… Les possibles origines de la vie !
Des chimistes ont réussi à reproduire en laboratoire
un des premiers gestes de la vie : La liaison spontanée entre l’ARN et les
acides aminés, deux briques fondamentales des systèmes biologiques.
Cette découverte, pourrait expliquer comment les premières protéines ont été synthétisées sur la Terre primitive, et rapproche les scientifiques de la compréhension des origines du vivant.
Comment la vie a-t-elle commencé sur Terre il y a plus
de 4 milliards d’années ?
Cette question est au cœur de la chimie prébiotique et fascine les scientifiques depuis des décennies.
Et c’est dans ce contexte qu’une équipe de chercheurs en chimie de l’University College London (UCL) of GB du RU, vient de franchir une étape décisive : Elle a montré expérimentalement comment deux briques fondamentales de la vie, l’ARN (acide ribonucléique) et les acides aminés, ont pu se lier spontanément dans des conditions proches de celles de la Terre primitive.
Ces résultats, publiés dans la revue Nature, apportent du coup un nouvel éclairage sur les origines possibles de la synthèse des protéines.
Les acides aminés sont les composants de base des
protéines, véritables « machines » biologiques indispensables à presque tous
les processus vitaux.
Mais, pour être assemblés, ils ont besoin d’instructions.
Celles-ci sont fournies par l’ARN, molécule chimique très proche de l’ADN, qui joue aujourd’hui un rôle essentiel dans la transmission du code génétique.
Par conséquent, comprendre comment ces deux éléments ont pu se rencontrer et coopérer aux débuts de la vie est donc une étape clé pour retracer l’émergence des premiers systèmes biologiques.
Logique.
« La vie repose sur la capacité à synthétiser des
protéines », rappelle le Pr Matthew Powner, co-auteur de ladite étude.
« Elles sont des molécules fonctionnelles clés de la vie. Comprendre l’origine
de la synthèse des protéines est donc fondamental pour comprendre où la vie est
apparue ».
Or, jusqu'ici, les tentatives de lier acides aminés et ARN utilisaient des molécules très réactives, instables en présence d’eau, ce qui empêchait la réaction de se dérouler efficacement.
L’équipe précitée de l’UCL a adopté une approche différente, en s’inspirant de processus biologiques connus.
Elle a activé les acides aminés grâce à un composé à haute énergie, le thioester.
Les « trouveurs » ont montré que ce type de réaction pouvait avoir eu lieu dans de petites mares ou lacs de la Terre primitive, en milieu aqueux et à pH neutre – soit un environnement simple et réaliste.
Cette avancée unit ainsi deux grandes hypothèses sur l’origine
de la vie : Celle du « monde à ARN », qui propose que des ARN autoréplicatifs
ont constitué la première étape, et celle du « monde des thioesters », où les
réactions énergétiques de ces composés auraient permis le lancement de la
chimie prébiotique.
Une fois les acides aminés activés et attachés à l’ARN, les « trouveurs » ont pu observer la formation de peptides, ces petites chaînes d’acides aminés qui sont les précurseurs des protéines.
« Imaginez le jour où des chimistes pourraient prendre de petites molécules simples, composées d’atomes de carbone, d’azote, d’hydrogène, d’oxygène et de soufre et, à partir de ces pièces Lego, former des molécules capables de s’auto-répliquer…
Ce serait une avancée majeure vers la résolution de la
question de l’origine de la vie !
Notre étude nous rapproche de cet objectif en démontrant comment deux pièces Lego primordiales, acides aminés activés et ARN, auraient pu construire des peptides, de courtes chaînes d’acides aminés essentiels à la vie », explique le Dr Jyoti Singh, premier auteur de l’étude.
L’enjeu est désormais de comprendre comment certaines
séquences d’ARN ont pu se lier de manière préférentielle à certains acides
aminés, ouvrant la voie à l’apparition du code génétique.
Bien que de nombreuses questions subsistent, car cette découverte marque une avancée importante. « Le défi le plus excitant reste de comprendre l’origine de la synthèse des protéines », souligne le Pr Powner.
Mais cette étude montre qu’il est possible de reconstituer, pas à pas, les mécanismes qui ont pu conduire aux premières formes de vie.
Il ne le dit pas clairement, mais c’est aussi un appel à poursuivre les financements par voie de subventions à son laboratoire, subventions financées par vos impôts (enfin ceux des sujets de sa très gracieuse Majesté « Carlos le troisième ») sur de l’argent qu’ils n’ont encore ni gagné ni encaissé…
Mais tout vient à temps à qui sait prendre patience…
En attendant, ça reste bon à savoir que certains cherchent, d’autres trouvent et que finalement la science avance…
Bon retour de week-end à toutes et à tous !
I3
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Cette découverte, pourrait expliquer comment les premières protéines ont été synthétisées sur la Terre primitive, et rapproche les scientifiques de la compréhension des origines du vivant.
Cette question est au cœur de la chimie prébiotique et fascine les scientifiques depuis des décennies.
Et c’est dans ce contexte qu’une équipe de chercheurs en chimie de l’University College London (UCL) of GB du RU, vient de franchir une étape décisive : Elle a montré expérimentalement comment deux briques fondamentales de la vie, l’ARN (acide ribonucléique) et les acides aminés, ont pu se lier spontanément dans des conditions proches de celles de la Terre primitive.
Ces résultats, publiés dans la revue Nature, apportent du coup un nouvel éclairage sur les origines possibles de la synthèse des protéines.
Mais, pour être assemblés, ils ont besoin d’instructions.
Celles-ci sont fournies par l’ARN, molécule chimique très proche de l’ADN, qui joue aujourd’hui un rôle essentiel dans la transmission du code génétique.
Par conséquent, comprendre comment ces deux éléments ont pu se rencontrer et coopérer aux débuts de la vie est donc une étape clé pour retracer l’émergence des premiers systèmes biologiques.
Logique.
Or, jusqu'ici, les tentatives de lier acides aminés et ARN utilisaient des molécules très réactives, instables en présence d’eau, ce qui empêchait la réaction de se dérouler efficacement.
L’équipe précitée de l’UCL a adopté une approche différente, en s’inspirant de processus biologiques connus.
Elle a activé les acides aminés grâce à un composé à haute énergie, le thioester.
Les « trouveurs » ont montré que ce type de réaction pouvait avoir eu lieu dans de petites mares ou lacs de la Terre primitive, en milieu aqueux et à pH neutre – soit un environnement simple et réaliste.
Une fois les acides aminés activés et attachés à l’ARN, les « trouveurs » ont pu observer la formation de peptides, ces petites chaînes d’acides aminés qui sont les précurseurs des protéines.
« Imaginez le jour où des chimistes pourraient prendre de petites molécules simples, composées d’atomes de carbone, d’azote, d’hydrogène, d’oxygène et de soufre et, à partir de ces pièces Lego, former des molécules capables de s’auto-répliquer…
Notre étude nous rapproche de cet objectif en démontrant comment deux pièces Lego primordiales, acides aminés activés et ARN, auraient pu construire des peptides, de courtes chaînes d’acides aminés essentiels à la vie », explique le Dr Jyoti Singh, premier auteur de l’étude.
Bien que de nombreuses questions subsistent, car cette découverte marque une avancée importante. « Le défi le plus excitant reste de comprendre l’origine de la synthèse des protéines », souligne le Pr Powner.
Mais cette étude montre qu’il est possible de reconstituer, pas à pas, les mécanismes qui ont pu conduire aux premières formes de vie.
Il ne le dit pas clairement, mais c’est aussi un appel à poursuivre les financements par voie de subventions à son laboratoire, subventions financées par vos impôts (enfin ceux des sujets de sa très gracieuse Majesté « Carlos le troisième ») sur de l’argent qu’ils n’ont encore ni gagné ni encaissé…
En attendant, ça reste bon à savoir que certains cherchent, d’autres trouvent et que finalement la science avance…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
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