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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 25 novembre 2024

Il y aurait 4 civilisations extraterrestres hostiles dans la Voie lactée…

Les chercheurs cherchent encore lesquelles…
 
En l’espace d’une vie, au moins la mienne qui s’étale désormais sur deux millénaires, on est passé de la certitude invariable et irréfragable que la créature bestiale que nous sommes reste absolument unique dans l’immense univers, sa perle, son diamant qui d’ailleurs justifiait tout le reste, matière, antimatière, ombre et lumière… à la certitude que la vie extraterrestre nous entoure tout partout sans qu’on ne puisse encore la voir ou en détecter les signes (même sa pollution)…
J’avoue que c’est assez extraordinaire et je suis probablement bien placé sur un « nœud » de la flèche du temps pour vivre et témoigner de tous ces émois…
Il y a un peu plus d’un siècle (deux générations…) rien de plus lourd que l’air ne pouvait voler dans les airs hormis les oiseaux et on aura marché sur le Lune il y a un demi-siècle…
 
Reste que désormais, on se pose des questions plus complexes d’un immédiat intérêt : La vie a-t-elle vraiment besoin d’une planète-mère pour survivre dans l’espace ?
Notre recherche de planètes habitables, dans le but de trouver un jour ou l’autre une forme de vie extraterrestre, ou une planète bis à aller aimablement saccager, est-elle vraiment judicieuse ?
Il se pourrait que nous passions à côté de l’essentiel en nous concentrant sur la notion de planète, étant donné que des êtres doués d’intelligence peuvent très bien avoir développé des habitats autonomes leur permettant de s’affranchir de ce type d’astres, d’après certains « chercheurs » (qui ne trouvent pas encore, d’ailleurs).
 
Cette réflexion se base sur des études menées par des chercheurs des universités Harvard et d’Édimbourg, dont les travaux entendent remettre en question les conceptions traditionnelles de l’habitabilité extraterrestre. Ils suggèrent que la vie extraterrestre est susceptible de survivre et même de prospérer dans de bonnes conditions, même sans planète de référence.
« Les définitions standard de l’habitabilité supposent que la vie nécessite la présence de puits de gravité planétaires pour stabiliser l’eau liquide et réguler la température de surface », écrivent ces chercheurs, avant d’ajouter que « comme l’évolution de la vie ailleurs a pu suivre des voies très différentes de celle de la Terre, des habitats vivants pourraient également exister en dehors des environnements habitables traditionnels autour d’autres étoiles, où ils auraient des biosignatures inhabituelles mais potentiellement détectables » (les fameux polluants…).
 
Les structures biologiques pouvant faire office d’habitats extraterrestres sont susceptibles de surmonter les conditions hostiles rencontrées dans l’espace –notamment les températures extrêmes, les vides de pression, les radiations et le manque de certains nutriments essentiels.
Pour le Dr Robin Wordsworth (de l’Université Harvard) et le Dr Charles S. Cockell (de l’Université d’Édimbourg), la clé réside dans la notion d’« habitats vivants », c’est-à-dire d’écosystèmes capables de soutenir la vie en interne tout en régulant les conditions de leur propre survie.
Concrètement, ces structures pourraient se présenter sous la forme de biopolymères ou d’habitats biogéniques laissant entrer la lumière tout en bloquant les rayons ultraviolets nocifs et en retenant les gaz volatils comme la vapeur d’eau.
On cite l’exemple des aérogels de silice, matériaux synthétiques légers dotés de propriétés isolantes exceptionnelles, qui peuvent augmenter la température interne jusqu’à 50° C, ce qui serait suffisant pour maintenir l’eau liquide dans des conditions de gel.
 
Pour ces scientifiques, il est tout à fait possible que ce type d’habitat soit à même de maintenir une pression et une température stables pour conserver l’eau sous forme liquide, ce qui leur apparaît comme une nécessité pour la plupart des formes de vie connues.
La création d’un « effet de serre à l’état solide » pourrait contribuer à retenir la chaleur : Grâce à des isolants solides, la lumière visible pénètre dans l’habitat, est absorbée, puis émise sous forme de rayonnement thermique, ce qui contribue ainsi à maintenir des températures propices à la vie.
 
Ces chercheurs-là estiment que si de telles infrastructures extraterrestres existent, alors elles doivent se situer à une distance du Soleil comprise entre 1 et 5 unités astronomiques, soit entre 150 et 750 millions de kilomètres.
De quoi donner envie à l’ensemble de la communauté scientifique de modifier son approche de la détection de la vie extraterrestre : À l'avenir, celle-ci pourrait se baser seulement sur l’observation d’éventuelles biosignatures (gaz ou matériaux indicateurs de vie, les polluants, quoi…).
 
L’idée d’habitats biogéniques autosuffisants dépasse de très loin les champs déjà passionnants de l’astrobiologie. À supposer que de telles structures biologiques existent, elles pourraient inspirer l’humanité dans le but d’organiser le développement de l’espèce humaine au-delà de la planète Terre sans pour autant passer par une autre planète habitable telle que Mars.
« La biologie adaptative pourrait constituer le moyen le plus durable et le plus respectueux de l’environnement pour soutenir la présence à long terme des humains et d’autres formes de vie complexes au-delà de la Terre dans le futur », écrivent en effet les chercheurs.
 
Ce qui augmente la probabilité de croiser un jour ou l’autre une vraie civilisation extraterrestre, capable de voyages interstellaires, à la recherche, elle aussi, d’une nouvelle planète à polluer et à saccager…
Si la question est existe-t-il des planètes ailleurs que dans notre Système solaire, la réponse est indubitablement « oui » depuis quelques années.
Si la question est certaines sont-elles habitables ? La réponse est « très probablement ». Mais on ne sait pas si c’est seulement par des microbes et des virus, ou des « proto-virus » ou par des petits (ou grands et monstrueux) hommes-verts.
Et si c’est est-ce que certaines sont habitées ? La réponse est « possible ».
Et certaines de ces civilisations extraterrestres pourraient-elles même avoir l’envie d’envahir la Terre : Vous le savez, l’herbe est toujours plus verte dans le champ du voisin, c’est bien connu.
 
Car désormais et à partir de jusqu’à présent, nous le savons maintenant, la Voie lactée abrite des milliards de planètes. Parmi elles, de nombreuses sont potentiellement habitables. Mais ce que nous ignorons toujours, c’est combien sont-elles à être réellement habitables et même habitées ?
Et parmi elles, combien pourraient porter des civilisations extraterrestres hostiles ?
Ou inversement, des civilisations qui prendraient nos premières expéditions pour des envoyés de leurs dieux, comme ont pu le supposer celle des Incas, Mayas et autres « Mexicanos »…
Des civilisations qui pourraient aussi nourrir à notre encontre des envies d’invasion comme on a pu le faire à une époque reculée sur notre propre planète.
Quatre, me répond aujourd’hui Alberto Caballero, un chercheur de l’université de Vigo (Ibérie-innondée) déjà connu pour ses travaux sur le mystérieux signal « Wow ! ».
 
Pour en arriver à cette conclusion, le chercheur s’est littéralement mis dans la peau de ces extraterrestres. Plus exactement, il a envisagé la probabilité pour que notre propre civilisation humaine attaque une exoplanète habitée. À partir de là, il a extrapolé une estimation de la prévalence des civilisations extraterrestres hostiles.
Ainsi, il a d’abord compté combien d’invasions avaient eu lieu sur Terre entre 1915 et 2022. Puis il a pondéré la probabilité pour chaque pays de lancer une telle attaque par les dépenses militaires mondiales. Et il a ajouté la probabilité de chaque pays de déclencher une invasion.
Enfin, il a divisé le tout par le nombre total de pays sur Terre, pour obtenir ce qu’il appelle «la probabilité humaine actuelle d’invasion d’une civilisation extraterrestre». Une probabilité très faible, très exactement de 0,028 % seulement !
Bref, non nulle…
 
Tenant compte du rythme de la diminution observée des invasions sur Terre depuis 50 ans, il estime même que cette probabilité pourrait tomber à 0,0014 % d’ici à ce que l’humanité soit prête à se lancer dans un voyage interstellaire.
C’est-à-dire, d’ici 260 ans (selon ses projections : Les miennes ont un délai plus court, mais comme mes modélisations se plantent désormais régulièrement…) !
Bon, naturellement, c’est un leurre, parce que c’est sans compter sur des « Poux-tine », des « Net-à-Yahoo », voire des « Kim-tout-fou » ou des « Xi-Ping-pong ».
Et encore, je ne parle que de l’hémisphère Nord (qui compte pourtant l’Arménie, l’Inde, le Pakistan et l’Iran), parce que dès qu’on se promène aux alentours de l’équateur et des tropiques du Cancer et du Capricorne, en Afrique ou aux Amériques, la statistique aurait tendance à s’emballer.
Mais passons…
 
On parle donc d’une « probabilité extrêmement faible ». Mais qui prend un autre sens lorsqu’on la met en regard des millions de planètes qui croisent dans la Voie lactée.
Et même lorsqu’on l’applique au nombre de civilisations extraterrestres qui pourraient peupler notre Galaxie. Alberto a utilisé le nombre avancé par des chercheurs en 2012. Selon ceux-là, ils auraient trouvé jusqu’à 15.785 civilisations extraterrestres dans la Voie lactée.
Beaux sujets pour mes futurs romans de science-fiction…
Mais très peu de ces civilisations pourraient à la fois se montrer hostiles et avoir atteint le fameux niveau 1 de l’échelle de Kardachev[1].
Un niveau de développement qui leur autorise les voyages interstellaires.
Même pas une – 0,22 pour être précis –, selon les estimations d’Alberto. Je serai moins optimiste que lui, mais c’est plus compliqué que ça.
Lui, il parvient à un plus de quatre – 4,42 très exactement – qui pourraient s’avérer à la fois hostiles et se trouver dans une situation technologique comparable à la nôtre.
 
Alors, devons-nous craindre une invasion extraterrestre? Pas dans l’immédiat en tout cas, nous rassure ce chercheur-là (et son inspecteur des impôts : Il paiera son dû encore cette année !) : Selon lui, nous pourrions avoir envoyé quelque chose comme 18.000 messages vers les étoiles pour que la probabilité pour que nous subissions l’attaque d’une civilisation alien resterait de l’ordre de celle de voir notre Terre heurtée par un astéroïde comme celui qui a mis fin au règne des dinosaures.
Un événement qui ne se produit que tous les 100 millions d’années en moyenne.
Et puis expliquons que nos 18.000 messages d’optimisme débridé, pour l’heure, ils ne sont pas allés très loin : À peine quelques dizaines d’année lumière…
 
Par ailleurs, force est de reconnaître que les travaux d’Alberto se concentrent sur une partie un peu trop réduite de l’histoire de l’humanité pour être réellement significative. Et qu’ils reposent sur de nombreuses hypothèses de développement des espèces. Ainsi que sur l’idée que les extraterrestres partageraient des valeurs similaires aux nôtres. Ce qui, bien sûr, pourrait ne pas du tout être le cas.
Pour le pire… comme pour le meilleur, d’ailleurs!
Et puis, ne sommes-nous pas déjà des extraterrestres échoués là par hasard, ce que nous aurions oublié depuis pour avoir perdu tout sens de civilisation… antérieure ?
Enfin, il faut se rappeler que les civilisations sont mortelles et que l’humanité n’est pas bien vieille.
Même pas le temps d’un rot par rapport à la formation de notre galaxie, voire même de l’univers…
Là on compte en centaines de millions d’années (voire en milliards) alors que l’humanité est sortie de ses cavernes (celle de Socrate, naturellement…) il y a à peine quelques dizaines de siècles…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Pour rappel, l’échelle de Kardachev a fait fortune avec le concept de « sphère de Dyson » et a notamment été popularisée par Carl Sagan dans ses ouvrages. Depuis, cette idée est souvent mentionnée dans les discussions à propos des techno-signatures d’ET sous forme de « sphères de Dyson ». 
Nikolaï Kardachev, né le 25 avril 1932, est un radioastronome, astrophysicien et exobiologiste russe, hier encore impliqué dans le projet RadioAstron. Il propose en 1964 sa célèbre échelle, classant les civilisations de l’univers en fonction de leur consommation en énergie.
Appliquée à l’humanité, elle implique que si nous consommons un jour toute l’énergie solaire disponible sur Terre, nous deviendrions une civilisation de type I. Si nous utilisons toute l’énergie rayonnée chaque seconde par le Soleil, en l’entourant d’une sphère de Dyson, nous deviendrions une civilisation de type II. Et si nous colonisons la Galaxie pour exploiter l’énergie de toutes les étoiles de la même manière, nous serions en passe de devenir une civilisation de type III.
Même si je ne saurai vous dire à quoi servirait cette surabondance d’énergie pour des êtres aussi frêles et insignifiants que nous…

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