Le grand canal, le palais des doges et … Luigi !
Son père est à l'hôpital et reçoit la visite de tous
les siens, amis y compris.
À tous, il raconte qu'il a le sida et qu'il va mourir
de cette maladie terrible.
Son fils, Luigi
est près de lui à l'hôpital, ne le quitte pas une seconde, mais lorsqu'il se
trouve enfin seul avec son père, il l'interroge étonné :
« – Papa,
pourquoi dis-tu à tout le monde que tu vas mourir du sida alors que tu sais
très bien que c'est le cancer que tu as ?
– Laisse-moi
faire, mon fils. Une fois mort, personne n'osera baiser ta mère ! »
Un couple, composé d’un nain une personne de
petite-taille (PPT) et une femme vénitienne, vont assister à une représentation
à « La Fenice » (l’opéra local).
Au moment de payer leurs entrées la guichetière leur
demande :
« – C'est
pour « la Belle et la Bête » ?
– Non !
C'est pour ma femme et moi ! »
C'est un couple de vieux agriculteurs Piémontais. Un
beau jour, ils gagnent au Loto vénitien et ils sont invités à venir toucher
leur chèque dans la cité des Doges.
Pris en charge dès le début de leur périple jusqu’au
Danieli, ils arrivent en gondole.
Et là, c'est l'esclandre. Le ton monte très vite.
Madame hurle au groom :
« – Il
n'est pas question que l'on passe la nuit dans une chambre aussi petite ! Qu'il
n'y ait pas de salle de bains, passe encore, mais pas de fenêtre, pas de lit,
ça c'est trop !
– Mais
madame…
– Il
n'y a pas de « Mais madame » ! Vous ne pouvez pas nous traiter comme
de la merde simplement parce qu'on débarque de la campagne et qu’on n’est
jamais allé à l'hôtel. Je vais me plaindre au directeur. Où est-il ? »
Alors le groom lui dit :
« Mais
madame, ce n'est pas votre chambre, c'est l'ascenseur. »
Un couple de vénitien se présente dans une école de
langues.
« – Nous
voudrions apprendre le cambodgien avec la méthode accélérée…
– Écoutez, » dit le
directeur, « pour l'anglais, le français,
l'espagnol, pas de problème. Mais le cambodgien c'est une langue très
difficile, surtout pour des Européens. Pourquoi voulez-vous l'apprendre en
accéléré ?
– Parce
qu'on vient d'adopter un petit Cambodgien d'un an, » dit le
mari.
« Alors
dans quelques mois, quand il va commencer à parler, on voudrait comprendre ce
qu'il dira… »
Une vénitienne dit à son mari qu'elle veut avoir un
enfant, mais le mari hésite beaucoup.
Insistant sa femme lui dit :
« – Tu
sais, chéri, j'aimerai gouter à l'instinct maternel !
– Tu
n'as qu'à retourner chez ta mère ! »
Une femme, à Venise, demande à son mari :
« – Mon
amour… pourquoi te mets-tu toujours à la fenêtre quand je chante ?
– Mais,
chérie, pour que les voisins ne croient pas que je te tape dessus ! »
Après un terrible accident de voiture, madame doit
avoir recourt à la chirurgie.
Brûlée partout sur le corps, le chirurgien doit
prélever de la peau sur les fesses de son Marcel
de mari pour réparer les blessures sur les joues de la femme.
Un mois plus tard, les résultats sont assez
satisfaisants, Madame est presque aussi belle qu'avant.
Elle dit à son mari :
« – Chéri,
ce que tu as fait pour moi est formidable ! Qu'est-ce que je peux faire pour te
remercier ?
– Rien,
rien chérie. Ça me fait tellement plaisir de regarder ta mère t’embrasser sur
la joue ! »
Marcel : « Ma femme et moi on a atteint un parfaite
compatibilité sexuelle : Hier on a eu tous les deux mal à la tête. »
Marcel et un pote
parlent de leurs femmes et de leurs fréquentes disputes avec elles :
« Oh ! Tu sais,
moi j'ai trouvé la solution. Je ne perds plus mon temps à la contredire. Maintenant
j'attends qu'elle ait changé d'avis. »
Marcel arrive chez
lui et crie à sa femme :
« – Chérie,
prépare-toi à faire l'amour cinq fois !
– Waooow,
t'es en forme, toi !
– Non.
J'ai amené quatre copains. »
Marcel dit à son
copain :
« – Chaque
fois que je me dispute avec ma femme, elle devient historique !
– Tu
veux dire hystérique !
– Non, non,
historique ! Elle se souvient de tout ce que j'ai fait de travers, du jour et
de l'heure. »
Un pote de Marcel
vantant les mérites de son épouse, se confie à son copain :
« – Ma
femme est une vraie fée !
– La
mienne aussi : Elle me mène à la baguette ! »
Marcel remarque une
jeune femme dans un bar.
Il s'approche et engage la conversation.
Au bout de quelques minutes, pensant avoir
impressionné la belle, il lui propose d'aller « un peu plus loin ».
La jeune femme lui répond :
« – Oh non !
Je suis désolée… Ça va vous paraître un peu désuet à notre époque, mais j'ai décidé
de me garder pure et innocente jusqu'à ce que je sois certaine d'avoir trouvé
l'homme que j'aime !
– Ben
dites donc, ça doit être plutôt dur, non ?
– Oh,
moi ça va… mais mon mari, ça le rend fou ! »
Marie-Chantal demande à Germaine :
« – Comment
avez-vous fait pour empêcher Marcel,
votre mari, de rentrer si tard le soir ?
– Oh…
C'est très simple ! Une nuit où il est rentré particulièrement tard, je lui ai
chuchoté à l'oreille : « C'est toi Henri ? ». »
En rentrant du travail le soir à la maison, le jeune
papa est accueilli par son épouse, radieuse :
« – Mon
chéri, c'est formidable ! Notre bébé a dit son premier mot…
– Ah
oui ? »
répond le mari. « C'est super ! Qu’est-ce
qu'il a dit ?
– Ah,
là tu vas être content : il a dit « PAPA » !
– C'est
pas vrai ? Qu'il est mignon ce petit bout d'chou ; et ça s'est passé quand ?
– Tout
à l'heure, au zoo, devant la cage du gorille. »
« – Ma
chérie tu vas être obligée de préparer tes affaires et de partir…
– Pourquoi
ça ?
– Je
t'ai jouée au poker et je t'ai perdue.
– Mais,
Marcel, d'habitude tu gagnes tout le
temps ! Comment c'est arrivé ?
– Oh
ben ! J'ai triché ! »
Madame : « Qu'est-ce
que tu aimes le plus chez moi ? Mon esprit ou ma beauté naturelle ? »
Marcel : « Ton sens de l'humour. »
« – Chéri,
tu ne trouves pas que j'ai des petits seins ?
– Non,
non »
répond Marcel…
« – Mais
si : Regarde !
– Mais
non, Rooolalahh ! Bon écoute je vais te donner une astuce : Tu te frottes
les seins tous les matins avec du papier cul.
– Ah
bon ? Tu es sûr que cela va marcher ?
– Ça a
bien marché pour tes fesses ! »
« – J'ai
fait un cauchemar épouvantable », raconte sa femme à Marcel. « On se promenait, tous les deux, dans le parc municipal, quand surgit « Al-Un
Deux-long », jeune. Et tu ne devineras jamais ce qu'il me disait ?
– Non.
– Toi, tu es
trop belle ! Je vais te violer !
– Ça ne
paraît pas trop méchant, comme cauchemar, » fait Marcel
en ricanant.
« Si, parce
que toi, pour défendre mon honneur, tu te battais avec lui. Et, dans mon rêve,
c'est toi qui gagnais ! »
Mon boss-monégasque se fâche après Marcel :
« – Marcel ! Vous deviez reprendre le travail
il y a quinze jours. Où étiez-vous passé ?
– J'étais…
heu ! En vacances à la montagne !
– Et
c'est ce qui justifie vos quinze jours de retard ?
– En
quelque sorte, oui. Parce que, là-bas, il y avait un magnifique écho, avec
lequel ma femme entretenait de passionnantes conversations. Mais, chaque soir,
ce qui la désolait, c'était l'idée de partir sans qu'elle ait pu avoir le
dernier mot ! »
Une fille demande à sa mère :
« – Mon
fiancé a demandé ma main.
– Il te
plaît ?
– Oui
mais il n'y a qu'une chose qui me tracasse : Il a des idées bizarres. Par exemple, il ne
croit pas à l'enfer.
– Qu'il
t'épouse et il y croira ! »
Comme ce sont des histoires « vénitiennes »,
ville possédant quelques canaux et de magnifiques collections de ceintures de chasteté dans
plusieurs de ses musées, on finit par ces quelques-unes rapportées par Luigi, le « local » de l’étape
!
Un chevalier part en croisade. Auparavant il met une
ceinture de chasteté à sa jeune épouse, puis il convoque l'écuyer de la dame en
disant :
« Je te
confie la clé de la ceinture de chasteté. Conserve-là en permanence sur toi et
ne la donne à personne. Si dans trois ans, jour pour jour, je ne suis toujours
pas de retour, c'est que j'aurai péri sous les murs de Jérusalem. Alors, et
alors seulement, tu ouvriras la serrure. »
Et il s'en va…
Trois heures plus tard, sur la route, un cavalier le
rejoint au grand galop dans un nuage de poussière.
C'est l'écuyer, qui lui dit d'une voix haletante :
« Ah,
monsieur le comte, c'est une chance que j'aie réussi à vous rattraper !
Vous ne
m'avez pas donné la bonne clé… »
C'est un chevalier au temps des croisades qui part de
son château pour chasser l'infidèle en Terre Sainte.
Mais avant de le faire, et pour s'assurer de la pureté
de sa chère et tendre, il décide d'acheter une ceinture de chasteté, un modèle
qui comporte une guillotine au niveau du vagin, et l’a fait installer sur sa
dulcinée.
Quand il revint au château après 3 ans d'âpres
combats, il décide d'aller voir son amour et par la même occasion vérifie si la
ceinture n'a pas été forcée.
Il est vite rassuré car elle est intacte et fonctionne encore très bien.
Cependant, il décide de réunir tous les hommes de la
cour pour vérifier si leur « service trois pièces » est bien complet.
Il découvre avec stupeur qu'il n'y en a qu’un parmi
toute l'assemblée qui n'a aucune blessure.
Il s'agit d'un jeune homme, fort, beau et bien bâti.
Le seigneur décide donc de l'appeler pour le féliciter
de sa fidélité envers son maître.
« Toi, le
jeune homme là-bas, viens ici et dis-moi ton nom. »
Le jeune homme approche mais de sa bouche ne sort que
des sons incompréhensibles.
« – Mmmmoiiiiffffff
mouuffffssss seebbbbiueeeeeuurrr ?
– Mais
enfin, parle sans crainte mon ami, t'aurait-on coupé la langue ?
– Mmmaiiiiiisssssss
nouunffff … »
Deux chevaliers en armure partent pour la guerre de
Cent Ans et le premier dit à l’autre :
« –
Pourquoi as-tu mis un cadenas à la ceinture de chasteté de ta femme ? De toute
façon, elle est tellement moche, ta femme, que personne ne te l’aurait prise !
–
Justement »,
répond l’autre, « c’est pour ça que
je lui ai mis un cadenas. Comme ça, quand la guerre sera finie, je dirais que
j’ai perdu la clef… »
Bon rassurez-vous, depuis ces ceintures ne sont plus
utilisées : On a mieux !
Le Rapex !
(Attention : Pubs intempestives en rafale)
Bon week-end à toutes et tous !
Demain, « je débarque »…
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