Le chromosome Y est en train de disparaître
1 – Inquiétude : La question reste de savoir si l’humanité y
survivra ou non.
Si c’est une source d’inquiétudes pour quelques scientifiques,
ce devrait être une grande satisfaction pour toutes les féministes des « #MeToo »
et autres « #BalanceTonPorc » : Elles seront débarrassées, dans
un avenir plus ou moins lointain, de tous leurs agresseurs… sexuels potentiels…
Et personnellement, je serai satisfait… pour avoir inventé un roman de science-fiction – pour le journal du lycée – où dans un futur lointain, l’humanité se reproduisait par parthénogénèse et clonage et, à la suite d’une erreur de manipulation génétique, un laboratoire aurait laissé naître et grandir un kouillu…
Mais je ne sais plus ce que j’ai fait de ce manuscrit : Probablement perdu à l’occasion d’un de mes nombreux déménagements…
Il faudrait que je m’y remette, parce que c’était déjà
l’embryon d’une histoire « politique », où l’élite des gouvernements (unifiés)
de la planète protégeait le secret de leurs déviances… hétérosexuelles
clandestines !
Vous le savez, j’aime bien les choses complexes.
Mais depuis, la vie m’aura rattrapé et me sert tous les jours tellement de choses … « suspectes », illogiques, contraire aux « apparences normatives » (les « fils rouges » qui apparaissent ici et là de temps à autre où on ne les attend pas…) qu’il n’y a plus aucun besoin de créer des fictions pour épater son neurone…
Dans cette histoire, bien réelle de disparition du
chromosome Y, les scientifiques postulent qu’un nouveau gène pourrait façonner
l’avenir des hommes.
Or, ce chromosome Y, est porteur du genre masculin. Cette disparition annonce-t-elle la fin de l'espèce humaine ? Heureusement, une récente découverte chez les rats épineux du Japon offre une lueur d’espoir.
Car l’évolution ne cesse de nous surprendre.
Alors que le chromosome Y, déterminant du sexe masculin chez les mammifères, s’érode inexorablement, des chercheurs japonais ont mis en lumière un mécanisme alternatif de détermination du sexe chez certains rongeurs.
Cette formidable découverte, publiée en février 2024 (en début d’année, le temps que les corbeaux arrivent porteurs de la dépêche jusqu’à mon domicile « parigot-olympique ») dans la revue Proceedings of the National Academy of Science, ouvre en effet de nouvelles perspectives sur l’avenir de la reproduction humaine et l’évolution des espèces.
Le chromosome Y, qui est porteur du gène SRY
responsable du développement masculin, s’amenuise au fil des générations. En
166 millions d’années d’évolution séparée, il a perdu près de 850 gènes. À ce
rythme, les 55 gènes restants pourraient disparaître d’ici 11 millions d’années.
Tant pis pour « #MeToo » : Il faudra patienter encore un peu…
Mais cette perspective soulève des questions cruciales sur l’avenir de notre espèce : Comment déterminer le sexe sans le chromosome Y ? La reproduction humaine est-elle menacée ? L’extinction de l’Homme est-elle inévitable ?
Contrairement aux reptiles capables de parthénogenèse, les mammifères nécessitent des gènes paternels pour se reproduire. Sans spermatozoïdes, et donc sans hommes, l’espèce humaine serait vouée à disparaître.
Heureusement, la nature a plus d’un tour dans son sac évolutif !
Ainsi, l’équipe du professeur Asato Kuroiwa, de l’Université
d’Hokkaido (les bains-de-pieds), a fait une découverte passionnante chez
les rats épineux du Japon. Ces rongeurs, répartis sur trois îles japonaises,
ont perdu leur chromosome Y et le gène SRY, mais continuent de se reproduire.
Les chercheurs ont identifié une minuscule duplication d’ADN près du gène SOX9, présente uniquement chez les mâles.
Cette séquence de 17.000 paires de bases, sur les 3 milliards que compte leur génome, semble jouer un rôle crucial dans la détermination du sexe.
Comme quoi, une paire de kouilles, un pénis et un « nerf-honteux » qui commande tout ça, ça ne tient pas à grand-chose…
Cette découverte suggère ainsi que l’évolution humaine peut développer des alternatives au chromosome Y pour déterminer le sexe.
L’apparition de ce gène sexuel chez les rats épineux illustre la capacité d’adaptation des espèces.
Mais, ce processus n’est pas sans risque : L’émergence de différents systèmes de détermination du sexe pourrait conduire à la séparation de nouvelles espèces.
Imaginons un instant le futur de l’humanité dans 11
millions d’années : Extinction totale faute de mécanisme de détermination du
sexe ; survie grâce à l’évolution d’un nouveau gène sexuel ; apparition de
plusieurs espèces humaines distinctes, chacune avec son propre système de
détermination du sexe…
Or, cette dernière hypothèse, bien que spéculative, n’est pas sans rappeler l’histoire évolutive des Homo sapiens-sapiens, Homo-neanderthalensis et autres espèces humaines aujourd’hui disparues.
Et au-delà des implications biologiques, cette recherche nous invite aussi à repenser notre conception de l’identité sexuelle. Si le chromosome Y n’est plus le seul déterminant du sexe masculin, comment définir la masculinité ?
Cette question, longtemps cantonnée au domaine de la
biologie pour déborder dernièrement sur les JO (au moins en boxe), pourrait
bientôt rejoindre les débats sociétaux sur le genre et l’identité.
L’évolution ne cesse de nous rappeler que la nature est bien plus complexe et fascinante que nos catégories ne le laissent parfois supposer.
L’avenir de l’Homme ne tient peut-être plus à un chromosome, mais à notre capacité d’adaptation et d’évolution, tant biologique que conceptuelle.
Voilà qui va peut-être rebattre les cartes des prétentions d’Aragon…
D’autant que les recherches se poursuivent autour de l’utérus artificiel (qui devrait émerger dans la ou les deux décennies à venir) revisitant totalement les fondements de nos sociétés sinon de nos civilisations…
Que ça va être marrant entre les « nouvelles sciences de la vie » et tous les « barbus » de la planète, qu’ils soient mahométans ou fondamentalistes chrétiens…
2 – Satisfaction : En attendant, on se contente de peu pour se
réjouir : On a enfin observé la désintégration d’un kaon en pion !
Une désintégration ultra-rare pourrait bouleverser la
physique. Un phénomène rarissime vient qui pourtant d’être observé au CERN :
D’autant que si je me réjouis de savoir comment on fabrique un « pion »
de bahut, ces sadiques nés pour te pourrir la vie de lycéen et de collégien, ou
un pion d’échiquier, cette désintégration d’un kaon changé en pion et en paire
de neutrinos intrigue fortement les scientifiques.
Car ce processus, rarissime, pourrait ouvrir une nouvelle porte vers des phénomènes physiques inconnus.
C’est l’expérience « NA62 » qui est au cœur de cette découverte.
Vous ne le saviez pas, mais l’expérience « NA62 »
mesure environ 270 mètres de long et est hébergée dans les cavernes TCC8 et
ECN3 de la zone Nord du CERN.
Moâ-même, pourtant au courant de presque tout et même du reste, je n’ai appris que récemment ces « détails » historiques…
Donc, le kaon, une particule subatomique, se désintègre en un pion, accompagné d’une paire neutrino-antineutrino.
Ce phénomène est si rare que le Modèle Standard prévoit moins d’un événement de la sorte pour 10 milliards de kaons. C’est dire qu’il est plus facile d’observer le Prince Albert sur les pontons des Sables-d’Olonne un jour de départ de Vendée-Globe-Challenge ou la princesse Charlène sur le quai d’honneur de « Calvi-Balagne » un jour d’été, que de photographier un kaon en train de transmuter…
Cette faible probabilité fascine les physiciens car elle pourrait en effet révéler une nouvelle physique, au-delà de notre compréhension actuelle.
Bref, l’équipe du « NA62 » avait tout de même conçu des dispositifs spécifiques pour observer cette désintégration.
La belle Cristina Lazzeroni, professeur à l’Université
de Birmingham, souligne d’ailleurs l’importance de cette observation et me
demande (gentiment) de relayer l’information (ce que je fais bien volontiers tellement
vous n’en avez rien à battre dans votre vie de tous les jours à trimer pour
payer vos impôts et charges sociales…).
Pour elle, c’est une des plus rares jamais enregistrées, avec un niveau de certitude atteignant le célèbre « 5 sigma » (moins que que-dalle).
D’autant que la collaboration entre les chercheurs a été essentielle pour obtenir ce résultat (ce qui n’est pas le moins important, soyez-en sûrs…).
Produits grâce à un faisceau intense de protons
accélérés par le Super Synchrotron à Protons du CERN, les kaons sont d’abord isolés
dans un faisceau de particules secondaires dirigé vers le détecteur « NA62 ».
Ce détecteur mesure les produits de désintégration des kaons avec une grande
précision, en particulier les pions, les seuls produits détectables.
Son collègue, Giuseppe Ruggiero de l’Université de Florence, rappelle que cette découverte est le fruit de plus d’une décennie d'efforts (et de subventions).
Selon lui, la probabilité extrêmement faible de cette désintégration a rendu la tâche difficile, mais le résultat est une récompense à la hauteur des efforts investis, me prévient-il.
Les données proviennent d’expériences menées entre
2021 et 2022, à la suite de l’ajout d’améliorations techniques. Grâce à une
intensité de faisceau accrue et une analyse plus fine, l’équipe a pu identifier
plus de signaux potentiels tout en réduisant les erreurs de mesure.
L’équipe « NA62 » se concentre alors sur ce processus de désintégration parce qu’il est particulièrement sensible aux nouvelles théories physiques.
Bien que les résultats actuels correspondent aux prédictions du Modèle Standard, une légère augmentation observée pourrait suggérer l’existence de nouvelles particules…
Quelle surprise, n’est-ce pas ?
Les prochaines années (et son flot de subventions publiques) seront décisives pour confirmer ou infirmer l’existence de ces nouvelles théories hypothétiques.
Car qu’est-ce que le Modèle Standard en physique des
particules ?
Eh bien, ce Modèle Standard est la théorie qui décrit les particules élémentaires et leurs interactions fondamentales. Il regroupe trois des quatre forces fondamentales de l’Univers : L’électromagnétisme, la force nucléaire forte et la force nucléaire faible. La gravitation, en revanche, n’y est pas incluse mais figure dans le même « modèle standard » mais cosmologique.
Cette théorie organise les particules en deux catégories principales : Les quarks et les leptons. Les quarks forment les protons et les neutrons, tandis que les leptons incluent des particules comme les électrons et les neutrinos.
Les bosons, comme le photon ou le boson de Higgs, sont responsables des interactions entre les particules.
Bien que très performant, le Modèle Standard n’explique
pourtant pas tout. Comme il est pressenti, il n’intègre pas la gravité, la
matière noire ou l’énergie sombre, ce qui pousse les scientifiques à chercher
de nouvelles théories pour compléter ou dépasser ce modèle.
Mais alors, qu’est-ce que la désintégration d’un kaon, dans tout ça ?
Bé, la désintégration d’un kaon est un processus dans lequel un kaon, une particule subatomique instable, se transforme en d’autres particules plus légères.
Et ces transformations suivent les lois de la physique des particules, notamment celles décrites par le Modèle Standard.
Le kaon peut ainsi se désintégrer en un pion, un neutrino et un antineutrino.
Ce processus est important car il se produit très
rarement. En effet, moins d’un kaon sur 10 milliards se désintègre ainsi. Les
chercheurs s’y intéressent tout particulièrement, car des écarts par rapport
aux prévisions du Modèle Standard pourraient révéler de nouvelles particules ou
forces encore inconnues, avons-nous déjà précisé.
On ne sait jamais : Il faut pouvoir justifier de subventions supplémentaires pour des recherches complémentaires !
Pendant ce temps-là, il s’agit pour vous que ça intéresse au premier chef, de ramer toujours plus fort pour payer des impôts et des charges sociales supplémentaires, tiens donc !
Ça méritait d’être souligné, au moins jusqu’à ce que l’espèce
disparaisse faute de kouillus en nombre suffisant !
Sur ce, bon début de semaine à toutes
et à tous !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Et personnellement, je serai satisfait… pour avoir inventé un roman de science-fiction – pour le journal du lycée – où dans un futur lointain, l’humanité se reproduisait par parthénogénèse et clonage et, à la suite d’une erreur de manipulation génétique, un laboratoire aurait laissé naître et grandir un kouillu…
Mais je ne sais plus ce que j’ai fait de ce manuscrit : Probablement perdu à l’occasion d’un de mes nombreux déménagements…
Vous le savez, j’aime bien les choses complexes.
Mais depuis, la vie m’aura rattrapé et me sert tous les jours tellement de choses … « suspectes », illogiques, contraire aux « apparences normatives » (les « fils rouges » qui apparaissent ici et là de temps à autre où on ne les attend pas…) qu’il n’y a plus aucun besoin de créer des fictions pour épater son neurone…
Or, ce chromosome Y, est porteur du genre masculin. Cette disparition annonce-t-elle la fin de l'espèce humaine ? Heureusement, une récente découverte chez les rats épineux du Japon offre une lueur d’espoir.
Car l’évolution ne cesse de nous surprendre.
Alors que le chromosome Y, déterminant du sexe masculin chez les mammifères, s’érode inexorablement, des chercheurs japonais ont mis en lumière un mécanisme alternatif de détermination du sexe chez certains rongeurs.
Cette formidable découverte, publiée en février 2024 (en début d’année, le temps que les corbeaux arrivent porteurs de la dépêche jusqu’à mon domicile « parigot-olympique ») dans la revue Proceedings of the National Academy of Science, ouvre en effet de nouvelles perspectives sur l’avenir de la reproduction humaine et l’évolution des espèces.
Tant pis pour « #MeToo » : Il faudra patienter encore un peu…
Mais cette perspective soulève des questions cruciales sur l’avenir de notre espèce : Comment déterminer le sexe sans le chromosome Y ? La reproduction humaine est-elle menacée ? L’extinction de l’Homme est-elle inévitable ?
Contrairement aux reptiles capables de parthénogenèse, les mammifères nécessitent des gènes paternels pour se reproduire. Sans spermatozoïdes, et donc sans hommes, l’espèce humaine serait vouée à disparaître.
Heureusement, la nature a plus d’un tour dans son sac évolutif !
Les chercheurs ont identifié une minuscule duplication d’ADN près du gène SOX9, présente uniquement chez les mâles.
Cette séquence de 17.000 paires de bases, sur les 3 milliards que compte leur génome, semble jouer un rôle crucial dans la détermination du sexe.
Comme quoi, une paire de kouilles, un pénis et un « nerf-honteux » qui commande tout ça, ça ne tient pas à grand-chose…
Cette découverte suggère ainsi que l’évolution humaine peut développer des alternatives au chromosome Y pour déterminer le sexe.
L’apparition de ce gène sexuel chez les rats épineux illustre la capacité d’adaptation des espèces.
Mais, ce processus n’est pas sans risque : L’émergence de différents systèmes de détermination du sexe pourrait conduire à la séparation de nouvelles espèces.
Or, cette dernière hypothèse, bien que spéculative, n’est pas sans rappeler l’histoire évolutive des Homo sapiens-sapiens, Homo-neanderthalensis et autres espèces humaines aujourd’hui disparues.
Et au-delà des implications biologiques, cette recherche nous invite aussi à repenser notre conception de l’identité sexuelle. Si le chromosome Y n’est plus le seul déterminant du sexe masculin, comment définir la masculinité ?
L’évolution ne cesse de nous rappeler que la nature est bien plus complexe et fascinante que nos catégories ne le laissent parfois supposer.
L’avenir de l’Homme ne tient peut-être plus à un chromosome, mais à notre capacité d’adaptation et d’évolution, tant biologique que conceptuelle.
Voilà qui va peut-être rebattre les cartes des prétentions d’Aragon…
D’autant que les recherches se poursuivent autour de l’utérus artificiel (qui devrait émerger dans la ou les deux décennies à venir) revisitant totalement les fondements de nos sociétés sinon de nos civilisations…
Que ça va être marrant entre les « nouvelles sciences de la vie » et tous les « barbus » de la planète, qu’ils soient mahométans ou fondamentalistes chrétiens…
Car ce processus, rarissime, pourrait ouvrir une nouvelle porte vers des phénomènes physiques inconnus.
C’est l’expérience « NA62 » qui est au cœur de cette découverte.
Moâ-même, pourtant au courant de presque tout et même du reste, je n’ai appris que récemment ces « détails » historiques…
Donc, le kaon, une particule subatomique, se désintègre en un pion, accompagné d’une paire neutrino-antineutrino.
Ce phénomène est si rare que le Modèle Standard prévoit moins d’un événement de la sorte pour 10 milliards de kaons. C’est dire qu’il est plus facile d’observer le Prince Albert sur les pontons des Sables-d’Olonne un jour de départ de Vendée-Globe-Challenge ou la princesse Charlène sur le quai d’honneur de « Calvi-Balagne » un jour d’été, que de photographier un kaon en train de transmuter…
Cette faible probabilité fascine les physiciens car elle pourrait en effet révéler une nouvelle physique, au-delà de notre compréhension actuelle.
Bref, l’équipe du « NA62 » avait tout de même conçu des dispositifs spécifiques pour observer cette désintégration.
Pour elle, c’est une des plus rares jamais enregistrées, avec un niveau de certitude atteignant le célèbre « 5 sigma » (moins que que-dalle).
D’autant que la collaboration entre les chercheurs a été essentielle pour obtenir ce résultat (ce qui n’est pas le moins important, soyez-en sûrs…).
Son collègue, Giuseppe Ruggiero de l’Université de Florence, rappelle que cette découverte est le fruit de plus d’une décennie d'efforts (et de subventions).
Selon lui, la probabilité extrêmement faible de cette désintégration a rendu la tâche difficile, mais le résultat est une récompense à la hauteur des efforts investis, me prévient-il.
L’équipe « NA62 » se concentre alors sur ce processus de désintégration parce qu’il est particulièrement sensible aux nouvelles théories physiques.
Bien que les résultats actuels correspondent aux prédictions du Modèle Standard, une légère augmentation observée pourrait suggérer l’existence de nouvelles particules…
Quelle surprise, n’est-ce pas ?
Les prochaines années (et son flot de subventions publiques) seront décisives pour confirmer ou infirmer l’existence de ces nouvelles théories hypothétiques.
Eh bien, ce Modèle Standard est la théorie qui décrit les particules élémentaires et leurs interactions fondamentales. Il regroupe trois des quatre forces fondamentales de l’Univers : L’électromagnétisme, la force nucléaire forte et la force nucléaire faible. La gravitation, en revanche, n’y est pas incluse mais figure dans le même « modèle standard » mais cosmologique.
Cette théorie organise les particules en deux catégories principales : Les quarks et les leptons. Les quarks forment les protons et les neutrons, tandis que les leptons incluent des particules comme les électrons et les neutrinos.
Les bosons, comme le photon ou le boson de Higgs, sont responsables des interactions entre les particules.
Mais alors, qu’est-ce que la désintégration d’un kaon, dans tout ça ?
Bé, la désintégration d’un kaon est un processus dans lequel un kaon, une particule subatomique instable, se transforme en d’autres particules plus légères.
Et ces transformations suivent les lois de la physique des particules, notamment celles décrites par le Modèle Standard.
Le kaon peut ainsi se désintégrer en un pion, un neutrino et un antineutrino.
On ne sait jamais : Il faut pouvoir justifier de subventions supplémentaires pour des recherches complémentaires !
Pendant ce temps-là, il s’agit pour vous que ça intéresse au premier chef, de ramer toujours plus fort pour payer des impôts et des charges sociales supplémentaires, tiens donc !
I3
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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