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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 18 septembre 2025

Chute de « Bébé-roux-de-secours » : Le grand bazar vu de l’étranger !

« Jupiter » n’avait pas tout prévu !
 
Notre « Mozart » de la finance n’est finalement qu’un cancre-politique…
Faire de la politique, c’est prévoir, c’est avoir « une vision » claire de l’avenir et agir en conséquence sur le déroulé des événements pour que les choses se passent au mieux et à moindre coûts, humain et matériel.
 
Aucun doute possible au soir même des élections européennes de 2024 : Le gouvernement des « Marcheurs-en-rêve » de « Gaby-@tal » avait échoué à réunir une majorité crédible autour de cet amateur qui se croit encore sorti de « la cuisse de notre Jupiter » national, alors que ce n’est qu’un « bleu-bite » à peine dépucelé (et encore assez mal par son ex-Pacsé de « Ces-Journées », le « diplomate qui ne parle pas l’anglais, même le scolaire…).
Que « Jupiter » l’ait choisi parmi mille, si c’est pour protéger le soldat « Lili-Bête-Borgne » qui n’avait pas démérité, je comprends (on n’insulte pas l’avenir façon « Tonton-Yoyo »), mais on n’avait pas besoin d’un « Fafa-l’empoisonneur-bis » à la tête d’un pays déchiré entre deux extrêmes et un marais grenouillant de « pseudos-centristes » qui se réclament aussi de l’héritage de De Gaulle : Il ne faut pas dékonner non plus !
 
On avait besoin de décanter l’affaire et d’en débattre : À la place de « Jupiter », j’aurai laissé les JO passer mais en annonçant que je renverrai les « députacrouilles » devant leurs électeurs à la rentrée, pour leur laisser le temps de faire campagne dans les règles et la durée. Car il fallait entendre les extrêmes (de droâte et de gôche) piaffant d’impatience pour remplacer le « bleu-bite » de « Gabby-le-magnifique » relégué à expédier les affaires courantes avant de rentrer dans les poubelles de l’Histoire.
Pas à l’arrache comme il a été fait : C’est se foutre du monde, des élus et des électeurs.
 
Or, comme vous pouvez le constater, quand je dis quelle que chose, tout le monde s’en contre-cogne le coquillard (et même les roubignoles quand ils en sont dotés, le tout dans le même geste) : Autant pisser dans un violon.
Résultat, on a eu une chambre sans majorité, où tout le monde se dit prêt à gouverner alors que personne n’est capable de réunir une majorité sur son nom !
Le retour de la IVème République et de son régime des chambres alors que la guerre gronde aux frontières…
Comme dans les années cinquante, à croire que personne n’aura retenu les leçons de l’Histoire et que tout le monde pense d’abord à son kul plutôt qu’à l’intérêt des électeurs-kons-tribuables !
 
D’abord « Barre-niée » qui s’y colle, le pov’, puis « Bébé-roux-de-secours » qui n’y croyait plus et qui ne voulait pas y aller parce qu’il sait que Matignon, c’est l’endroit où l’on crame son avenir (et ses ailes et ses neurones et son honneur quand on en a encore un peu) à la vitesse « Grand V »…
Or, il a encore l’ambition de devenir « Calife à la place du Calife » et d’entrer dans l’Histoire par la grande-porte, lui qui aura refusé de pousser celle de « Ségo-lolo » qui lui aurait déjà ouvert la route de Matignon au moment de la présidentielle de 2008.
 
Bref, il aura mis à peine quelques semaines pour confirmer qu’il n’y arrivera pas et qu’il vaut mieux se redonner toutes les chances et ne claquant pas la porte, mais en s’arrangeant pour être sûr de se faire jeter par la « coalition du chaos ».
D’où la stratégie de la confiance, non pas sur un texte ou une motion de censure au résultat aléatoire, mais carrément l’article 49-1, sur une déclaration de politique générale, qu’en général on fait dans les jours qui suivent la constitution d’un nouveau gouvernement, mais pas des mois plus tard…
Ça ne veut plus rien dire sauf à annoncer qu’il en a marre et qu’il n’y croit même plus !
 
Résultat assuré : Exit « Bébé-roux-de-secours » et arrivée en express d’un clone de « Jupiter », mais sans le bagout du Président : Il en a même physiquement la largeur d’épaule étroite…
Réactions de l’étranger ?
On attend un peu et les agences de notation rattrapent – à petite-allure – les marchés financiers qui prêtent encore à l’État, mais avec un « spread » (des écarts de taux nominaux) nettement supérieur à ceux de pays plus « mal notés » chez les « PIGGS » (le second G étant pour « Gauloisie-failliteuse ») européens, laissant présager une crise de la dette à la Grecque, à l’« Hispanique » voire à la « Ritalique » dans les mois futurs…
Pas de drame, les marchés avaient anticipé et prête désormais aux entreprises phares du CACa40 à moins cher qu’aux finances publiques de mon pays : On ne voit ça que dans les pays en voie de développement…
 
Nos « amis » du « plat-pays-Belge » parlaient alors d’un « requiem ». Pourtant en matière d’instabilité politique, ils en connaissent un rayon pour être restés pendant près de deux ans sans gouvernement, faute d’accords politiques.
Notez que justement, ils nous donnent l’exemple : On peut très bien se passer de gouvernement et même de loi de finances pour lever des impôts et taxes, coller des amendes, payer les fonctionnaires et faire fonctionner les agences publiques en gardant les portes de prisons closes…
D’ailleurs, « Bébé-Roux-de-secours » aura fait passer une loi de finances hors délai, ce qui n’a pas empêché « Le Service » de me prélever des acomptes de façon tout-à-fait normal…
Le quotidien « La Libre » ne s’y trompait pas en titrant : « Le gouvernement Bayrou est tombé, la Belgique citée en exemple » et suivait son reportage dans les couloirs de notre Assemblée nationale. « Le Soir » ne dit pas autre chose mais titrait en reprenant les mots de « Bébé-roux-de-secours » prononcés à la tribune peu avant le vote fatidique : « Renverser le gouvernement n’effacera pas le réel ».
Naturellement : Il n’y a que les dogmatiques qui croient encore au père Noël de leurs utopies !
Et pour eux le pays est « reparti pour un tour de manège ».
 
« La France dans une crise politique (encore) toute fraîche », titrait la BBC. « Y a-t-il une solution pour briser l’impasse politique ? ».
Oui : Le vote uninominal à un seul tour et par circonscription, mais ce n’est pas dans l’air du temps qui consacrerait plutôt l’éparpillement extrême de la représentation élective avec la proportionnelle généralisée.
Pourtant on ne l’y incite même plus avec la nouvelle loi PLM pour les municipales de 2026…
Côté presse écrite, « The Times » constatait simplement : « Macron perd son Premier ministre la veille de grèves et manifestations ».
Le « The Guardian » nous livrait un papier factuel, « Macron va devoir nommer un troisième Premier ministre en moins d’un an », accompagné d’une analyse succincte de la situation : « Le président français devra choisir un nouveau Premier ministre après que la résistance au budget d’austérité a uni les oppositions de gauche et d’extrême droite » : Ils ne se mouillent pas trop…
Pas de panique donc.
 
En « Teutonnie » le Bild titrait « Macron-Regierung kaputt ! » (Le mandat de « Jupiter » est foutu !), qui évoquait un « coup de tonnerre » et « un sérieux revers » pour notre « Mozart-de-la-finance », ce cancre politique. Toutefois, l’inquiétude pointait chez eux : « Les principaux économistes tirent la sonnette d’alarme sur un effondrement français » et redoute « des conséquences dramatiques pour l’ensemble de la zone euro ! »
Die Zeit analysait que « la chute » prévue (et voulue) sonnait comme « étant due à son manque de capacité de compromis » parce que le pays s’enfonce « dans une boucle dangereuse » alors que Président « n’a pas beaucoup d’options ».
Certes, il a cramé toutes ses cartouches et il va lui falloir se résoudre à de nouvelles élections anticipées.
Probablement après les municipales de dans moins de 6 mois dont il espérera une régression des LFI et du « Air-haine », renvoyé à leurs outrances par des électeurs fatigués…
 
« Dernier tango » pour « Il Manifesto » en « Ritalie » et « Macron au bord du gouffre » pour barcelonnais « La Vanguardia » en « Hispanie ».
Mais ils ont aussi d’autres chats à fouetter avec leur soutien aux Palestiniens.
Le média américain CNN s’inquiétait d’une « nouvelle crise politique », laissant le pays « sans gouvernement à un moment de tension économique croissante et de tensions géopolitiques », « un cadeau à la fois » au grand-copain de « Trompe », « Vlad-Poux-Tine », « qui partagent un plaisir commun à se moquer des faiblesses de l’Europe ». Et puis eux aussi ont d’autres chats à fouetter depuis qu’on assassine les potes à « Trompe » en pleine rue… et dans le dos !
Une inquiétude davantage économique pour Le « Wall Street Journal » (WSJ) qui voit là un « bazar fiscal et politique » qui s’aggrave.
Plus sobre, le New York Times (NYT) s’interroge sur la suite, alors que « Jupiter » « refuse de convoquer de nouvelles élections ou de démissionner ».
Une seconde, please : Il reste le « maître des horloges »…
 
La presse japonaise se faisait également l’écho de la chute du gouvernement et de l’embarras de « Jupiter » qui se retrouve à chercher « un cinquième Premier ministre en moins de deux ans pour s’attaquer à la dette alors qu’aucun candidat avec une chance décente de succès ne se dégage », écrira le « JapanTimes » dans la même veine que l’« Asahi Shimbun », qui titrait sur « le quatrième changement de premier ministre en deux ans ».
Ils n’ont pas la même façon de compter et de toute façon, la dette, chez eux, c’est un problème inconnu : Elle est détenue en direct par leur retraité.
Alors qu’à Monaco, elle est détenue par la famille du Prince et de quelques « grandes familles locales »…
 
Le NYT soulignait quant à lui que le chef de l’État dispose d’une « panoplie d’options imparfaites, voire désagréables » : La nomination d’un nouveau Premier ministre, une dissolution de l’Assemblée nationale ou sa propre démission. « Le départ de Bayrou laisse à Macron peu d’options acceptables », abondera la chaîne d’informations américaine CNN sur son site Internet.
Alors qu’Outre-Manche, « The Guardian » s’inquiète déjà et plus largement du fait que mon pays « soit peut-être devenu ingouvernable », notant que « durant les 60 dernières années de la Vème République », le pays « n’a jamais vu une telle impasse politique ».
Certes, mais on a vu pire, notamment en mai 68… et c’était il y a 57 ans… Comme quoi, il n’y a pas beaucoup de « boomers » chez les britanniques, ou alors ils ont de la semoule dans la caboche !
C’est probablement ça de « conduire à l’envers »…
Il y a « toutes les chances » pour que le successeur de « Bébé-roux-de-secours » connaisse le même sort que lui, craint même le quotidien britannique.
Toujours au Royaume-Uni, le quotidien « The Telegraph » voit dans la « défaite » du Premier ministre un « avertissement » à « Kir-star-Mère », dressant le constat d’un « Jupiter » « en sursis » dans une « Gauloisie-inoxydable » qui affiche « une résistance d’acier à toute réforme exigeant une baisse des dépenses ».
 
Le « Berliner Zeitung », lui, en « Teutonnie » s’inquiète de l’impact de la crise politique tricolore sur l’influence du Vieux : « La faiblesse de Macron met également à rude épreuve le rôle de l’Europe sur la scène internationale ». Le cas « Gauloisien-d’outre-Rhin » « menace d’entraîner l’Europe dans l’abîme ».
Un constat partagé en « Ibérie » par le quotidien « El Mundo », pour qui « la situation en France provoque l’inquiétude de l’Europe ».
« La chute de Bayrou met en évidence la faiblesse politique d’Emmanuel Macron », qui exerce pourtant dans l’UE « un leadership important aux côtés du chancelier allemand, Friedrich Merz ». Or, l’Europe fait déjà face à une situation « particulièrement complexe », rappelle le canard hispanophone en référence notamment à la guerre en Ukraine et à la guerre commerciale avec les États-Unis.
 
Assez curieusement, je ne suis pas trop inquiet : Il y a deux voies possibles pour la suite.
Soit les partis extrémistes se rendent compte que leurs gesticulations et menaces sont contre-productives dans l’opinion publique, notamment en vue des élections municipales du 15 mars 2026 (dans 6 mois) et pour ça il faut « les énerver » encore et toujours plus à refuser une dissolution anticipée qui n’aura lieu qu’à la fin du premier trimestre 2026… en espérant un sursaut de l’opinion comme en juin 1968 (et on criera au génie de « Jupiter »).
Soit les mêmes tombent dans le piège du blocage institutionnel en précipitant les initiatives législatives (notamment les lois de finances 2026) à coup de votes bloqués avec ou sans utilisation du 49.3 et « Jupiter » usera probablement de l’article 16 qui mettra tous les pouvoirs entre ses mains pour gouverner – ce qu’il aurait pu faire en début d’année pour imposer « Barre-niée », mais c’était peut-être trop tôt.
Dans cette dernière hypothèse, ça mettra en transe les plus extrémistes qui feront tout pour dénoncer ce « coup d’État » et mettre la rue à feu et à sang…
Ce qui justifiera, avant ou après, de l’usage de l’article 16 jusqu’à ce que le calme revienne avec la levée, juste avant ou après des municipales reportées ou non, d’un « état d’urgence », alors bien plus justifié qu’en 2020 !
Et dans la foulée une dissolution en juin 2026 pour le retour d’un « chambre de la peur », notamment si les émeutes auront rempli les Unes des médias…
 
Bon d’accord, la plaisanterie va coûter cher à l’économie du pays, va faire perdre de sa superbe au pays au plan international, mais on doit aussi pouvoir compter sur l’aide d’un « Poux-tine » et quelques tentatives d’amorcer le chaos sous faux drapeau comme lui et ses sbires ont su le tenter à neuf reprises depuis peu…
Bref, qui vivra verra, mais le passage du « Cocu-cornu » à Matignon risque de ne pas me décevoir…
Parce que tout ça n’avait pas été anticipé, alors que ça paraissait évident dès les élections présidentielles de 2022 : Le « barrage républicain », ce n’est décidément pas un programme politique pour une grande nation comme mon pays, patrie des droits de l’homme…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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