Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 6 novembre 2024

Quand on vous dit qu’ils restent des incapables…

Démonstration :  Le « Air-haine » piégé par lui-même !
 
C’était la semaine dernière. Les troupes de « J’ordonne-le-bordel-là » cornaquées par la « Marinella-tchi-tchi » soi-même à l’Assemblée de notre Palais des Bourbons national, voulait profiter de son « temps de parole » (et autre billevesées) pour marquer un point, important semble-t-il, au moins pour son électorat qui l’aura poussée jusque-là, sur le sujet clivant de la réforme des retraites.
 
Sur ce thème, tous les éléments son connus depuis la nuit des temps : Un système « de répartition » ça fonctionne avec les cotisations des actifs qui payent les pensions des retraités. Plus il y a de cotisants et/ou moins il y a de pension, plus le système fonctionne bien, est à l’équilibre, est pérenne et est en bonne santé.
Naturellement, c’est l’inverse quand les « anciens » vivent trop longtemps, n’ont pas fait assez de gosses et que l’économie vacille sous le poids du chômage (et de la sous-activité).
 
On peut rafistoler le système en important de la main-d’œuvre à pas cher, on peut sauver l’essentiel en ajustant cotisations et pensions (les réformes « paramétriques »), mais au bout d’un temps, il faut agir sur le nombre de pensionnés à faire vivre de pensions riquiquis : Autrement ce n’est pas bon ni pour l’économie en général, ni pour les entreprises, ni pour les pensionnés en particulier.
Puisqu’on ne peut guère augmenter plus les cotisations et réduire encore le niveau des pensions versées qu’on ne l’a déjà fait, il faut donc réduire le nombre de pensionnés.
Et là encore, comme on ne peut pas tous les rafler pour les envoyer comme « Poux-tine » sur le front ukrainien, on n’a plus que la solution de rallonger l’âge de liquidation des droits et/ou la durée de cotisation…
 
Vous me direz, c’est souvent faire basculer les futurs retraités dans un régime de chômage qui n’est guère brillant, mais ça déporte habilement le problème : Tant qu’on paiera trop cher nos salariés, ceux qu’on ne peut pas délocaliser, de toute façon, on n’y arrivera pas, sauf à attendre que les pays à faible « coût du labeur », rattrapent nos propres niveaux de … pays développés.
C’est en principe ce à quoi doit servir l’aide au développement aux pays tiers et en voie de… développement, comme nos concurrents directs (Chine, Cochinchine, Maghreb, Afrique-sahélienne, Inde et Sri Lanka, plus quelques autres places déshéritées de la planète), et la coopération franco-phonique, par exemple.
Vous me direz, le « Air-haine » n’en veut justement pas…
Vous aurez aussi noté que pour les résultats que cela procure, peut-être qu’on peut s’en passer… je ne sais pas.
 
Donc le « Air-haine » a fait de l’abrogation de la réforme des retraites la mesure phare de sa niche électorale (je vous avais dit que de toute façon, il faudrait y revenir, parce que la dernière réforme, qui entre en vigueur ces jours-ci, était largement insuffisante…) abandonnant du coup ses racines idéologiques sur « ces émigrés qui viennent bouffer le pain des français jusque dans leurs assiettes » qui avait fait sa gloire passée.
L’idée, là, c’était de piéger la gôche et d’infliger un revers aux « Jupitériens ».
Sauf que rien ne s’est passé comme prévu la semaine passée.
 
Le premier et plus gros groupe (formé pour l’essentiel que d’un seul parti et non d’une ribambelle d’enragés qui ne peuvent pas se sentir entre eux) de la législature à avoir la main sur l’ordre du jour de l’Assemblée nationale dans le cadre de sa niche parlementaire ce jeudi 31 octobre2024, le « Air-haine » avait tout misé sur sa proposition de loi pour abroger la réforme des retraites.
Le coup devait être triple : Infliger un camouflet au camp présidentiel (c’est de bonne guerre), flatter au-delà de son électorat en s’attaquant à une réforme honnie (c’est devenu son fonds de commerce, partagé il est vrai avec l’oxymore de NFP) et justement mettre ce dernier dans l’embarras.
Mais la veille, la présidente de l’Assemblée aura définitivement enterré le plan du « Air-haine ».
 
C’est qu’il faut rappeler que sur le budget, le « Air-haine » commence par adresser un « carton rouge » à « Barre-niée » et va jusqu’à le menacer de censure. C’est de bonne guerre aussi.
Mais « Barre-niée » s’en fout : Il retournera à sa culture des orchidées et bégonias si ça fonctionne et laissera ses opposants d’un jour avec « le joujou tout cassé » sur les bras.
Là, soit ceux-là parviennent à faire l’impossible « union nationale », soit ils s’en remettent à « Jupiter » en lui donnant tous les pouvoirs (article 16) pour les mois qui restent avant une prochaine dissolution…
Pas compliqué et c’est ce que tout le monde veut éviter tout en s’y préparant.
 
Et les espoirs étaient grands à l’extrême droâte. Sur « Xxxl », le groupe de « Marinella-tchi-tchi » multipliait les interpellations pour mettre la pression sur les députés du NFP : « J – 7 avant le vote de notre proposition d’abrogation de la réforme des retraites. Olivier Faure et les socialistes joueront-ils franc jeu ou se défileront-ils ? », peut-on lire par exemple dans une publication du 24 octobre relayant une prise de parole du numéro 1 du « P.Soce » exprimant son souhait de voir abroger la réforme.
Parce que lui, qui n’est l’élu de rien, sauf de son propre parti, il y croit encore : Question de positionnement marketing : Aller dans le lit du vent, c’est toujours plus facile que de s’épuiser à tirer des bords !
 
Or, le NFP, l’oxymore de la gôche, ne s’en cachait pas, le dilemme était bien réel. Voter la proposition du « Air-haine », c’était ouvrir une brèche dans le « cordon sanitaire ».
Ne pas la voter, c’était risquer l’incompréhension de leur base alors que la gôche a fait de l’abrogation de la réforme son totem de campagne.
Les « soces » (branche caviar) ont été les premiers à trancher : Hors de question de soutenir un texte du « Air-haine » avait fait savoir le groupe fin septembre.
Mais les discussions se poursuivaient malgré tout, le sujet était encore à l’ordre du jour d’une chaude réunion des chefs de files de l’oxymore mi-octobre.
 
Le groupe GDR, où siègent les staliniens, ne cachait pas que le débat existait dans ses rangs.
Chez les « Écolologistes », on expliquait à Mediapart le 21 octobre que le sujet était « toujours en discussion ».
Le « Air-haine » commençait, de son côté, à se frotter les mains : « La gauche doit dépasser son sectarisme », insistait son porte-la-parole le 23 octobre, où passerait pour un ramassis de « social-traites » auprès de ses électeurs.
Et la proposition de loi s’apprêtait alors à être examinée en commission des Affaires sociales.
Et là, tout ne s’est déréglé (et comme dirait l’autre, « L’espoir changea de camp, le combat changea d’âme ! »).
 
En commission le 23 octobre, les députés ont rejeté largement les deux articles les plus importants du texte : Le premier sur le retour de l’âge légal à 62 ans au lieu de 64 et le deuxième sur la durée de cotisation à 42 ans.
Les élus de gôche se sont abstenus, à l’exception de l’écolologiste « Cendrine- Rousse-eau » et des socialistes « Guéguédj » et « Sim-Ion » qui ont voté contre ainsi que du communiste Monnet qui a voté pour.
Mais in fine, les articles sont tombés, avec les voix des élus « Ensemble-Pour-Rêver », « McMoDem », « Horizons-cosmiques » et « Droâte-Ré-pue-blicaine » !
 
Ne restait alors plus qu’un seul article, celui sur le « gage », c’est-à-dire les moyens proposés par le « Air-haine » pour financer sa mesure : Se foutant de la gueule des porteurs du projet, les députés l’ont voté sans modification et ont adopté dans la foulée une série d’amendements « EPR » et « DR » sur des demandes de rapport sur le financement des retraites et l’évaluation des précédentes réformes.
Un quasi-pied de nez doublé d’un bras d’honneur (plus « un doigt ») à l’adresse du « Air-haine ».
Sans les deux articles principaux, ces amendements et l’article sur le financement n’ont plus aucun intérêt.
La proposition de loi de « Marinella-tchi-tchi » et de ses sbires s’est ainsi retrouvée vidée de sa substance !
Et a donc été finalement adoptée en ces termes en commission.
 
Grosse colère de « Marinella-tchi-tchi » qui n’a rien vu venir (et ça veut gouverner le pays…) !
« Main dans la main, macronistes et députés LFI ont tenté de saborder la proposition de loi du RN. Le 31 octobre, lors de la présentation de ce texte massivement soutenu par l’opinion publique, nous prendrons à témoin les Français de l’escroquerie politique et de la duplicité de l’extrême gauche, des socialistes et des écologistes », s’insurgeait-elle sur « Xxxl ».
Et puisque la proposition de loi dans son ensemble n’a pas été adoptée en commission, c’est cette version modifiée qui est censée être présentée dans l’hémicycle le jeudi suivant.
La manœuvre oblige donc le « Air-haine » à déposer des amendements pour rétablir sa proposition d’abrogation.
Problème : Le faire, c’est donner à Yaël Braun-Pivet la possibilité d’arrêter le débat avant même qu’il ne commence.
Ce qu’elle ne s’est pas gênée de faire…
 
Car les amendements de rétablissement de l’abrogation doivent en effet être jugés recevables sur le plan financier par la présidente de l’Assemblée nationale.
C’est le fameux « gage », l’article 3 qui a été adopté en commission et que le « Air-haine » a rédigé en prévoyant une surtaxe sur le tabac.
Et c’est précisément sur ce point que le plan du « Air-haine » s’est fracassé.
 
Car, en mai 2023, le groupe LIOT avait lui aussi déposé une proposition de loi pour abroger la réforme des retraites. Elle aussi avait été détricotée en commission et les élus LIOT avaient dû déposer des articles de rétablissement également basés sur une taxe sur le tabac.
Et le 7 juin de la même année, la même présidente de l’Assemblée nationale (qui elle n’était pas la même) les avait déclarés irrecevables sur le plan financier, douchant ainsi les espoirs que la proposition soit débattue et donc adoptée en séance.
Le même sort a été réservé ce mercredi 30 octobre aux amendements du « Air-haine », au titre de l’article 40 de la Constitution qui interdit, rappelons-le, aux députés de créer de nouvelles dépenses sans impôt nouveau.
Aussi simple que ça !
 
Sa proposition de loi désormais vouée à l’échec, le « Air-haine » la retirera-t-il de son ordre du jour, comme l’avait fait LIOT à l’époque ?
Sur cette possibilité, on prévenait avant que ça ne se passe qu’en cas d’irrecevabilité, le groupe « dénoncerait avec force ce scandale démocratique. »
Une façon comme une autre de reprendre un peu la main sur un récit… qui a déjà pris un sérieux coup quarante-huit heures auparavant, quand le « Air-haine » a voté avec le « bloc central » contre l’abrogation de la réforme proposée par la gôche.
 
Pour autant, les députés « Air-haine » pouvaient être tentés de maintenir l’examen du texte, quand bien même celui-ci serait inutile, afin de maintenir le débat parlementaire sur le sujet des retraites.
C’est ce que laissait entendre un député dans les couloirs de l’Assemblée nationale, pour « voir ce que les uns et les autres pensent réellement de la proposition du Rassemblement national » et c’est ce qu’ils ont fait.
 
D’un autre côté, la gôche, toujours aussi peu douée et tout autant minoritaire que tous les autres, même rassemblée dans son oxymore de « Nouveau-Front-Populaire », avait déjà tenté d’enterrer la réforme des retraites de façon un peu détournée, en déposant des amendements au budget de la Sécurité sociale.
Ces derniers visaient surtout à introduire une sur-cotisation patronale pour financer une abrogation ultérieure de la réforme de 2023.
Ces amendements ont été rejetés de la même façon par la représentation nationale.
Les Insoumis, eux, espèrent toujours obtenir cette abrogation dans le cadre de leur niche parlementaire, le 28 novembre prochain.
C’est donc une affaire à suivre : Imaginez un peu que les « Air-haine » se mette à voter la mesure proposée par LFI (et non par le NFP de feu la NUPSE)…
Ce qu’ils auront annoncé la semaine dernière…
 
J’en rigole déjà : « Le cordon sanitaire » aura alors sauté (et donc l’oxymore avec) sauf si LFI retire sa proposition d’abrogation…
Quelle déculottée dans les deux hypothèses !
Et avec ça, ça veut gouverner un pays où « fédérer les rages » est aussi sportif que de vouloir faire faire de la nage synchronisée à une brouette de grenouilles qui sautent dans tous les sens…
Bon courage, d’autant que tout ça sert les intérêts de « Jupiter » qui se sera promené au Maroc croiser « Déesse-khâ » et « De-la-Nuée » et quelques autres, qui y sont déjà réfugiés (…politiques ?)
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire