Il
va falloir faire avec…
On poursuit notre « reprise
» de ce post publié une première fois fin juin 2012 (… tellement j’étais
« fâché » !) qui fait suite à celui-ci, peu après l’élection de
« François III » à la magistrature suprême de mon pays.
La « série », un peu
improvisée à l’époque, n’a pas pris beaucoup de rides, hélas, mais il convient
désormais, trois ans plus tard de l’actualiser, de la compléter, d’aller au
bout…
Je me suis calmé, alors on peut reprendre…
Oui, parce que la « prime-à-la-nullité », même en matière sociale (qui se
veut « socialiste » par-dessus le marché), au pays qui est censé promouvoir le
mérite et « l’excellence », franchement, ça me fait mal jusqu’aux « …ouilles »…
Je sais, je suis vulgaire : Ça m’arrive quand je suis « colère » !
Et là, j’allais devenir « colère »…
II.A – Le « marché du travail ».
D’abord, le travail, ce n’est pas une marchandise. Qu’on se le dise.
Y’en a marre de ces types qui se croient propriétaires de leur emploi ou
de leur fonction, qui n’acceptent pas de se remettre en cause, qui ne
comprennent pas ou ne veulent pas savoir qu’on peut faire autant, sinon mieux,
sinon plus, avec moins de fonds, de moyens et plus de « génie » ou de talent
(ou les deux).
Quand il s’agit d’entreprises privées, elles ferment leurs portes et ils
tombent dans une trappe de pauvreté. Du coup, moins de cotisations et plus de «
subventions ».
Quand il s’agit d’entreprises publiques ou parapubliques, c’est l’impôt
qui paye et le pays qui croule sous la charge.
Et quand ce n’est pas l’impôt, c’est la dette, on le voit tous les jours
depuis tant de temps…
Là encore : Stop !
Y’en a marre aussi que les « meilleurs-consultants » (dont «
La-roue-tout-roux » soi-même) considèrent à l’instar de leurs clients qu’ils
sont encore « Maîtres-des-forges », propriétaires de l’outil de travail, donc
du travail, donc des emplois qu’il y a autour : Ils n’en sont que les «
usufruitiers » pour capter les fruits du travail d’autrui devant la machine !
D’ailleurs, le contrat de travail n’existe dans aucun Code, même pas celui
du travail par défaut de définition légale, et qu’il faut se reporter au Code
civil qui nous cause de « louage d’ouvrage » !
Bref, si on arrêtait de considérer le « travail » comme d’un coût avec des
œillères-comptables, parce que les salaires versés sont dans la colonne des
charges, et qu’on taille dedans jusqu’à plus soif quand les affaires vont mal,
on s’apercevrait peut-être que la contrepartie reste dans les produits d’exploitation
et que finalement c’est le « travailleur » qui produit ce qui va être vendu et
qui génère lui-même les cotisations et impôts au lieu de « bouffer de la
subvention ».
Essayer donc de « gagner de l’argent » avec une machine dépossédée du type
qui appuie sur le bouton « ON » : Vous m’en direz des meilleurs (comme «
Tchu-ruque », un X, et son usine virtuelle, voyez ce qu’il en est devenu d’Alcatel,
l’ex-future entreprise industrielle « sans usine »…) !
Parce que si on persiste de la sorte, nous serons tous subventionnés avec
de l’impôt qu’on nous repiquera pour devoir subventionner ce qui à payer : Du
grand n’importe quoi, finalement.
En bref, il nous manque des « intelligents ». En premier lieu chez « nos
chefs », petits ou grands, privés ou publics, chez nos « politiques », « kons
ou moins kons » et parmi les syndicats de prolétaires : Ceux que nous avons,
ils défendent avant tout leur fonction (et des dogmes éculés qui visent au
suicide collectif).
Les uns leur « pré-carré » et les avantages d’arracher la confiance de
leurs actionnaires avec de belles parlotes, les autres idem mais par suffrage
universel interposé, et les troisièmes avec de la subvention-à-manif’ (pour
quelques-uns, pas tous, bien sûr).
Aucun, absolu aucun d’eux, ne sont au service ni du pays, ni de leurs
syndiqués, ni de leurs électeurs, ni de leurs actionnaires !
Peut-être un peu à celui des banquiers qui avancent les fonds nécessaires
pour que « ça tourne ».
(On l’a encore vu récemment avec les
QE divers, de l’argent qui vient de nulle part, sans contrevaleur réelle).
Et comme ceux-ci en font de moins en moins par prudence excessive, ça
durera moins que les pyramides.
D’ailleurs, ils sont si peu nombreux à y croire encore…
Et ça coûte et ça coûte.
(Surtout aux générations futures
qu’on sacrifie sans états d’âme à l’autel des utopies dogmatiques !)
Le droit du travail, c’est un monstre qui dit tout et parfois son
contraire : Et ce n’est pas fini.
En protégeant le salarié – ce qui est louable en soi – on oublie qui paye
quoi.
Quand c’est le client, on ferme les yeux : Il en reste en principe
toujours assez pour payer le banquier, les impôts et les cotisations sociales.
Sans compter les « menus avantages » d’être dans le fauteuil de direction.
Il peut crever le client, on s’en fout : La solidarité nationale prendra
le relais s’il disparaît. Et il disparaît à en accumuler des montagnes de
dettes !
Quand c’est la « solidarité nationale » (chômage, maladie, invalidité,
incapacité, retraite) on ne compte même plus !
Et quand elle est en difficulté, on augmente les taux et/ou diminue le
volume des prestations tout en courant de cessation des paiements en faillite
annoncée depuis si longtemps qu’on en oublie que ça peut exister encore.
Le tout au lieu de baisser les taux et d’augmenter les assiettes…
Un monde à l’envers.
Mais ce n’est pas non plus qu’une question de chiffre : Le « monde du
travail », par excellence, ce devrait être le « monde de la souplesse » et de
l’adaptabilité.
Je vous renvoie au laïus précédent sur le « social » et tout ce qu’on peut classer sous
la mention « formation-intégration ».
Or, il faut bien constater que le modèle dominant reste une véritable «
fossilisation » du prolétaire.
Et il en redemande !
Le salarié « appartient » à sa boîte : Quand elle est vendue, il est même
vendu avec !
Quand elle déménage, il est attaché au site d’antan et peut refuser de
suivre si ce n’est pas sur la même commune.
Quand son « poste » est supprimé parce que les process ou l’organisation
changent, évoluent, s’améliore sous la poussée du progrès et des attentes du
« client-solvable », il faut le reclasser à l’équivalence malgré lui,
même si son métier n’existe plus.
Quand il stresse parce qu’il est « mauvais » ou est toujours absent, en
« burn-out » les lundis et vendredis, on parle de manque de respect à
la première remarque qui peut aller jusqu’à la notion de « harcèlement moral ».
Infantilisé, il n’est jamais responsable – jusque dans le Code civil –
qu’on se doit de le prévenir qu’il ne faut pas téléphoner au volant !
Je vous jure : Si encore c’était un gag, mais même pas, c’est une «
obligation de moyen » imposée à tout employeur !
Toujours pas d’obligation de résultat, n’est-ce pas : D’ailleurs, ce
serait contrevenir au « libre-arbitre » de se faire du mal à soi-même !
Et pour autant, « ça marche » quand même, cahin-caha, parce que
finalement, il y a plus d’adultes que de gamins… chacun avec ses propres
limites à géométrie variable.
Incroyable, mais vrai là encore.
Parce que globalement, ce sont toujours les mêmes « 10 % » qui cassent la
baraque de tous les autres.
Sauf que les « mêmes 10 % » varient eux aussi au fil du temps et des
carrières souhaitées et contrariées par le fait des choses.
Mais pas seulement : Le « marché du travail », il est d’abord alimenté par
les entreprises « créatrices de richesses », de « valeur-ajoutée commerciale ».
C’est-à-dire des « boutiques » qui ont su trouver leurs clients …
solvables et répondent à leurs besoins, en temps, en heure, au prix convenu et
sur place.
D’où la nécessaire adaptabilité de l’organisation, de la production, de la
livraison, de l’administration des ventes, mais aussi de « l’écoute du client »
qu’il faut parfois aller chercher au « diable-Vauvert ».
Soyons sérieux pour une fois : Il y a deux types d’entreprises, pas trois.
Les « vendeuses debout » et les « vendeuses assises ».
La troisième n’est même pas éclose : C’est celle ou le vendeur et
l’acheteur sont tous les deux assis.
L’une peut aller chercher ses clients à l’autre bout du monde (même si on
le lui demande pas), partout où il niche et l’autre attend que le client vienne
à elle…
6 « pôles d’excellence » se croisent (et pas 7 ni plus) :
– Les « spécialistes » qui attirent le client par leur profondeur de gamme
de produits et services à « nul égal » par ailleurs ;
– Les « généralistes », qui attirent le client par la largeur de gamme de
produits et services proposés : Le principe du « Tout sous un même toit », au
moins dans un secteur d’activité ;
– Les « discounteurs », qui attirent le client seulement par leur
réputation d’être peu onéreux (ce qui n’est pas toujours vrai), même si c’est «
de la crotte » bien présentée ;
– Les « dépanneuses », qui offrent leur gamme de produits et services
parfois très courts à quiconque quand leurs concurrents sont fermés, durée du
travail obligeant (et puis les journées n’ont jamais que 24 heures et chacun
n’a que 2 bras)… Elles jouent la « disponibilité » ;
– Les « voisines » : On y vient parce qu’elles sont à « proximité »,
visent la disponibilité et recrutent leurs clients dans leur voisinage immédiat.
– Et enfin la « commodité », qui joue « la facilité d'accès », entreprises toujours prêtes que ce soit dans l'e-commerce, où seulement qui facilitent l'accès avec un grand parking situé au milieu d'une dense réseau routier.
– Et enfin la « commodité », qui joue « la facilité d'accès », entreprises toujours prêtes que ce soit dans l'e-commerce, où seulement qui facilitent l'accès avec un grand parking situé au milieu d'une dense réseau routier.
Et un « bon marketeur » sait qu’il faut se positionner sur « deux axes » :
Un n’est pas suffisant pour faire la différence et survivre, trois et le
message porté est illisible, incompréhensible par le plus grand nombre…
D’où l’échec prévisible d’une boutique de droit privé quand elle s’est mal
positionnée.
Comment croyez-vous que les acteurs de « l’activité économique » de tout
le secteur public ou parapublic se positionnent ?
Ils sont tous « vendeur assis » uniquement.
Marcher, ils ne savent pas faire. Au pire, ils « télé-travaillent », «
télé-prospectent », contraints et forcés.
Je vous signale tout de suite que ce « commerce-là » a ses propres limites
: Elles ne sont pas géographiques, mais elles sont dans les mentalités malgré
les immenses progrès proposés par les NTIC !
On en arrive même à « télé-opérer » sur une table de chirurgie un patient
localisé on ne sait pas où !
En bref, tout le monde peut faire, jusqu’à vos écritures de banques qui
sont le fait de marocains, de Sri-lankais que vous avez au bout de fil quand
vous appelez votre agence locale (qui d’ailleurs est soit fermée, soit «
chronophage » pour vos nerfs et votre journée surchargée).
Le « vendeur assis », les délocalisations lui grignotent petit-à-petit
sa raison d’être.
Même dans le textile.
Ce qui sauve encore ce secteur-là, c’est que le « client-debout » qui
vient encore à lui, il veut voir, toucher, tâter, se mettre en situation avant
d’acheter.
Mais attention, demain ou après-demain, ce ne sera plus le cas que pour
quelques spécialités qui s’épuisent au fil du temps.
Ils sont tous soit « voisin » et « spécialiste », soit « voisin » et «
généraliste », soit « voisin » et « dépanneur-urgentiste », disponible et/ou à
proximité.
Le segment « prix » n’est jamais pris en considération comme d’une
priorité pour ceux-là.
Là encore, ce « marketing-là » a ses propres limites !
Quand la population des clients sera assez pauvre pour ne plus pouvoir
payer, ils n’auront plus de boulot à fournir. Plus rien à vendre, plus rien à
proposer d’accessible.
Et la bagarre se fera sur le prix, qu’on le veuille ou non, alors même que
ce n’est pas (et ne le sera pas avant longtemps) dans la culture d’un « service
public ».
C’est simple : Regardez jusqu’au déplacement urbain ou « inter-ville » :
Quand la recette n’y suffit pas, on subventionne largement.
(Sans ça, Ô drame, on ferme des
lignes de trains qu’on remplace par des cars haut de gamme, comme c’est
désormais prévu pour les trains inter-citées.
Mais on aussi eu droit au
désastre d’Air-Inter et les vols « domestiques » : Il ne reste
plus que trois lignes de « navette »…)
C’est même la vocation d’un « service aux usagers » (pas le client, non, l’usager), des régies, des concessions des «
délégations de service-public ».
Le segment « vendeur debout », ils ne connaissent pas mieux : Quoique quand
il existe, il est le seul fait de très grosses entreprises à « économie-mixte
», État/région/industrie quand l’acteur public s’en inquiète un peu (énergie,
infrastructure, bâtiment, industrie de pointe).
Alors là, ils s’y entendent, puisque vous les retrouvez au CAC 40, voire
pour une forte proportion au SFB 150 ; puisque le marché-domestique est si
étriqué.
C’est tellement énorme, qu’ils parviennent à écouler des Airbus sous
toutes les latitudes, des obus ou des Rafale, des gaz industriels ou des médicaments
qui n’en sont pas pour être de l’homéopathie, des tours à en donner le vertige,
des ponts, autoroutes, trains, tunnels, aérogares, etc. !
Or, là non plus personne n’est dupe : Quand on produit pour un « marché »
à l’export, on n’a pas à le faire avec les mêmes normes, les mêmes contraintes
sécuritaires, les mêmes degrés d’exigences.
On a tout intérêt à produire sur place avec de la main-d’œuvre locale et à
ne rapatrier que quelques dividendes qu’on peut aussi laisser sur place quand
c’est moins coûteux…
C’est ainsi que l’erreur fondamentale de Moulinex, du temps de Pierre «
Boyau », parti en 2000 avec une indemnité de 9 millions de francs avant de
laisser une ruine à d’autres, a été de produire à Argentan pour vendre à Moscou
: Le kon !
« Go-sche »de chez Renault, il l’est moins : Il produit partout dans le
monde pour vendre sur place ses bagnoles et écouler les queues d’invendus au
pays… Pas fou !
Tous les autres ont assimilé la leçon, y compris Saint-Gobain dont le
pédégé, « J-L. Baie-fa » me racontait (dans une autre vie) tout le bonheur
d’ouvrir une usine à Varsovie qu’il présentait à son comité central d’entreprise
comme « la » solution pour conserver le site de Chalon-sur-Saône … et ses
emplois !
Applaudi par la CGT locale, s’il vous plaît.
Bref : Comment voulez-vous avoir des progressions ou de la croissance avec
si peu qu’un « marché de proximité » uniquement ?
Et comment celui-ci peut-il croître avec des prolos de plus en plus
nombreux qui pointent au chômage et fréquentent les « assistantes-sociales » ?
Voilà le marché du travail, tel qu’il se présente aujourd’hui, parce qu’il
faut reconnaître à « La-roue-tout-roux » et aux « déclinistes » ce
qu’il leur revient, à savoir qu’on est dirigé depuis 40 ans par des «
technocrates » qui n’ont aucune vision de l’avenir, à leurs responsabilités,
dans les métiers qui sont les leurs, aux fonctions qu’ils occupent tous les uns
derrière les autres, ne pensant « qu’à faire carrière » en reproduisant le
mieux possible les schémas appris aux ékoles.
Une fossilisation des « z’élites » qui les rend autiste, sans une once
d’intelligence ou de créativité : Là, il a raison.
En revanche, il a tort de ne proposer que de « partager la pénurie » de
travail : Ça ne fera que conforter les « technocrates » dans leurs analyses et
process, et mènera tout le monde à la faillite certaine, s’il n’est pas déjà
trop tard, d’ailleurs.
Mais, ma parole, vous êtes devenu marxiste? C'est donc le travail qui crée la valeur? Bien, bien! Très bien, même!
RépondreSupprimerIl n'y a effectivement pas de "marché du travail" mais il y a bien, par contre, un marché des compétences professionnelles ... Il n'y a donc pas d'offres d'emploi mais une demande de compétences professionnelles exprimée par celui qui consent à PAYER pour pouvoir en disposer... Il s'ensuit que le travailleur ne peut être payé pour ce qu'il produit mais seulement pour avoir mis à la disposition de celui qui a payé pour cela ses compétences professionnelles, le produit de la mise en oeuvre de ces compétences étant la propriété de celui qui a payé pour pouvoir disposer des dites compétences professionnelles ...
Trop drôle, Monsieur mon Conseiller !
SupprimerLes uns ont toujours dit, bien haut et bien fort que j'étais un "ignoble" (ça, je ne le conteste pas...) libéral - vous savez l'insulte préférée des "dogmatiques" - et vous, vous me voyez en "coco-marxisant" !
Je la trouve superbe : Merci !
En fait, je ne suis ni l'un ni l'autre, parce que j'ai été élevé à "l'économie-mixte", ce "modèle" que le monde entier nous envie.
Autrement dit pas très loin de la "troisième voie"...
Mais je me soigne, c'est vrai !
En revanche, votre idée d'un "marché des compétences", vous qui avez pu être au cœur du problème en ayant été longtemps "esclave" de "Paul-en-ploie" et encore avant à l'ANPE, vous êtes sûrement plus qualifié que moi sur le sujet.
Et hélas, vous faites abstraction des réalité, en commençant par vous : Pensiez-vous vraiment, quand vous étiez sur les bancs des ékoles, en math-sup et spé, finir conseiller de cette boutique-là ?
A quoi ont donc servi toutes ces années à nager au milieu des abstractions mathématiques ?
N'auriez-vous pas été plus "compétent" à faire autre chose ?
On n'est pas dans un "marché des compétences", loin de là (sauf à vivre dans une monde parfait), mais dans celui des opportunités. Si l'employeur cherche bien des compétences pour une suite de tâches prédéfinies, il ne devrait pas y avoir 800.000 postes à pourvoir dans toutes les disciplines qui ne parviennent pas à trouver preneur !
Pour autre indice, disons aussi que quand on veut recruter quelqu'un de quelques compétences, il ne faut surtout pas passer par "Paul-en-ploie" : C'est une perte de temps.
Il faut user des réseaux de connaissances, c'est plus sûr et souvent se contenter de personnes qui, comme vous, seront "déclassées" par opportunité.
Combien de mes camarades de faculté bac + 5 ont fini caissières ?
Quand je vois un ingénieur béton faire uniquement de la comptabilité, ou une sage-femme faire lingère, voire une excellente expert-comptable finir par élever des chevaux ou un autre faire serrurier, c'est que le monde "parfait" que vous nous décrivez reste cantonné seulement dans les livres.
Quant à des fonctionnaires qui ne font plus rien que classer du papier après avoir passé des concours si difficiles après de longues années d'apprentissage et de cuisant échecs, ils sont quantité !
Le "marché du travail", ce n'est qu'un vaste jeu d'opportunité qui démobilise plus qu'on en croit !
Merci d'être passé et bien à vous !
I-Cube
Repris sur Alerte éthique :
RépondreSupprimerhttp://www.alerte-ethique.fr/news/entre-declin-et-liberalisme-iv/
L’arrivée de l’informatique et le développement des réseaux sociaux va provoquer une économie phénoménale au niveau organisationnel.
L’infrastructure nécessaire à l’organisation d’une société comme Uber devient extrêmement légère puisque le « vendeur » et le « client » entrent en contact directement entre eux, et quasiment gratuitement
Une souplesse totale et une adaptation immédiate au marché !...
Quelle économie de gestion de flotte, d’opératrices, de services administratifs…
Et un besoin financier très faible pour lancer l’affaire.
Le « monde d’après » arrive, se développe devant nous, et le « marché du travail » va en être totalement bouleversé.
Jusqu’à quelle mesure ?...
Ils provoquent déjà ces mutations !
SupprimerCataclysmiques d'ailleurs, qui frustrent le plus grand nombre...
Et c'est vrai que les économies "2.0" s'en retrouvent bouleversée tel que jusque-là, on glose on glose, mais personne ne décrit ni encore moins ne théorise, sauf quelques petits-bouts sur ces immenses mutations !
D'autant que nous n'avons pas encore de "cap" confirmé, notamment parce qu'avec peu d'argent on en fait plein (un directeur général de la CDC me présentait dans le temps comme un spécialiste de l création d'entreprise à 1 franc...), alors même qu'on a jamais dans l'histoire de l'humanité disposé d'autant d'argent !
Un beau paradoxe impossible.
Dont on ne sait pas vers quoi il peut évoluer.
On essaiera de voir ça dans une seconde série de post ... si j'ai le temps !
Parce qu'il faut vous dire que nos "sachants" et "politiques", ils sont encore très loin d'imaginer des solutions : D'ailleurs, même sur le diagnostic, ils se plantent.
Et du coup proposent encore et encore toutes les "solutions qui ne marchent pas" avec constance et pugnacité !
Quelle cécité, qui touche à l'autisme et la trisomie : Je le redis souvent, d'ailleurs !
Bien à vous !
I-Cube