Lettre ouverte de reproches à «Al-Un-Juppette »
Vous le savez, je le pense être notre prochain
Président de la République. Sauf coup de Trafalgar sous la forme de quelques
attentats (tel l’incendie du Bundestag) et « manœuvres-dilatoires »
de votre « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois » de dernières
minutes ou autres turpitudes de « Bling-bling ».
D’ailleurs, je l’ai dit et le répète, je ferai le
déplacement pour participer aux « primaires de droâte », malgré tout
le mal que j’en pense au tréfonds de « moi-même ».
La démarche est claire : Faire barrage à
« Bling-bling » qui me les casse « menu-menu », l’inapte
auto-démontré au pouvoir, pour faire barrage à
« Marinella-tchi-tchi », voire à un candidat de « gôche »
(nettement plus improbable), quel qu’il soit tellement le bilan de 5 années de
« soce » est lamentable.
Autrement dit entre la peste des chemises-brunes et le
choléra du drapeau-rouge, mon choix de citoyen-responsable se porte
naturellement sur celui qui pourra les écraser dans les urnes…
Logique et cartésien.
Ceci dit, face à la proposition
« d’Hard-no-Monte-et-bourre-la » d’introduire une sélection d’élu par
tirage au sort, il l’a taclé d’un méprisant – comme il sait le faire parfois – «
Soyons sérieux, on ne confie pas le soin
de faire la loi à une assemblée tirée au sort » !
Sévère de la part d’un homme qui l’a mis en pratique à
Bordeaux dans les assemblées de quartier pour faire vivre la démocratie locale mais,
souligne-t-il, « il s’agit d’un
conseil non décisionnaire et seulement consultatif. »
Autrement dit, je me fou de ta gueule : Tu peux
venir causer, mais à condition de ne rien décider…
Confirmant la célèbre formule : « La dictature, c’est ferme ta gueule ;
la démocratie, c’est cause toujours ! », je n’en ai rien à cirer…
Curieuse conception républicaine et démocrate, à vrai
dire.
Ceci dit, avant de faire quelques rappels historiques,
je vais vous narrer comment j’ai pris un zéro en droit des institutions
judiciaires en première année de droit.
En cours de droit constitutionnel, on venait de nous
expliquer les mécanismes de la représentation démocratique par voie élective,
sans nous expliquer vraiment les vives controverses dogmatiques des fondateurs
de la première République sur le sujet.
La vie d’un pays est choses trop sérieuse pour être
confiée à des « amateurs », il fallait donc des « filtres »
institutionnels, c’était le choix des constituants de l’époque.
En droit pénal, on nous enseignait que les cours
d’assises, qui jugent des seuls crimes, étaient composées de jury populaire
(tiré au sort sur les listes électorales) au motif du « Vox Populi, vox Dei », mais qu’on
avait renoncé à le faire pour les délits (en correctionnelle) et les
contraventions (devant les tribunaux de police), faute de moyens suffisants.
Perso, je trouvais ça moins kon d’aller consacrer son
service-civique à éclairer et sapiter la justice, plutôt que d’aller faire le
guignol sous l’uniforme sous les ordres de chefaillons qui de toute façon ne
résisteraient pas plus de 48 heures face à la déferlante de l’armée rouge
(c’était l’époque de la guerre-froide, je n’avais pas encore été
« casser » le mur de Berlin à Berlin), ce que tout le monde savait,
bien sûr (même « Le Chi »).
Valait mieux organiser la « résistance-civile »
façon finlandaise, qui avait pu repousser les hordes nazis et l’armée de
Staline dans la foulée, après de rudes combats-citoyens…
Cela étant, je m’étonne auprès du type qui nous
décrivait sommairement le fonctionnement des tribunaux qu’on puisse avoir la
main lourde sur un délinquant primaire et viscéral, décision d’un juge
« professionnel » et à la fois s’en remettre « au peuple »
pour lui couper la tête, voire confier les larcins entre commerçants à des
commerçants eux-mêmes au sein des tribunaux d’exception dit de commerce.
D’autant que ça peut aller jusqu’à la décision de
liquidation d’entreprises en mettant sur la pavé quantité de salariés de
« l’ex-belle » et ouvrir la voie à des rapaces se disputant les dépouilles,
tel un « Nanar-Tapis » (son premier « métier » qui l’a
superbement enrichi sous le vocable ahurissant et contrefait de
« redresseur d’entreprises »…)
Réplique du prof : « Vous n’avez rien compris ! »
Pour sûr, mais il n’a pas fait l’effort de mieux
expliquer pour autant…
Celui-là, comme d’autres, je l’emm…
(« étronner ») : Parce que je ne comprends toujours pas !
Qu’est-ce qui ferait d’un « pro » de la
politique, un être supérieur, serait le seul compétent et capable de décider du
sort d’autrui mieux qu’autrui lui-même – avec du pognon piqué au quidam par
voie d’impôts, taxes et cotisations – SVP ?
Perso, quand je claque « mon fric » gagné à
la sueur de mon front et de mon unique neurone, je sais au moins pour quelle
raison.
Quand j’en vois d’autres claquer du
« fric-pas-à-eux » pour monter puis démonter des portiques de péage
routiers, je me pose la question de leur niveau intellectuel de
« race-supérieure »… de pétoncles hyper-shootés à je ne sais quoi.
Et les exemples sont nombreux et quasiment quotidiens.
Ceci résumé, nous en avons déjà parlé jusqu’ici (même
si je ne sais plus quand) : Au lieu de rechercher par la loi et les règlements,
des « parités-éphémères », de la représentation de
« minorités » et de confier nos destins à des élus-apparatchiks
jamais responsables pour être des fonctionnaires pour les deux tiers, ne
pourrait-on pas user de la chambre-Haute comme d’un réceptacle des diversités
d’opinions par tirage au sort ?
Pour complaire à « Juppette », de toute
façon, c’est la chambre-Basse, l’Assemblée Nationale, les députés, qui ont la
haute main sur les textes de loi, comme déjà aujourd’hui : Quel risque,
sinon d’enrichir les débats et travaux parlementaires grâce à des
« amateurs » ?
Qu’on se rassure, la Constitution se contente très
bien d’une troisième chambre, le Conseil Économique, Social et Environnemental,
constituée de « nommés », censés être représentatifs des
« forces-vives » du pays (lesdits « corps-intermédiaires »)
sans pour autant gêner qui que ce soit dans le jeu normal des institutions…
Alors, pourquoi ce tacle condescendant ?
C’est une véritable injure à l’électeur, finalement.
D’autant qu’on a dû lui apprendre à l’Enâ et surtout à
Normale-Sup où il a forcément fait « ses humanités » qu’en 508 avant
notre ère, le système était en vigueur à Athènes durant très longtemps et a fonctionné
aussi durant deux siècles, pas un seul mandat, deux siècles, à Venise quant au
choix des Doges de la Sérénissime.
Chez les grecs-antiques, les représentants du peuple
étaient tirés au sort lors de « la boulè ».
Et on sait que déjà deux thèses s’opposaient : Le
tirage au sort sur une liste de volontaires et le tirage au sort sur l'ensemble
de la population.
Personnellement, je serai tenté de réclamer l’accord
des personnes tirées au sort, histoire de pouvoir compter sur eux.
C’était le cas à Venise, puisque pour l’essentiel les
Doges étaient issus des grandes familles fortunées de la cité, alors qu’à
Athènes, il suffisait d’être citoyen « participant » à la vie de la
cité…
Depuis, même les Islandais ont pratiqué de la sorte
pour pondre, en vain, une nouvelle constitution après la crise de leur dette
bancaire…
D’autant que pour le Président de Fondapol, « les usages du tirage au sort sont multiples.
En politique, dans certaines situations, son utilisation permet à un groupe de
prendre des décisions ou de désigner des responsables. Elle s’inscrit dans une
perspective à la fois égalitaire et libérale : Le hasard, en effet, ne favorise
aucun candidat et rend vaines toutes tentatives de corruption et d’abus de pouvoir.
Il peut par ailleurs s’appliquer à toutes les échelles, du plus petit groupe à
la nation entière ».
Selon un autre, le vote ne serait plus pertinent, car
l’« abstention dépasse la plupart du
temps les 50 % ».
L’abstention réelle : Les gens qui ne
s’inscrivent pas, ceux inscrits qui ne se déplacent pas, et les votes nuls, les
votes blancs de ceux qui se déplacent…
« La démocratie
va mal, c'est une évidence. La clérocratie est une alternative salutaire en ce
qu’elle garantit l’égalité entre tous les citoyens et permet l’avènement d'une
société plus juste. Cela ne s’est jamais réalisé. Dans le système actuel, le
peuple ne prend pas en charge son propre destin » en dit-il…
D’autant que le tirage au sort permettrait de
renouveler la classe politique.
Mais comment s’assurer que les individus « désignés »
par le hasard seront bien à même de présider aux destinées de la Cité ? « Pour Sizif, le tirage au sort désigne seul
les gouvernants. Et peu importe que ce soient des incapables. »
D’ailleurs, on le voit bien dans une Amérique des
États-Unis qui s’apprête à voter pour… celui qui ne veut pas être élu, fait tout pour et fait juste a pub de sa future chaîne télé !
Passons…
Un autre encore en dit que « les avantages et les inconvénients du tirage au sort en politique
occupent les théoriciens, au moins depuis Aristote. Ce fut un sujet de
controverses passionnées dans les Républiques italiennes du Quattrocento ».
Toutefois, les avantages du tirage au sort généralement admis sont :
– Un choix qui, échappant à toute intention, empêche
la corruption (sauf fraude dans le mécanisme) ;
– Personne n’est responsable (c’est le cas en cours
d’assises), ne peut être blâmé ou loué pour le choix ;
– Personne ne peut tirer vanité d’avoir été choisi (exit
la vanité de « Bling-bling » voire celle du
« Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois ») ;
– Personne n’a la charge de choisir ;
– Tous les participants sont mis sur un pied d’égalité
;
– La procédure est impartiale et équitable ;
– Si la procédure peut être répétée de nombreuses fois,
le fait même d’être choisi ne produit pas une forte inégalité entre les
sélectionnés et ceux qui ne le sont pas.
En plus, c’est « facile, rapide, économique. Elle ne coûte pas cher, que ce soit en
énergie, en moyens matériels ou en longueur de temps ».
Et puis en quoi mon boucher ou ma boulangère
seraient-ils moins compétents à traiter de sujets d’intérêt général s’ils sont
entourés des compétences nécessaires pour éclairer leurs choix ?
De toute façon, vos dirigeants s’entourent déjà de
comités-Théodule à profusion, de commissions d’experts qui pondent des rapports
et des propositions, de « think-tanks » d’études et d’organismes
spécialisés pour avis consultatif avant toute décision.
Alors quid ?
De plus, « l’Ami-râle »
y voit un moyen puissant de lutter contre la corruption qui pourrit sans que
vous vous en rendiez vraiment compte toute la vie de nos institutions (et tout
le reste de haut en bas).
Personnellement, j’y vois aussi le moyen d’échapper à
ses lamentables « primaires » anti-institutionnelles : La Vème
République a mis en exergue le rôle des partis politiques (à tort ou à raison,
je ne sais pas…).
Du coup, c’est au sortant, que ce soit pour un mandat
local ou national, de défendre son bilan devant ses électeurs et c’est au
patron de son opposition de briguer sa place.
Une primaire se justifie seulement que quand le
sortant ne se représente pas (comme aux USA) et que le « patron » ne
veut pas y aller.
Notez que pour mon pays et très conjoncturellement, ça
va nous permettre de mettre « Juppette » en orbite.
Si « Bling-bling » ne triche pas et ne se
présente à vos suffrages pas malgré tout…
Alors pour quelle raison balayer la proposition d’un
revers de manche avec une formule assassine à la clé ?
Ce n’est pas raisonnable ni très « Républicain-démocrates »
de la part de « Juppette » d’autant qu’on pourrait lui retourner, à
lui et à tous les autres qui se présenteront à vos suffrages, la même
argutie : « On vous fait (ou avait fait) confiance pour pondre les
lois de la République et regardez donc où nous en sommes tous rendus ?
Est-ce vraiment un bon choix que de se fier à des
« pros-autoproclamés » ? »
Il y a qu’à voir la profusion d’initiatives
« sociétales », comme les
zèbres ou le
parti du plaisir, voire les « nuits
debout » parmi des centaines d’exemples, pour réellement
s’inquiéter du déficit des « pros ».
Je paraphraserai bien Clémenceau (qui a dit :
« La guerre est une chose trop
sérieuse pour être confiée à des militaires. »), pour l’occasion :
La vie de la cité est bien trop sérieuse pour être confiée à des
« pros-de-la-politique ».
Qu’ils restent ou deviennent des fonctionnaires, ce
sera plus serein pour tout le monde.
Votre "prof" de droit avait parfaitement raison : Vous n'aviez rien compris et, bien pire, vous semblez n'avoir toujours rien compris!
RépondreSupprimerC'est pourtant simple ...
1. Le "droit" n'est pas une science mais une technique normative produite pour faire fonctionner la société civile dans sa globalité dans l'intérêt de ceux qui la dirigent ou - plus fréquemment - la font diriger par du "personnel" dédié à cette tâche.
2. Plus simplement dit, le "droit" a pour fonction de maintenir au pouvoir la classe dominante, c'est à dire celle dont les "idées" sont dominantes.
3. Que serait-il arrivé à Alain Juppé s'il avait été traduit en Cour d'Assises? Il en aurait pris pour 10 ans ferme (à l'époque, je crois qu'il n'y avait pas de possibilité de faire appel d'une décision de Cour d'Assises). Que serait-il arrivé à Cahuzac s'il avait été traduit devant une Cour d'Assises? Au moins la même chose! Le Peuple n'aime pas que l'on se moque de lui et il a tendance à être très méchant avec ceux qui ne veulent pas se plier à la "norme populaire".
4. Imagine-t-on Alain Juppé assassinant sa femme? Non, bien sûr! Pareil pour Cahuzac, Thévenoud et autres malfrats. Le risque que ces gens soient un jour traduits devant la "justice populaire" est quasi-nul car les actes qui relèvent de la "justice populaire" ont été précisément définis pour que ces gens, hautement improbablement capables de commettre de tels actes, ne soient donc pas traduits devant de tels tribunaux!
5. Pour cette raison, une sommité politique qui commet un détournement de fonds ne sera donc pas traduite devant une Cour d'Assises car, précisément, ce genre d'infraction a été défini - tout exprès - comme ne relevant pas de ce type de Cour AFIN D'EVITER CE CHATIMENT AUX COUPABLES!
6. Quelle est la probabilité qu'un pauvre gars qui meurt de froid commette ce même détournement de fonds? Nulle, évidemment! Il ne sait même pas en quoi ça consiste et est évidemment incapable de concevoir la manipulation comptable nécessaire pour lui donner un début de réalisation "avec succès" ...
7. Quelle est la probabilité pour que ce même pauvre gars commette un "crime de sang"? Elle n'est pas nulle! Ventre affamé n'a pas d'oreille! Il faut donc, dans un souci de régulation sociale dans l'intérêt des classes dominantes, que les crimes de sang soient sévèrement punis! Quelle meilleure méthode que celle consistant à obtenir la condamnation par un jury populaire?
8. Le Peuple n'est ainsi impliqué dans le rendu de la justice que pour les actes qui, en moyenne, ne sont pas susceptibles d'être commis par tel ou tel membre de la classe dirigeante!
Je viens de vous décrire le concept de justice de classe. Lorsque vous avez répondu comme vous l'avez fait, vous avez démontré que vous n'aviez effectivement rien compris à ce que l'on attendait de vous comme possible futur exécuteur du rendu de la justice! Il eut fallu - au minimum - que vous eussiez démontré que vous ne seriez jamais un danger pour la classe dominante!
CQFD!
Non mais, pas besoin d'une longue démonstration (un peu approximative techniquement, mais très correcte pour un "non-juriste" quand même), puisque c'est moi qui vous le dis : JE N'AI RIEN COMPRIS !
SupprimerIl n'empêche, la conception anglo-saxonne de la justice impose un jury populaire dans toutes les cours et tribunaux, quelle que soit la matière.
Bon, ils ont pris l'habitude d'alléger le travail de ces citoyens-là en n'exigeant leur présence que quand "une opinion" (qui n'a rien de "scientifique") peut venir éclairer la décision d'un juge.
Pas chez nous, nation de "droit écrit" ex-post-latin (et Napoléonien).
Ce que je trouve dommageable dans votre "démonstration", c'est que vous ne dites pas qu'en matière "politique", puisque c'est l'opinion qui règne en maître-du-jeu majeur (alors que vous en dites autant pour le droit), vous n'ayez pas recours à sa sollicitation (même en droit pénal avec des arguties pour le moins fragile).
En revanche, je suis d'accord : Je reste un vrai danger pour tous les "non démocrates", pour tous les apparatchiks de toutes les espèces, pour tous les "fascistes" et, autrement dit, pour tous les "sachants" qui vous la mettent "bien profond" (et contre lesquels vous vous révoltez parfois...)
C'est même l'essence de ce blog et là, je prends votre commentaire comme d'un hommage percutant et puissant !
Merci donc : Vous avez tout compris et je m'en réjouis.
Bien à vous !
I-Cube
De toutes vos propositions, c’est celle que j’ai retenue en priorité !...
RépondreSupprimerLe tirage au sort des sénateurs parmi des citoyens volontaires est l’une des principales solutions pour redonner un véritable dynamisme démocratique à notre pays en neutralisant les partis politiques et en donnant réellement une partie du pouvoir au peuple.
C’est d’ailleurs le thème des deux derniers chapitres de mon bouquin les « milliards disparus de la Division Daguet ».
Mais je doute que « Al-Un-Juppette » qui est issu du sérail, de nos grandes écoles, et n’a connu qu’un système classique, ait la souplesse d’esprit pour une remise en cause des institutions de cet ordre.
Pour en arriver là, il me semble nécessaire de passer par une crise politique très grave qui montrera bien les travers du système actuel.
Y arrivons-nous ?...
Bien à vous !...
Haddock
En priorité, je ne sais pas, mais il faudra effectivement en passer par là !
SupprimerC'est tellement "révolutionnaire"...
Oui, "Juppette" est un produit du sérail et comme disait je ne sais plus qui, ce n'est pas avec ceux qui créent les problèmes qu'on pourra les résoudre.
D'ailleurs, on reviendra sur le parcours dudit bonhomme : Il n'est franchement pas si bon que ça, on revanche il sera élu, en présume-je, parce qu'il est le seul apte à faire barrage et à ne pas trop secouer le landernau.
En fait, tout le monde attend et aspire à ce qu'il nous fasse du "Chi", apaisé !
Ce qui, en pleine tempête, fera remonter le moral général et permettra enfin aux entreprises de créer de la valeur-marchande (et donc un peu d'emplois) !
On y arrivera, mais doucement et sans crise, au fil du temps.
Dans le calme, comme d'une innovation et non pas comme une solution de crise : Là, tout le monde sera déçu...
Enfin, c'est ce que je souhaite pour mon pays !
Bien à vous !
I-Cube