Parce qu’il vaut mieux en rire !
Un soir, Marcel
dit à sa femme :
« – Chérie,
ça fait 20 ans qu'on est mariés et j'ai l'impression que ça ne te fait plus
rien quand je te fais l'amour, aurais tu un fantasme, histoire de réveiller ta
libido ?
– Oui,
j'en ai bien un mais je n'avais jamais osé t'en parler : Je pense que si un
grand black nous éventait avec un éventail en plumes d'autruches pendant qu'on
fait l'amour, je jouirais terriblement ! »
Qu’à cela ne tienne ! Ni une ni deux, Marcel se
met en quête d'un grand black et d'un éventail et hop, tout le monde dans la
chambre !
Il commence son affaire pendant que le black évente…
Mais rien… Aucune réaction de madame.
Énervé, Marcel dit : « Bon, on va échanger » et il arrache l'éventail des mains du
black qui, lui, va s'occuper de madame.
Et là, madame devient cinglée, hystérique, elle hurle
des insanités, bref déchaînée, quoi !
Marcel tend alors l'éventail au black et lui dit « alors, t'as vu comment il faut éventer,
maintenant ? »
Une entreprise décide de changer le style de gestion
et engage Marcel comme nouveau
directeur général.
Ce dernier est déterminé à procéder à des changements
pour rendre l'entreprise plus productive.
Le premier jour, il fait une inspection de
l'entreprise, accompagné de ses principaux collaborateurs.
Il constate que tout le monde est en train de
travailler sauf un jeune homme qui est appuyé contre le mur, les mains dans les
poches.
Marcel voit là une opportunité pour faire comprendre
aux travailleurs sa philosophie du travail.
Il demande au jeune homme :
« – Combien
gagnez-vous par mois ?
– 1.000
euros net, Monsieur. Pourquoi ? » répond le jeune homme sans comprendre.
Marcel lui remet en main 1.000 euros qu’il tire de sa
poche et lui dit d’un air menaçant :
« Voilà
votre salaire pour ce mois. Maintenant disparaissez et ne remettez plus jamais les
pieds dans cette entreprise ».
Le jeune homme met l'argent en poche et exécute
l'ordre du directeur.
Marcel, fier de lui, demande à un groupe de
travailleurs :
« – Quelqu'un
peut me dire que faisait ce jeune homme ?
– Oui,
Monsieur le Directeur »,
répond surpris l'un d'eux. « Il est
venu livrer une pizza… »
Le petit Marcel
se promène dans la rue avec son papa.
Ils passent devant une maison bizarre, avec des
fenêtres aux tentures fermées, des néons dans l'entrée, etc.
« Papa, c'est
quoi la maison, là ? Hein papa, c'est quoi ? »
Le père, ennuyé : « Ce n'est rien, ce n'est pas pour les petits garçons sages. Tu sauras
plus tard ce que c'est. Viens, on continue la promenade… »
Revenu à la maison, Marcel ne peut résister à la
curiosité.
Profitant d'un manque d'attention de son père, il
prend un billet de 100 euros dans le portefeuille familial et sort
discrètement.
Quelques minutes plus tard, il est dans le hall de la
grande maison avec des tentures et des néons colorés.
Une dame en petite tenue se tient derrière un
comptoir.
« Bonjour
Madame, excusez-moi de vous déranger : Voici 100 euros, et j'en voudrais pour
mon argent ! »
La dame, ennuyée, demande au petit Marcel de patienter
quelques instants.
Elle se rend dans une pièce à l'arrière où se trouve
la « patronne ».
« – Dites, madame
Lola, il y a un gamin à l'entrée ; il m'a donné 100 euros et il m'a dit qu'il
en voulait pour son argent. Qu'est-ce que je fais ?
– Il
est sans doute victime d'une blague de copains plus âgés… Tu te souviens des crêpes
qu'on a faites avant-hier ? Il y en a encore quelques-unes au frigo.
Réchauffe-les
en vitesse, donne-les lui et rends-lui 95 euros. Il sera content et il partira. »
La dame s'exécute, amusée…
Revenu à la maison, Marcel tombe sur son père furieux.
Il le cherche partout depuis une heure et il s'est
aperçu du vol dans son portefeuille.
« – Marcel
! Où étais-tu ?
– J'étais
dans la grande maison avec des tentures et des lampes de toutes les couleurs. »
Le père, très inquiet et craignant le pire pour
l'innocence du fiston :
« – Mais ?
Que ? … Qu'est-ce que tu as fait dans cette maison ?
– Papa,
c'était fantastique ! Quel service ! J'ai donné 100 euros, on m'a en rendu 95.
Et pour ce prix-là, j'en ai eu 8 et il y en a 4 qui étaient tellement chaudes
que j'ai dû les finir sur le trottoir … »
C'est une blonde qui rend visite à sa copine blonde.
Mais la copine a deux gros pansements, un sur chaque
oreille.
« – Oh dis
donc qu'est-ce qui t'es arrivé ?
– Ben,
c'est tout bête. L'autre jour, alors que j'étais en train de faire mon
repassage en regardant « Le destin de Lisa » à la télé, le
téléphone a sonné… et au lieu de décrocher mon téléphone, j'ai décroché mon fer
à repasser !
– Oh la-la,
qu'est-ce que t'as du avoir mal ! Mais dis-moi, et l'autre oreille ?
– Ben,
après j'ai voulu appeler le médecin… »
Le petit Marcel
est assis au premier rang.
L'instituteur demande aux élèves de lui citer des
exemples d'excitants.
« Le café »,
répond Natacha.
« Très bien »,
lui dit l'instituteur.
« L'alcool »,
répond Nicolas.
« Très bien »,
lui dit l'instituteur.
« Une femme
à poil », répond Marcel.
L'instituteur, d'une voix sévère : « Toi, tu diras à ton père de passer me voir
demain, j'ai deux mots à lui dire. »
Le lendemain l'instituteur remarque que Marcel est
assis au dernier rang de la classe.
Il l'interpelle :
« – Marcel !
As-tu fait la commission à ton père ?
– Oui
Monsieur l'instituteur.
– Qu'est-ce
qu'il t'a dit ?
– Il
m'a dit : Si ton instituteur n'est pas excité par une femme à poil, c'est que
c'est un homo ! Tiens-toi loin de lui. »
Pourquoi on appelle le dictionnaire « LAROUSSE »
?
Parce que si on l’avait appelé « LABLONDE »,
il n’aurait eu qu’une seule page.
C'est Jésus qui s'inquiète du fléau que représente la
drogue sur Terre, et qui décide d'organiser un colloque avec ses petits copains
pour en discuter.
Il demande à chacun de ramener un échantillon d'une
drogue trouvée sur Terre pour l'analyser.
Le jour J, il entend frapper à la porte.
« – Qui
est-ce ?
– C'est
André !
– Qu'amènes-tu,
André ?
– De la
marijuana d'Amsterdam, de la bonne.
– Entre. »
On frappe à nouveau.
« – Qui
est-ce ?
– C'est
Jean !
– Qu'amènes-tu,
Jean ?
– De
l'opium d'Afghanistan, de l’extra.
– Entre. »
On frappe de nouveau.
« – Qui
est-ce ?
– C'est
Pierre !
– Qu'amènes-tu,
Pierre ?
– De la
cocaïne de Colombie, de la pure.
– Entre. »
Etc.
Enfin, le dernier frappe à la porte.
« Qui
est-ce ?
– C'est
Judas !
– Qu'amènes-tu,
Judas ?
– Le
FBI ! Tout le monde les mains sur la tête ! »
Quel est le point commun entre les témoins de Jéhovah
et les kouilles ?
Ils sont toujours par deux et on ne les laisse jamais
entrer.
Une femme veut se faire opérer car elle trouve que ses
lèvres vaginales sont vraiment trop grandes.
Elle demande au docteur de garder le plus grand secret
sur l'opération car elle est embarrassée et ne veut que personne le sache.
« Nous
sommes tenus au secret professionnel, Madame. »
Après l'opération, au réveil, elle trouve trois roses
placées avec soin à côté de son lit.
Outrée, elle appelle le chirurgien.
« – Je
pensais vous avoir demandé de ne pas parler de mon opération à personne !
– Ne
vous inquiétez pas. Je n'ai rien dit à personne.
– Alors
d’où viennent ces fleurs ?
– La
première rose est de moi. Je me suis senti mal parce que vous avez traversé
tout ceci complétement seule.
La
deuxième est de mon infirmière. Elle m'a aidé à vous opérer.
– Et la
troisième ?
– Elle
provient d'un type dans l'unité des grands brûlés qui vous remercie pour ses
nouvelles oreilles ! »
Le directeur entre dans une classe.
Il interpelle les élèves punis :
« – Durand !
Qu'avez-vous fait pour être en retenue aujourd'hui ?
– J'ai
posé une éponge mouillée sur la chaise de l'instituteur m'sieu.
– Et
vous Dupond, qu'avez-vous fait ?
– J'ai
jeté des boules de papier en classe.
– Dupuis,
qu'avez-vous fait ?
– J'ai
jeté du bois par la fenêtre m'sieu.
– Oui,
enfin, bon ce n'est pas trop grave ! »
Entre alors un élève, sale, le visage en sang, les vêtements
en lambeaux.
« – Qui
êtes-vous, vous ?
– Dubois
m'sieu. »
Marcel va au remariage
de son ancienne femme.
Durant la soirée, il va voir le nouveau marié et lui demande
d'un air arrogant :
« Comment
tu trouves ça, toi, de rentrer dans du stock usagé ? »
Le nouveau marié le regarde droit dans les yeux et il
lui répond :
« C'est
stupéfiant ! … Passé les 5 premiers centimètres, c'est flambant neuf ! »
C'est l'histoire d'une instit en dernière année de
maternelle.
Marcel, un des
gamins lui demande de l'aider à mettre ses bottes, et, en effet elles sont
vraiment dures à enfiler.
Après avoir poussé, tiré, poussé et tiré dans tous les
sens, les bottes sont chaussées et le gamin lui dit : « Elles sont à l'envers maîtresse ! »
La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle
s'aperçoit qu'en effet, les bottes sont à l'envers…
Bref nouvelle galère pour les enlever…
Et elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les
bottes soient rechaussées aux bons pieds.
Et le gamin lui dit : « C'est pas mes bottes ! »
À ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui
mettre une baffe, elle se calme et demande pourquoi il ne l'a pas dit avant.
« Bon allez on
les enlève » dit-elle et elle se met au boulot.
Le gamin poursuit : « Ce n'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais ma maman elle
a dit que je dois les mettre. »
Là, elle a envie de pleurer et entreprend de lui
remettre ses bottes.
Pour finir, elle le met debout, lui enfile son
manteau, son cache-nez et demande :
« – Où sont tes
gants ?
– Ils
sont dans mes bottes ! »
Le petit Marcel
est sur une plage nudiste avec ses parents pour la première fois de sa vie.
Il est très intéressé et finit par poser une question à
sa mère :
« Maman,
pourquoi certaines femmes ont des seins plus gros que les tiens ? »
Gênée, la mère répond :
« – Heu, eh
bien, comment dire … C'est que vois-tu, plus les seins sont gros, plus la femme
est idiote.
– Ah
bon ! Merci maman. »
Un peu plus tard...
« Maman,
pourquoi certains hommes ont un zizi plus gros que celui de papa ? »
Nouvelle gêne de la mère, mais l'idée de toute à
l'heure est toujours là :
« – Eh bien
c'est pareil que les femmes, plus les zizis sont gros plus le monsieur est kon.
– Ah
bon ! Merci maman. »
Toujours plus tard, c’est la mère qui s'inquiète :
« – Dis
donc Marcel, tu ne saurais pas où est ton père ?
– Si
maman ! Il est derrière les rochers en train de discuter avec la femme la
plus idiote de la plage.
Et plus
ils parlent, plus il devient kon … »
Sans rancune et bon week-end à toutes et à tous !
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