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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 1 juillet 2019

Collapsologie : Yggdrasil le dernier magazine avant la fin du monde !

C’était une façon de gouverner, c’est devenu un « marché ».
 
J’ai beau être « vieux » à ne plus m’étonner de rien, parfois je reste scotché par les délires de mes contemporains.
J’avais lu et décortiqué (pour vous) les « déclinistes » d’il y a 10 ans.
Éructant et fumant de rage, contre tous ces « intellos-bobos » qui n’ont rien compris à la vie « des gens d’en bas » et ont loupé tous les trains de l’Histoire.
 
Dans le temps, ils étaient « anti-nucléaires », nous promettant l’affreuse mort irradiée pour tout le monde : Il y a eu Tchernobyl et Fukushima et vous êtes encore vivants, bande de salopards !
Alors ils ont rebondi en vous menaçant de griller comme des frites si le trou d’ozone ne se refermait pas : Vous avez beau vous enduire de graisse de cabestan sur la caouane pour faciliter la grillade sur les plages ensoleillées, globalement vous n’avez jamais vécu en aussi bonne santé !
Alors, pour vous émouvoir sur la finitude de la planète, ils vous alarment sur la mer qui monte (1,5 cm « mesuré » estimé sur une décennie) en vous causant de 70 mètres à la fin du siècle.
Ils vous font pleurer en vous racontant que faire des gosses à nos femmes est un crime contre l’humanité, la planète, à raison des pollutions que cela engendre (pensez donc à tous ces plastiques des couches-culottes qui jonchent le fond des océans, après les boues rouges et les marées-noires) qui font disparaître les petits-poissons aussi sûrement que le lisier des porcs qui asphyxie les rivières et les littoraux à en détruire la grande barrière de corail, pourtant si loin de vos rivières…
Et j’en passe, car mettez-vous bien dans le crâne que vous êtes des assassins, du climat, de la planète, de ses ressources naturelles et même des cyclones et des « coups-de-chaud » de plus en plus fréquents et survenant toujours plus tôt dans la saison (ce qui annonce un été pourri sous nos latitude, mais passons) !
Tout ça, c’est à cause de vous, petit-occidental que le monde entier vous envie alors que le reste de la planète vit dans le dénuement total et létal, vous le savez bien, d’ailleurs, puisqu’on vous le dit.
 
Et ils sont nombreux « à pédaler » dans ce sens : Même « Coché », un « survivaliste-écololo-bobo » qui s’est payé une forêt avec ses indemnités d’élu de la République pour vivre en ermite, que j’ai lu à l’occasion chez le coiffeur, un « matheux », ne te dit pas autre chose : C’est la fin de l’espèce humaine sous une ou deux décennies.
2050, pas plus.
Lui, il s’en fout, il sera comme moâ-même, déjà mort.
Il n’empêche qu’il a des gamins à qui il apprend à survivre avec un bout de ficelle et une lame de canif en élevant des poules (une horreur l’odeur des poules en élevage) et quelques radis.
Je constate en revanche que ces discours « impriment » de plus en plus chez les jeunes générations (ont l’a constaté à l’occasion des élections européennes), alors que dans la mienne, on hésitait à se reproduire en raison de la guerre froide qui devait finir par tous nous transformer en chaleur et poussière…
À chaque époque ses peurs et phobies.
 
Ce qui me frappe sur mes « vieux-jours », c’est dune part que ce discours prend encore, contre toutes raisons (puisque la misère mondiale recule, l’espérance de vie augmente) mais surtout devient un mode de gouvernance quasi-quotidien.
Témoignage in vivo la semaine dernière à l’occasion de la canicule passée.
Vous aurez constaté que les responsables « publics » se sont succédés pour expliquer qu’il va faire très chaud et qu’en conséquence vous deviez vous habiller légèrement, boire de l’eau (moâ, ce sont des glaçons d’eau mouillés à des « boissons d’homme » fortement distillées), se mettre à l’ombre, ne pas faire de jogging à midi, etc.
Du foutage de gueule dans les grandes largeurs : Comme si vous étiez assez kons pour ne pas découvrir le fil à couper le beurre tout seul !
 
Le pouvoir n’a pas mégoté dans son rôle de puissance protectrice. Rien n’est plus simple que de mimer « l’État-mamma » (expression de Jean-François Revel) quand il s’agit pour les responsables politiques de faire croire qu’ils tiennent les choses en main et que le peuple peut être rassuré.
Rassurés de quoi au juste, qu’on ne nous laissera pas crever de chaud comme « Raf-la-main-sur-le-cœur » ?
Non, ils vont vous tenir la main dans votre dernier souffle ?
C’est que derrière la propagande sanitaire, reste la réalité d’un État les bras ballants devant les vraies menaces qui inquiètent les citoyens et que l’on vous passe sous silence : La seule actualité de ces derniers jours révèle que la violence fait des bonds dans Paris. Que le quartier de la Goutte d’Or est devenu dangereux. Qu’en Seine-Saint-Denis, les parents d’élèves d’un groupe scolaire doivent eux-mêmes se mobiliser pour chasser les dealers de l’établissement. Qu’à Grenoble, les islamistes poursuivent leur provocation pour imposer le burkini dans les piscines et que dans le Val-de-Reuil on attaque le commissariat local juste pour passer le temps.
Le pouvoir politique veut jouer à l’infirmière, mais il laisse le pays brûler de fièvre.
La fièvre des fins de mois difficile, des « droits-acquis » rabotés, de l’incurie de la chose publique qui va peut-être, peut-être seulement, lancer un énième plan contre l’extrême-pôvreté avant la fin du quinquennat…
Et j’en passe encore des tombereaux.
En attendant, vos « tas-de-boue-à-roulettes » se sont vus interdits de rouler ce qui n’a pas empêcher de faire près de 375 km d’embouteillage, plus de 20 % de plus que d’habitude…
Faut dire que rôtir dans une berline à « touche-touche » sans clim à bord…
Passons.
 
C’est en fait le rêve de l’État incapable : Régner sur des citoyens de plus en plus infantilisés, déresponsabilisés, apeurés, malléables.
Et pour ça, leur foutre la trouille avec des médias qui ne sont pas en reste pour dramatiser l’épisode caniculaire qui s’était installé pour la semaine puisqu’ils sont aux ordres.
S’il fait chaud, ce n’est bien entendu pas à raison des vents venus du Sahara, poussés par un anticyclone pas placé à sa place habituelle en cette saison à cause des dépressions devenues soudainement faiblardes venant du pôle ou de Sibérie qui ne se risquent pas vers le sud, mais font 60 cm de neige dans le Colorado US, mais parce vous polluez avec vos antiques-moteurs thermiques !
Je ne sais pas moâ, mais à London, on a eu 20 à 21 °C, avec des pointes plutôt bienvenues en ce début d’été à 25 °C en bord de mer et au soleil (quand il y en avait).
Mais vous ne vous n’êtes rendu compte de rien.
Surtout, il faut que vous ne vous rendiez compte de rien : On veut vous filer la pétoche, parce qu’on ne sait plus faire autrement pour vous faire faire ce que les « sachants » décident à votre place…
C’est de la « gouvernance-anxiogène » (depuis les pubs anti-tabac jusque sur les paquets de clopes : Je ne fume plus de clope, mais la pipe…) et les campagnes anxiogènes sur l’alcool, la vitesse et je ne sais plus quoi encore, et ça marche puisque plus personne ne remet en cause la doxa officielle.
 
On ira même jusqu’à vous prétendre qu’on n’a jamais eu aussi chaud à Paris depuis 20, 30 ou 40 ans.
Ce qui est totalement faux !
Il faisait 35° C le 13 août 1832 à Paris, 37,2° C le 18 août 1842, et même 40,1° C au XVIIIème siècle (je n’ai plus la date…) : Le climat aurait comme tendance à se refroidir, finalement, mais on veut que vous oubliiez ce fait pourtant scientifique.
Et je vous passe d’autres dates de canicule historique d’avant la « révolution industrielle » qui sont pourtant restées, sinon dans les mémoires, au moins dans les archives.
Rien que 1976 (et son impôt sécheresse) ce n’est pourtant pas si loin où le thermomètre tutoyait allégrement les 40° : Je me souviens, car je révisais mes partiels et que ça eu été « infernal »…
Sans même compter les pics de température annuels à Athènes, pas très loin…
 
De toute façon, la canicule n’est pas la fin du monde, contrairement à ce qu’aimeraient faire croire une flopée de médias apocalyptiques. Ceux-ci prédisent le pire dans douze ans (pas treize, non douze, c’est précis !), si le monde occidental n’a pas changé de modèle économique et si le prolétaire « Gauloisien » refuse toujours d’être taxé (ça va vous revenir en pleine tronche depuis que le comité « tiré au hasard » prétend qu’on n’en fait pas assez), dans l’usage de sa voiture, à la place du pollueur chinois.
C’est le discours comme le signe indiscutable de l’urgence climatique !
Cette présentation est avalisée par « l’État-mamma » : S’il ne sait pas résister à la subversion du nouveau totalitarisme coranique, il donne le change dans sa lutte verbale contre le réchauffement climatique !
Rappelons toutefois que la canicule est un phénomène récurrent. Les plus récentes datent de 1976, 1983, 2003, 2006. Ceux qui veulent y voir la confirmation irréfutable d’un monde qui se suicide en font trop pour être tout à fait convaincants. D’autant que ceux-là, s’ils déplorent avec raison la raréfaction des espèces et l’usage des manipulations génétiques dans la nature, sont les mêmes qui voient des réactionnaires chez les peuples qui ne veulent pas disparaître dans la mondialisation uniforme et le transhumanisme.
La canicule est une aubaine pour les marchands de peurs et, singulièrement, pour l’État en quête d’utilité.
 
Nouvelle invention des « sachants » pour bien vous mater le neurone : S’il ne fait que 31° cet été… vous aurez un « ressenti » de 48° !
Hein elle n’est pas mal cette idée-là : À 48°, on crève la bouche ouverte car on n’est jamais qu’à 2° des températures des grands déserts au midi solaire…
Forcément invivable.
Venez-y dans la cuvette de Corti (« Corsica-Bella-Tchi-Tchi ») où le thermomètre dépasse parfois 45° et que personne n’en meurt !
C’est pourtant situé en moyenne altitude…
Comme vous êtes sacrément kons, les « sachants » se marrent dans leurs palais climatisés de votre konnerie insondable (ils ne s’en lassent pas) quand ils parviennent encore à vous croire que quand vous avez chaud, vous avez encore plus chaud que ce que vous pensiez avoir chaud : Magnifique !
La température ressentie est une escroquerie scientifique hallucinante que personne ne dénonce, tout simplement parce que scientifiquement, la température se mesure en degrés Celsius (chez nous) avec un appareil appelé thermomètre. Tout le reste c’est de la bouffonnade !
Mais ça marche…
Pathétique.
On vous force à croire qu’il fait plus chaud que ce que le thermomètre indique. Conditionnement terrible des esprits.
 
Et bien sûr tout cela est généré par un système de propagande écolologiste qui vise à répéter à chaque hausse de température que c’est la faute au réchauffement, et que le réchauffement c’est votre faute à vous, et que pour vous faire pardonner et expier votre empreinte carbone, vous prendrez bien une petite (ou grosse) taxe en plus !
Car c’est bien à cela que cela se résume.
Chaque été on vous expliquera qu’il fait plus chaud que chaud à cause du réchauffement.
On ira jusqu’à vous forcer à voir le réchauffement partout, jusque sur la banquise désertée par les ours polaires tellement ils ont faim.
La « sinistre de la santé » explique même qu’elle est « très inquiète des concitoyens qui minimisent l’événement ».
Traduisez par le fait qu’elle est très inquiète de ceux qui se refusent à céder à l’hystérie collective caniculaire créée presque de toutes pièces.
Terrible signification : Celui qui ne bêle pas avec le troupeau doit-être éliminé du troupeau.
Et inutile de vous rappeler que, comme en 1976, « la taxe canicule » que « Jupiter » s’apprête à vous extorquer sera salée. Très salée, vu le niveau de propagande.
 
Et dans la foulée, on vous aura annoncé la sortie du premier numéro de « Yggdrasil » ce 26 juin. « Yggdrasil », c’est le premier magazine-livre qui s’intéresse aux effondrements possibles de notre civilisation, à la résilience et au renouveau.
Marrant : C’est devenu « marchand ».
Un magazine spécialisé collapsologie sonne comme un clin d’œil : Vous ne pourrez plus dire que vous n’avez pas été prévenu des effondrements possibles de notre civilisation. Le premier numéro de « Yggdrasil », un « trimestriel « écololo-bobo » (on précise qu’il est imprimé sur du papier recyclé…) est lancé par Yvan Saint-Jours et Pablo Servigne, l’inventeur du concept de « collapsologie ».
Il y en a qui ont le sens des opportunités, tout de même.
 
Chez ceux-là, « le seul thème important aujourd’hui, c’est l’effondrement. »
Et de préciser que « Yggdrasil », c’est l’Arbre Monde qui relie le ciel et la terre, les morts et les vivants dans la mythologie nordique.
Ils voulaient un symbole mythologique. Il est nordique : Il y fait plus frais !
Mais il n’y aura que 12 numéros (trois ans) : « Comme tous les organismes vivants. On a choisi 12 numéros, trois ans et on s’autodétruit. On va créer de l’abondance, comme l’arbre. Si l’arbre trouve de bonnes conditions de milieu, il redistribue les fruits à l’environnement et, en se décomposant, il redistribue à son écosystème. On voulait contribuer pendant trois ans. »
Même pas prétentieux…
« Une autre fin du monde est possible : Spirituelle, artistique, psychologique, philosophique… Il reste le chantier politique, que j’appelle la voie extérieure : l’organisation des buts. On n’a pas encore publié sur cette question. On voulait être sur ces trois tableaux : à la fois sur l’effondrement, sur les récits et sur le politique. Il y a trois pieds au tabouret et s’il en manque un, on tombe par terre. Un, créer un monde nouveau ; deux, les luttes, la défense du vivant ; et trois, le changement de conscience. Si on parle juste des solutions sans changement spirituel, on est foutu. »
Qui a parlé de fin du monde à part les Mayas ?
Nostradamus, Saint-Jean dans son apocalypse ?
 
Eux ils partent « du principe que notre monde s’effondre, on est saturés de mauvaises nouvelles ».
« On veut faire du bien aux gens qui se sentent vraiment concernés par cette question et il y en a de plus en plus. On vise le beau, un objet avec de belles photos, des dessins magnifiques. Si Yggdrasil marche bien, on mourra quand même mais on fera des petits. Comme les organismes vivants qui se reproduisent. On nourrira un autre écosystème, d’autres journaux, d’autres magazines, des éco-lieux, des associations… »
Des moines de la cause « écololo-bobo » qui font « business » sur le sujet…
 
Comme quoi, on est bien dans une démarche typiquement religieuse : Le Coran, les évangiles, les prophètes parlent eux aussi de la « fin des temps », un thème récurrent de prédilection !
Pour le Coran, il arrivera le jour ou le soleil se lèvera à l’ouest…
Ce qui est pour bientôt puisque le champ magnétique de la planète doit s’inverser d’ici peu (quelques siècles encore, je suppose).
Un sujet d’inquiétude « majeur » : Vos « sachants » trouveront bien le moyen de lever une taxe nouvelle à cette occasion.
Et je suis le seul à m’insurger contre cette façon inique de gouverner qui consiste à vous terroriser, puisque les islamistes n’y suffisent plus…

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