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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 29 novembre 2024

Jean-Marc radote une nouvelle fois…

Flopée de « revenues » pour cette semaine
Il est comme ça, Jean-Marc : Il vieillit !
 
C’est justement le dialogue qu’il tient à Jean-Paul, au café du coin, devant une bière-comptoir :
« — Chaque fois que je m’engueule avec ma femme, elle devient historique !
— Germaine ? Tu veux dire hystérique ?
— Non, historique ! Elle se souvient de tout ce que j’ai fait de travers… du jour et même de l’heure. »
 
Avec son fiston :
« — Dis, papa, pourquoi tu es toujours tout rouge ?
— Euh… Ben… L’hiver, quand je rentre du travail en mobylette, le froid me rend tout rouge.
— Ah bon ! Mais pourquoi l’été aussi tu es tout rouge ?
— Eh ben, c’est à cause du casque. Quand je reviens en mobylette, ça me donne chaud. »
Alors Germaine se lève brusquement et saisit la bouteille de pastis.
Jean-Marc, étonné, lui demande :
« — Mais qu’est-ce que tu fais, chérie ?
— Comme tu le vois, je range la mobylette… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul discutent dans un bar, attablés devant une bière vespérale :
« — Hé l’ami, t’as l’heure ?
— 18 H 30.
— Merci. Dis je me demandais, comment tu ferais toi, pour savoir l’heure sans une montre ?
— Ben je me repèrerais à la position du soleil, ou bien en regardant la télé ou la radio…
— Oui mais si tu n’as rien de tout ça et qu’il fait nuit ?
— Eh bien je me repérais à la position de la lune et au nombre d’étoiles dans le ciel qui est variable selon les heures.
— Et s’il fait nuit noire, nuageuse et que c’est la nouvelle lune, hein ? T’as plus rien pour te repérer ?
— Si ! Dans ce cas-là, j’ai mon clairon !
— Ton clairon ?
— Ben oui ! La nuit, quand je veux savoir l’heure qu’il est, j’ouvre la fenêtre de chez moi et je me mets à jouer du clairon dehors.
— Et alors ?
— Et alors, y a toujours un gars qui se met à gueuler : « BORDEL, MAIS QUI CET IDIOT QUI JOUE DU CLAIRON A 2H DU MATIN ? »… »
 
Dans une grande piscine publique, le maître-nageur s’approche d’un baigneur et lui dit :
« — Monsieur, je vous prie d’aller vous rhabiller et de ne plus jamais mettre les pieds ici !
— Et pourquoi donc ?
— Parce que vous avez fait pipi dans la piscine. Je vous ai vu…
— Et alors ? » dit Jean-Paul. « Vous savez très bien que tout le monde le fait. Je ne suis pas le seul.
— Du haut du plongeoir, si ! »
 
Jean-Marc téléphone à une compagnie aérienne :
« Bonjour, j’aimerais savoir quelle est la durée du vol Paris – New York ? »
L’employé, qui est occupé sur une autre ligne, lui répond :
« Une minute, monsieur… »
Jean-Marc remercie et il raccroche.
 
C’est l’histoire (revenue) du Capitaine Haddock (Jean-Charles Duboc), commandant de nord chez « Air-transe »…
Nous sommes à bord de son 747.
L’hôtesse annonce aux passagers que le pilote va prendre sa retraite et qu’il s’agit ici de son dernier vol.
Salve d’applaudissements.
Le commandant de bord prend la parole et dit :
« Mesdames, Messieurs pour mon dernier vol j’aimerais faire ce que, en trente ans de carrière je n’ai jamais pu faire, un looping avec ce 747. Pour cela j’aimerais avoir votre accord. »
Les passagers tapent alors des mains et chantent :
« Le looping, le looping, le looping ! »
JCD, ému au larmes, se lance dans la manœuvre, alors que son copilote est pétrifié et que les personnels de cabine avaient vérifié que tout le monde avait bouclé sa ceinture de sécurité et l’avion entame son cercle et le looping réussit.
Les passagers applaudissent pendant cinq bonnes minutes puis reprennent en chœur, enthousiaste :
« Le looping, le looping, le looping ! »
Le commandant entame un nouveau looping qui réussit tout aussi bien.
Les passagers : « Le looping, le looping, le looping ! »
Se succèdent un troisième, puis quatrième looping toujours sous les applaudissements de la foule.
Soudain un type sort des toilettes et dit : « Dites donc, c’est pas bientôt fini vos conneries ! »
Dans l’original, c’est au premier looping que le passager des toilettes sort en hurlant, débraillé et tout crotté dans l’allée.
 
Encore une « revenue » :
Un cultivateur, ulcéré de se faire voler des melons toutes les nuits, décide d’utiliser les grands moyens.
Le voilà donc qui plante plusieurs pancartes dans son champ sur lesquelles il a écrit : « Attention ! Un de ces melons a reçu une injection de cyanure mortel. »
Le lendemain matin, alors qu’il patrouille dans son champ, il constate avec joie que personne n’a touché à ses melons.
En revanche, sur le chemin du retour, il tombe sur une pancarte plantée juste à côté d’une des siennes. Il s’approche et lit : « Maintenant, deux melons ont reçu une injection de cyanure ! »
Dans l’originale, il s’agit du champ de Dumé sur la route de l’Assomption de Lucciana, la Cathédrale de la Canonica, XIIème siècle, construite sur les ruines d’un complexe paléochrétien de la fin du IVème siècle du diocèse de Mariana fondé lui au cours du Vème siècle, situé derrière l’aéroport de Poretta – Corsica-Bella-Tchi-tchi…
 
Encore un vieille, « revenue de loin » :
Dans un ministère, les souris ont envahi les sous-sols où sont entreposées des tonnes d’archives.
Un des chefs de service connaît un ami qui possède un chat réputé bon chasseur de souris et il lui demande de lui prêter.
Au bout de quinze jours il n’y a plus une seule souris et du coup le ministère décide d’acheter le chat pour le garder en permanence.
Deux mois après le chef de service revoit son ami.
« — Je ne comprends pas. Ton chat était formidable au début, et depuis quelque temps les souris sont revenues et il ne fait rien !
— C’est normal, dit l’autre. Vous l’avez titularisé… »
 
Encore une autre :
C’est l’histoire de Marie-Chantal, une dame très BCBG qui habite Neuilly, et qui se rend en Porsche Cayenne chez son médecin, Avenue Foch.
Elle rentre dans le cabinet et s’écrie toute affolée :
« — Docteur, c’est affreux, j’ai été piquée par une guêpe !
— Allons Madame, calmez-vous, ce n’est sans doute pas bien grave.
— Mais enfin Docteur, vous ne vous rendez pas compte, c’est extrêmement, comment dire… C’est horriblement gênant, voyez-vous.
— Si vous me disiez d’abord où vous avez été piquée au juste ?
— Ah ça non, n’y comptez pas, c’est hors de question !
— Mais enfin, je suis médecin, je…
— Non, non et non ! C’est bien trop embarrassant. Vous soignez la plupart de mes amies et si l’une d’elles apprenait une chose pareille, je serais la risée de tous dans les prochains dîners mondains. C’est bien simple, je n’oserai même plus sortir de chez moi.
— Mais enfin Madame, je suis tenu par le secret professionnel, et comment voulez-vous que je vous soigne si j’ignore où cette guêpe vous a piquée ?
— Docteur, vous me jurez que vous n’en parlerez à personne ?
— Vous avez ma parole, Madame. »
Alors Marie-Chantal s’approche de son médecin et, après avoir jeté un rapide coup d’œil à droite et à gauche pour s’assurer qu’ils sont bien seuls dans la pièce, elle lui murmure tout bas à l’oreille :
« Chez Lidl ! »
 
C’est l’histoire du père qui envoie son fils au lit parce qu’il a été insupportable toute la soirée.
Mais au bout de cinq minutes, il entend une petite voix :
« — Papa, apporte-moi un verre d’eau. J’ai soif !
— Non, tu n’avais qu’à boire avant… »
Cinq minutes plus tard :
« — Papa, apporte-moi un verre d’eau : J’ai très soif !
— Si tu n’arrêtes pas, je te donne une fessée…
— Papa, quand tu viendras me donner une fessée, est-ce que tu peux m’apporter un verre d’eau ? »
 
Encore une « revenue » (je vous avais prévenus, Jean-Marc radote…)
Un cow-boy à la carrure impressionnante est en train de boire seul au bar d’un saloon.
Il finit son verre, paie et sort.
Trente secondes plus tard il réapparaît, furieux.
« Qui a volé mon cheval ? »
Silence de mort.
« Très bien. Je vais attendre cinq minutes au bar, et si dans cinq minutes mon cheval n’est pas là, je fais comme à Carson-City. »
Il s’installe sur un tabouret.
Les cinq minutes écoulées, il se lève, marche lentement vers la porte… et son cheval est là !
Tout le monde respire.
Alors un vieux cow-boy qui l’a suivi demande timidement :
« — Qu’est-ce que vous avez fait à Carson-City ?
— Je suis rentré chez moi à pied… »
Dans l’originale, c’était l’histoire du grand-père de Dumé à qui des gamins avaient caché son âne un jour qu’il descendait du village pour vendre ses victuailles au marché…
 
C’est une histoire qui se commence fin août 1939. Un homme apporte ses chaussures à ressemeler chez le cordonnier.
Trois jours plus tard, la guerre est déclarée.
Mobilisé, il part au front et il est fait prisonnier après d’âpres combats.
Libéré par les Russes en 45, il se bat avec un officier, ce qui lui vaut dix ans de Goulag.
Échangé par les Américains, il se retrouve au États-Unis, épouse une native, lui fait des gosses et du coup s’installe dans le Middle-west.
Et voilà que quarante ans après, il revient en France en touriste.
Bien entendu, cet homme va revoir sa rue.
Elle a beaucoup changé, sauf la cordonnerie qui est toujours là.
Alors, par curiosité, il entre et demande au vieil homme derrière sa machine :
« — Il y a longtemps que vous êtes installé ici ?
— Oh, mon pauvre monsieur, depuis l’avant-guerre !
— Alors c’est à vous que j’avais confié mes chaussures à réparer ! C’était fin août 1939. Trois jours plus tard j’étais mobilisé… »
Et il lui raconte toute son épopée.
À la fin, il ajoute, par curiosité :
« — Au fait, vous les avez peut-être encore mes chaussures ? Ce serait drôle…
— Attendez je vais voir… » fait le vieux.
Il soulève sa trappe et descend au sous-sol.
D’en bas il crie :
« — Elles sont comment, vos chaussures ?
— Jaunes !
— Avec des bouts carrés et des lacets marrons ?
— Oui !
— Elles seront prêtes jeudi… »
 
C’est Jean-Marc qui téléphone à son patron un beau matin : Il a une flemme pas possible et il n’a pas du tout envie d’aller travailler…
« — Bonjour patron ! Je ne peux pas venir travailler… J’ai mal au dos, j’ai mal à la tête, j’ai mal partout…
Ce doit être la grippe même si je n’ai pas trop de fièvre…
— Je comprends très bien. Garde tes microbes pour toi… Je sais ce que c’est.
Cela m’arrive parfois et dans ce cas-là, je garde le lit et me fait faire une petite pipe par ma femme et le lendemain ça va beaucoup mieux !
— Merci de votre compréhension, patron. Je vais faire comme vous dites ! »
Et le lendemain, Jean-Marc est en pleine forme et croise son patron :
« — Alors ça va mieux ?
— Oui très bien, boss. Impeccable votre remède : Vraiment, je n’ai plus mal nulle part !
— Ravi !
— Et en plus, je dois dire que vous avez une très belle maison ! »
 
Jean-Jacques-Henri croise Jean-Paul et Jean-Marc :
« — Il parait que tu t’es remarié ?
— Oui. C’est la quatrième fois !
— Eh bien dis-donc… Divorcé trois fois ?
— Non ! Veuf trois fois. Ma première a mangé des champignons vénéneux…
— Ouh, là… Moche ça. Et la seconde ?
— Également !
— Ah bon … Et la troisième aussi, je suppose ?
— Non ! Un accident…
— Ah oui ?
— Elle est tombée dans l’escalier. Elle s’est cassé le cou !
— Ouh là… Terrible. Elle a glissé ?
— Non pas du tout… Elle n’a pas voulu manger les champignons… »
 
Sans rancune aucune, bon début de week-end (ce soir) à toutes et tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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