Les
blagues de la semaine.
Un homme d'affaires ouvre le journal et y lit l'annonce de
sa mort.
Effaré, il téléphone aussitôt à sa femme pour la rassurer :
« – Allo, chérie
! Est-ce que tu as lu le journal ?
– Bien sûr j'ai lu le
journal. » (Puis, soudain
intriguée et inquiète) : « D'où
appelles-tu ? »
Il pleuvait averse ce jour-là et une grande flaque s'était
formée devant ce pub écossais.
Un vieillard en kilt,
déguenillé, était là, sous la pluie, avec une canne et une ficelle pendue dans
la flaque.
Un passant, touché
par ce qu'il voyait, l’approche et lui
demande ce qu’il fait là sous cette pluie battante.
« Je pêche »
répondit le vieillard tout simplement.
« Pauvre bougre » pense le brave homme qui invite
aussitôt le vieillard à l’accompagner dans le pub pour se sécher au chaud et
prendre une boisson.
Alors qu'ils boivent leurs
whiskies à petites gorgées, le gentilhomme pensant faire plaisir au vieillard, lui demande, un peu
ironique :
« – Et alors, vous en
avez attrapé combien depuis ce matin ?
– Vous êtes le huitième » répondit le vieil écossais en
souriant.
L'histoire se passe à Bethléem.
Dans une étable, un jeune charpentier s'approche de sa femme
qui vient d'accoucher :
« Mais enfin,
Marie, qu'est-ce que tu as à pleurer comme ça ? »
Et la jeune femme fond en larmes de plus belle.
« J'aurais
tellement voulu avoir une fille ! »
Un alpiniste, dont la corde vient de céder, se rattrape in extremis à une paroi verglacée.
Sentant ses doigts glisser, il demande :
« Il y a
quelqu'un ? »
Une voix profonde lui répond :
« C'est moi, Dieu
! Si tu crois en moi, lâche tes deux mains, un ange te rattrapera. »
L'alpiniste réfléchit longuement, puis demande :
« Il n'y aurait
pas quelqu'un d'autre ? »
Un PDG fait venir un de ses cadres dans son bureau un soir
vers 19 heures :
« – Marcel, vous serez gentil de me
préparer une note sur la situation actuelle de notre filiale au Brésil.
– Bien Monsieur, vous la
voulez pour quand ?
– Mais pour demain matin bien
sûr ! Si c'était pour après-demain je vous l'aurai demandée demain ! »
L'histoire se passe pendant les années communistes en Europe
de l'Est :
Kuhn et Grün (deux amis) discutent :
« T'as entendu,
les russes sont allés sur la lune ! »
Et l'autre plein d'espoir :
« Tous ? »
La Chine et l'ex-Union Soviétique sont en guerre.
1er jour : Les Russes font 50.000 prisonniers
chinois.
2ème jour : Les Russes font 100.000 prisonniers.
3ème jour : Les Russes font 500.000 prisonniers.
4ème jour : Les Russes font 1.000.000 de
prisonniers.
5ème jour : Le QG Chinois appelle le Kremlin : « Alors, vous capitulez ? »
(C’est une revenue, celle des indépendantistes « Corsi »
chargés par la CIA de déclarer la guerre à Saddam Hussein qui rigole : Ils
finissent par renoncer faute de pouvoir gérer tous les prisonniers irakiens…)
Le candidat à un nouveau poste dans une entreprise ajoute
timidement après l'entretien avec le chef du personnel :
« – Je dois vous
avouer une petite chose, monsieur, je suis un peu superstitieux !
– Qu'à cela ne tienne,
mon cher, » répond enthousiaste
le chef du personnel. « Nous vous
supprimerons simplement votre treizième mois ! »
Dans un car de ramassage scolaire en Alabama, c’est
quotidiennement et pendant tout le trajet, l’affrontement entre blancs et
noirs.
Un jour, le chauffeur pique un coup de sang, arrête son
véhicule et fait descendre tout le monde.
« J’en ai par-dessus
la tête ! » hurle-t-il.
« Ras le bol de
vos bagarres stupides pour des histoires de couleur de peau !
Désormais, c’est
terminé : Il n’y a plus de blanc, il n’y a plus de noir. Vous êtes tous des
bleus ! C’est bien compris ? Tous des bleus !
Et maintenant, remontez
dans le car.
Les bleus foncé à l’arrière,
les bleus clair devant… »
Un touriste américain visite un kibboutz en Israël un jour
de grande chaleur.
Il est prêt à succomber, lorsqu'il arrive devant une
charmante petite maison à la porte de laquelle est assis un homme âgé, pionnier
bien conservé.
« – Hello,
pourriez-vous avoir la gentillesse de me donner boire ?
– Bien sûr, entrez, je
vous en prie. »
L'américain entre, se désaltère, puis examine les lieux d'un
œil bienveillant :
« – C'est mignon,
chez vous. Et vous avez combien de terrain ?
– Oh, environ un quart
d'hectare devant la maison et un hectare derrière.
– Moi, je suis du Texas,
vous connaissez ? Quand je prends ma voiture le matin pour faire le tour de mes
terres, je n'ai pas terminé le soir même. »
Alors le vieillard, malicieux :
« Oui, moi aussi,
j'ai déjà eu une voiture comme celle-là. »
L'interne de garde aux urgences décroche le téléphone.
Au bout du fil, Marcel
affolé :
« – Docteur, elle
a mal, elle a des contractions horribles, elle vient de perdre les eaux, elle a
mal, très mal et …
– Calmez-vous, monsieur,
vous …
– Oui, mais elle a
vraiment très mal, qu'est-ce que je dois faire ?
– Vous gardez votre calme
et vous venez !
– Oui, d'accord, d'accord
… euh … J'amène ma femme ? »
Marcel voit un attroupement sur le boulevard,
à Monaco.
Il s’approche et demande à un autre homme qui se trouve près
de lui :
« – Que se
passe-t-il ?
– Je ne sais pas », répond-il, « le dernier qui le savait est parti il y a
environ un quart d'heure. »
Deux commères monégasques se harcellent mutuellement :
« – Nous avons
décidé de déménager et d'habiter un quartier mieux fréquenté !
– Nous aussi, » répond l'autre, « nous allons habiter un quartier mieux
fréquenté.
– Ah ! Vous déménagez
aussi ?
– Non, non, nous on reste
ici ! »
Deux amis sont brouillés depuis plusieurs années.
Un beau jour, à l'occasion d'une fête de village, ils
décident de se réconcilier.
Ils se serrent la main vigoureusement puis l'un des deux
propose à l'autre :
« – Allez,
échangeons des vœux !
– Bien », dit l'autre. « Je te souhaite tout ce que tu me souhaites !
– Ah non ! » s'exclame le premier. « Tu ne vas pas déjà recommencer ! »
À l’occasion d’un de mes jurys, j’ai reçu un coup de fil d’un
collègue à propos d'un étudiant.
Il estimait qu'il devait lui donner un zéro à une question
de physique assez simple, alors que l'étudiant réclamait un 20.
Le professeur et l'étudiant se mirent d'accord pour choisir
un arbitre impartial et c’est comme ça que je fus choisi, moi qui n’y comprend
rien en physique.
Je lus la question de l'examen : « Montrez comment il est possible de déterminer la hauteur d'un building à
l'aide d'un baromètre. »
Pas trop dur pour être à ma portée.
L'étudiant avait répondu : « On prend le baromètre en haut du building, on lui attache une corde, on
le fait glisser jusqu'au sol, ensuite on le remonte et on calcule la longueur
de la corde. La longueur de la corde donne la hauteur du building. »
L'étudiant avait mécaniquement raison, vu qu'il avait
répondu juste et complétement à la question.
D'un autre côté, on ne pouvait pas lui mettre ses points :
Dans ce cas, il aurait reçu son grade de physique alors qu'il n'avait pas montré
de connaissances en physique, selon l’argumentation de mon collègue.
J'ai alors proposé de donner une autre chance à cet étudiant
en lui donnant six minutes pour répondre à la même question, mais sachant que,
pour la réponse, il devait utiliser ses connaissances en physique.
Après cinq minutes, il n'avait encore rien écrit.
On lui demande s'il voulait abandonner, mais il répond qu'il
avait beaucoup de réponses pour ce problème et qu'il cherchait la meilleure
d'entre-elles.
Je me suis excusé de l'avoir interrompu et lui ai demandé de
continuer.
Dans la minute qui suit, il se hâte et formule sa réponse : « On place le baromètre à la hauteur du toit.
On le laisse tomber en calculant son temps de chute avec un chronomètre. Ensuite
en utilisant la formule « x = gt²/2 »,
on trouve la hauteur du building. »
Pas idiot, à condition de disposer d’un chronomètre de
précision.
Je demande au collègue s'il voulait abandonner.
Il me répond par l'affirmative et donne presque 20 à
l'étudiant.
En quittant le bureau, j'ai rappelle l'étudiant car il avait
dit qu'il avait plusieurs solutions à ce problème.
« – Hé bien »,
dit-il, « il y a plusieurs façons de
calculer la hauteur d'un building avec un baromètre. Par exemple, on le place
dehors lorsqu'il y a du soleil. On calcule la hauteur du baromètre, la longueur
de son ombre et la longueur de l'ombre du building. Ensuite, avec un simple
calcul de proportion, on trouve la hauteur du building.
– Bien », lui répondis-je. « Et les autres ?
– Il y a une méthode
assez basique que vous allez apprécier. On monte les étages avec un baromètre
et en même temps on marque la longueur du baromètre sur le mur. En comptant le
nombre de trait, on a la hauteur du building en longueur de baromètre.
C'est une méthode très
directe.
Bien sûr, si vous voulez
une méthode plus sophistiquée, vous pouvez pendre le baromètre a une corde, le
faire balancer comme un pendule et déterminer la valeur de g au niveau de la
rue et au niveau de toit. À partir de la différence de g la hauteur de building
peut être calculée.
De la même façon, on
l'attache a une grande corde et en étant sur le toit, on le laisse descendre
jusqu'à peu près le niveau de la rue.
On le fait balancer comme
un pendule et on calcule la hauteur du building à partir de la période de
précession. »
Finalement, il conclut :
« Il y a encore
d'autres façons de résoudre ce problème. Probablement la meilleure est d'aller
au sous-sol, frapper à la porte du concierge et lui dire : J'ai pour vous un
superbe baromètre si vous me dites quelle est la hauteur du building ».
J'ai ensuite demandé à l'étudiant s'il connaissait la
réponse attendue (celle de la variation de la pression atmosphérique).
Il a admis que oui mais qu'il « en avait marre que depuis le collège, des professeurs essayent de lui
apprendre comment il devait penser »…
À méditer.
Bon week-end à toutes et à tous !
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