Le fait du prince, c’est le cas de le dire
Mon prince d’accueil et de labeur donne journée
chômée, fériée, payée et fêtée en l’honneur de sa descendance toute récente.
Qu’on se rappelle : Charlène a enfanté de Gabriella
et du Prince Jacques le 10 décembre dernier, ce dernier étant en charge de l’avenir
et de la prospérité du Rocher et de ses avantages fiscaux-autonomes.
Un mariage qui aura tardé à être fécond : C’est
qu’elle s’est donnée du mal, pour y parvenir et c’est tout ce qu’on attendait d’elle.
Je ne vous en dirai pas plus, toujours ce respect pour
le pays d’accueil d’un exilé qui veut y rester « discret ».
Sinon un souhait de bienvenue « aux deux nouveaux »
sur cette planète de cinglés.
Pour le reste, ils ont déjà tout ce qu’il faut…
C’est d’autant plus important pour moi, qu’« Angèle-la Mère-Quelle »
a encore joué un de ses petits-tours pendables pendant que je faisais la sieste
le week-end dernier (une record, ma sieste : 23 heures d’affilée avant d’aller
faire un petit somme nocturne bien mérité de 9 heures d’un seul trait ! C’est
dire si « ma crève » m’avait « totalement-éteint »), qu’il
faut que je récupère.
« Le
gouvernement allemand juge quasiment inévitable une sortie (de la Grèce) de la zone euro, si le chef de l’opposition
Alexis Tsipras (Gauche radicale Syriza) dirige
le gouvernement après les élections (législatives), abandonne la ligne de rigueur budgétaire et ne rembourse plus les
dettes du pays », affirme « des
sources proches du gouvernement allemand »…
Pour la première fois, la chancelière allemande
explique et fait passer le message que la Grèce peut sortir de l’euro, que cela
ne représente plus du tout un risque systémique pour la zone euro et que si
elle souhaite rester dans l’euro, la Grèce devra boire le calice de l’austérité
jusqu’à la lie.
En effet, « Wolfgang
Schäuble avait jugé que la Grèce était tenue de continuer sur la voie des
réformes déjà engagées, « sans aucune alternative », quel que soit le résultat
du futur scrutin ».
L’euro n’est donc plus irréversible !
Nous sommes au tout début de 2015, nous entamons la 8ème
année après la crise dite des « subprimes », et que s’est-il passé depuis ?
Le constat est implacable.
La croissance économique est au mieux anémique.
Les mécanismes européens deviennent de plus en plus
une vaste fumisterie tant il s’agit soit d’artifices de communication (l’Union
bancaire par exemple), soit d’une grande plaisanterie économique où des pays
surendettés s’endettent encore plus avec de l’argent qu’ils n’ont pas pour
prêter le tout à des pays carrément en faillite comme la Grèce qui jamais ne
pourront rembourser, soit pour claquer de l’impôt dans des programmes absurdes
mais … européens et culturels.
Les dettes d’États justement s’envolent…
Jamais nous n’avons cumulé des déficits aussi
importants et des dettes aussi monstrueuses.
Cela fait donc huit ans que l’Allemagne, la première
économie de la zone euro, a réussi à ne pas engager son économie pour renflouer
les autres pays européens.
Certes l’Allemagne a consenti quelques efforts et
quelques dépenses mais somme toute particulièrement limités par rapport à ce
qu’elle aurait pu faire, alors que l’Europe et notamment la « Gauloisie-des-sans-dents »
a payé sa réunification, une partie au moins.
Pour le moment, l’Allemagne n’a pris aucun risque et
prône une vertu monétaire sans faille que la baisse du bilan de la BCE
matérialise sans conteste.
En zone euro, sous la pression allemande, la masse
monétaire baisse et cela leur convient très bien.
La rigueur.
Rien de plus, rien de moins.
Tout le monde veut croire qu’au pied du mur
l’Allemagne dira à Mario Draghi : « Vas-y
Mario, fais péter les billets… » C’est ce que veulent croire nos hommes
politiques en « Gauloisie-autiste » (si l’Allemagne cède au dernier
moment, « François III » n’aura pas à faire une rigueur et une
austérité trop forte), c’est ce que veulent croire nos journalistes et nos
médias, et c’est évidemment ce que veulent croire les marchés véritablement
drogués à l’argent gratuit des « quantitative easing ».
Partir du principe que l’Allemagne, qui refuse avec
une constance exemplaire depuis maintenant presque 8 ans de se lancer dans une
telle politique monétaire débridée, le fera au bout de la 9ème année… semble un peu léger.
L’Allemagne refuse tout bluff ou chantage grec.
La Grèce peut donc sortir de l’euro…
Les choses sont donc très clairement dites par les
Allemands.
Ils ne négocient rien, n’acceptent rien depuis 8 ans
et ne veulent pas plus rembourser les dettes des autres aujourd’hui qu’hier…
Alors pourquoi accepteraient-ils tout d'un coup et désormais l’inverse ?
Pour le moment, ils disent aux Grecs « souffrez ou sortez, on s’en fout mais on ne paiera
pas un euro de plus pour vous »…
Et vous savez quoi ?
À l’occasion, ils diront exactement la même chose à la
« Gauloisie-soce » ou à l’Italie, pays qui, de surcroît, montrent
leur incapacité à se réformer et à tenir leurs dépenses publiques.
Les allemands n’ont aucune bonne raison de faire
confiance à mon pays et à son administration de fantaisistes-trisomiques.
Plusieurs conséquences : D’abord pour les grecs
eux-mêmes.
Imaginez un peu leur désarroi quand ils feront le
choix de sortir de l’euro, de se faire jeter, plutôt, de l’Euroland après 7
années de souffrances sociales et économiques consenties pour rien, seulement pour
avoir cru à un fantasme qui les aura ruinés ?
Alors que la solution la plus simple aurait dû être
mise en place le plus rapidement possible pour rester la moins coûteuse dans l’avenir…
Perdant sur tous les plans, mais retrouvant des marges
de manœuvres monétaires et budgétaires pour pouvoir rebondir… S’ils y parviennent
un jour ou l’autre, car ce n’est évidemment pas le remède miracle à leurs
problèmes qui restent tels quels. Et je ne vous raconte même pas le futur niveau des rancœurs...
Mais quel coup de pouce électoral inespéré « d’Angèle-la »
pour le « gauchiste » Alexis Tsipras du parti Syriza !
Un « Mélangeons » (« Mes-Luches »)
plus mieux que le nôtre…
Ensuite, cela va créer un précédent politique majeur,
en montrant à tous les autres pays en difficulté (dont la « Gauloisie-des-sans-dents »)
que sortir de l’euro est possible et réalisable.
Quel fabuleux destin s’ouvre alors à « Marinella-tchi-tchi »
dont la sortie de l’Euro reste son credo essentiel !
Parce que pour le reste, rien, hors la migration, ne
la distingue de notre « Mes-Luches » à nous (dit aussi Mélangeons)…
Merci qui ?
Mais à « Angèle-la ».
Et ce sont qui qui vont jubiler à renifler l’aubaine
de l’explosion de l’euro ?
Mais les financiers anglo-saxons qui en ont marre qu’on
leur fasse de l’ombre avec une monnaie dont ils n’ont jamais voulu et
auxquelles ils ne croient pas et qui leur a fait perdre tellement de pognon à « jouer »
contre elle : Ils vont pouvoir enfin « se refaire ».
La Grèce dehors, le « Club-Med » sur la voie
de sortie avec les autre « Pigs », imaginez une peu ce que sera l’Euro
bâti seulement autour de l’Allemagne et du Bénélux étendu peut-être jusqu’aux
pays Baltes, les pucerons économiques, en passant par la Pologne et l’Autriche…
Même la Livre Sterling et le Yen font mieux question
quantité de masse monétaire à trader.
Fini pour un moment le rêve de faire de l’euro une
devise de réserve internationale.
Merci qui ?
Mais à « Angèle-la ».
À nous, il ne restera plus qu’à remonter une frontière
au niveau du Rhin, à rendre encore plus difficile le commerce allemand dans
notre hexagone avec leur frigo & « grosses bagnoles » et à faire
un « Écu » avec les italiens, les espagnols et les
portugais : Le bel avenir franco-ibérique et hystérique.
Si au moins ça permettait de relocaliser quelques
usines apatrides mais bien nationales…
Mais je n’y crois même pas, tellement il n’y en a
plus, bouffées qu’elles ont été par l’euromark.
En attendant, avec ce dire-là, c’est l’annonce que les
festivités sont ouvertes sur les marchés…
Question idiote : Par qui croyez-vous que « les
marchés » vont commencer l’hallali ?
Autre question idiote : Monaco et le Vatican, ils
rouleront dans quelle monnaie, au fait ?
L'Euromark ou l’Écu-François ?
Enfin bref, bienvenue à Jacques et Gabriella en
leur principauté !
Ça vaut bien une journée fériée, chômée, payée et
festoyée…
Une seule journée de « crève » !...
RépondreSupprimerJ’en suis à dix jours de bronchite, que même j’ai dû accepter de prendre des médocs sous la menace de ma cousine Martine – celle qui était si mignonne quand elle était jeune – qui m’a dit : « Si tu ne prends pas tes antibios, je ne veux pas te voir la semaine prochaine !... ».
Evidemment, j’ai craqué….
Pour l’euro, c’est autre chose qu’une bronchite.
Les bases étaient vaseuses dès le début lorsque les fondateurs ont créé une monnaie réunissant des pays aux charges sociales et fiscales si différentes, et si inégales, que cela ne pouvait que provoquer une crise et une rupture un jour ou l’autre, d’autant plus que les « mauvais élèves » sont incapables de se réformer.
On y est.
Les deux ans qui viennent seront éprouvants, pour ne pas dire épouvantables…
Non mais arrêtez de prendre vos antibio... sans ça vous allez pouvoir y aller et moi je vais manquer à Martine (la cousine qui était si mignonne quand elle était si jeune et si jolie !
RépondreSupprimerC'est indécent, à la fin !
Je plaisante, bien sûr, mais essayez tout de même le Loch Lomond en appui tactique : C'est du meilleur effet avec les "antibio" : Je me soigne bien au whisky Corse, celui avec un arrière-goût de poudre à canon !
Et ça marche : j'ai encore quelques difficultés avec une main (celle qui la moitié du verre par terre), mais c'est déjà mieux que de ne pas pouvoir se relever quand je suis tombé la tête la première dans la cuvette des chiottes !
Heureusement, l'autre main avait tiré la chasse avant !
Je ne vous raconte décidément pas les effets de cette pseudo sinusite-là.
Pour ce qui est de l'euro, je ne dirai pas tout-à-fait comme vous avec un exemple à l'appui : le dollar américain !
Parce qu'entre la fiscalité de Delaware américain, le PIB de la Californie et les "avancées sociales" du Texas, on ne peut pas dire qu'il y ait vraiment "convergences".
Au contraire.
L'erreur elle est politique ! Elle a été de mettre des "barrières", comme autant critères de Maastricht, tombées du ciel sans savoir pourquoi.
Pourquoi 3 % de déficit public... et pas 0 % comme dans toute comptabilité publique de caisse qui se respecte ?
Pourquoi 60 % d'endettement à pas 0 %, ou une autre "règle d'or" du "j'emprunte que ce que j'investi" (et avec un plan de remboursement crédible, mais en gardant la possibilité de lever des impôts nouveau pour payer).
Vous voyez bien que ce n'est "que politique" : "Mère-Quelle" aurait fermé a gueule, les Grecs n'auraient pas à payer la double peine : Tricher pour rentrer dans l'Euro et trimer sur plusieurs génération pour rembourser sous un régime proto-communiste !
Il ne manquera plus à "Poux-tine" d'aller offrir son aide à ce pays orthodoxe et on pourra aller fusiller la Chancelière !
Passons, j'y reviens demain : Pour l'heure, je suis effondré par l'attentat contre Charlie Hebdo (j'aime pas ces meks-là, trop vulgaires et bien trop provocateurs), mais avouez que laisser une dizaine de meks bon pour le cimetière le jour de la sortie de dernier bouquin de "Houle-Bec" décrivant un Etat "Gaulois" sous la présidence d'un musulman, y'en a qui ont des clins d'œil sanglants !
I-Cube
Il est vrai que Charlie Hebdo attise la haine avec ses provocations épouvantables.
RépondreSupprimerIl suffit d’aller voir sur leur page FesseBook :
https://www.facebook.com/pages/Charlie-Hebdo-Officiel/106626879360459?ref=ts&fref=ts
Et quand on provoque des tarés, il faut s’attendre au pire.
C’est fait.
Malgré tout, c’est surtout la liberté de la presse qui est en jeu.
Déjà qu’avec les mafieux qui nous dirigent ce n’est pas Brillant…
La grande gagnante du massacre sera encore « Marina la Peine ».
Encore 1% ou 2 % en plus dans les sondages…
Hélas oui !
SupprimerJusqu'où va-t-on se laisser choir, SVP ?
Et dire "qu'ils" nous ont fait avalé les couleuvres du "sécuritaire" pour violer nos libertés-publiques avec le résultat que vous découvrez avec effarement, qu'ils vont bien devoir en remettre une autre couche : Du travail prémâché pour "Marinella-tchi-tchi" !
J'ai la honte, là, la rage !
Ce sera une couche supplémentaire de lois liberticides qui seront votées en urgence.
RépondreSupprimerLa dégringolade va continuer.
La police ne pourra jamais faire face au développement d’actes terroristes de ce type et ce n’est pas en restreignant les libertés que l’on trouvera des solutions.
Pour ma part, la solution réside dans une « défense civile » telle qu’elle est pratiquée en Suisse où chaque citoyen est dépositaire d’une arme de guerre chez lui pour défendre son pays.
Chez nous, il faudrait plusieurs années pour armer des citoyens volontaires et entraînés, en leur laissant même un port d’arme dans le cas de risque terroriste extrême.
C’est comme cela que ça marche en Corse, me semble-t-il, mais d’une façon autochtone…
Parce que c’est quand même lamentable de voir ces deux cinglés circuler en liberté après avoir abattu une douzaine de journalistes…
Oui, un peu : Mais l'usage des armes à feu létales, en "Corsica-Bella-Tchi-tchi" est "codifiée" par des usages culturels pluriséculaires, d'ailleurs assez incompréhensibles pour un pinzutu.
SupprimerOn nous le reproche assez comme ça, d'ailleurs...
Et pourtant : C'est une des rares raisons "solides" de se sentir particulièrement en sécurité dans l'île !
Pour ça, il suffit de n'être lié à aucun "mafieux" qui font "troupeau à part" et de ne pas devenir leur cible.
Or, comme tout le monde connaît tout le monde, c'est assez facile de se fier à la rumeur-publique pour éviter ce type de situation.
Quant aux armes de poing, de chasse, de tir, de guerre, elles circulent librement ou quasiment : il suffit de faire savoir aux autorités que "vous avez" pour ne pas avoir à s'en servir.
De toute façon, le plus difficile, c'est de trouver des munitions, quitte à récupérer des douilles usagées, couler votre plomb vous-mêmes et en fabriquer ... forcément en petit-nombre !
Ou faire un détour en Belgique, où la vente des munitions est libre et anonyme.
Bien sûr, éviter internet ou les réseaux : Vous seriez fiché et surveillé.
Un paradis Suisse, en effet : Notez que les officiers de réserve sont autorisés à conserver leur pétoire, il y a encore peu et que la détention reste libre et déclarative en "Gauloisie-parigote".
C'est le port qui reste interdit, sauf autorisation du Préfet.
D'ailleurs, à mon bord, outre le fusil de pêche-sous-marine, le lance-fusée (de détresse), j'ai de quoi faire face à des pirates malintentionnés.
Ô pas pour un siège, mais juste de quoi repousser un assaut. Et il n'y a rien d'illégal. C'est même recommandé, au moins autant que les gilets de sauvetage et autre canot du même genre, voire obligatoire dans certaines zones de navigation, vous le savez bien.
Bonne journée malgré tout : Hier, on nous a rappelé que vous étions en guerre, une guerre que nous n'avons pas cherchée, que nous n'avons pas encouragée, mais que nous subissons malgré nous.
Et je reste pessimiste : Les autorités qui n'ont pas su faire face avec tout l'arsenal juridique, matériel et humain vont quand même en redemander une large couche de plus pour mieux nous contrôler.
C'est là que les terroristes ont déjà gagné.
Les autres (de terroristes) en fuite, même les jeter aux chiens, ça reste un sort finalement enviable : Je reste tétanisé du neurone du sort de toutes les victimes, mais qui savaient quand même prendre des risques qu'ils assumaient, et plus particulièrement de ce flic à vélo, abattu comme moins que de la vermine alors qu'il était au sol : Une mort totalement inutile.
C'est dire que les auteurs n'ont rien d'humain hors leur aspect extérieur...
Sont-ils tous vraiment nés rien que pour ça ?
C'est l'Imam de Drancy qui a raison : "leur Dieu, c'est Satan" !
Rien de plus.