En
marge de l’actualité : Nos ancêtres (à tous ?) les gaulois…
Un inspecteur d'académie se rend dans une classe.
Il interroge un élève :
« Qui a cassé le
vase de Soissons ? »
L'élève pâli, hésite, puis bredouille en un sanglot :
« – C'est pas moi
…
– Comment ? Vous ne savez
pas qui …
– Monsieur, puisqu'il
vous dit que ce n'est pas lui, » dit le professeur.
« – Comment ?
Comment ? Vous aussi, vous ne savez pas qui …
– Ma foi non, » répond le professeur, évasif.
L'inspecteur fait alors un rapport au directeur de
l'établissement.
« Voyez l'état de
l'enseignement, les élèves et les enseignants ne savent pas qui a cassé le vase
de Soissons ! »
Le directeur, ennuyé, se demande :
« Mais qui donc a
cassé ce vase ? »
Il adresse une requête au recteur d'académie.
Ce dernier, recevant la requête l'examine entre deux dossiers
urgents et s'exclame :
« Mais quelle
histoire pour un vase ! Qu'on le remplace ! »
Une femme rentrant dans sa cuisine y voit son mari
tressautant hystériquement avec ce qui semblait être un fil électrique partant
de sa ceinture en direction de la bouilloire électrique.
Comptant le couper de ce courant mortel, elle le frappe violemment
avec une planche de bois, lui brisant le bras en deux endroits.
Alors que jusqu'à cet instant, son mari était tranquillement
en train d'écouter son MP3…
Un gars s'endort plusieurs heures sur la plage au soleil et se
réveille avec un horrible coup de soleil.
Il s'en va immédiatement à l'hôpital et est promptement
admis pour brûlures au second degré.
Il commence déjà à avoir des pustules sur la peau et tombe en
état de choc et est quasiment à l'agonie.
Le médecin prescrit immédiatement diverses médecines pour sa
condition, un sédatif et une pilule de Viagra toutes les 4 heures.
L'infirmière, surprise, demande au médecin: « Quel bienfait va donc lui apporter le Viagra
dans son cas ? »
Le médecin réplique : « Ça va garder les draps éloignés de ses jambes ».
Après une longue attente :
« – Bonjour, ici
Françoise l'infirmière de service. Que puis-je pour vous ?
– J'aimerais connaître
l'état du patient Marcel Dupont de
la chambre 302.
– Un instant je vais
essayer de trouver le médecin de garde. »
Après une plus longue
attente :
« – Ici le Dr.
Jean, le médecin de garde ; je vous écoute.
– Bonjour Docteur, je
voudrais savoir quel est l'état de Monsieur Marcel Dupont, qui se trouve chez
vous depuis 3 semaines à la chambre 302.
– Un instant, je vais consulter
le dossier du patient. »
Après encore une autre attente :
« – Huuuummm, le
voici : Il a bien mangé aujourd'hui, sa tension artérielle et son pouls sont
stables, il réagit bien aux médicaments prescrits et, normalement, on va lui
enlever le monitoring cardiaque demain. Si tout continue comme ça encore 48
heures, son médecin signera sa sortie d'ici le week-end.
– Aaahhh ! Ce sont des
nouvelles merveilleuses ! Je suis fou de joie. Merci. !
– Par votre façon de
parler je suppose que vous devez être quelqu'un de très proche, certainement de
la famille ?
– Non, Monsieur ! Je suis
Marcel Dupont moi-même et je vous appelle du 302 ! Tout le monde entre et sort
ici de ma chambre et personne ne me dit jamais rien.
Je voulais juste savoir
comment je me porte. »
Trois maçons urinent contre un mur quand une plaque de tôle
tombe du toit et tranche leur sexe.
Ramassant leur attirail, ils foncent à l'hôpital subir une
greffe.
Un mois plus tard, le chef de chantier leur rend visite.
Dans la première chambre, Miguel est en train de se
masturber :
« – Mais
qu'est-ce que tu fais ?
– De la réédoucassioné ! »
Dans la seconde, Manuel est aussi en pleine action :
« – Mé, Manuel…
– Ma cé la réédoucassioné
! »
Dans la troisième chambre, une infirmière fait une gâterie à
Carlos :
« – Mais, Carlos…
– Eh, mé c'est la
réédoucasionné ! Mé moi, y'avais pris oune moutouelle ! »
Ce matin, Marcel était
assis sur un banc à côté d'un pauvre clochard, qui lui dit :
« La semaine
passée, je possédais encore tout !
Un cuisinier faisait mes
repas, ma chambre était nettoyée, mes
vêtements étaient lavés, repassés, j'avais un toit au-dessus de ma tête, la TV et l'internet. »
Marcel lui demande :
« – Que s'est-il passé
? Drogue? Alcool ? Femme? Jeux ? »
– Non, non… Je
suis sorti de prison ! »
Une infirmière qui prend sa pause cigarette à l'entrée de
l'hôpital voit deux médecins en blouse blanche, en train de chercher quelque
chose dans le parterre de fleurs.
« – Excusez-moi »
dit-elle, « vous avez perdu quelque
chose ?
– Non » répond un des docteurs. « Tout à l'heure on fait une transplantation
cardiaque a un inspecteur des impôts et on est à la recherche d'une pierre de
taille adéquate. »
Vécu en stage, soins intensifs, en août 2005 :
Une patiente assez âgée raconte l'histoire de sa voisine …
« La pauvre,
c'était une hernie fiscale ! »
Vécu en stage, avril 2005, soins à domicile : « Nous sommes arrivés au domicile d'une dame
de 90 ans passés, sourde comme un pot. Alors que ma référente s'égosillait : « …
Et vous prenez QUOI, comme médicaments ? », nous avons entendu le voisin
hurler à travers le mur : « ATARAX ! ».
Deux brunes et une blonde sont dans la même chambre à la
maternité.
Elles discutent en attendant d'aller en salle de travail.
La première brune dit : « Moi, ça sera une fille parce que quand on l'a conçue, j'étais sur le dos ».
La deuxième brune dit : « Oh moi, ce sera un garçon, car à ce moment-là j'étais au-dessus ».
Et la blonde fond alors en larmes en gémissant… « Oh non, alors je vais avoir un chiot ? … »
Comment reconnaître un anesthésiste ?
C'est le type mal réveillé à côté du type mal endormi…
Après trois jours et trois nuits de bloc et de garde, notre
pauvre anesthésiste monte enfin dans l'avion qui le conduit au club Med
d'Hammamet.
Quelques minutes après le décollage, l'hôtesse passe
l'annonce suivante :
« Une
anesthésiste est demandé en première classe ».
Trop épuisé pour se sentir utile, il ignore l'appel.
Malheureusement, quelques instants plus tard l'hôtesse
renouvelle son appel d'une voix angoissée.
N'écoutant que sa conscience professionnelle, il se présente
à l’hôtesse qui le conduit en première classe devant un fauteuil où un homme
d'une bonne cinquantaine d'années lit tranquillement son journal.
L'anesthésiste se penche vers lui et lui dit : « Vous avez un problème monsieur ? »
L'homme le regarde et lui demande :
« – Êtes-vous
anesthésiste ?
– Oui, que puis-je pour
vous ?
– Bonjour, je suis
chirurgien. Pourriez-vous me régler la lumière ? »
Encore deux authentiques :
Une société avait publié des publicités dans plusieurs
journaux australiens indiquant qu'elle était spécialisée dans l'importation de
films pornos, et qu'elle garantissait de pouvoir fournir n'importe quelle
cassette ou DVD X.
Les prix annoncés étaient très raisonnables et des milliers
de clients ont passé commande sans oublier de joindre le chèque.
Plusieurs semaines après que leur chèque fut débité, les
clients ont reçu une lettre de cette société leur expliquant que la loi australienne
ne permet pas l'importation de vidéo X et que la commande ne pourra pas être
honorée.
La lettre était accompagnée d'un chèque de remboursement
avec le montant exact de la somme qu'ils avaient payée.
Où est donc l'arnaque ?
En fait moins de 10 % des clients de cette société ont osé
aller encaisser leur chèque car le nom de la société émettrice était : « Sodomy,
Fetishism & Perversion Corp. »
Et voilà comment une bande de rigolos s'est retrouvée avec
un compte en banque grassouillet sans que la justice ne puisse jamais les
condamner pour escroquerie !
Le coût moyen pour nettoyer un phoque après la catastrophe
de l'Exxon Valdez en Alaska était de 80.000 $.
Au cours d'une cérémonie spéciale, deux des phoques, qui
avaient coûté le plus cher à sauver, ont été relâchés dans l'océan sous les applaudissements
de la foule en délire…
Qui put les voir se faire dévorer par une orque une minute
plus tard !
Bon week-end à toutes et tous.
N’oubliez pas d’aller profiter des soldes : L’armée
veille sur votre sécurité.
I3
Une orque! Ou un épaulard. Bon, juste un prétexte pour te faire un coucou! Une bonne et heureuse Icube! Vlad
RépondreSupprimerMerci Vlad de "passer par-là" : Je corrige !
RépondreSupprimerEt t'admire : Voilà un métier que je ne pourrai jamais faire: Correcteur !