C’est demain !
Alors, regardez bien ce qu’il va se passer : Soit
on va vous en mettre plein la vue du « grand-homme » érigé comme un
totem à panthéoniser de la « gôche-caviar » qui ne recule devant rien,
à coup de reportages, émissions-télé-dédiées, unes de canard, bouquins (c’est
déjà le cas) ;
Soit on passe sous silence le moment de recueillement,
hors quelques détours à Jarnac et quelques réunions entre initiés où seront
présents ses gamins ;
Soit…
Et tant qu'à réveiller le totem et ses démons, nos « journaleux-aux-ordres »
feraient mieux de rappeler à tous les contribuables de ce pays combien il a
détourné de fric !
Les
députés se posent des questions, mais personne n’ose encore relayer,
caguant de trouille, pétochant chacun pour son matricule…
C’est beau l’asservissement de la « presse-libre »,
finalement !
Soit on nous ressort justement ses casseroles encore dissimulées
(pour œuvre salutaire d’utilité-publique) !
Les choses sont mûres, hors les élections du 8
novembre aux USA et les primaires « Gauloisiennes » pas encore
tout-à-fait pliées, ni à « droâte », ni encore moins à « gôche »,
voire même chez les écololos.
À suivre donc et on en reparlera à l’occasion.
Pour ma part, je vous rappelle, non pas l’histoire
politique du « bonhomme » avec laquelle ils vont tous essayer de se faire
du fric sur votre dos, mais celle d’avec « Âne-Pigeot-Simca-mille »,
née le 13 mai 1943 à Clermont-Ferrand, conservatrice honoraire au musée d'Orsay
de son état : Un job où tu touches à ne rien faire.
Surtout à ne rien faire, naturellement.
En 1961, lorsqu’il la séduit, il avait 46 ans, elle 19,
pas encore majeure : Le démon de midi !
Elle aurait pu être sa fille. Et lui, droit dans ses
mocassins de détournement de mineur, il rêve tout haut d’inceste.
Il l’écrit même : « Je t’aime de toute ma chair comme je n’ai jamais aimé prendre une
femme.
Rien
d’autre n’a existé.
Il n’y
a donc pas d’erreur possible, ô inceste
parfait !
La
plaisanterie que je faisais (de mauvais goût !) est devenue vérité : tu es
l’enfant auquel j’ai rêvé chaque jour avec toutes les délicatesses du ciel et
de la terre.
Te
perdre, c’est tous les malheurs à la fois.
Imaginer
que tu appartiennes à un autre, physiquement, est atroce. »
Ce n’est pas moi qui le dit, mais lui dans une de ses
lettres à « Âne » récemment publiée, le mettant dans le rôle assumé
du « vieux-pervers » qui galope les pucelles dans les jardins publics
ou à la sortie des ékoles…
Fabuleux comme totem, non ?
Car ce kon, de leur rencontre à septembre 95 à
quelques mois avant son décès (janvier 96), il a écrit 1.276 lettres à son « Âne
chérie », sa « Nannon aimée », son « canard à l’orange amère », sa « Nannour », son « Animour » : Elle l’aura bien hameçonné, celle-là.
Hameçonné ?
Du vulgaire « fishing », quoi, de préférence
de sociopathes, pardon, « socialo-pathes » présidentiels ou
présidentiables, tous avides de chair fraîche : « Déesse-khâ »
sautant sur une femme de chambre et quelques autres, « Flanby-à-la-fraise-tagada »
gambadant après une starlette pas de son âge, et d’autres comme « Beau-peint »,
« Bling-bling » sautant sur le clone de « Tché-tchi-lia »
(douze ans sa cadette, ça reste acceptable) en plus jeune (10 ans plus jeune en
fait), etc.
Il n’y a que « Mac-Rond » qui ne nous a pas
fait ce coup-là, préférant jouer Œdipe dans le rôle de jeune premier !
Quoique là encore, d’après ma « Petite-sœur »
(celle
qui, si elle n’existait pas, il faudrait quand même l’inventer…) m’aura
révélé que « ça cache quelque-chose », style, il n’est pas du tout ce
que l’on croit…
Moi, je n’ai rien dit : Je m’en tamponne totalement
le coquillard !
On verra bien si la suite lui donne raison ou non.
Ce qui m’a étonné, c’est que « L’Obs » tombe
en pâmoison devant cet amour stupéfiant, ce génie épistolaire, ces mots
parfaits, cette poésie du corps et de l’esprit…
Surtout sans intérêt en pense-je.
À part celui de marquer le centenaire de la naissance
de « Mythe-errant ».
À croire, qu’à part dans « L’Obs », le
socialisme-gauloisien, ça n’existe plus…
La maison d’éditions gagnera-t-elle du fric avec ce
strip-tease sentimental, cet étalage indécent de lettres et de poèmes ?
Disons qu’elle pourrait écraser ses « coûts-fixes » :
La « tontonmania » pourrait faire flop…
On y découvre notre auteur du « Coup d’État
permanent » se languissant parce que sa belle en a marre de ses retards
perpétuels et qu’elle décampe parfois avant l’arrivée de l’amant.
Nous sommes fin mai 68. « Mythe-errant »,
portant beau ses 50 ans se portait candidat à la succession du général de
Gaulle.
Mais visiblement, il avait d’autres préoccupations.
Voici ce qu’il écrivait à Âne :
« Mon amour,
Pourquoi
m’as-tu fait cette peine ?
Je suis
arrivé à l’Orangerie à 10 h 02. Dix-sept minutes, était-ce si long d’attendre
en échange de la joie profonde – et un peu nécessaire – que j’espérais ?
Je
t’aime.
Je dois
vivre les événements rigoureux que tu sais, j’ai besoin de toi comme de l’être
qui est le meilleur et la vérité de moi-même, et voilà que dix-sept minutes
c’est trop long !
J’étais
si heureux de te revoir en paix un bon bout de notre après-midi. Mais il est
déjà 3 heures, je t’appelle en vain depuis une demi-heure et je vois le temps
mordre mon bonheur d’aujourd’hui.
J’en
suis si triste !
Jusqu’à
5 heures j’espérai. Après quoi je serai mobilisé ici.
Pourvu
que tu reviennes à temps pour que nous puissions dîner ensemble !
J’éprouve
un vrai désarroi. Tu n’as jamais compris à quel point tu étais moi-même.
Tu me
manques parce que tu l’as décidé.
Je ne
comprends pas, moi, cette dureté.
Je
crois bien t’aimer plus que jamais.
Mon (Âne) aimée, en dépit de l’Histoire qui marche en
ce jour à grande allure, je suis celui que tu aimes et qui t’aime, celui qui
sourit au bonheur de Gordes et au silence de Torcello, celui qui regarde de sa
fenêtre les lupins de Saint-Benoît.
Mon
amour pour toi est mon sang, ma chair, mon souffle.
Pourquoi
me fais-tu cette peine ? »
Hein, c’est beau comme une guimauve prétentieuse que même
les éditions Harlequin refuseraient !
Les lettres d’amour de « Mythe-errant » sont
finalement à l’image du personnage, un prétendu sphinx, un politicard roué et
cynique qui aurait le niveau littéraire qui sied à « Nous deux »
quand il la jouait « Lettres » à une nymphette bourgeoise papiste-de-gôche.
Cette correspondance laisserait à mon sens l’impression
qu’il se regarde écrire comme d’autres s’écoutent parler : « Je voudrais t’embrasser à petites lapées. Tu
es mon oiseau chaud et doux de la nuit. »
Arf, à 50 piges, il faut oser le faire, et pire,
publier ce genre de mièvreries !
Des pleurnicheries d’adolescent-attardé auraient dû
finir dans son musée de Jarnac. Les dizaines de visiteurs annuels auraient pu
jouir de la prose de l’inventeur de l’attentat de l’Observatoire dans la plus
grande intimité.
Une maîtresse attitrée, une femme (qu’il envoya de par
le vaste monde faire la bise à Castro, aux guérilleros salvadoriens, aux
zapatistes mexicains au nom de l’association « Trance-Libertés »),
des aventures (« On ne peut pas les avoir
toutes, mais il faut essayer », avait-il coutume de dire), pour avoir essayer
entre autres la suédoise Christina Forsne – il avait 62 ans, elle 31 – parait-il
Dalida, Annie Girardot, Christine Bravo et sans doute d’autres.
Preuve « indû-bitable » de son cynisme
épuisant, finalement.
Pourtant, entre deux séances de baises et de
littérature de quai de gare, il s’occupait aussi du pays : Destruction de la
Calédonie-Gauloisienne, création de SOS Racisme, grands travaux parisiens pour
complaire à Âne et quelques petites disparitions entre amis : « Grosse-œuvre »,
« Béret-go-voit », par exemple.
Et c’est aux frais des contribuables, que sont
protégées, logées, nourries, maîtresse et fille cachée.
Rappelons que quand en 1984, Jean-Edern Hallier
écrivit « L’Honneur perdu de François Mitterrand », livre dans lequel
il révélait son cancer-prostatique, sa proximité avec Pétain, ses liens avec « René
Bosquet », l’existence de sa fille adultérine, logée quai Branly sur les
budgets de l’Élysée, le livre fut refusé par dix-sept éditeurs !
Le dix-huitième publia, mais l’ouvrage, fut détruit en
cours de route et n’arriva jamais en librairie : Merci à la censure « démocratique et
soce » des forces de progrès en marche…
Le pamphlet finit par sortir en 1996 : Douze ans
plus tard !
Merci ce fameux « quatrième-pouvoir » aux
ordres qui fait si bien son boulot pour être archi-subventionné par « les
puissants » de ce monde…
Et un an plus tard, en 1997, « JEH », à
moitié aveugle et fils d’un général de brigade héros de la « Grande-Guerre »,
sera victime d’un accident alors qu’il circule à bicyclette en Normandie.
Pas de témoin.
Au même moment, le coffre-fort de sa chambre d’hôtel sera
forcé et les documents concernant « Mythe-errant » et « Relent-Du-mât »
disparaissent, alors même que son appartement parisien, avenue de la
Grande-Armée, est également « visité ».
Lors de ses derniers vœux à la Nation, il lança, lui l’agnostique
déclaré et revendiqué : « Je crois aux
forces de l’esprit et je ne vous quitterai pas ».
C’est sûr, ses arsouilleries persistent à pourrir la
vie politique de mon pays.
Petit-rappel pour les mécréants : Suivre
le lien de chez « l’Ami-râle ».
Un malheur n’arrivant jamais seul, en même temps que
les lettres d’amour, sortirait en librairie un livre de scrapbooking du sieur :
« Journal pour Âne ».
493 pages de photos, articles de presse, cartes de
visite d’hôtels, cartons d’invitation, faire-part de mariage, dessins, cartes
postales, fleurs séchées, coupures de presse, billets de train ou tickets de
cinéma collés, scotchés, annotés.
Si ce n’est pas de l’indécente idolâtrie, qu’est-ce
donc alors ?
Voilà, juste quelques mots pour dire toute l’estime que je porte sur le personnage pour ne pas avoir à y
revenir demain et vous remettre les idées en place sur la place du bonhomme, c’est-à-dire
les idées dans le bon sens, SVP : Il n’y en a qu’un qui compte, aller de l’avant
sans oublier de rester critique quant aux erreurs déjà commises.
Pour ne plus les renouveler (petite-pique au passage à
l’intention de « Bling-bling » et « Fifi-le-déchu »).
Allons! Allons! Ressaisissez-vous! Cet article n'est pas du tout - mais alors vraiment pas du tout - à la hauteur de la qualité de votre blog ...
RépondreSupprimerPas d'attaque ad hominem! Si Sarkozy ne peut prétendre redevenir Président de la République, ce n'est pas parce qu'il porterait des "talonnettes" comme on le voit écrit sur la toile ... C'est parce que sa personnalité le rend incapable d'exercer des fonctions de ce niveau! A coup sûr, il enverrait le navire France par le fond.
Ces ouvrages sont une contribution à l'Histoire, rien de plus! Mitterrand est mort. Paix à son âme (s'il en a une!). Anne Pingeot a voulu elle-même entrer (un peu!) dans la petite Histoire. Cela n'est pas aussi dommageable que d'aucuns voudraient nous le laisser à entendre!
Encore une fois, vous êtes hors sujet, Monsieur mon conseiller-omnipotent !
Supprimer1 - D'abord, et c'est marqué en en-tête de ce blog depuis toujours, je ne vise à aucune "qualité" quelle qu'elle soit : Alors on se calme, SVP !
2 - Je suis assez d'accord sur le principe du pas d'attaque ad hominem. Mais comme toute règle de portée générale, elle comporte ses exceptions.
Et "Mythe-errant" en est une et fameuse, en plus !
3 - "Bling-bling" n'est pas spécialement visé par ce post, hors la "pique-finale" mais au même titre que "Fifi-le-déchu" son ex premier des "sinistres".
Et puis vous n'y êtes pas : Il a déjà piloté et pendant 5 ans les destinées du pays.
Certes, il l'a mis à genou, mais son successeur l'a mis à terre et je ne suis pas certain que le suivant puisse le relever correctement, tellement il est tombé plus que bas.
Tout ce qu'on peut désormais espérer pour le pays et ses citoyens, c'est qu'on ne les enfonce pas plus.
4 - Certes, ces bouquins sont "de l'histoire", rien de plus : C'est un peu ce que j'en dis d'ailleurs.
Mais pas à ce niveau du caniveau...
Ou alors, c'est un manque total de respect : Tout ce que finalement le personnage inspire, jusque chez "ses plus proches", semble-t-il.
A la fois absurde et fantastiquement incroyable.
Alors oui, elle, elle fait un peu de fric à jouer sur le voyeurisme de ses contemporains : Y'en a eu d'autres avant elle, hélas !
Mais j'attends demain pour situer le niveau de dégoulinades qui va suivre.
Bien à vous !
I-Cube
@ I-Cube
RépondreSupprimerLa Vèm république est devenue un magnifique « totalitarisme mafieux » où l’ensemble du pouvoir politique (sauf quelques-uns), de la presse et des médias, des fonctionnaires, maintient une Omerta indigne d’une démocratie !...
Combien de temps encore un président pourra-t-il détourner des milliards en toute impunité ?...
Dans notre système, le manque d’éthique, d’intérêt général, de courage, conduit les cerveaux les plus pervers à essayer d’obtenir le pouvoir suprême et à y arriver !...
On a eu deux cas récents avec « Bling-bling » et le « capitaine de pédalo » !...
Des médiocres, des malhonnêtes, des manipulateurs, tiennent le pays parce que la lâcheté est générale.
Car ils sont tous responsables !...
Toute la classe politique, les faiseurs d’opinion, les fonctionnaires…
En fait, tous ceux qui avaient un pouvoir et se sont tues !...
La démocratie est bloquée, mais les citoyens le savent.
La classe politique est déconsidérée et les dernières confidences du « capitaine de pédalo », tout comme les lettres cyniques et niaises du « grand homme », vont renforcer la tendance !...
Comment sortir d’une telle impasse ?...
En ayant simplement du courage !...
En pariant sur la vérité, sur la transparence !…
Les « Gaulois » ne sont plus à un scandale prêt et supporteront la divulgation d’une affaire qui a 25 ans.
Ils en ont vu d’autres.
Et si nos dirigeants ne font rien, ils dérouleront un boulevard pour le « Elf-Haine », comme c’est le cas depuis pas mal d’années.
Bien à vous !...
Haddock
C'est sans doute plus compliqué que ça.
SupprimerSouvenez-vous, nous avons assisté impuissants et révoltés à la montée des mesures liberticides sous le "Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois-tagada" au motif de la lutte contre le terrorisme, un peu affolés et pour des résultats plus que mitigés...
Et à part quelques ONG, personne ne s'est révolté !!!
Et puis, elles-mêmes "subventionnées" se sont tues...
Pour le premier novembre prochain, je vous ai programmé une interview d'Edward Snowden, l'espion du NSA à l'origine des Wikileaks, qui décortique pour nous ces mécanismes. C'est un peu long, mais c'est clair, et c'est effectivement une question de courage (et il en a eu en sachant parfaitement ce qui l'attendait, au moins autant que Julien Assange, qui tous les deux, en payent le prix actuellement), mais pas seulement : il y a de puissants relais dans les médias et l'opinion publique pour vous faire passer pour un débile-profond...
Voire un aliéné (comme les réactions des autorités gauloisiennes face à vos dires, souvenez-vous du mépris affiché...) !
Une technique efficace qui rappelle les asiles-nazis et les goulags soviétiques qui persistent à fonctionner.
A mon sens, il faut attendre que le système mafieux s'effondre de lui-même sous le poids de ses propres mensonges : En URSS, ça a demandé 70 ans, deux générations et pour un résultat pas tout-à-fait conforme aux attentes...
Patienterez-vous jusque-là ?
Moi, je serai à Portoferraio pour un dernier tour en mer avant l'hiver...
Bien à vous !
I-Cube
@ I-Cube
SupprimerC’est la conclusion à laquelle je suis arrivé depuis longtemps : la Divulgation ne se fera que lors de l’effondrement du pays, économique et financier, comme pour l’ex-URSS !...
Ce sera alors secondaire mais cela permettra de commencer à comprendre comment nous en sommes arrivés là.
Pour l’instant, il n’y a pas d’autre choix que d’observer nos crises politiques, le déficit de l’Etat qui se maintient, l’endettement du pays en croissance, la montée du chômage, l’exclusion qui progresse…
Encore deux ou trois ans comme cela et nous y serons, à moins de surprise…
Est-ce que je pourrai patienter ?...
Cela dépend du « crabe » qui a entrepris d’avoir ma peau !...
Bien à vous !...
Haddock
Non mais, je causais du post du 1er novembre, journée de "tous les saints"...
SupprimerPour le reste, effectivement, dans quelques temps ce ne sera plus "nos" affaires, mais ceux de la génération qui nous suit.
Le problème, c'est qu'elle n'est absolument pas formée - tout comme nous n'avons pas été formé à notre époque - à ce genre de forfaiture !
Est-ce que quand ils vont découvrir ce niveau de corruption généralisée, qui finalement aura gangrené toute la sphère publique et se traduit effectivement par un appauvrissement généralisée, ils seront capables de construire, là où nous avons échoué, un système politique "clean" qui écarte les "esprits tordus" ?
Vous savez, entre "Nanar-Tapis" et "Caca-zut-heck" ("t'es-venu", "Bal-qu'a-nie", "Pig-maillon" et Cie) on aura eu en une décennie un sacré condensé de turpitude, le tout vécu à travers le nihilisme-politique du terrorisme international (qui est un autre réponse...).
Jusqu'où faudra-t-il aller ?
Je parie à des émeutes-sanglantes jusque dans les rues des grandes-villes, les gens ne se supportant plus les uns les autres.
Parce que quand on voit les "nuit-debout", "Podemos" ou "5-étoiles", voire "Tsi-tsi-passe", il ne se passe rien d'encourageant : Même eux sont "dans" le système !
Tous "cramés" par le sida de la corruption, finalement.
Enfin, on verra bien... si on survit jusque-là !
Bien à vous !
I-Cube