Moment
de grâce démocratique…
Il vous faut voir ce petit morceau d’anthologie :
http://www.dailymotion.com/video/x4ymgvy_le-discours-exceptionnel-du-ministre-president-de-la-wallonie-la-belgique-ne-signera-pas-le-ceta_news
Il s’agit d’extraits du discours du Ministre-Président Wallon sur l’accord
de libre-échange avec le Canada qui vient de capoter !
Et Paul Magnette, puisqu’il s’agit de lui, n’y va pas par quatre
chemins : Un petit-génie ce gars-là, qui ferait bien d’inspirer la
Commission, les membres du Conseil et quelques parlementaires européens.
L’accord commercial Canada/Europe, un texte de « 1.600 pages » au moment
où je mets en ligne, j’ignore s’il sera ou non finalement signé pour être
simplement reporté. Normalement, c’était pour demain, et c’est devenu le « petit-truc »
qui fait œuvre d’épine dans le pied de la grande Europe !
Fabuleux, une fois encore.
Un discours à entendre et éventuellement à faire suivre à votre député de
circonscription pour qu’il puisse en prendre un peu de la graine !
En effet, d’après une dépêche de l’AFP de dimanche soir, l’Union
européenne et le Canada devait décider lundi soir s’ils maintiennent le sommet
de signature sur le Traité de libre-échange CETA, prévu jeudi à Bruxelles, avait
déclaré à l’AFP une source européenne.
« Demain après-midi/soir (…), le président du Conseil européen, « MacDonald
Tutusk » aura une conversation
téléphonique avec le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, pour décider
s’ils maintiennent le sommet, a dit cette source. »
« Cette décision sera prise d’un
commun accord entre M. Tutusk et M. Trudeau », a-t-elle ajouté :
Co-responsables, donc.
« Elle dépendra beaucoup de ce
que le Premier ministre belge, Charles Michel, dira à « Tutusk », a poursuivi cette source. »
« La Belgique est le seul pays des
28 de l’UE à ne (pas) pouvoir pour
l’instant signer l’accord du CETA, négocié pendant sept ans, du fait de
l’opposition de la région francophone du sud du pays, la Wallonie. »
Et puis finalement, pas de déplacement, retour à la case « négociation »…
Des négociations lancées depuis 7 ans, un traité occulté par son grand
frère, le Tafta, des tractations européennes ne fuitant que quelques semaines
avant la signature, les derniers récalcitrants véhéments comme l’Autriche mis
dans le rang.
Et la Belgique contrainte de déclarer lundi dernier qu’elle rejetait l’ultimatum
lancé par « McDonald Tutusk ».
« Il est évident que, dans les
circonstances actuelles, on ne peut pas donner un oui aujourd'hui », a
expliqué le chef du gouvernement wallon. Une déclaration dont le Premier
ministre belge a tiré la conséquence, constatant que son pays n'était pas « en état de signer le Ceta ».
Drame chez les eurocrates…
D’autant que … le 19 octobre, interviewé sur RTL, le chef du Parti
centriste membre du gouvernement wallon déclarait qu'il faudrait « plusieurs mois pour renégocier un traité
». Il affirmait ne pas être « contre le
libre-échange », mais que « les
études économiques (étaient) controversées
: on parle de 0,08 % de croissance en Europe grâce au traité. M. De Roover,
économiste des Nations unies, a déclaré que ce traité détruirait 200.000
emplois ».
À ceux qui l'accusaient de se réveiller un peu tard, il rétorquait : « J’ai averti la commission depuis un an de
nos réticences et je ‘pas eu de propositions avant ces dernières semaines.
»
Et la Wallonie de demander qu’un report, afin que certains points de l’accord
soient « réexaminés », ce qui obligeait la réouverture des négociations.
Une attitude qui a provoqué la colère canadienne : Le pays a quitté la
table, dans l’espoir que ses partenaires européens auront raison des Wallons
avant jeudi.
Raté !
Le « plus-pire » c’est que le chef de gouvernement de la
Wallonie est un « soce-démocratouille-pro-européen », ni un europhobe,
ni même un eurosceptique. Il est au contraire un fervent défenseur de l’UE. Et
il la connaît bien, lui qui a consacré sa thèse à la question de la
construction européenne.
C’est avant tout un universitaire. Professeur à l’Université libre de
Bruxelles (ULB), il a entre autres enseigné à Sciences-Pô Paris et à Cambridge
(Royaume-Uni) et a longtemps été un contact privilégié des journalistes
travaillant sur les questions européennes. Si Magnette sait que son refus de
signer le Ceta plonge l’UE dans une nouvelle crise, après celle du Brexit, il
ne s’en réjouit pas. Son objectif n’est d’ailleurs pas d’enterrer le traité,
mais de le renégocier.
Il l’a affirmé à plusieurs reprises.
« Pro-démocrate », s’il refuse, en tant que responsable
politique, de signer le Ceta, c’est parce qu’il estime que ce traité ne protège
pas, en l’état, le bien commun. Il juge également très peu démocratique la
manière dont se sont déroulées les négociations.
Dans le discours très relayé sur les réseaux sociaux, Magnette estime que
les Wallons ne sont pas « plus bornés que
les autres », mais assure que « la
Wallonie a toujours été une terre de grande vitalité démocratique ». Et
c’est, poursuit-il, parce que les citoyens wallons ont étudié le texte « avec beaucoup de sérieux », qu’ils « se posent des questions ». D’où la
nécessité, selon Magnette, de rouvrir les négociations : « Être isolé de ses propres citoyens, à une époque où la démocratie est
si profondément en crise, est aussi grave qu’être isolé diplomatiquement. »
Pour le Wallon, « c’est cette
méthode qui ne va pas » : Cette façon de snober le débat démocratique
en pensant que les élus « finiront bien
par être d’accord ».
« Il y a des moments, il faut savoir dire stop », affirme-t-il.
Ce qu’il a fait malgré les pressions.
« Il y a des moments, il faut savoir dire stop », affirme-t-il.
Ce qu’il a fait malgré les pressions.
Ceci dit, lundi matin déjà, j’étais aux anges. Non pas parce qu’un
Parlement régional puisse bloquer l’avancée irrésistible de l’Europe dans le
concert du monde, non, vous me savez profondément européen !
Mais parce que le fonctionnement de l’Europe est manifestement à revoir de
fond en comble, en passant au Kärcher tous les étages de « l’eurocratie ».
C’est de plus en plus évident et le nier participe non seulement au déni
de démocratie mais devient mortifère pour toute l’institution.
Enfin quoi, après le « Brexit », dont on commence seulement à
comprendre toutes les conséquences – les banques de la City, les compagnies
d’assurances, les établissements financiers envisagent sérieusement de
délocaliser, là avant Noël pour les plus agiles, en janvier pour les mastodontes,
les investisseurs américains restent frileux quant à leurs investissements, sur
la défensive, dans l’attente, le dollar devient de plus en plus la valeur
refuge par excellence telle que vous n’allez pas couper à une augmentation des
taux de base de la Fed avant la fin de l’année, ce qui va provoquer d’autres
turbulences anxiogènes tout autour de la planète – après le refus allemand de
signer le TAFTA (le grand-frère du CETA, avec les USA), confirmer par votre
« Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois-tagada » cet été, les
eurocrates imbus d’eux-mêmes ne comprennent toujours pas…
J’ai dit « autisme » ?
Si oui, je suis alors vraiment moins kon que je ne le pensais…
L’Europe est vraiment un projet bandant et en a mis en érection plus d’un
avant moi. Le problème, c’est qu’au fil du temps, c’est devenu un projet non
plus « politique », mais anti-démocratique et technocratique à
souhait.
Une vraie caricature où on y trouve tout, à boire et à manger, à y coucher
aussi, mais reste incapable de parler d’une même voix.
Par nature, effectivement, tant que la machinerie restera d’essence
fédérale (par opposition à « confédéral ») alors que l’institution
elle-même reste de type confédératif, on n’y arrivera pas.
Or, il n’est pas question de dépasser ce stade et ceci étant, la marche forcée
à travers l’Euromark, non seulement sème la discorde là où en attendait tous
plus d’harmonie et d’apaisement, mais a ruiné et ruine toujours les pays du
« Club-Med », du sud de l’Europe.
Là, soyons clairs : C’est pour cause d’intransigeance allemande, non
pas en raison du non-respect des clauses du traité de Maastricht (ils sont
nombreux à ne pas les respecter, 10 sur 19 ai-je lu quelle que part) mais parce
que la solidarité européenne n’a joué que dans un seul sens !
Au profit de l’Allemagne qui a ainsi pu financer à bon compte sa
réunification et en tire aujourd’hui les bénéfices et tant mieux, mais sans les
partager pour autant, au contraire…
D’ailleurs, dans les « milieux bien informés », on évoque
désormais la création d’un vrai « Euromark » qui se distinguerait de « l’Euro-tout-court » et
regrouperait la poignée de « pays économes » et sages, « vertueux »
qui respectent et sont dans les critères de Maastricht (les 9, et encore,
seulement s’ils sont volontaires).
Là, moi je m’admire : D’une part c’est que j’anticipais déjà il y a
quelques années en annonçant la sortie des allemands de la zone Euro
(l’Euroland), mais en plus, ça va casser les « vertueux » qui ne
pourront pas lutter contre les économies des « Club-Med » qui
dévalueront à tour de bras, ne serait-ce qu’en laissant faire les marchés, et
pourront enfin se relancer, combattre leur chômage, stopper leur
désindustrialisation, etc.
Et puis je vois bien la BCE avoir une petit-sœur jumelle à Paris ou Rome,
pour tout vous dire…
Passons, ce n’est pas encore d’actualité, mais seulement « à
suivre ».
Depuis le ras-le-bol de « Maggie » (I’want my money back…), dont la successeuse (Théière
Mai-juste-n’en-peut-plus) menace tour à tour (IS annoncé au taux de 10 % pour
devenir le Singapour de l’occident) et se dit prête à payer pour avoir un
passeport pour un droit d’accès au marché commun, à vocation unilatérale bien
sûr, sans réciprocité… ils n’ont toujours rien compris.
La pôvre chérie : Finalement, je la plains, même si les anglais ne
sont pas à plaindre. Ils savent ce qu’ils font et en ont vu d’autres.
Les conséquences d’une décision de « Camé-Rhône » de s’en
remettre au peuple de ses électeurs, juste pour pouvoir rester au 10, Downing-Street
un mandat de plus, tellement la soupe y est bonne et le personnel accorte, voilà
que ça les mène à sacrifier leur fiscalité !
Où ça va se nicher…
Qu’ils en prennent tous au passage le risque faire exploser en plein vol
le Royaume-Uni, qui n’aura d’uni à terme que l’Angleterre et le Pays de Galles.
Vous savez quoi ?
C’est exactement ce qui attend le royaume des « belgies ».
Parce que quoi, entre les deux communautés, « Batave et
wallonne », depuis le temps qu’on en cause, soit ils prennent le risque de
passer outre pour « sauvetager » l’UE malgré tout et on va droit vers
une sécession, soit ils prennent le risque de porter un énième coup à l’UE,
déconsidérant définitivement le travail de la Commission, qui a son siège à
Bruxelles même, dans le plus grand des secrets, ce qui semble être l’hypothèse
du jour.
Une armée d’euro-fonctionnaires, au statut très particulier – salaire,
retraite, immunité, avantages personnels, sociaux et familiaux – et hors-normes
aura eu la peau de ce qui la fait vivre.
Là, ce n’est plus de l’autisme, c’est de la trisomie-appliquée !
Un peu comme le virus qui a la peau de l’hôte qui l’héberge et en crève à
son tour…
Où sont les « gens de raison » dont nous avons cruellement
besoin pour conduire les affaires communes ?
Que ce soit sur le plan intérieur, nos nations, nos régions, nos
départements et autres communautés de vie, ou sur le plan des institutions internationales,
voire seulement européennes ?
Sont-ils tous aux abonnés absents ?
C’est quand même pitoyable que cet immense gâchis, tout ce pognon piqué à
faire fonctionner un « machin » qui omet le premier des respects dus
aux citoyens qu’ils sont censés servir en premier lieu et avant toute chose…
Pourquoi « négocier » en secret de A à Z alors que la démocratie impose la transparence, le dialogue ouvert ?
Comment se fait-il que tout ce beau monde ignore les règles de droit les
plus élémentaires qui gouvernent la plupart des pays européens (et du monde
civilisé d’une façon générale) ?
Où a-t-on vu que les justices nationales, et des nations, doivent
s’incliner devant des décisions arbitrales américaines ?
Même « Nanar-Tapis » n’y croit plus… Et pourtant, il en a croqué !
Car l’esprit-Wallon n’est pas isolé : La cour Fédérale allemande,
questionnée sur le CITA a dit « OK », sauf… sauf à la clause de
justice arbitrale « qui ne peut pas
être acceptable » et quand bien même elle serait validée par accord
gouvernemental et approbation parlementaire, serait aussitôt déclarée par
elle-même comme anticonstitutionnelle…
Alors, on fait tout un flan aux Wallons, mais on oublie de dire que le
défaut génétique a déjà été critiqué à Berlin !
Idem pour le TAFTA (le grand-frère américain enterré).
Et on ne peut pas dire que ce soit une surprise, puisqu’il en a déjà été
question avec la constitution du « MES » (et là encore son statut
« hors-normes » d’immunités diverses) qui du coup est plus ou moins
bancale.
Et n’a pas eu à fonctionner jusque-là (consacrant le défaut de solidarité
allemande).
En bref, toutes ces affaires sont bien trop sérieuses pour persister à les
confier à des « rombiers », ridicules ronds-de-cuir, rentiers de
leurs propres supériorités affichées de « sachants » mieux que tout
le reste du monde entier et irresponsables par nature (comme tout
fonctionnaire, d’ailleurs).
C’est quand même kon d’en arriver là : Les canadiens auraient bien
aimé « commercer » mieux que ça avec la « Belle-Europa »
que le monde entier nous envie.
Et c’était facile et à portée de main dès lors que le modèle de l’Alena
(le traité qui lie Canada/USA/Mexique) avait été adapté.
D’ailleurs, signalons qu’il est critiqué pour ses outrances quand la
« belle » province québécoise se retrouve condamnée à plusieurs
reprises en application dudit texte.
D’ici à ce que eux aussi reparlent d’autonomie sécessionniste, il n’y a
pas loin : Ça leur coûte trop cher !
En bref, je note qu’ils sont de plus en plus nombreux à émettre (et
reprendre) mon opinion de travailler à remettre à plat l’Europe, ses
institutions et surtout ses modes de décision.
Ce n’est pas la première fois qu’un « Mes-Luches » ou des
« alter-machins » nous en disent qu’il faut « plus de
démocratie ».
J’en dis qu’il ne faut pas laisser la bride sur le cou à des anonymes
portés à l’irresponsabilité : Il en va de la survie du fameux
« vivre-ensemble » qui forme le ciment de nos nations à travers leur
Histoire.
Aucun principe, même de bon sens, ne permet de renvoyer dans les poubelles
ce qui fait notre richesse historique.
Mais je dois être bien le seul à le dire.
En revanche, en relisant ce post à l’état de projet, je suis en train de
penser que c’est peut-être une opportunité de renforcer une démocratie des
régions.
Un « truc » qui ne convient pas bien à un cousin, comme moi, de
« Bonaparte », très jacobin dans son approche du rôle de l’État, mais
qui finalement se rend compte de la faillite du système poussé dans ses
retranchements les plus reculés, et qui n’en peut plus.
Après tout De Gaulle avait proposé une réforme constitutionnelle
consacrant le régionalisme jusque dans le Sénat en 1969.
Les « Gauloisiens » y ont vu une façon de l’envoyer en retraite
et loupé l’occasion de grandir.
On y reviendra finalement peut-être, par le haut, à travers
l’Europe : J’admire les pieds de nez fournis par l’Histoire…
Mais non, vous n'êtes pas le seul! Je suis des vôtres pour ce coup-là! Après avoir milité avec ardeur POUR le Traité Constitutionnel Européen, je suis devenu, a minima, très méfiant (pour ne pas dire hostile!) vis à vis de ce "machin" qui s'appelle l'Europe mais qui est tout sauf une Europe des peuples.
RépondreSupprimerAh bé alors je suis "deux", dans ces conditions...
SupprimerQuoique l'Europe des peuples est en principe réalisée, au moins sur le papier, puisque les peuples envoient des députés les représenter à l'Assemblée européenne.
Bon d'accord, comme tout élu, ces élus-là en oublient parfois leur rôle et mandat, éblouis qu'ils sont par leur nouvel environnement, mais nous n'avons pas d'autres recettes à proposer : Il faut s'en contenter.
En revanche, l'Europe des Nations se heurte au mur des "eurocrates", devenus "autistes-trisomiques" à force de se croire le nombril du monde (en tout cas de l'Europe).
Un travers qu'on retrouve plus particulièrement an "Gauloisie-républicaine" où ces nombreux "fonctionnaires-incommensurablement-dévoués", et si éminemment efficaces à traiter impartialement de l'intérêt supérieur du pays (et de ses habitants), choyés à l'extrême (surtout en période pré-électorale à en obtenir tout de leurs rêves sur simple décision du Roy), mène à un esprit de caste qui en devient létal pour tout le monde.
Là, à Bruxelles, il me semble qu'on touche à la caricature, ne serait-ce que dans le fait que jusqu'à la veille du RDV de signature, ils font encore tout pour effacer l'affront à venir à leurs vertus.
Va falloir attendre vendredi pour savoir si les wallons auront pu tenir bon, alors qu'hier, ça semblait "plié" : Une affaire incroyable, finalement que ce viol (en tout cas cette tentative de viol) des décisions démocratiques !
Ca se paiera au prochain coup si les réformes des procédures décisionnelles ne sont pas très rapidement mises en marche.
Bien à vous !
I-Cube
"Les députés représentent l'assemblée Européenne" Drôle de phrase , est-ce véridique ,j'en doute de moins en moins . Font-ils leur Plombier professionnel Paris 15 part du boulot ? Pas sur mais une chose est certaines , l'Europe dans son ensemble est entrain de coulé .
RépondreSupprimerBonne fin de journée !
En principe, c'est marqué comme ça dans les intentions de l'institution.
SupprimerMaintenant, qu'ils fassent ou non leur boulot, c'est une autre histoire, naturellement...
Moi, desmeks qui font correctement leur boulot, j'en connais heureusement et j'espère en être, mais y'en a plein qui loupe la marche.
Bien à vous !
I-Cube
Ah et puis signalons que le CETA sera finalement signé.
SupprimerCertes, à titre provisoire (et il faut compter avec la ratification des autres membres : rien n'est encore joué) et pour une période probatoire d'une année avant d'être définitivement validé...
C'est comme ça !
Bien à vous !
I-Cube