PLFSS 2017
Souvenez-vous, pour 2016, la loi de financement de la
sécurité sociale (LFSS) initiale avait fixé un objectif de poursuite de
réduction du déficit à 9,7 milliards d’euros, soit 6 milliards d’euros pour le
régime général et 3,7 milliards d’euros pour le fonds de solidarité vieillesse
(FSV). La commission des comptes de la sécurité sociale de juin 2016 a validé
cet objectif en révisant à la baisse la prévision de déficit du régime général
de 600 millions d’euros.
Une prévision de nouveau révisée à la baisse puisque
le déficit du régime général ne devrait pas dépasser 3,4 milliards d’euros
cette année, soit 2,4 milliards d'euros de moins que prévu par la LFSS
initiale.
Le résultat du FSV (fonds de solidarité vieillesse) quant
à lui, devrait être très proche de la cible fixée, soit un déficit de 3,8
milliards d'euros.
Ainsi, en un an, le déficit du régime général, déjà
fortement réduit depuis 2012, aura été divisé par deux.
Depuis 2010, le régime général de sécurité sociale est
en baisse de 23,5 milliards d'euros…
Dans le détail :
– Le déficit de l’assurance maladie revient à 4,1
milliards d’euros – soit une amélioration de 1,7 milliard d’euros en un an.
C’est le meilleur résultat depuis 2001 ;
– La branche accidents du travail-maladies
professionnelles reste excédentaire de 700 millions d’euros ;
– Conformément aux engagements pris par le
Gouvernement, la branche vieillesse du régime général est désormais redevenue
excédentaire de 1,1 milliard d’euros, pour la première fois depuis 2002 ;
– Enfin, le déficit de la branche famille poursuit sa
réduction, pour revenir à 1 milliard d’euros ;
– Par ailleurs, le déficit du FSV s’améliore de 0,1
milliard d’euros en 2016.
En avez-vous plus souffert pour autant ?
Oui, un peu il faut bien l’avouer, mais c’est
réjouissant de savoir que « vos » efforts (moindre décaissements des
régimes et accroissement de leurs encaissements) finissent, par produire des
effets même en « socialie-gauloisienne », même en absence de
croissance et même en cas de dérapage des chiffres du chômage (les cotisants) :
Quand on veut, on peut vous en dira Jacques, mon conseiller-omnipotent !
L’objectif affiché pour 2017 est encore plus ambitieux :
Retrouver l’équilibre (à quelques 400 millions près) !
Une première depuis 2001…
« Marie-seule-Tour-haine », la sinistre des
Affaires sociales et de la Santé et « Chri-chri-Écarte », le secrétaire
chargé du Budget et des Comptes publics ont exposé les principales mesures du
projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2017 la semaine passée.
Dans le détail, on y retrouve des mesures en matière
de cotisations, comme :
– La limitation des exonérations de cotisations. Le
projet de loi prévoit que les exonérations de cotisations sociales actuellement
ouvertes sans aucune limite de revenu ne seraient plus accordées au-delà de
certains niveaux de rémunération. Cela vise notamment les exonérations en
faveur des chômeurs et créateurs d’entreprise ou celles applicables dans les
bassins d’emploi à redynamiser.
– La réduction du plafond de la déduction forfaitaire
spécifique pour frais professionnels. Le montant de l’abattement d’assiette des
cotisations accordé dans certains secteurs sous forme de déduction forfaitaire
pour frais professionnels serait réduit.
– Mais aussi les relations entre tiers déclarants et
cotisants : Il est prévu d’instaurer le principe d’un mandat unique. Le
choix d’un tiers déclarant se ferait via une simple transmission dématérialisée
auprès d’un organisme de recouvrement désigné par voie réglementaire.
– Il est également prévu une obligation de
dématérialisation des déclarations effectuées par les tiers déclarants pour les
travailleurs indépendants.
– Les locations régulières de logements meublés pour
de courtes durées à destination d’une clientèle de passage, et incluant les
services indissociables de la mise à disposition du logement serait, sous
certaines conditions, qualifiée d'activité professionnelle. Les revenus issus
de celle-ci seraient assujettis aux prélèvements sociaux en tant que revenus
d'activité dès lors qu’ils excèdent un certain seuil.
En-deçà de ce seuil, ils seraient considérés comme des
revenus du patrimoine.
– Dans le même esprit, un seuil serait aussi fixé,
mais par décret, pour les activités de location de biens, ce qui vise notamment
la location de voitures.
– En revanche, il n’est pas détaillé les adaptations en
matière de contrôle des particuliers employant des salariés à leur domicile. Il
est question de réduire le niveau des sanctions, notamment au titre de
l’obstacle à contrôle.
– Concernant les travailleurs indépendants, leur taux de
cotisation maladie-maternité actuellement fixé à 6,5 % devrait faire l’objet
d’une réduction dégressive en fonction du niveau des revenus à compter du 1er
janvier 2017.
Le niveau maximum de réduction serait de 3,5 points.
– De plus les exonérations applicables aux
travailleurs indépendants en outre-mer seraient réduites selon un coefficient
dégressif au-delà d’un certain montant de revenu et supprimées pour ceux dont
les revenus excèdent un certain montant.
– S’agissant du calcul et du paiement de leurs
cotisations sociales, les intéressés se verraient appliquer les mêmes règles
qu’en métropole : Calcul des cotisations à titres provisionnel sur la base du
revenu de l’année précédente et régularisation en fonction des revenus
réellement perçus.
– Enfin, pour ceux-là démarrant une activité en
outre-mer, une période de relèvement progressif des cotisations sociales
devrait succéder à la période de 24 mois d’exonération totale des cotisations.
Côté prestations à en attendre on ne change rien sauf pour :
– Les professionnels libéraux s’installant pour
exercer une activité non réglementée auraient droit à la même couverture
sociale que les artisans et commerçants. Ils bénéficieraient donc d’indemnités
journalières en cas de maladie et de droits à retraite plus importants.
– Les professionnels libéraux déjà en exercice
bénéficieraient d’un droit d’option vers cette formule.
– Les règles complexes de fractionnement des
compétences entre le RSI et les Urssaf seraient supprimées et une structure de
pilotage national unique serait créée. Les dispositions relatives à
l’interlocuteur social unique seraient abrogées.
– En outre, les régimes de retraite de base des
artisans et commerçants seraient fusionnés. Concrètement, cela ne changerait
pas grand-chose puisque ces deux régimes, bien que juridiquement distincts,
fonctionnent désormais selon les mêmes règles, tant en matière de cotisations
que de prestations.
– Pour la branche maladie, il est envisagé de
sécuriser les droits à couverture maladie des salariés précaires pluriactifs.
Sont concernés les travailleurs qui enchaînent des contrats de courte durée
relevant du régime général et du régime des salariés agricoles. Il s'agit de
leur accorder une couverture maladie continue, en leur permettant de rester
rattachés à leur caisse d'origine, qui assurerait le versement de l'intégralité
des indemnités journalières en cas de maladie ou de maternité.
– Par ailleurs, le ministère du travail annonce des
mesures réglementaires – donc hors projet de loi – visant à améliorer la
conciliation entre maladie chronique et activité professionnelle. Des
dispositions seraient ainsi prévues en matière de reprise de la pension
d'invalidité – actuellement, en cas de récidive, la pension n'est pas
recalculée – et de durée de versement des indemnités journalières de maladie
pour les salariés en affection de longue durée.
Par ailleurs :
– Pour la première fois depuis plus de 10 ans, la
branche retraite du régime général devrait être excédentaire en 2017, notamment
grâce au recul de l'âge légal de la retraite.
– En matière de prestations, le projet de loi prévoit
d'élargir le dispositif de la retraite progressive aux salariés ayant plusieurs
employeurs (les employés de maison, notamment). Actuellement, la retraite
progressive, qui permet de liquider une pension de retraite provisoire tout en
poursuivant une activité professionnelle à temps partiel, est soumise à une
condition d'exclusivité de l'activité, qui doit être exercée auprès de l'ancien
employeur – ou d'un seul d'entre eux, le cas échéant.
Vous ne savez pas (ou vous avez oublié) mais « dans
le temps » la reprise d’activité auprès de son ancien employeur était
interdite…
– La branche famille devrait également être
excédentaire en 2017, des économies ayant déjà été réalisées grâce à la
modulation des allocations familiales.
– Le projet de loi prévoit la création, au sein de
cette branche, d'une agence du recouvrement des pensions alimentaires qui
pourrait, en cas d'impayé ou de situation conflictuelle dans un couple, servir
d'intermédiaire et sécuriser le versement des pensions.
– Enfin, il est prévu de simplifier le versement du
complément de libre choix du mode de garde, prestation attribuée aux familles
qui emploient un salarié pour garder leurs enfants.
Et puis sans surprise la loi devrait, comme chaque
année, prévoir des mesures supplémentaires de lutte contre la fraude :
– Travail illégal : Mise en place d'une procédure de
saisie conservatoire, préalable à la saisine du juge, permettant la saisine des
biens des personnes morales ou physiques afin de sécuriser les créances à
recouvrer ;
– Détachement de travailleurs étrangers en France : Mise
en place d'une pénalité forfaitaire de 3.218 € pour chaque salarié contrôlé
pour lequel l'entreprise utilisatrice ne produit pas le formulaire approprié
attestant de leur situation.
En bref, on reprend les mêmes recettes que par le
passé, on sert encore plus fort les boulons, on renforce plus étroitement l’étau,
on colmate les fuites, on pressurise toujours un peu plus, sans faire le
moindre effort d’imagination et ça devrait passer comme ça !
Magnifique finalement : Si tout pouvait être
aussi simple que ça, il suffirait à la puissance publique de claquer dans les
doigts et le tour serait joué, n’est-ce pas.
Dommage qu’on y ait pas pensé plus tôt, finalement :
16 ans de perdu pour la gloire !
Or, si je me souviens bien de « mes archives-personnelles »,
a été publiée
en 2013 une étude comparative des régimes sociaux entre quatre pays (la
« Gauloisie-éternelle », le « Teutonnie-impériale », l’« Helvétie-alpine »
et la « Batavie-poldéreuse ») par un « think-tank » d’où il
ressortait que « pour un niveau de
qualité relativement plus élevé, le régime néerlandais nécessite des coûts plus
faibles que le régime français. »
Attend, comment ils font ? Ils se shootent plus
souvent, c’est ça ?
Non, ils ont réformé, ce qui a permis de « simultanément d’améliorer la couverture des
assurés, de réduire le fardeau de la santé sur les salaires et de diminuer le
déficit public de l’assurance maladie. »
Et s’ils y sont parvenus, c’est en « imposant des cotisations patronales deux fois
moins élevées qu’en France ».
Conclusion idiote : Il « est possible d’atteindre une plus grande efficacité dans l’assurance
maladie tout en libérant les contraintes qui pèse sur le coût du travail et
donc sur le niveau de salaire. »
Ah bon : Ils ont donc importé massivement des « petit-chinois »
low-cost pour soigner leurs bobos ?
Pas du tout, pas du tout : Ils ont li-bé-ra-li-sé !
Quoi ? L’outrageante infamie que voilà !
Comparons donc et découvrons qu’en « claquant-dans-les
doigts » et sans pour autant coûter plus cher ni soigner moins bien, on efface définitivement les déficits et on crée aussi du boulot pour un demi-million de personnes supplémentaires qui
cotiseront à en retrouver des équilibres durables :
– Le nombre d’infirmiers pour 10.000 habitants est
particulièrement faible en « Gauloisie-du-bien-vivre », soit 98. Par
comparaison l’Allemagne est à 130, la Suisse à 174, le Danemark à 155, les
Pays-Bas à 121, les USA à 111. Si l’on prend la moyenne des pays que nous
venons de citer elle est de 138.
Si on s’alignait sur ce chiffre, cela signifierait
260.000 infirmiers en plus !
On passerait alors de 2,8 infirmiers par médecin à 4,
ce qui se rapproche du ratio des pays les plus performants.
– On constate également un déficit de la « Gauloisie-médicale »
en termes de personnel soignant hors infirmiers. En 2009, pour 10.000
habitants, mon pays avait un personnel soignant de seulement 132 personnes,
contre 161 en Suisse, 190 aux Pays-Bas, 201 en Belgique, 313 aux USA… (mais 128
en Allemagne).
La marge de progression est donc importante et si on
visait le chiffre de 200, cela signifierait 220.000 soignants en plus, hors
personnel infirmier.
– Il y a en « Gauloisie-hexagonale » 116.000
médecins libéraux dont seulement 60.000 généralistes. Si l’on admet qu’il
faudrait en augmenter la densité dans la moitié des régions (d’environ 3 par
10.000 soit un total de 20.000) et créer entre 3.000 et 5.000 maisons de santé de
proximité, le chiffre de 30.000 médecins supplémentaires est parfaitement
justifié.
Au passage, cette question évoque évidemment celle du
remplacement des médecins partant à la retraite : En 2014 il y avait 215.000
médecins en activité, dont 53 % de plus de 55 ans… Pendant que sur les 7.000 médecins
qui sortent chaque année des facultés de médecine, un quart ne s’inscrivent pas
à l’ordre : Ils travaillent dans les laboratoires, mutuelles, etc.…
Pour que le remplacement puisse se faire correctement
il faudrait donc offrir des conditions attractives pour la médecine dite « de
ville » (libérale), ainsi que de nouveaux modèles (en dehors de la
tarification à l’acte) qui pourraient être couverts par des assurances privées.
Et dans cette optique, il faudrait donc doubler le
chiffre du numerus clausus et
revaloriser le métier de généraliste.
– Par ailleurs et selon les spécialistes dudit
secteur, alors que l’on construit une maison pour handicapés en 1 an en
Belgique, il faut 10 ans en « Gauloisie-gauloisienne » !
Les tarifs sont de 20 % inférieurs en Belgique, avec
pourtant plus de personnel par résident. De ce fait, 8.000 handicapés gauloisiens
sont hébergés en Belgique, pour un coût supérieur à 500 millions d’euros, et
6.000 emplois ont été créés en Belgique de ce fait.
On y trouve également 2.000 retraités gauloisiens,
dont la migration a permis la création de 1.000 emplois belges…
Appliqués à tout le pays, des « assouplissements »
administratifs devraient permettre la création de 30.000 emplois. Il existe en
effet aujourd’hui 1,7 million de personnes de plus de 85 ans, qui demandent de
plus en plus de soins, soit à domicile, soit en maisons spécialisées. Et ce
chiffre croît chaque année sous le double effet de l’augmentation de la
population et de l’espérance de vie.
Dans un environnement libéré du carcan étatique, le
gisement d’emplois (soins de proximité, à domicile ou en maison de retraite)
serait donc considérable : entre 100.000 et 150.000.
– Les coûts de gestion (coûts administratifs,
prévention, santé publique, subventions) sont très importants dans notre
système, puisque la « Gauloisie-exceptionnelle » présente une part de
50 % plus élevée que celle de la moyenne de l’OCDE.
Cela est largement dû à l’existence de deux financeurs
institutionnels pour chaque prestation, ainsi qu’à la multitude des régimes…
Dans ce cadre, l’introduction de la concurrence et
d’un seul payeur par prestation devrait rationaliser le système et entraîner
une baisse des coûts administratifs (et du personnel).
Dans le même temps l’État ne gardant que la charge de
la solidarité, devrait repositionner une partie de ces agents pour la partie dite
assurance.
– Une grande restructuration serait également attendue
au niveau des mutuelles puisque sur les 60 mutuelles qui existaient aux
Pays-Bas avant leur réforme de 2006, il en reste 20, et 4 représentent 80 % des
assurés !
Par comparaison il en existait 1.250 en « Gauloisie-médicale »
en 2005, 719 en 2010, et il en est prévu moins de 300 en 2017.
Avec une réforme en profondeur et la concentration
subséquente du secteur, on pourrait avoir une douzaine de mutuelles
représentant 80 % du marché…
Avec en contrepartie une baisse de l’emploi
administratif à 40.000 sur 10 ans.
Faites le solde – hors services connexes comme les
aides-nounous – et c’est bien un demi-million d’emplois auxquels on tourne le
dos.
Pire, « ils », les autistes-trisomiques, les
« ceux-ce » qui vous pompent d’autorité votre pognon, ont décidé de
ne surtout pas favoriser l’émergence de ces emplois en devenir.
Rien de quoique ce soit dans le PLSS 2017 !
Et ils ont le culot de vous ergoter que le chômage, « ça va mieux ! »
J’admire, j’admire, si vous saviez combien j’admire…
Vous avez bien raison de choisir la modération des commentaires ... Moi même, c'est le mode de fonctionnement que j'ai adopté depuis plusieurs années et je m'en trouve bien ...
RépondreSupprimerAujourd'hui, je m'en trouve encore mieux : j'ai décidé de suspendre sine die mes publications tellement j'en ai vraiment ras le bol de ces "socialistes" dont je souhaite non seulement qu'ils soient battus mais - bien au delà - qu'ils soient ECRASES, si possible organiquement détruits à l'issue du cycle électoral qui vient de s'ouvrir. Il faut en passer par là pour en être débarrassés DEFINITIVEMENT!
Pour ce qui est de votre article de ce jour, je suis désolé de devoir vous dire que c'est un véritable "casse-croûte" à la limite "indigeste"! Trop technique ... Trop peu de gens sont capables de suivre. Il faut que vous fassiez un effort de pédagogie.
Merci pour vos conseils éclairés...
SupprimerUne fois n'est pas coutume !
Ceci dit, "mon Papa-à-moi" (celui qui me fait frémir toujours quand je l'évoque) m'a toujours dit qu'il fallait 20 ans de socialisme pour finir par écœurer tout le monde.
Et tuer leurs utopies sous-jacentes, rajouterai-je.
On y est presque : 2 fois 5 ans avec "Mythe-errant", 5 avec le "Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois" (19 ans avec les cohabitations), il faudra en passer encore par un quinquennat pour aboutir à leur annihilation totale.
Donc, je ne le verrai pas, parce qu'avec "Juppette" ou "Marinella-tchi-tchi", ils reviendront forcément en 2022 (à moins que "Le-Mère" soit capable de "faire-barrage" : On verra bien !)
Ceci dit, tout le monde n'a pas un cerveau de pétoncle : Dans le post de ce jour, je ne fais que reprendre les meilleurs résumés (et communiqués) relatifs au PLSS 2017 dans une première partie.
En revanche, la seconde est issue d'une synthèse déjà vieillie ressortie de mes archives personnelles par quelques "sachants" d'antan : Tout ce qu'il y a de plus correct en l'occurrence.
Tant pis pour vous : Au moins, vous voterez sans savoir de quoi il retourne, comme les dernières fois...
C'est un peu ce que j'en constate dans le post de demain.
Bien à vous !
I-Cube
J'en suis vraiment désolé mais je crois que j'ai un cerveau de pétoncle!
RépondreSupprimerMais non : Vous utilisez mal vos "petites-cellules-grises" comme beaucoup d'autres.
SupprimerCe n'est pourtant pas compliqué pour un type comme vous qui avez eu une formation de "matheux"...
Mais vous préférez laisser parler votre cœur plutôt que votre cervelle.
Et le cœur a ses raisons que la raison ignore, c'est bien connu.
Résultat vos dérapages dépassent parfois les bornes : Et quand il n'y a plus de bornes, c'est qu'il n'y a plus de limites.
Que ça en devient insoutenable, même dans ce pays où je reconnais qu'ils sont très nombreux à se comporter comme vous !
Mais pas ici, sur ce blog, svp.
C'est justement un blog fait pour ne pas vraiment accepter sans broncher les excès de la vie politique de mon pays (celui que j'aime tant et qui me le rend si mal...), mais les dénoncer.
Point-barre.
Bien à vous !
I-Cube