La vieillesse, c’est quand les bougies
coûtent plus cher que le gâteau.
Jean-Marc et madame ont tous deux la cinquantaine.
Leur dernier enfant vient de se marier
et l’heure est à la nostalgie.
Le soir, dans le lit, madame se fait
romantique.
Elle retire délicatement les lunettes
de son mari et lui dit, les yeux pleins d’amour :
« Tu sais, chéri, sans tes
lunettes, tu ressembles toujours au beau jeune homme que j’ai épousé… »
Et Jean-Marc répond :
« Mais, chérie, sans mes
lunettes, toi aussi tu as encore l’air pas mal du tout ! »
Jean-Marc entre dans un bureau de tabac demande
un paquet de Gauloises.
Le buraliste lui donne le paquet
demandé.
« – Hum… Non, je veux un paquet
de Gitanes à la place.
– Parfait, le voici. »
Jean-Marc le remercie et quitte
l’établissement.
« – Hé ! Vous n’avez pas payé !
– Pas payé quoi ?
– Votre paquet de cigarettes.
– Le paquet de Gitanes ?
– Oui, c’est ça.
– Hé ! Ça va pas, je t’ai donné un
paquet de Gauloises en échange !
– Oui, mais l’autre, vous ne l’avez pas
payé !
– T’as pas remarqué que je ne l’ai pas
pris aussi ! Pour qui me prends-tu ? »
Jean-Marc arrive au bureau et ses collègues
remarquent qu’il porte une boucle d’oreille.
Ils sont d’autant plus surpris que Jean-Marc
est connu pour son grand conservatisme et son manque d’ouverture d’esprit.
Trop curieux, Jean-Jacques, un des
collègues, finit par dire :
« – J’ignorais que tu aimais ce
type de bijoux ?
– Oh, ça va. N’en fais pas une romance
!
– Et depuis combien de temps portes-tu
une boucle d’oreille ?
– Depuis que ma femme l’a trouvée dans
le lit. »
Après avoir atteint le sommet du Pic du
Midi, les deux alpinistes redescendent. Quelques heures plus tard, ils arrivent
à la crevasse St-Frusquin, l’obstacle le plus dangereux sur leur chemin.
Le premier, le plus grand, le plus
expérimenté, saute… et s’accroche de justesse. C’est vraiment difficile. Il
fait froid. Très froid.
Enfin, il tend la main vers le deuxième
qui se prépare à sauter.
« – Jean-Marc, je sais
que tu couches avec ma femme…
Allez, saute !
– … !
– Allez ! Vas-y ! Courage. »
« – Tu connais la ressemblance
entre un curé et un sapin de Noël ?
– Oui : Dans les deux cas, les
boules ne servent qu’à la décoration ! »
Les lectures de Jean-Marc :
« Il y a 15 jours, je lis dans
le journal que fumer tue : Le lendemain, j’arrête de fumer.
Il y a 8 jours, je lis que boire tue : Le
lendemain, j’arrête de boire.
Hier, je lis que baiser à gauche et à
droite tue : Ce matin, c’est décidé, j’arrête de lire ! »
On sauve sa peau comme on peut et comme
on tente de le faire encore actuellement dans ce bas monde.
Dans un avion américain, le commandant
de bord dit à ses passagers :
« C’est votre commandant qui
vous parle. Nous perdons de l’altitude et nous n’avons pas assez de carburant
pour atteindre notre destination. Donc, nous allons larguer hors de l’avion
tous les bagages. »
L’avion regagne de l’altitude.
Une demi-heure plus tard, l’avion
reperd de l’altitude et la voix du commandant se fait encore une fois entendre
dans les hauts parleurs du bord :
« C’est votre commandant qui
vous parle. Nous perdons encore de l’altitude et nous ne pourrons pas atteindre
notre destination sans jeter quelques passagers hors de l’avion. C’est une
mauvaise solution, mais nous allons le faire d’une manière honnête et
démocratique. Nous allons utiliser l’alphabet. Commençons par la lettre A. Y
a-t-il des Africains ? »
Personne ne répondit.
« Y a-t-il des Blacks ? »
Toujours pas de réponse.
« Y a-t-il des gens de Couleur ? »
Toujours pas de réponse.
Mais, à l’arrière de l’avion, un petit
garçon demande à son père :
« – Papa, tu m’as toujours dit
qu’il fallait être honnête. Nous sommes d’Afrique, nous sommes Black et donc
des gens de Couleur.
– Oui, mon fils. C’est vrai. Mais
aujourd’hui nous sommes des Nègres et s’il le faut nous serons Zoulous… »
Une revenue… de très loin !
C’est un jeune avocat qui vient
d’ouvrir son propre cabinet.
Il a hâte de recevoir son premier
client, et il a très envie de faire forte impression dès le départ.
Si bien que lorsqu’il entend frapper à
sa porte, il dit « entrez » et tout de suite, il décroche son téléphone
pour simuler une conversation animée :
« Oh je suis vraiment désolé
Monsieur, mais mon emploi du temps est tellement chargé que je ne pourrai pas
m’occuper de votre problème avant un mois.
Je vous rappellerai à ce moment-là. Au
revoir ! » Et il raccroche
le combiné.
Puis le jeune avocat se tourne vers le
visiteur et lui demande :
« – Bonjour. Que puis-je faire
pour vous ?
– Je suis de Transe-télécom et je suis
venu pour brancher votre téléphone. »
Un homme d’affaires très malade visite
son médecin.
Le médecin l’examine et fait
soudainement un pas en arrière en disant :
« – Mais mon cher monsieur,
c’est avec d’immenses regrets que je dois vous dire que vous avez attrapé le
virus de la rage et qu’il vous emportera.
– Pouvez-vous me donner un crayon et du
papier, Docteur.
– Vous voulez écrire votre testament ?
– Non, je veux faire la liste des
personnes que je veux mordre. »
Trois vieilles dames se promènent en
voiture à 15 Km/h sur l’autoroute au risque de provoquer des accidents.
Un policier les arrête et demande à la
conductrice :
« – Pourquoi roulez-vous si
lentement ?
– C’est la limite, n’est-ce pas ? Il
est écrit sur le panneau, là ! »
Le policier regarde le panneau en
question et répond à la dame :
« Ce n’est pas la limite de
vitesse madame, mais bien le numéro de l’autoroute. En ce moment, vous êtes sur
l’autoroute « A 15 ». »
Et le policier jette un œil sur la
banquette arrière et voit 2 autres dames qui ont le teint pâle comme si elles
venaient de voir un fantôme.
Le policier demande alors pourquoi
elles sont dans un tel état.
La conductrice répond :
« C’est qu’on vient de sortir
de la route nationale 168, monsieur l’agent ».
Recommandations diverses de Germaine à
une amie :
« – Quelle est la meilleure
façon de garder un homme au lit ?
– Je ne sais pas… Ne pas cesser de lui
faire des gâteries ?
– Non ! Mettre la télé dans la
chambre à coucher ! »
« – Pourquoi crois-tu que les
hommes préfèrent-ils prendre des douches plutôt que des bains ?
– Je sais : Parce que pisser dans
son bain, c’est dégoûtant ! »
Deux Terriens viennent d’atterrir sur la
planète des Ummos.
Et autour d’eux, tout n’est que sable
et rochers.
Quand soudain à quelques pas de leur
vaisseau, une porte s’ouvre, et un Ummo en scaphandre leur fait signe
d’avancer.
Aussitôt les Terriers se dirigent vers
l’entrée et empruntent un escalier d’une centaine de marches au bout duquel ils
découvrent une ville fabuleuse.
Ébahis, ils découvrent une ville
immense avec des véhicules qui se déplacent sans bruit et sans pollution.
L’Ummo commence à retirer son
scaphandre et apparaît une merveilleuse Ummo.
À sa demande, ils retirent aussi leur
scaphandre et sont étonnés de respirer un air frais comme sur Terre.
Ils demandent à la Ummo de visiter la
ville.
« Bien sûr, mais puisque vous
êtes deux, je vais chercher mon amie. »
Chemin faisant les Terriens découvrent
que les Ummos sont très évolués par rapport à eux, qu’ils étaient attendus car
ils captent aussi toutes les télévisions terriennes.
Ce sont des gens pacifiques.
Ils détestent les guerres qu’il y a sur
terre et ils sont tellement bien sur la planète Ummo qu’ils ne veulent pas
aller voir ailleurs.
Mais c’est le soir et après un bon
repas dans un restaurant, les deux couples se séparent, chaque Terrien partant
avec une Ummo.
À la maison, la Ummo se déshabille et
toute nue se jette dans un jacuzzi au centre de la pièce.
Notre Terrien est subjugué par la
beauté de cette femme au corps de déesse.
Il se déshabille et rejoint la Ummo
dans le bain.
Bien sûr après un si long voyage et la
vue de la merveilleuse créature à côté de lui, des pensées érotiques lui
montent immédiatement à la tête.
Il lui demande insidieusement :
« Comment fait-on les bébés sur
Ummo ? »
La Ummo sort du bain, ouvre un placard,
en sort deux bouteilles (une verte et une rose).
Et elle lui demande s’il veut un garçon
ou une fille.
« Une fille ! »
Elle verse alors deux mesures de la
bouteille rose et une mesure de la bouteille verte dans un grand saladier.
Elle remue environ une minute avec une
cuillère en bois et tout à coup, un bébé fille apparaît.
« Voilà », dit-elle, « Et
sur Terre comment faites-vous ? »
À ce moment-là, il n’en peut plus, il
se jette sur la Ummo et lui fait l’amour.
Cependant au bout de quelques minutes,
c’est déjà fini.
La Ummo lui demande :
« – Où est le bébé ?
– Tu le verras dans 9 mois.
– Dans 9 mois ?
– Oui, c’est ça.
– Alors, pourquoi t’arrêtes ? Il faut
continuer ! »
Jean-Marc à Jean-Paul :
« On était tellement pauvre à la
maison quand j’étais petit, c’est bien simple, si je n’avais pas été un garçon,
je n’aurais rien eu pour jouer. »
Une revenue de mes aventures
polynésiennes d’antan :
Un petit Indien demande à son père, le
grand Sachem-Tout-emballé :
« – Dis Papa, pourquoi, nous
les Indiens, portons-nous des noms très longs, alors que les cow-boys eux, ont
des noms plus courts comme Bill, Tex, Sam ?
– Eh bien, c’est parce que nous sommes
des gens près de la nature et que de ce fait nous avons gardé une certaine
poésie. Pas comme ces blancs qui vivent en ville et ont tout perdu !
Vois ! Ta sœur s’appelle «
Petite-lune-argentée-se-reflétant-dans-le-lac-scintillant ».
C’est parce qu’elle est née par une
nuit claire, un soir de printemps et que de ce fait, la lune se reflétait dans
un grand lac sombre et profond, bordé de grands arbres.
Le paysage était magnifique.
Nous étions heureux ta mère et moi.
Et nous avons voulu nous rappeler pour
toujours cet instant. D’où le nom de ta sœur.
Pour ton frère, c’est pareil, lui
s’appelle « Aigle-majestueux-survolant-la-montagne » parce qu’il est né par un bel été, dans une
grande prairie entourée de hautes montagnes enneigées et qu’un grand aigle
survolait à ce moment-là, toutes ailes déployées, à la recherche sans doute de
sa future proie. C’était grandiose et majestueux.
Nous avons voulu conserver ce souvenir.
D’où le nom de ton frère. Voilà, c’est tout simple.
As-tu d’autres questions Petit-Préservatif-plein-de-trous
? »
Jean-Marc n’était pas trop heureux de la
prescription de son médecin.
« – Quoi Docteur ? Vous voulez
que je renonce au sexe totalement ? Mais je suis un jeune homme dans la fleur
de l’âge. Comment espérez-vous que je puisse abandonner le sexe et faire
abstinence ?
– Eh bien », répond le médecin, « vous
n’avez qu’à vous marier, comme ça vous arrêterez graduellement. »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : Et n’omettez pas les publications
de « mon Gardien » :
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