C’est
parti !
Personnellement, j’y suis favorable, à condition que le mécanisme ainsi
que le basculement du système ancien vers le nouveau soit simple, lisible et
« facile ».
Et là, hélas, c’est moins sûr.
Prélever à la source est une des réponses, simple et peu onéreuse, à une
grave difficulté des Services : Quantité d’agents prennent leur retraite (bien
méritée) depuis quelques années et le flot va s’accélérant.
Des personnels qu’il faut remplacer, ce qui augmente les coûts puisque
c’est l’État qui supporte les versements des nouveaux pensionnés et les
nouveaux salaires.
D’où l’idée « géniale » de « Bling-bling » du
remplacement de « un sur deux », qui se transforme au fil du temps
avec le « capitaine de pédalo » en « 1 sur 2,75 », mais
sans le dire.
Il n’est plus à un mensonge près, surtout par omission !
Un autre problème reste l’hyperinflation des textes applicables, y compris
en matière fiscale, puisqu’à chaque problème nouveau, une loi est votée dans
l’urgence, souvent accompagnée par une taxe « parafiscale » et
quelques mesures d’interdiction ou de « coercition-forte » de plus,
qui vient s’empiler avec tout le reste qui n’est jamais abrogé.
La fiscalité est devenue tellement illisible qu’elle participe à
l’insécurité juridique générale, telle que le législateur, dans « son
immense sagesse », étouffe toutes tentatives de rebond économique :
Les assiettes de prélèvement se réduisent, les taux s’enflamment.
On en est arrivé au point où même le « capitaine de pédalo-chef »
en dit qu’il n’y aura plus d’augmentation des impôts jusqu’à la fin de son
mandat…
C’est dire !
Et enfin, se surajoute à ces constats parfaitement prévisibles, puisque
déjà dans mes cours de « bac +++ » à la fac dans les années 2000 je
les avais évoqués devant « mes » étudiants, la formation des
personnels face à cette déferlante de « systèmes de prélèvements
obligatoires » est largement insuffisante.
On avait déjà, dans la décennie précédente, à faire face à ce phénomène de
« dé-unification » du droit applicable en matière sociale et de droit
du travail : D’un « district-administratif » à un autre, d’une
Cour d’Appel à une autre, les solutions applicables par
« l’autorité » qui en imposait, à des situations juridiquement
similaires, divergeaient largement !
C’est simple, alors que le droit du travail est fortement balisé, faites
donc faire un calcul d’IFC (Indemnités de Fin de Carrière) ou une simulation
d’indemnisation d’une rupture de contrat de travail par deux
« spécialistes » différents, et vous aurez 4 à 8 résultats différents,
selon deux des hypothèses les plus probables, qui seront encore différentes
passées le moulinet du Conseil des Prud’hommes !
Désormais c’est pareil pour le fisc où à une même situation, mais en des
lieux différents, j’en étais à gérer 4, 5, 10 solutions parfois radicalement
opposées !
Mais si ! Fabuleux le principe d’égalité face à la charge publique…
Solution de bon sens : Simplifier, c’est un impératif désormais
urgent !
Et la retenue à la source, surtout si elle prend la forme d’une
« flat-taxe », surtout si elle est libératoire, quitte à garder un
peu de « progressivité » à travers les assiettes (style : Taux
zéro jusqu’à 1.000 ; taux 5 % de 1.001 à l’infini ; taux de
supplémentaire de 5 % de 5.001 à l’infini ; de + 5 % encore de 10.001 à
l’infini et ainsi de suite…) qui assure une prévisibilité et une lisibilité
absolue doit tomber sous le sens de l’énarchie ambiante.
Même si c’est peu probable, finalement…
D’autant que les « taux unique » (même à progressivité d’assiette)
sont archi-connus et fonctionnent très bien : La taxe sur les salaires en
premier, les versements de rémunérations à l'étranger, les différents taux de TVA également, la CSG, la CRDS, les
prélèvements sociaux sur les revenus du patrimoine, qui assurent, pour ces
derniers, plus que l’IR lui-même, etc.
On a même basculé quantité de cédules dans le système : Les
plus-values mobilières (ce sont les banquiers qui en sont chargés), les
plus-values immobilières (ce sont les notaires qui collectent), les revenus de
capitaux mobiliers (encore les banquiers ou les parties versantes, compagnies
d’assurances, etc.), les rentes à titre onéreux.
Techniquement, ce n’est pas si difficile que ça et ça se contrôle très
facilement : Des additions et une multiplication finale.
Reste des gros morceaux : Les traitements (des fonctionnaires), les
salaires (des « non-fonctionnaires ») et les pensions (des retraités)
dont on connaît mois par mois les quotités, récapitulées dans les DADS, les
bordereaux de liquidation des cotisations, ou les versements de pension, y
compris des rentes à titre onéreux (compagnie d’assurance les versant).
En revanche, les rentes à titre gratuit, il n’y en a plus beaucoup et sont
le fait d’organismes sociaux (qui les déclarent), échappent toutefois à la collecte des
renseignements généralisée quand elles sont le fait des particuliers.
Mais là encore, grâce à un petit travail de recoupements, très automatisé
d’ailleurs, les Services sont capables de vous envoyer des déclarations
« pré-imprimées » où les erreurs deviennent rarissimes depuis
plusieurs années.
Donc, le « gros morceau » ne pose pas de difficultés pour vous
prélever à la source.
En revanche c’est plus compliqué pour les autres cédules : Bénéfices
agricoles, entre le forfait, le régime simplifié et le régime réel, les deux
derniers emportant comptabilité probante et sur déclaration préalable du
contribuable, le seul moyen à disposition, et encore il est imparfait, ça reste
les recoupements via les comptes bancaires, comme usuellement.
Mais on restera avoir du mal avec l’artisan-taxi (alors qu’avec Uber,
c’est nettement plus aisé à contrôler, puisqu’il y a un tiers organisateur
placé au milieu).
La « PGP » pour « Petite-Gratte-du-Patron », reçue en
espèce, elle échappe au fisc et aux organismes sociaux, si c’est bien fait.
Pourquoi croyez-vous que les autorités gouvernementales veulent réduire
les paiements en liquide ?
Les « BNC » pour Bénéfices-non-commerciaux ainsi que les
« BIC », Bénéfices Industriels et commerciaux, c’est à la fois un peu
plus compliqué et en même temps beaucoup plus simple : Il y a quantité de
déclarations à fournir sous peine de redressements-sauvages, qui doivent rester
cohérentes entre-elles.
Et les robots sont formidables pour relever les anomalies entre des
déclarations de liquidation de TVA, les encaissements/décaissements bancaires,
les DADS, les complémentaires sociales, etc. etc.
Donc là encore, aucune difficulté technique insurmontable pour avoir une
assiette de prélèvement à la source relativement fiable, quitte à installer des
garde-fous de « révision » et corrections annuelles, ex-post !
La seule chose qui échappe aux Services, ce sont tous les
« trafics » illégaux réalisés en « menue monnaie » (l’échec
des fameuses cellules de recoupement, avec les Douanes et la PJ, mises en place
par « Bling-bling » dans la lutte contre la délinquance) et le
« black » de vos commerçants, artisans et prestataires de service…
sans facture et payé en espèce, sans carte-bleue ou chèque.
Là, de toute façon, tous les métiers ont déjà chacun ses techniques, qui
vont de la « caisse voleuse » qui reste « basique » même
dans un hypermarché, à des choses nettement plus compliquées, comme les
« taux de casse », dite aussi « part des anges » pour les
alcools, ou « démarque inconnue » si la TVA est officiellement
récupérée.
Pour rappel, vos cafetiers-brasseurs de quartier sont équipés de machine à
enregistrer qui éditent un relevé de la journée sur papier thermique qui…
s’efface avec le temps et la chaleur, et effacent les opérations à l’ouverture
de la journée suivante, faute de mémoire et de support de sauvegarde idoine.
Mais il y a encore plus simple : Vous n’êtes pas tenu d’avoir une
caisse enregistreuse sous un certain seuil de CA. Et il suffit de baisser le
rideau provisoirement pour ne plus faire de CA du tout tel ou tel jour…
Là, le passage à la retenue à la source ne changera strictement
rien : Il faudra toujours en passer par un contrôle sur pièces et un
rapprochement des encaissements/décaissements reconstituant le train de vie du
contribuable pour lui faire rendre gorge.
Car n’imaginez pas qu’en « bon-fiscaliste », j’analyse la fraude
de mes ex-clients autrement que comme ni plus ni moins du vol pur et simple !
Et j’enrageais quand je découvrais une nouvelle façon de voler le fisc,
c’est-à-dire, vous … et moi !
La fraude fiscale est à l’optimisation fiscale légale ce que la musique militaire
est à une symphonie de Mozart (ou un opéra de Verdi).
Ceci étant précisé, l’immense avantage du prélèvement à la source, ça reste
la possibilité de traitements informatisés, automatisés qui vise 33 millions de
contribuables à travers la mobilisation de seulement 2 à 3 millions de
« parties versantes » (et qui déduisent et qualifient juridiquement, donc fiscalement, les
opérations) !
Après tout, il n’y a qu’1,5 million d’employeurs dans ce pays !
Autant dire « facile », d’autant que même après les mesures de
simplification promises, ils sont cernés par des obligations déclaratives dont
le traitement sera … simplifié pour le Service : Pourquoi croyez-vous qu'ils veulent absolument tout simplifier, notamment dans les entreprises, unifier les déclarations ?
En bref, tout est près et testé pour basculer dans le nouveau système à
mettre en place, en témoigne vos déclarations pré-imprimées qu’il est
d’ailleurs question de vous faire payer (2 euros par feuillet) pour vous
obliger à en passer par la télé-déclaration (vous êtes 36 % à avoir adhérer au
« système ») et déjà au « télépaiement » (vous êtes plus de
50 % à vous y vautrer).
De toute façon, il n’y a plus d’encaissement de chèques depuis un moment
dans les services.
Vous ne pouvez même plus arriver avec votre brouette de piécettes d’un
centime pour régler votre TVA ou votre IR (ISF et autres) !
Autre avantage, et non pas des moindres, on peut alors envisager de
« l’imposition négative » automatique, ce qui n’est pas possible
aujourd’hui et oblige à en passer forcément par un traitement des informations
antérieures du contribuable et l’obligation de déléguer aux « activités
sociales », mieux formées, telle que la CAF…
Double administration coûteuse qui est appelée à disparaître … si l’on va
au bout de ladite réforme.
Que des économies à faire, finalement !
Sans même compter les frais d’acheminement postal, aujourd’hui évalués à
plus de 52 millions d’euros…
Et puis alors, cerise sur le gâteau, au moment du basculement, il y a une
année de « double-recette » à prévoir : Que du bon !
L’année de recette de la retenue à la source et la même que l’année
d’imposition des revenus antérieurs !
Et c’est là que les choses se gâtent.
Si encore on était en pleine période de croissance qu’il s’agissait de
freiner au moins un peu ou de ralentir pour éviter la « surchauffe »
de l’économie qui dégrade instantanément la balance commerciale, ç’aurait pu
être possible.
Mais là, programmer – pour 2018, nous dit-on, soit pour un futur
gouvernement à venir – 77 milliards soit en ristourne en période de
« vaches-maigres » pour la finance publique, ou au contraire, procéder
à une « double-imposition » du même montant à supporter par les seuls
ménages, plombant encore plus la « dynamique-faiblarde » de
l’économie, c’est totalement suicidaire dans les deux cas !
Pas de chance…
Notez que la solution à ce dilemme pourrait être simple : On reporte
la double-imposition en l’étalant sur plusieurs années.
On le fait bien, et parfois sur dix ans, pour les droits de succession
quand le patrimoine de cujus est
principalement immobilier.
Ou pour le versement des indemnités en capital pour divorce…
Et quelques autres encore.
C’est même une des principales fonctions des « receveurs » et
« percepteurs » (ça ne s’appelle plus comme ça, mais la fonction
existe toujours) que d’étaler, jamais de remettre, d’étaler les paiements dus
sur plusieurs périodes mensuelles ou annuelles afin que ce qui est dû entre
finalement dans les caisses, au cas où le contribuable rencontre des
difficultés financières majeures…
Non là, il s’agirait de « faire cadeau »… Année blanche…
Et attention pas à tout le monde, juste aux salariés !
Parce que pour les autres, c’est beaucoup plus difficile techniquement (et
puis ils ne votent pas « soce » d’une façon générale, alors que les
fonctionnaires et les syndiqués restent les meilleurs barrages au retour de
« Bling-bling ») !
J’adore la perspective du délire anticonstitutionnel qui pointe son nez…
Surtout si c’est « Marinella-tchi-tchi » qui remporte la palme juste
avant : Elle, elle ne fera pas dans le détail et redressera de 77 milliards les
finances publiques avec une nouvelle loi de finances, un nouveau barème et
quelques aménagements, votée dans l’urgence du mois de juin ou juillet 2017 et n'hésitera pas à réprimer dans le sang les jacqueries à venir…
De toute façon, je ne te vous raconte même pas la réaction du Conseil
Constitutionnel face à cette rupture majeure du principe d’égalité des citoyens
devant la charge de l’État…
Il l’a déjà fait avec la « taxe-Carbone » de « Bling-bling/Bord-l’eau »
pour moins que ça, qu’elle en a été durablement torpillée !
Et là, même « Tonton-Yoyo », il ne pourra pas faire autrement
que de suivre la « jurisprudence » antécédente et évidente sur le
sujet !
Je vous le dis, j’adore !
D’ailleurs, un de mes « petits-camarades » fiscaliste commence
déjà à anticiper quelques « optimisations » bienvenues.
Des plus classiques, bien sûr puisque s’agit de déduire d’un côté des
charges de paiement chez les « parties versantes », même par
anticipation, voire également de façon rétroactive, et d’imposer des revenus
« encaissés » chez la personne imposable : Vous pensez bien que
2017 sera une année faste pour certains, dès lors que ce sera financièrement et
juridiquement possible.
Il a même été jusqu’à calculer l’impact sur les décès : Une année
d’imposition nulle et il en restera nettement plus à transmettre, en cas de
décès inopiné, aux héritiers.
Mais « plus », veut dire plus en terme de droits à payer :
Il s’agit donc d’optimiser au mieux pour lui et éventuellement de faire
« rectifier » au mieux via l’IR en exonération.
Moi qui croyais que les « pactes sur succession future »
étaient interdits par le Code civil.
« Oui, Ice-cube ! Les pactes
sont interdits, mais pas l’étude des « optimisations » futures ! »
De là à « programmer » la disparition de quelques
« être-chers », je ne te vous dis pas.
Tout ça pour vous dire que « je suis pour » par principe, n’y
voyant que des côtés positifs.
Mais à condition de le faire intelligemment.
Pas comme des brutes acéphales.
Nous allons y revenir une prochaine fois après avoir survolé quelques
critiques d’ignorants.
(Suite : http://flibustier20260.blogspot.fr/2015/06/prelevement-la-source-de-lir-22.html)
(Suite : http://flibustier20260.blogspot.fr/2015/06/prelevement-la-source-de-lir-22.html)
Repris sur les sites « Alerte éthique » :
RépondreSupprimerhttp://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/2015/07/imp%C3%B4t-sur-le-revenu-i.html
http://www.alerte-ethique.fr/news/impot-sur-le-revenu-i/
Dans mon modeste cas de retraité, qui a une déclaration limitée au minimum, et dans une tranche d’impôt tout à fait raisonnable (bien que j’aimerais déclarer beaucoup plus…), je me demande quand même à « quelle sauce » le fisc va agrémenter un passage au prélèvement à la source.
A vrai dire, j’ai toujours regretté que, lorsque j’étais chauffeur de « camion aérien », et autre « Bus de l’air », à « Air Transe », l’impôt sur le revenu n’ait pas été directement prélevé sur mon salaire.
Cela aurait permis de faire prendre conscience à ceux qui trouvent que les pilotes gagnent trop d’argent que ce sont des salariés extrêmement imposés.
D’autre part, j’aurais aussi aimé que les « charges patronales » soient inclues dans ma feuille de paye sous la rubrique « charges salariés » car ces charges font partie du salaire, quoiqu’en disent les « Soces » !...
On s’apercevrait alors de l’extraordinaire taux de prélèvement auxquels sont soumis les hauts salariés !...
D’ailleurs, je me suis arrêté de travailler à 47 ans pour différentes raisons dont celles-ci !... Pas la peine de se détruire la santé pour les « beaux yeux » du fisc et de la « Sécu ».
De la même façon, près de 100 pilotes « d’Air Transe » vont quitter prochainement la compagnie nationale pour être embauchés à Saudia avec un salaire net de 16.500 euros, soit le double de leurs salaires en Métropole !…
Ajoutons, qu’en plus, la pression des charges est telle que la compagnie « Air Transe » n’est compétitive avec aucune autre grande compagnie aérienne et ne peut, ainsi, que péricliter.
Mais c’est une autre histoire…
Jean-Charles DUBOC
Préretraité à 47 ans, mazette !
SupprimerMoi je n'ai pas pu faire : Je suis bon pour "jusqu'à la tombe" !
Faut dire que j'optimisais un maximum sur les charges sociales et du coup les impôts : Juste ce qu'il fallait pour vivre correctement, sans plus, pendant 25 ans !
Et j'en ressors plus "riche", même si je suis rentré "dans le rang" depuis peu, mais avec des charges sociales monégasques et un impôt forfaitaire des détachés au régime d'impôt italien : Une sorte de racket "citoyen" pour le moins léger.
Sur ceux, vous avez réinventé ce qu'en disait mon pape-à-moi, le génial fiscaliste Maurice Cozian qui a participé à ma formation (Il était diplômé agrégé pénaliste de formation...) : "Pour ne pas payer d'impôt, il faut avoir des revenus non imposables".
Car l'inverse est tout autant la règle, mais au tarif progressif...
"L'optimisation" en devient au tarif "régressif" !
Quant aux charges patronales, c'est bien ce qu'on appelle un "revenu différé" : Elles appartiennent au "salarié-esclave", même s'il ne les touchera, peut-être, peut-être seulement, que plus tard.
Et elles figurent déjà sur la feuille de paye mensuelle.
Quant aux impôts à prélever dessus, y figure déjà la CSG et la CRDS : Comme quoi ce n'est pas si difficile à faire pour l'IR...
Quoique justement, sur les pilotes, notamment ceux "au long-cours", c'est plus compliqué que ça : Ils disposent de quelques "niches" bienvenues spécifiquement réservées à leur qualité de pilote "semi-expatriés", qui font l'objet d'instructions des services restées inconnues du grand-public.
Ca m'a toujours étonné, mais c'est censé couvrir les frais engagés pour faire leur métier (alors que tout est payé par la compagnie, tout ou presque).
Et c'est vrai que tous ces prélèvements tuent toute activité quand on les additionne, que vous soyez patron de "hauts-salaires" ou simple artisan, voire agriculteur-éleveur : On en voit les dégâts tous les jours même sur les routes de "Gauloisie-pressurée" jusqu'à la trame.
Ce n'est que demain, le jour de "libération fiscale", 29 juillet, journée qui recule d'année en année !
Pour le reste, vous rempilez quand chez Saudia ?
Ils manquent de main-d'œuvre qualifiée, vous savez, ce qui empêche leur développement rationnel qui emporterait tout s'ils avaient les compétences à disposition...
Bien à vous !
I-Cube.