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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 20 août 2019

Chapitre XXXI – Alexis à Port-Louis

Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
« Plein de choses. Mais il t’en dira plus. Ce que je ne comprends pas bien, c’est que tu es venue soi-disant faire sa biographie. Car il a déjà un biographe, au moins officieux. »
Pardon ?
« C’est sous forme de romans sur un blog anonyme. Je te donnerai l’adresse à ton retour, ou par textos, si tu les reçois dans ton coin de paradis. Mais il faut que je la retrouve avant. »
Noeline l’aurait lu ?
« Non, c’est barbant à souhait et je ne sais pas lire un bouquin sur un écran… Mais ça mériterait que tu t’y intéresses, Alex. »
Voilà qui est bien étrange…
 
Le reste de la soirée, alors qu’Alex prépare son bagage, donne à manger à ses chats et que les « ADN » amputées d’Anaïs préparent le dîner, la conversation tourne autour des leurs parcours respectifs.
« En fait, en ce qui me concerne, ce qui m’a incité à entrer dans la boîte, c’est que je cherche mon père… »
« Ah ça, ma chérie, si on a ton CV complet dans les archives de la CISA – tu n’as pas été embauchée sans que Gustave n’ait pu faire des recherches sur ton cas, comme pour nous tous : c’est un vieux flic-espion-militaire – je ne crois pas qu’il soit fait mention de ton père… »
Bé alors… « Votre Paul de Bréveuil m’a promis de me l’apprendre… »
C’est qu’il sait.
« Il en sait peut-être plus que ce qu’il y a dans notre base de données. Pourtant, elles sont nourries aux fichiers de l’état-civil et de quelques autres… La sécurité sociale, les banques, les casiers judiciaires, tout quoi. Tu es née quand ? »
Alex leur indique la date.
 
« Donc tu as été conçue en juillet 1991. Elle était où et elle faisait quoi, ta mère, à cette époque-là ? »
Elle travaillait à l’agence de l’AFP à Koweït-City, adjointe au chef de poste.
« Punaise ! Juste avant la première guerre d’Irak ! »
Oui, elle sait ce détail, puisqu’elle en aura fait l’alerte mondiale depuis son télex posé là-bas…
« Et les mecs qu’elle fréquentait alors, tu as une idée ? »
Aucune…
« Peut-être des journalistes, des officiels de l’ambassade, des collègues de bureau. »
Et puis elle prend son courage à deux mains, le vin rouge faisant son effet…
« Ma mère n’était pas une coureuse et encore moins un canon de beauté. Elle avait un bec-de-lièvre qui lui déformait le visage. Ça, c’est l’autre Charlotte, celle qui a disparue, qui me l’aura appris… »
Ah ouais… tout de même !
 
« Ce qui est curieux, c’est de penser que le Boss sache précisément, à 27 ans d’écart, comment les choses se sont passées. »
Un viol peut-être « et il sera tombé sur une coupure d’archive… »
Non, ça ne colle pas : une journaliste française, officiellement attachée à l’AFP, comme d’une ambassadrice de presse, violée au Koweït, ça aurait fait tout un esclandre, pas seulement « une » coupure de journal !
« Il avait quel âge à ce moment-là, notre Boss ? »
Aucune idée.
« Peut-être 15 ou 16 ans. Il est sorti de l’X dans les années 2000. C’est là qu’il a intégré la chasse à bord du CDG sous les ordres de notre vénéré Gustave ! »
Informations qui déçoivent Alex : Paul ne pouvait pas connaître sa mère.
Et même pas savoir qu’elle existât à l’autre bout du Moyen-Orient…
 
L’Île Maurice couvre une superficie de 1.865 km², pour 65 km de long et 45 km de large. C’est aussi une île chargée d’histoire, rendue célèbre par ses navigateurs.
Une des plus grandes richesses de Maurice est sans conteste son peuple : sa mixité ethnique lui confère une identité culturelle unique.
L’Île Maurice, c’est d’abord une destination mythique pour ses plages, sa mer et son soleil.
Pourtant, l'île possède un patrimoine culturel, historique et naturel très riche, ses symboles emblématiques, comme le Dodo, sa musique qui lui est propre : le Séga.
La population s’élève à environ 1,3 million d’habitants et comporte plusieurs communautés. La majorité des Mauriciens est d’origine indienne, suivie par la communauté créole, plus ou moins métissée, et qui ne peut être définie par une seule origine et une couleur de peau spécifique puisque certains Créoles ont en grande partie des ancêtres africains et/ou malgaches, quand d’autres Créoles ont en grande partie des ancêtres originaires d’Europe ou d’Asie.
Il existe également une minorité de Sino-Mauriciens et une minorité d’ascendance française comptée pour moins de 2 %.
 
En effet, les Portugais furent les premiers Européens à visiter l’île, à une date comprise entre 1500 et 1513. Ils l’appelèrent Cirné, du nom du navire du capitaine d’expédition Diogo Fernandes Pereira.
L’île demeura inhabitée jusqu’à l’arrivée des premiers colons hollandais, en 1598.
Elle fut ensuite colonisée par les Français de 1715 à 1810. Puis vinrent les Anglais qui l’occupèrent par la force avant que cette possession ne leur soit confirmée par le traité de Paris de 1814.
L’établissement britannique durera jusqu’à l’indépendance, le 12 mars 1968.
 
L’île « Moris », en créole, était autrefois l’Isle de France (1717-1814). Puis « Mauritius » en anglais et c’est l’île principale de la République de Maurice. Elle est située dans l’Ouest de l’océan Indien, au cœur de l’archipel des Mascareignes, entre La Réunion à l’ouest, et l’île Rodrigues à l’est.
Sa capitale, c’est Port-Louis, située dans le Nord-Ouest de l’île, la plus grosse ville de l’île.
Il n’y a pas de langue officielle mais l’anglais est reconnu comme la première langue du pays (administration, éducation) et le français comme seconde langue par les médias.
Il est enseigné à partir de l’âge de 4 ans dans les écoles publiques. Mais le créole mauricien est parlé par la majorité de la population sans pour autant être reconnu officiellement par la constitution.
Une langue asiatique ou le créole mauricien peut être choisi à partir de l’âge de 6 ans par les enfants à l’école primaire…
Les langues asiatiques les plus parlées sont par ordre décroissant, l’hindi, l’ourdou, le tamoul, le mandarin, le télougou et le marathi…
 
On roule à gauche et la priorité est curieusement à droite… C’est surtout une véritable carte postale paradisiaque. Toutes les personnes qui ont séjourné à l’Île Maurice vous le diront, c’est un véritable paradis !
De plus, l’offre hôtelière est vraiment très riche et bien développée. De grandes chaines hôtelières ont apportées leur savoir-faire et la gentillesse naturelle des Mauriciens fait le reste.
Le service à Maurice est légendaire et les hôtels font tous pour satisfaire leur clientèle.
 
Les plages Mauriciennes font parties des plus beaux endroits de la planète, des cocotiers, du sable fin et un lagon turquoise sont éblouissants.
La météo y est toujours favorable, même en hiver.
Pourtant l'île Maurice n’est pas forcement qu’une station balnéaire. La richesse de l’île est incroyable entre randonnées, la pratique de l’équitation, de nombreuses visites culturelles proposées, c’est aussi l’occasion de partir à la rencontre des gens, faire du shopping et bien sûr pratiquer des sports nautiques.
Il faut juste avoir envie de sortir de son hôtel, la capitale Port-Louis ou les jardins de Pamplemousses rencontrent un vif succès d’excursions pour les touristes.
Il existe tellement d’activités à Maurice qu’on en dit être obligé de faire un choix ou de revenir...
L’île Maurice est une île vraiment complète pour passer de très agréables vacances.
Son faible décalage horaire (deux ou trois heures selon la saison des heures d’hiver/été chez les européens) permet une rapide adaptation.
 
Alexis débarque à l’aéroport international « Sir Seewoosagur Ramgoolam » qui a été totalement rénové en 2013 après trois années de travaux, aujourd'hui à la pointe de la modernité. C’est la plus grande infrastructure de l’île. Il peut accueillir 4,5 millions de passagers par an et possède même un poste avion spécialement dédié aux A380.
Son originalité tient dans son architecture aux allures tropicales. Son toit a en effet été conçu pour ressembler au ravenala, une plante tropicale commune sur l’île et il compte trois niveaux.
Les services des douanes, les comptoirs des voyagistes et le hall de livraison-bagages se trouvent au rez-de-chaussée. La zone de départ, le duty-free et les salles d’embarquement se trouvent au premier étage et le second et dernier étage est entièrement consacré aux accompagnateurs qui peuvent voir les avions décoller depuis l’immense espace vitré.
 
De plus, l’Île Maurice s’inscrivant comme une référence en matière de développement durable, le terminal est équipé de nombreux systèmes de récupération d’eau, de plus de 260 panneaux solaires, d’éclairages naturels et de circuits végétalisés.
Il possède trois salons principaux, où les voyageurs peuvent se détendre avant de prendre leur vol. Le Yu lounge : c’est un salon de luxe ouvert aux passagers des jets privés ou des vols commerciaux et c’est là que Paul reçoit Alexis.
Ce salon dispose d’un service de conciergerie, d’une cuisine dirigée par un chef expérimenté et propose même des transferts en limousine, en Porsche Cayenne ou en hélicoptère depuis et vers l’aéroport.
L’Atol lounge : ce salon est ouvert à tous les passagers sur le départ.
Dans une ambiance accueillante et une atmosphère relaxante, le salon Atol est une invitation à se reposer avant un vol. Les passagers y trouvent des journaux internationaux et locaux, des magazines, ainsi que la télévision et l’accès au wifi.
Quant à l’Amédée Maingard lounge, il s’agit de celui qui accueille exclusivement les passagers d’Air Mauritius et ses compagnies partenaires, par où débarque Alexis.
La qualité des services et l’atmosphère relaxante offrent aux clients un havre de repos bienvenu après un vol fatigant.
Ce salon possède un « Business Center » avec accès aux ordinateurs, un coin pour les enfants ainsi qu’un buffet et un bar avec un large choix de plats et de boissons locales.
 
Paul aime les odeurs des tropiques qui flottent sous le doux alizé. Pour cette raison, il est arrivé quarante minutes avant Alexis aux commandes d’un Learjet. Deux heures de vols depuis Diego Garcia, la grande base aéronavale anglo-américaine posée au milieu de l’Océan Indien…
« Je veux bien vous y emmener, mais je suis basé plus au nord, au niveau de l’équateur et il y a environ une heure de « teufteuf » à faire… ou quinze heures de mer en « pédalo »… »
En « pédalo » ?
« À condition de « ramer » à plus de 10 nœuds et que la mer soit praticable… »
Quel langage imagé pour ce grand bonhomme aux allures d’athlète, à la gueule sympathique, souriante et avenante : elle l’imaginait plus âgé. Il fait quinqua « accompli » avec son bronzage et sa chemisette ouverte sur les poils noirs de son torse.
« Ravi de vous rencontrer. Je vous le confirme, vous ressemblez à votre mère ! »
Qu’il commence à raconter.
« Je l’ai croisée à Koweït City il y a plus d’un quart de siècle de ça. Mais j’étais en mission disons… particulière et je ne suis pas resté plus de quelques jours. »
Mais encore ?
« Vous aviez quel âge ? Car si je ne m’abuse, d’après votre curriculum vitæ, vous deviez passer votre bac à ce moment-là… »
Même pas : il l’a eu avec mention très bien l’année suivante seulement.
Alors, qu’il explique donc ces propos quelque peu paradoxaux…

2 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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  2. Non mais arrêtez donc de faire du fishing jusque sur blog !
    Il ne peut pas servir à ça !
    Désolé Fumo Sadiku, je suis obligé de censurer !

    Sans rancune !

    I-Cube

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