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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 2 septembre 2025

Fin d’année (3/3)

Épilogue provisoire
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Néanmoins, des selfies et autres clichés de ces virées spatiales avec Christine et son binôme auront circulé, notamment de la chevelure de Louison qu’elle a épaisse et longue, étalée autour de sa tête de façon spectaculaire. Ça lui fait une vaste auréole comme d’une coiffure d’implants à la Angela Davis, hormis qu’elle n’est pas crépue.
En apesanteur, l’électricité statique naturelle des cheveux, s’ils sont propres, les font s’étaler loin les uns des autres dans toutes les directions, puisque leur masse ne les entraine plus vers le sol… car il n’y a plus de sol ni de pesanteur.
Et c’est valable pour toutes les « parties molles » corporelles qui ne seraient pas « tenues » par un chouchou ou par un vêtement, mais seulement par leurs attaches naturelles à leur propriétaire, tels que des seins, des fesses trop molles et même des testicules ou un coussin abdominal un peu trop adipeux, qui s’étalent dans la limite de l’élasticité épidermique !
Et l’équipage n’aura pas fait de prise de vue explicite de la sorte, ou alors ils ne les ont pas montrées.
Parce que tout le monde se doute bien, connaissant un peu Paul, que dans leur intimité spatiale il a dû probablement se passer « des choses » qui relèvent du candaulisme assumé, Florence étant déjà une adepte pour parfois « prêter » le père de ses enfants au motif qu’on partage volontiers les bonnes choses avec ses amies.
Or, chacun sait que Paul n’est pas non plus un monogame assidu et systématique…
 
En attendant, ce dernier prépare intensément ce vol avec Florence où il veut lui offrir une série de chauds coïts spatiaux avant Noël, sa lubie du moment, loin des fracas de l’actualité quotidienne.
Comme quoi, en dire plus et en savoir plus sur le sujet, relève de « l’enquête minutieuse » pour Alexis, la biographe normalement au courant de tout pour pouvoir le rapporter, sauf en la circonstance, tenue à distance qu’elle est.
Et il lui faudra du temps pour faire le tour du sujet.
Mais c’est déjà une autre histoire.
En revanche, question « une autre histoire », ce qu’on sait, parce que Paul l’aura signalé à sa biographe, c’est qu’il aura profité de ce long moment de préparation, en aparté loin de toute tentative d’espionnage indiscrète, pour convaincre Louison de jouer le rôle d’agent double qui sera le sien dans les mois qui viennent.
« I-Cube », l’auteur de cet opus (et de la série) rapporte à Alexis, qui devra le confirmer ultérieurement à travers la validation de ce récit par Paul de Bréveuil lui-même (une procédure un peu complexe pour des ouvrages sans intérêt qui ne sont d’ailleurs lus par personne mais qui restent indispensables pour mettre au point le logiciel BBR 3.0 dit « prédictif »… à condition du « Charlotte » retrouve la mémoire…) que c’est en orbite que Paul explique à sa nièce et à son assistante que cette dernière sera « approchée » par un « service hostile ».
 
On peut reconstituer approximativement la scène, sous réserve de compléments ou de censures à venir, de la façon suivante en imaginant le trio enfermé dans la cabine du démonstrateur, probablement sanglé pour ne pas flotter dans tous les sens à devoir se tenir à en mobiliser au moins une main, les « cheveux au vent » de Louison l’occupant encore un peu plus pour être mal attachés et pas tressés du tout.
Il explique que ce qu’il va se passer, c’est que le GRU et quelques autres services s’inquiètent des performances du démonstrateur et de ses missions qui sont suivies depuis tous les radars d’observation du monde.
« Ils se demandent ce que je compte en faire. Et l’année prochaine je proposerai des vols aux autorités des pays alliés. En revanche, les pays « hostiles » envoient déjà des « observateurs » sur place.
Pékin aura déjà soudoyé quelques-uns de mes Sri Lankais qui travaillent sur le chantier du tunnel, et l’année prochaine, des chagossiens se laisseront graisser la patte pour venir pêcher à proximité et même dans le lagon, pour ainsi fournir des renseignements et des photos.
Les chinois enverront d’ailleurs un bateau de pêche qui se positionnera en permanence à proximité de l’atoll.
Rien de grave.
En revanche, avec Moscou c’est plus tordu : je suis censé être une de leurs agents sous couverture depuis mon AVC de l’année dernière et mon passage à Minsk qui m’aura un peu chamboulé le neurone.
Agent double déjà sous légende qui est la mienne, une belle réussite des services, mais heureusement je suis aussi et hélas atteint d’amnésie profonde. Ils ont pu le constater sur place et je persiste à ne pas démentir.
Mais ce n’est pas forcément très compatible avec mes expéditions spatiales…
Alors, ils auront appris par l’intermédiaire d’une des trois femmes de ménage qui nettoient les locaux du Kremlin-Bicêtre que vous venez d’intégrer toutes les deux mon environnement immédiat.
Par conséquent, Louison va être approchée par un agent qui se présentera sous une fausse barbe pour l’amener à collaborer en toute légitimité. »
Christine n’est pas une cible de choix pour être trop risquée sur le plan de la loyauté familiale, d’autant que son père est un avocat au Conseil, au bras probablement trop long.
Comment ça, « approchée en toute légitimité », demande l’une des deux femmes ?
 
« Je ne sais pas encore, mais probablement en se faisant passer pour un agent du contre-espionnage français… »
Mais il y a déjà Julie, l’espionne de Matignon…
« Je sais, mais je ne sais pas si le premier ministre actuel sait encore quelle est sa mission.
Donc ça restera plausible.
Et il faut que tu te laisses faire, Louison. Pas pour de l’argent, mais « pour rendre service » à la nation, par esprit patriotique et contre la promesse de promotions qu’on te fera miroiter. Donc en tout bien tout honneur, comme tu fais déjà des rapports et comptes-rendus d’expérimentation des travaux de Christine… »
Si c’est si simple et si « indolore » que ça, pourquoi pas ?
« Oui, sauf qu’on va ensuite contrôler ensemble les renseignements demandés et les réponses que tu fourniras à leurs requêtes.
Le principe, c’est que je n’ai toujours pas retrouvé la mémoire, que sur le plan technique, ça roule mais personne ne comprend ce que je prépare et que globalement, je perds la boule mais je me soigne.
Je donnerai d’ailleurs des gages dans ce sens-là. »
Quelle drôle d’idée…
« Ils doivent croire le plus longtemps possible que je reste un agent à leur solde : on va avoir des missions qui permettront de sauver des vies s’ils en sont persuadés… »
Si Paul le dit.
Et il préparera cette opération d’enfumage avec le plus grand soin jusqu’à la cacher à sa biographe durant plusieurs mois.
Il n’y a que l’auteur, « I-Cube » qui est au courant… Mais comme personne ne le lit, ce n’est pas bien grave[1]… et de toute façon, il s’agit d’une fiction romanesque !
 
Florence et Paul s’envolent ensuite en orbite pour une petite journée la veille de la réouverture de la Cathédrale de Paris, un rituel présidé par l’archevêque de Paris, qui a lieu en début de soirée, sous la pluie parisienne, en présence du président de la République, des officiels, des donateurs, des représentants de toutes les paroisses de Paris, des membres du chapitre de la cathédrale et du clergé parisien.
Lors de ce rite d’ouverture des portes, l’archevêque de Paris frappe la porte fermée de Notre-Dame avec sa crosse épiscopale. La cathédrale « répond » au chant du psaume 121 (en latin Lætatus sum : « Je suis dans la joie ») chanté trois fois. Après la troisième fois, l’archevêque pousse la porte qui s’ouvre pour le laisser entrer.
Un rituel qui aura été précédé par l’arrivée des personnalités, fort nombreuses, accueillies par le Président sur le parvis protégé par une immense tente d’exposition qui les protège des intempéries.
Après leur prestation, des pompiers intervenus lors de la lutte contre l’incendie en 2019, et des intervenants ayant participé à la restauration de la cathédrale, entrent dans la cathédrale, sont applaudis, remerciés et s’installent. Le président prononce ensuite un discours, séquence qui devait initialement se dérouler sur le parvis de la cathédrale, mais a finalement eu lieu à l’intérieur de l’édifice, en raison de la tempête Darragh.
Discours qui aura été polémique avant même la première parole, au nom de la laïcité de la République qui possède pourtant les murs de la cathédrale magnifiquement restaurée.
Florence, en voisine, aura pu emmener par la suite ses enfants, Annabelle et Louis, au concert d’ouverture des grandes orgues dans cet écrin splendidement mis en valeur après restauration : l’édifice est comme neuf grâce aux dons d’un montant de 843 millions, dont des milliers de petits donateurs, mais également la plupart des riches du moment : François Pinault (100 millions d’euros), Bernard Arnault (200 millions), TotalEnergies (100 millions), la famille Bettencourt (200 millions). Les milliardaires se sont offert une campagne de pub pour pas cher.
 
Après la consécration de l’autel central, suit un office solennel, comprenant des hymnes, une homélie prononcée par l’archevêque de Paris et, évènement notable, le chant du Te Deum, l’archevêque de Paris ayant procédé au réveil du grand orgue restauré préalablement. À l’orgue sont présents Olivier Latry, Vincent Dubois, Thierry Escaich et Thibault Fajoles, des virtuoses qui retrouvent leur instrument monumental.
Le chœur et la maîtrise de Notre-Dame assurera la partie chorale de ce service religieux, mais en se limitant à des cantiques ordinaires. Un Magnificat aura toutefois spécialement été composé pour la circonstance.
En préalable, l’ouverture de la soirée concert est assurée par la soprano lyrique américaine Nadine Sierra qui chante La Marseillaise, d’après la magnifique version orchestrée par Hector Berlioz, sur le parvis de la cathédrale. Elle est accompagnée par le chœur de l’Armée française, chœur d’hommes à voix égales dirigé par Aurore Tillac. Le chanteur québécois Garou débute ensuite le concert avec un extrait de la comédie musicale Notre-Dame de Paris. Interviennent aussi quatre chanteurs classiques ainsi que des instrumentistes issus du même univers : la soprano colorature sud-africaine Pretty Yende, la soprano lyrique française Julie Fuchs et le ténor franco-suisse Benjamin Bernheim, ainsi que la soprano-enfant Ariane Delacroix.
On y entend encore le violoniste suédois d’origine russe Daniel Lozakovich, la pianiste d’origine géorgienne Khatia Buniatichvili, le pianiste Lang Lang  et le violoncelliste Yo-Yo Ma, ces deux derniers étant d’origine chinoise.
Yo-Yo Ma fait entendre le Prélude de la première suite pour violoncelle seul de Jean-Sébastien Bach. Il accompagne aussi la comédienne Marion Cotillard qui dit le poème Le Pont, de Victor Hugo. Le comédien Éric Ruf, lui, dit un poème de Louis Aragon : Le Paysan de Paris.
Musicalement le concert bénéficie également de la participation de chanteuses et chanteurs d’origine et de répertoires divers, y compris Vianney au chant et à la guitare pour l’Hallelujah d’après Leonard Cohen. Le concert bénéficie encore de la présence et de la voix du chanteur américain Pharrell Williams, en introduction à un chœur de gospel donné sur le parvis. Vers le début du concert l’orchestre avait fait entendre le 3ème mouvement de la 3ème symphonie avec orgue de Camille Saint-Saëns, œuvre avec orgue dans l’orchestre et néanmoins profane, aussi solennelle que tonitruante.
Le spectacle se termine avec le premier mouvement de la 5ème symphonie de Beethoven enchaîné avec un son et lumière du DJ français Michaël Canitrot, projeté sur la façade et sur les tours de Notre-Dame.
Florence aurait aimé y être : elle devra se contenter de vivre 24 heures, « La Tête Dans Les Étoiles » pour un spectacle son et lumière retransmis depuis Paris sur des images de la voute céleste d’une rare beauté, si fascinante, sans nuage, ni nuée, ni pollution, « comme si on y était ».
Paul était pourtant invité et même sollicité à plusieurs reprises.
 
Tous voulaient le croiser, au moins pour espérer lui soutirer quelques informations. Le président de la République et de son épouse, le Premier ministre démissionnaire Michel Barnier et son épouse, ses prédécesseurs Gabriel Attal et Édouard Philippe, plusieurs ministres démissionnaires dont la ministre de la Culture Rachida Dati, et la maire de Paris Anne Hidalgo.
Mais également les anciens présidents de la République encore en vie accompagnés de leurs épouses respectives, les futurs candidats à la succession du président Makarond, Carine Lapeine, Jordan Bardella, François Bayrou, mais tout autant la présidente de la Banque centrale européenne, Jack Lang, ancien ministre de la Culture. Les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat sèchent mais sont représentés chacun par un vice-président. Plusieurs présidents de groupes politiques des deux assemblées et parlementaires de Paris sont également présents.
Le comte de Paris, prétendant orléaniste à la couronne de France, toujours en embuscade, et son fils aîné, le prince Gaston, sont présents. Le comte de Paris et son épouse assisteront d’ailleurs à la première messe du lendemain, installés au premier rang, au côté du créateur et couturier Jean-Charles de Castelbajac et de son épouse.
 
Des personnalités du monde économique et culturel sont également dans l’assistance, et une partie du premier rang, aura été occupé par des personnalité étrangère telle que Volodymyr Zelensky, Laura et Sergio Mattarella, Albert II de Monaco, Mathilde et Philippe de Belgique, María Teresa et Henri de Luxembourg, William de Galles, Antoinette et Denis Sassou-Nguesso, Ashley et Jill Biden, Brigitte Macron et Donald Trump alors futur président US élu mais pas encore en fonction qui fait comme si il l’était déjà.
La cérémonie se déroule en présence d’un grand nombre de chefs d’État et de gouvernement, actuels et anciens, ou de leurs représentants envoyés spécialement pour l’événement, le ban et l’arrière-ban du Gotha.
Un « G 50 » encadré par 6.000 policiers mobilisés pour l’occasion.
La délégation américaine comprend également le milliardaire Elon Musk, annoncé comme futur ministre de Donald Trump.
 
En revanche, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, aura annulé sa participation après avoir conclu un accord commercial controversé entre l'Union européenne et le Mercosur, auquel le président français s’est fermement opposé.
Quant au pape François, il aura décliné l’invitation, préférant se réserver pour son périple à Ajaccio où il aura rendu hommage à la piété Corse en compagnie de son successeur.
Toutefois, une lettre de sa part a été lue lors de la soirée de réouverture par Celestino Migliore, nonce apostolique du Saint-Siège en France.
L’office qui a suivi est retransmis par France Télévisions et diffusé en mondovision depuis le parvis de la cathédrale de façon, précise le diocèse, à « partager la joie de la couverture avec le plus grand nombre et de remercier ceux qui l’ont permise ».
La cérémonie protocolaire aura été suivie par 7,23 millions en France, y compris à bord du Nivelle expérimental sur son orbite.
 
Quant à Manuel Makarond, il n’aura pas eu assez de superlatifs pour décrire ce moment qui était tout à sa gloire, alors que le pays est en pleine crise politique, sans gouvernement, sans budget, qu’un enfant sur cinq ne mange pas à sa faim, que des centaines de milliers d’emplois sont menacés avec des plans de licenciements sans précédent, que sa cote de popularité côtoie les bas-fonds et que les appels à sa démission affluent de toutes parts.
Il ressort sa recette miracle des JO : cacher la misère derrière un événement qui réenchante le roman national.
Et c’est l’occasion de se faire longuement photographier au milieu de dirigeants étrangers.
Et la semaine suivante Poutine aura refaits les Unes mondiales en réalisant une longue conférence de presse annuelle, alors que tout le monde attend avec impatience l’arrivée de Trump dans le bureau ovale, pour « une paix en 24 heures ».
 
Mais c’est déjà une autre histoire…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Près de 30.000 personnes visiteront son blog durant la période de mise en ligne de ce qui reste « un roman », soit à peine 500 personnes par jour. Et, chose étonnante, pour plus des trois quarts, il s’agit de visiteurs situés hors de l’hexagone…

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