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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 15 novembre 2024

Le malentendu

Explication logique de Jean-Paul à Jean-Marc…
 
« — En fait, le boxon politique que nous vivons aujourd’hui, c’est à cause de McKinsey.
— Ah bon ! Comment ça ?
— Ils ont proposé dix solutions à notre Président pour en sortir et lui a compris « dissolution » ! »
 
Les mêmes, un peu plus tard :
« — J’ai acheté un livre sur Internet qui s’intitule « comment arnaquer les gens ! »
— Allons bon, tu te reconvertis ?
— Ça fait trois mois et je n’ai pas encore reçu ce bouquin…
— Eh bien tu sais au moins maintenant comment devenir un pigeon…
— Bé non, je ne sais toujours pas voler pour autant, figure-toi !
— … »
 
Jean-Marc et Germaine :
« — Je peux te la mettre ?
— Oui, vas-y !
— T’aime bien ?
— Oh oui !
— Ça ne te fait pas mal ?
— Si, un peu…
— Ok ! Mouille un peu, chérie, que je puisse la retirer…
— Ok !
— Viens…
On va dans une autre bijouterie essayer une autre bague ! »
 
Jean-Marc se rappelle de sa première grève, jeune, à l’école :
« Nous étions tous d’accord : On avait tous décidé de ne pas venir à l’école le lendemain pour protester contre la maîtresse qui nous donnait trop de devoirs sur table…
Eh bien le lendemain, nous étions tous là pour savoir qui n’est pas venu ! »
 
Jean-Marc et Germaine :
« — Chérie, tu vas me quitter, je le sens !
— Et voilà ! Toujours à gâcher mes surprises ! »  
 
Les mêmes, dans l’intimité de leur foyer :
« Essaye de mettre, délicatement deux doigts à l’intérieur.
Mets un troisième si c’est assez large…
Attends que ce soit bien mouillé et commence à frotter de haut en bas !
Tu vois, ce n’est pas si compliqué que ça de nettoyer un mug de café… »
 
Marie-Claire à Marie-Chantal, en présence de Germaine…
« Moi, la nature m’a dotée de petits seins…
C’est pour que les hommes se souviennent de la couleur de mes yeux ! »
 
Jean-Marc avec Jean-Paul, devant une première bière matinale…
« — Moi, je me suis rendu compte que Germaine me trompait quand elle m’a dit qu’elle allait faire des courses avec Marie-Gabrielle…
— Comment ça ? Elle te téléphone pour te dire ça et ça te suffit pour en conclure qu’elle te trompe ? Je ne comprends pas…
— Marie-Gabrielle était toute nue devant moi dans la chambre d’un hôtel ! »
 
Une vieille « revenue » (et modifiée)…
C’est l’histoire des deux mendiants qui se croisent dans le métro à Paris.
L’un est typé roumain, l’autre est manifestement algérien et ne s’en cache pas…
Le roumain finit sa journée avec quelques pièces de monnaie alors que l’algérien a des poches bourrées de billets de 10 euros…
Le roumain s’étonne :
« — Comment tu fais ?
— Y’a écrit quoi sur ta pancarte ?
— J’ai faim, j’ai rien mangé, j’ai trois enfants…
— T’i con toi… Moi, sur la mienne, j’ai écrit : « Il me manque 10 euros pour rentrer au bled ! » »
Dans l’originale, c’était simplement deux clochards maghrébins.
 
Conseil de Jean-Marc à Jean-Paul :
« — Respecte un peu les gens qui portent des lunettes, s’il te plait !
— Et pourquoi seulement eux ?
— Ils payent cher pour voir ta tronche ! »
 
Scène de ménage chez Jean-Marc :
« — Regarde un peu ton ventre ! Tu devrais manger moins, arrêter la bière et faire du sport !
— Mais arrête, s’il te plait ! Regarde la tête de conne que tu as : Tu devrais fermer ta gueule ! »
 
Jean-Marc drague en terrasse de café, devant une chope de bière (la méridienne) en attendant Jean-Paul.
Passe tout près de sa table en terrasse, une jolie demoiselle :
« Salut jeune-fille… ça vous dirait de boire un verre en bonne compagnie ? »
La fille se retourne, jauge l’impétrant :
« En voilà des façons d’inviter à la débauche une honnête femme délaissée par son mari qui est absent toute la semaine et qui habite au 32, de la rue du parc, code 444b, 3ème étage, porte de gauche ! »
 
Jean-Paul arrive et commande une bière avant même de s’assoir…
« Je viens de découvrir que le point G chez une femme se situe très exactement à la fin du mot « ShoppinG »… »
 
« — On ne t’a jamais dit que tu étais immature ?
— Pfff ! gnangnangnan ! »
 
La petite fille, à l’école à une de ses copines :
« — Ma grand-mère m’a traitée de petite-menteuse !
— Et tu lui as dit quoi ?
— J’ai répondu la petite-souris, le père Noël, les cloches de Pâques… »
 
Jean-Paul à Jean-Marc devant la première bière post-méridienne :
« — Si un jour j’ai une fille, elle s’appellera « Enceinte » !
— Quelle idée !!! Et pourquoi ?
— Bé comme ça, si un inconnu s’approche d’elle et lui dit, « Salut ! Moi, je suis Jean-Patrick » elle pourra répondre : « Salut ! Moi, je suis Enceinte » ! »
 
Dicton de Jean-Paul :
« Ne pas jouer avec le cœur d’une fille : Elle n’en a qu’un !
 Préférer jouer avec ses seins : Elle en a deux ! »
 
Toujours Jean-Paul, à Jean-Marc, devant leur seconde bière post-méridienne.
« — Ce matin, je me suis encore réveillé comme une cerise !
— Comme une cerise ???
Ça veut dire quoi ?
— Avec la queue en l’air ! »
 
« — Vivement que le printemps revienne…
— Et pourquoi donc ? Il fait trop froid pour toi ?
— Aussi, mais surtout ça pourrait dégeler le neurone de quelques-uns voire peut-être en faire éclore quelques nouveaux, notamment chez mon boss ! »
 
Marie-Chantal à Germaine, devant une tasse de thé accompagnée de quelques gâteaux secs :
« — D’habitude, je conduis très prudemment…
— Ah oui ?
— Il arrive que mon soutif ne soit pas assorti à ma culotte… »
 
Les mêmes, un peu plus tard :
« On m’a demandé ce que je cherchais chez un homme…
Je ne savais même pas qu’il y avait quelque chose à trouver ! »
 
« N’est-ce pas Freud, Sigmund, qui disait que les vraies femmes sont celles qui cassent les couilles ? »
 
C’est l’histoire d’une portugaise qui se fait agresser par un beau black :
« Au ché cour, au ché cour ! » hurle-t-elle en se débattant et essayant de fuir.
Et son agresseur lui répond :
« Tu ne trouveras pas plus long, ma poulette ! »
 
Une déjà « revenue », mais version étriquée…
Germaine et Jean-Marc :
« — Cette nuit, j’ai rêvé que je faisais du vélo !
Du coup ce matin, je suis crevé !
— Eh bien moi j’ai rêvé que je faisais l’amour toute la nuit : Je suis en pleine forme !
— Avec moi ?
— Non ! Tu faisais du vélo… »
 
La bière fait son effet :
« Quand deux poissons s’engueulent…
En général…
Le thon monte ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant leur dernière bière de la soirée :
« — Non mais tu te rends compte…
— Quoi ?
— Ils ont inventé la voiture qui parle, son GPS aussi, la montre qui parle, Siri qui parle, Alexa, etc…
Tu imagines quand ils inventeront le godemichet qui parle ?
— …
— Ça donnera forcément « Alors ma belle, toujours pas trouvé de mec pour ce soir ? » »
 
Question pour un champion :
« — Quel a été le dernier tableau vu par Lady Diana ?
— Euh… Le tableau de bord !
— Bravo ! Bonne réponse ! »
 
Jean-Marc en maraude nocturne, sur le chemin du retour en ses foyers, s’adresse à une prostituée qui attend le micheton…
« — Bonsoir…
— Bonsoir beau-gosse !
— Excusez-moi, vous faites quoi dans la vie à attendre le long de ce mur, madame ?
— Moi ? Je baise les gens et je leur prends leur pognon…
— Ah ? Vous travaillez au gouvernement !
— Ça m’arrive ! »
 
Marie-Chantal à Germaine, en fin d’après-midi :
« Il paraît que quand il fait très chaud, comme en été, il faut boire beaucoup et manger beaucoup de fruits…
Alors je passe systématiquement à la sangria ! »
 
C’est l’institutrice d’une école du quartier de Jean-Marc qui rapporte que l’autre jour, elle demande à ses élèves de citer un mot qui se termine par « eur » et de dire ce que ça mange.
Il y en a un qui dit :
« — Prédateur !
— Très bien ! Et ça mange quoi ?
— Ça mange des proies !
— Aspirateur ! » dit un autre !
« — Woaouh ! Bravo, quelle imagination parce qu’on peut dire que ça mange la poussière.
— Vibromasseur ! » avance un troisième.
« — Alors là, je ne vois vraiment pas… ça ne mange rien !
— Si ! Ma mère en a un et elle dit toujours « Qu’est-ce que ça bouffe comme piles » ! »
 
Sans rancune aucune, bon début de week-end (ce soir) à toutes et tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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