… un
peu plus tard !
Combien ils avaient dit, déjà ?
70 millions d’interceptions sur un seul mois, rien qu’en « Gauloisie-écoutée » …
Notez qu’on savait déjà depuis un an que le téléphone de « Mère-qu’elle » avait été mis sur écoute… que le bâtiment de l’ONU est piégé de micros à New-York, à peu près comme toutes les délégations internationales.
Car elles promettent d’être saignantes (paraît-il au moment où je mets en
ligne) et j’attends de me régaler.
Pour en revenir au « pétard » de la semaine dernière qui n’est
déjà pas mal en lui-même : Oui, un « pétard » parce que ça fait
quelques années que tout le monde sait que la NSA espionne tout le monde, tous
azimuts…
Et pas seulement eux.
Mais tout le monde de par le monde.
Mais tout le monde de par le monde.
Pour des résultats d’ailleurs laissant gravement à désirer : On va y
revenir !
Combien ils avaient dit, déjà ?
70 millions d’interceptions sur un seul mois, rien qu’en « Gauloisie-écoutée » …
Une paille !
Je vous laisse imaginer la quotité démesurée à l’échelle d’un continent…
Quant à la planète entière, n’est-ce pas, passons.
Et dire qu’ils ne sont même pas capables de retrouver une épave d’avion
plantée au milieu de l’océan indien.
Passons z’encore.
Et qu’est-ce qu’ils en font des SMS et autres « textos » de
« ma nichée » qui me fait savoir qu’elle a mal à la gorge en se
levant le matin ?
C’est absolument passionnant et indispensable pour la lutte contre le
terrorisme, n’est-ce pas !
Le « scoop », c’est que trois Présidents gaulois ont été
« ciblés » durant des années.
On savait déjà que les ordinateurs de l’Élysée avait été piratés au moins
à deux reprises : En 2004 et plus récemment à la veille des élections de
2012.
Alors les téléphones…
D’autant que vous avez financé, avec vos impôts à vous, quelques 14.000
téléphones sécurisés de Thalès, le « Téléphone cryptographique pour réseau étatique et militaire », plus connu sous son acronyme de « Téorem ».
Développé avec l’aide des experts de la DGA à Bruz, près de Rennes, ce téléphone protège les
communications voix et données numériques jusqu’au niveau « secret défense » quand elles empruntent les réseaux publics mobiles et fixes (GSM, UMTS, 3G, 4G+, RNIS…).
Il permet aussi de se brancher sur les réseaux militaires et gouvernementaux.
Avec « Teorem » pas de risque donc que les SMS et les
communications orales soient piratés.
Même s’ils sont moins « ergonomiques » et confortables que
d’autres engins existants sur le marché, en raison des temps de cryptages et
recryptages de borne en borne, avant le décryptage final dans votre trompe
d’eustache.
Non piratable ?
En tous cas pas sans un gros effort.
« La
solution de cryptage ne résisterait
peut-être
pas à la
NSA, » estime un spécialiste sous couvert de
confidentialité. « Mais il faudrait y mettre les moyens pour
décrypter les codes ce qui constituerait un acte encore plus ciblé, autrement
dit une attaque délibérée. »
Donc, on en n’est pas encore là, puisque les ambassadeurs n’ont pas
été rappelés ni même aucune ambassade fermée, préludes indispensables à toutes
les vraies guerres.
C’est naturellement impossible entre alliés réciproques et de si longue
date !
Tout ce ramdam (en plein début de ramadan dont est issu ce mot-là) ne
vous fait-il pas pleurer de rire, vous ?
Moi, si !
D’abord parce que, effet du hasard du calendrier, le « scoop »
intervient le jour même où la loi « renseignement »
est définitivement votée.
Tout juste un peu plus de 18 mois après la première « loi
scélérate ».
L’Histoire, la Liberté, la Démocratie, pourront dire un « Grand
merci » à celui qui n’aime pas, ni « les riches », ni les
« sans-dents ».
Et l'avocat Rubin Sfadj de résumer ainsi la situation par son « twist-again » assassin
: « Écouter des gouvernants c'est
scandaleux ; écouter une population entière c'est nécessaire. »
On en est arrivé là dans la dictature-ambiante…
Et une information en aura gommé une autre : Effet du seul hasard et
circonstance ?
En tout cas, les lois Hadopi ne sont plus désormais qu’un lointain souvenir et
paraissent bien niaises aux côtés des nouveaux dispositifs « légaux &
légitimes »…
Ensuite parce que les USA n’espionne plus personne directement depuis
quelques années : Elle le fait faire par ses alliés, apprend-on par la
bande !
Encore plus original et astucieux, n’est-ce pas !
Chaque pays qui souhaite des informations de la NSA sur ses propres
ressortissants ou pour défendre ses intérêts « exogènes » doit « collaborer »
et fournir des informations sur les cibles que Washington ne peut ou ne veut plus
écouter directement.
Un « troc » volontaire et de longue date !
En se fondant sur des documents fournis par Edward Snowden, le Spiegel a
ainsi prouvé il y a quelques semaines que Berlin et le BND a espionné Paris et
les institutions européennes pour le compte de la NSA.
Vous avez entendu les loups hurler, là ?
Notez qu’on savait déjà depuis un an que le téléphone de « Mère-qu’elle » avait été mis sur écoute… que le bâtiment de l’ONU est piégé de micros à New-York, à peu près comme toutes les délégations internationales.
Même les soviétiques s’étaient installés à deux pas du siège de l’OTAN,
porte Dauphine (les actuels bâtiments de la fac éponyme parigote-rive-drôate)
du temps où Le Général ne les avait pas encore virés de là.
Et les documents récents publiés, là encore par Edward Snowden, suggèrent
que Paris fournit des informations sur ses « amis » africains à
Washington, qui manque cruellement d'implantations sur le continent.
Contre quels services en retour, SVP ?
Ah oui : Il y a aussi les tirs de drone dans la corne de l’Afrique,
contre les auteurs de prises d’otage.
Mais pas seulement, peut-on imaginer.
D'autres exemples d'espionnage entre « amis » ?
Dès 2008, les hackers des services secrets britanniques se sont installés
pour le compte de la NSA dans les serveurs de l'opérateur de télécoms des
institutions européennes, Belgacom.
L'objectif de cette « Operation Socialist » était évidemment de mettre
Bruxelles sur écoutes, de … l'intérieur.
Et ainsi de suite.
Vous pensez bien, les grands absents de ce déballage-là, ça reste
justement les fonctions de nos propres services d’interception, tant à
l’étranger que désormais sur le territoire national et … européen !
Pas un mot, SVP…
Pas un mot non plus, dans tout ce délire « anti-américain », ni
de nos propres turpitudes, ni même celles de nos « alliés
européens », l’Allemagne en premier, les anglais ensuite, etc.
Vous aurez noté, espère-je, depuis plus d’une semaine ?
Alors, vous pensez bien que je peux me permettre d’en rire bien fort,
n’est-ce pas.
En revanche, on saura tout du 22 mai 2012, soit quelques jours après
l'entrée en fonction de « François III » et de réunions « secrètes »
destinées à discuter d'une éventuelle sortie de la Grèce de la zone euro.
Car le 15 mai 2012, jour de son investiture, il débarque à Berlin
rencontrer « Mère-Qu’elle » dont il rapporte qu’elle « obnubilée par le pacte budgétaire et surtout
par la Grèce qu'elle a laissée tomber, » selon lui, « et n'en bougera plus ».
Vous savez quoi ?
J’aurai pu le leur dire directement…
C’est ce qu’on appelle de l’information « ouverte ».
Quant à « Bling-bling » on apprend qu’en 2008, il « croit que Washington tient désormais compte
de certains de ses conseils ».
Gamin va ! Ou l’immensité incommensurable de sa propre fatuité !
« Selon lui, c'est la première fois
que les États-Unis n'ont pas agi en leaders dans la gestion d'une crise
mondiale et la France va maintenant prendre la main », écrit encore la NSA.
Il se voit dès lors « comme le seul
à pouvoir résoudre la crise financière mondiale » !
Je le savais devenu dément perché sur ses talonnettes, mais pas aussi
précocement.
Conversations Pierre Vimont/Jean-David Levitte. Objet : Les thèmes que
« Bling-bling » veut aborder lors de son entretien prévu le 31 mars 2010
avec « Baraque-au-bas-mât » que ce dernier consent enfin à lui
concéder.
Médiapart écrit que « l'échange
prouve que Paris est parfaitement conscient de l'espionnage américain ».
Contacté par Mediapart, Jean-David Levitte ne s'est d'ailleurs pas déclaré
« surpris ».
« Quand j'ai été ambassadeur à
l'ONU, puis à Washington, puis dans mes fonctions à l'Élysée, aussi bien auprès
de Jacques Chirac que de Nicolas Sarkozy, je suis toujours parti du principe
que j'étais écouté. Cela va avec la fonction… Une fois qu'on a intégré cela, on
adapte ses pratiques », affirme le diplomate.
Ce que confirme de son côté « MAMa », ex-ministre de la Défense
et des Affaires étrangères sous « Bling-bling » et sous « Le
Chi » et ses cassettes abracadabrantesques : « Les conversations qu'il pouvait y avoir
entre le ministre de la Défense et le président de la République se faisaient
hors téléphone », a-t-elle assuré.
Évidemment : On fait pareil jusqu’en
« Corsica-Bella-Tchi-tchi » entre bergers depuis l’affaire des
portables autour de l’assassinat du Préfet Érignac…
Pas de bœufs non plus !
Ils paghjellent de vallée
en vallée.
Mais les autres, qui se sont réunis mercredi dernier en « cellule de
crise » du « conseil de défense » avant le conseil des
ministres ?
Les « Menuet-Valse », « Fafa l’empoisonneur », « Le
Riant », « Nanar Case-neuve », « Stef le-fol-dingue »
et les chefs du renseignement ?
Sont-ils aussi prudents ?
Non, enfin si, imagine-je, sauf qu’en fait il s’agissait de
« communiquer » pour le « bon peuple », entraîné en cela
par la « presse aux ordres » nettement plus anti-américaine (depuis
toujours : Ah la « pensée-unique » proto-marxiste
ambiante !) pour limiter les dégâts dans l’opinion.
Se comporter en « outragé », violé s’il le faut (enfin pas eux, faut
pas non plus dékonner, mais « l’amitié », la « souveraineté »,
etc.), « meurtri », « trahi » mais « libéré ».
Attendez jeunes-gens, le renseignement (« l’intelligence » en
disent les anglo-saxon dans leur charabia à eux), c’est rarement,
exceptionnellement, « en direct ».
C’est seulement le fait de savoir, ex-post
donc, qu’un tel a contacté une telle, tel jour, telle heure depuis leurs postes
respectifs.
Et ensuite, on peut alors confirmer, mais seulement sur le terrain, que
« Juju-Gallet » a ripoliné avec sensualité le dard du
« micheton-sur-son-scooter » ce jour-là, tel qu’il en redemande.
Mais ça, ça sort des rotatives avec clichés à l’appui : Pas besoin
d’écoute, même ciblée.
Et c’est là le plus important : Seulement de savoir ce qu’il y a
derrière « la com’ », et après coup.
En sachant ce qui est « communiqué » officiellement, on devine facilement ce qui
est caché, par simple « transpiration & déduction ».
Et l’info cachée derrière ce délire, c’est que les services américains,
comme tous les autres d’ailleurs, savent que l’info, supputée ou notoire, doit
être confirmée ou infirmée sur le terrain.
Et là, la NSA et autres agences américaines ont gravement péché : Non
seulement ils se font piquer la main dans le pot de confiture, mais en plus, ils
font preuve d’un grave « déficit-terrain », partout autour du globe et
depuis de nombreuses années.
Car ils ont tout misé sur les « moyens modernes » pour faire des
économies de personnel.
L’affaire qui nous occupe ne signifie que cela : L’étendue de leurs
propres défaillances.
Et personne n’a pu ou su vous le dire…
Dommage.
Alors, j’en rigole-très-fort, finalement.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire