Poretta en décembre 2017, cette bande « dispose d’une surface financière considérable qui lui permet de sous-traiter à des hommes de main l’exécution de contrats portant sur des projets criminels », précisent les flics.
Codaccioni junior poursuivrait « une vendetta » contre « l’alliance Guazzelli-Michelosi-Mariani » qui a été condamnée pour l’assassinat de son père.
« Les Africains » chercheraient aussi à « s’établir en
Balagne » (chez moâ), où une série d’incendies criminels a visé
récemment des bateaux de promenade en mer, avance cette note du renseignement.
C’est plus compliqué que ça…
Le gars qui aura promené « ma Nichée » et moâ-même jusqu’à la grotte de « veaux-marins » cet été, aura rapidement repris ses activités avec des bateaux ravaudés (on ne voit aucune trace d’incendie) et les caméras de surveillance ont parfaitement identifié les auteurs de cet attentat imbécile, d’autant qu’ils se seraient trompés de cible…
C’est du conditionnel, naturellement.
Et il y a eu aussi cet hiver des incendies de magasins, notamment des boulangeries du roitelet autoproclamé qui en met partout en Balagne et qui fait de l’ombre à quelques artisans établis depuis des générations…
Spiga de Jean-Charles Canioni comptent désormais 3 attentats et une tentative avortée pour une douzaine de magasins ouverts.
Attentat mafieux ? Pas certain.
Ce qui m’a frappé en lisant cette double-page, c’est que si on cite les noms
des « têtes d’affiche » du banditisme local, on ne dit rien des
intérêts politiques locaux qui les soutiennent, ni de la façon dont c’est le kon-tribuable
qui finance cette emprise mafieuse.
Ainsi, tout le monde sait que les marchés publics sont truqués, depuis l’assainissement de l’eau jusqu’à l’entretien de l’éclairage public et que naturellement, ce n’est jamais l’autorité politique, celle qui décide, d’ailleurs contrôlée par la préfectorale et par la Cour des comptes, qui sont inquiétées à devoir rendre des comptes.
Il ne paraît pas normal que les routes se fissurent faute d’une couche de goudron assez épaisse alors que les travaux sont contrôlés par les ingénieurs de la DDE locale.
Il n’est pas normal que la maréchaussée soit requise pour verbaliser le manque de conscience civique concernant le tri des déchets ménagers dont le ramassage est confié non plus par les maires mais par les présidents des communautés de communes à des entreprises locales qui n’ont pas la surface financière des leaders nationaux.
Non seulement on manque de bac, mais ça déborde et les personnels refusent de se baisser pour ramasser ces débords tel qu’il faille installer des caméras pour surveiller les points de ramassage et payer, dans les grosses copropriétés, des entreprises privées pour éviter l’invasion des rats : Les ordures, c’est payé deux fois, à travers la taxe foncière (et des ordures ménagères) mais en plus par les syndicats de copropriétés dès que ça concerne plusieurs bacs…
Reconnaissons aussi que je n’aimerai pas être premier magistrat d’une de
ces communes-là : Ce doit être un enfer tel que même le maire de Calvi se
promenait avec un gilet-pare-balle durant des années dans les rues de sa ville,
pas inquiet pour son matricule, lui qui fait partie de toutes les coteries
locales, franc-maçonne, Lyons, Rosicrucienne, ordre de Malte, Croix-Rouge,
Croix-Saint-Simon, chasseurs, Taste-andouille, fédérations sportives diverses
et j’en passe, pour assurer sa sécurité…
C’est qu’il en balance du pognon à tour de bras pour « aider » les racailles dont les familles survivent des marchandises qui « tombent du camion ».
Un monde d’impunité généralisée sous couvert de solidarité… clanique ou familiale… ou « politique » ou seulement soudée par la menace.
Une caricature de notre monde moderne !
Finalement, j’adore pour y vivre tranquillement mes estives « entre
les gouttes »…
(PS : D’ailleurs ce soir, en compensation sur TF3 à 21 heures, vous
aurez droit à de belles images du pays de mes ancêtres… de ce côté-là de mes ascendants :
Je reste un « sang-mêlé » depuis ma naissance !)
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
C’est ce que révèlerait une note confidentielle du Sirasco, le service de renseignement de la police judiciaire, dévoilée par Le Monde (ce
Un document qui décrit un banditisme organisé, connecté aux sphères politiques et en pleine recomposition, sur fond de vendettas et d’alliances mouvantes.
De quoi régaler mon « café matinal », sur le port, face la mer, un peu avant midi…
J’ai des habitudes de vieux kon et je n’y déroge pas quand je suis en estives !
Une petite fiche « confidentielle », destinée à être rendue publique, rédigée en 2025 par le service information, renseignement et analyse stratégique sur la criminalité organisée (Sirasco) de la DNPJ qui précise que « la majorité » de ces 20 bandes criminelles « ont pénétré les secteurs politiques, sociaux et économiques de l’île, et cherchent à dominer les activités légales qui leur semblent les plus lucratives » : BTP, immobilier, restauration, hôtellerie, ou batellerie.
Comme si c’était un scoop !
Quoique la batellerie, elle bat de l’aile depuis des années et le « Cristal » de la Colombo Line est toujours à quai en quête de capitaine qui s’est réfugié à Toulon…
Ici, tout le monde est au courant depuis des lustres, on connaît les noms, les visages, les ambitions et les complicités…
D’autant que bon an mal an, tout le monde en croque, ou presque.
En tout cas quand on a « un peu d’importance » dans le paysage économique local et des « microrégions », il faudrait être né manchot pour ne pas être happé par les habitudes locales.
Le document pointe toutefois un « paysage instable depuis quelques mois » et les policiers l’expliquent par « une vaste recomposition bousculant les équilibres locaux et laissant craindre une escalade des tensions » dans l’île, où sept homicides dont six règlements de compte ont été commis depuis le début de l’année.
Traduction : Les flics commencent à patauger sévère…
Et puis 7, c’est largement moins que du temps des « natios » et surtout que des routes Corsi et ses virages qui effraient tant les Pinzuti…
D’un côté, la bande criminelle du « Petit Bar » d’Ajaccio, dont le noyau dur vient d’être condamné à Marseille à des peines de 10 à 13 ans de prison, « reste très influente, à la tête d’une manne financière conséquente ».
Elle « dispose de nombreuses connexions dans les milieux politiques et économiques et a développé des ramifications en France et à l’étranger ».
Admettons…
Il faut seulement savoir que le « Petit Bar » est considéré comme allié à des « mafionalistes », néologisme mêlant mafia et nationalistes, dont la tête serait Pierre Paoli en Corse-du-Sud.
Le chef présumé du mouvement clandestin FLNC UC (Front national de libération corse Union des combattants) pour la Corse-du-Sud et aujourd’hui cadre du parti indépendantiste Nazione, Pierre Paoli serait, selon le Sirasco, à la tête de « l’une des équipes les plus puissantes actuellement », cherchant « à dominer certains secteurs (BTP, restauration) par des méthodes illégales ».
Et après on s’étonne que les restaurateurs du coin et les « piti-commerçants » n’acceptent pas la carte bleue… Ce n’est pas que pour frauder le fisc, les Urssaf et la TVA, c’est aussi pour financer leurs « parrains » mafieux…
D’ailleurs c’est tout autant vrai en Haute-Corse.
Et ça m’énerve moâ qui n’est jamais un radis sur môa.
Pour ce qui est du BTP, ça a toujours été : Ils ne sont même pas capables d’étaler « du noir » (le surnom des revêtements des routes), qui tiennent plus de deux saisons. Logique : Ils facturent 3 centimètres quand il n’y en a que 2 et il n’y a pas une seule route, pas une seule chaussée, pas un seul trottoir sans fissure et nid de poule.
C’est simple, ça n’existe pas en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » : Il n’y a rien de droit, de plat, et ça veut concurrencer Saint-Tropez…
Quand je vous dis qu’on cite des noms, je ne rigole pas, mais j’en reste très surpris à l’occasion de mon café-matinal de midi.
L’ancien militant indépendantiste Alain Lucchini est ainsi présenté comme le « patron occulte de la chambre de commerce et d’industrie d’Ajaccio » mais reste « suffisamment discret pour ne pas être trop inquiété judiciairement ».
Son groupe, qui a étendu « son influence de Propriano à Ajaccio », « pourrait profiter des connexions de Yassine Akhazzane avec les milieux marseillais et niçois pour poursuivre son développement », « notamment la DZ Mafia ».
Comme si mes « cousins-mafieux » se laissaient envahir sans réagir : Eh, né Corsu, né so Fieru…, ils les mettent au pas et s’en servent comme de la main-d’œuvre docile et pas regardante !
En Haute-Corse, le clan Mattei, bien connu depuis des décennies pour sa « vendetta historique » avec la famille Costa, est présenté comme « l’une des équipes les plus puissantes du moment », en particulier dans les stupéfiants.
Il faut dire que la farine circule sous le nez des gendarmes qu’ils en évitent ostensiblement les points de deal.
Toutefois cette note ne prend pas en compte le possible affaiblissement de la bande par une série d’arrestations de ses membres, fin juin, dans l’enquête sur l’assassinat, en janvier, de Camille Orsoni, considéré comme proche des Costa.
Dirigée par Jean-Luc Codaccioni junior, dont le père a été tué dans le double assassinat de Bastia-Poretta en décembre 2017, cette bande « dispose d’une surface financière considérable qui lui permet de sous-traiter à des hommes de main l’exécution de contrats portant sur des projets criminels », précisent les flics.
Codaccioni junior poursuivrait « une vendetta » contre « l’alliance Guazzelli-Michelosi-Mariani » qui a été condamnée pour l’assassinat de son père.
C’est plus compliqué que ça…
Le gars qui aura promené « ma Nichée » et moâ-même jusqu’à la grotte de « veaux-marins » cet été, aura rapidement repris ses activités avec des bateaux ravaudés (on ne voit aucune trace d’incendie) et les caméras de surveillance ont parfaitement identifié les auteurs de cet attentat imbécile, d’autant qu’ils se seraient trompés de cible…
C’est du conditionnel, naturellement.
Et il y a eu aussi cet hiver des incendies de magasins, notamment des boulangeries du roitelet autoproclamé qui en met partout en Balagne et qui fait de l’ombre à quelques artisans établis depuis des générations…
Spiga de Jean-Charles Canioni comptent désormais 3 attentats et une tentative avortée pour une douzaine de magasins ouverts.
Attentat mafieux ? Pas certain.
Ainsi, tout le monde sait que les marchés publics sont truqués, depuis l’assainissement de l’eau jusqu’à l’entretien de l’éclairage public et que naturellement, ce n’est jamais l’autorité politique, celle qui décide, d’ailleurs contrôlée par la préfectorale et par la Cour des comptes, qui sont inquiétées à devoir rendre des comptes.
Il ne paraît pas normal que les routes se fissurent faute d’une couche de goudron assez épaisse alors que les travaux sont contrôlés par les ingénieurs de la DDE locale.
Il n’est pas normal que la maréchaussée soit requise pour verbaliser le manque de conscience civique concernant le tri des déchets ménagers dont le ramassage est confié non plus par les maires mais par les présidents des communautés de communes à des entreprises locales qui n’ont pas la surface financière des leaders nationaux.
Non seulement on manque de bac, mais ça déborde et les personnels refusent de se baisser pour ramasser ces débords tel qu’il faille installer des caméras pour surveiller les points de ramassage et payer, dans les grosses copropriétés, des entreprises privées pour éviter l’invasion des rats : Les ordures, c’est payé deux fois, à travers la taxe foncière (et des ordures ménagères) mais en plus par les syndicats de copropriétés dès que ça concerne plusieurs bacs…
C’est qu’il en balance du pognon à tour de bras pour « aider » les racailles dont les familles survivent des marchandises qui « tombent du camion ».
Un monde d’impunité généralisée sous couvert de solidarité… clanique ou familiale… ou « politique » ou seulement soudée par la menace.
Une caricature de notre monde moderne !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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