C’est l’histoire de…
Quand j’étais gamin, Papa trompait Maman et n’aimait pas ma famille.
Plus tard, mes parents ont divorcé et Maman est morte dans un accident de voiture.
Du coup, mon petit-frère et moi vivions dans la grande maison de notre Grand-mère.
La sœur de notre Grand-mère était alcoolique.
Toute la famille vivait aux crochets de ma Grand-mère, et ce grâce à ses économies.
Mon oncle a échappé à la prison grâce à un arrangement entre ma Grand-mère et la justice.
Je me suis marié avec une belle personne atteinte d’un cancer et qui m’aura fait de merveilleux enfants.
Mon Grand-père est mort.
Ma Grand-mère également.
Mon Papa s’est remarié avec sa maîtresse et lui aussi est malade.
Mon petit-frère est parti vivre à l’étranger et ne nous parle même plus…
Papa, malade et âgé de plus de 70 ans, doit commencer à travailler pour acheter les toilettes de celle qui a, depuis l’origine, remplacé ma mère dans son lit.
Je suis catastrophé, parce qu’il va certainement me demander d’en faire autant.
Or, je ne sais rien faire : Même à l’armée, ils ont fini par me jeter…
Ma vie est pitoyable… mais je ne me plains pas : J’assume.
Best regards.
SAR William
Jean-Marc drague Marie-Chantal :
« — Veux-tu être ma fiancée ?
— Mais, mais, c’est une blague… Tu es marié à Germaine et
vous avez des enfants !
— Oui, mais je n’ai pas de fiancée…
— Ah… Alors dans ce cas, je veux bien, pourquoi pas ? »
Jean-Paul réagissait à l’annonce du Président qui indique que nous sommes
en guerre :
« Quand un mec qui n’a même pas fait son service militaire te raconte qu’on est en guerre,
C’est comme si un puceau te racontait une histoire de cul ! »
« Germaine est entrée en fulminant à la maison et aura claqué la
porte.
Notre fille, neuf ans, est entrée et a hurlé : Qui a allumé la mèche de ton tampon ?
J’ai dû sortir en vitesse pour ne pas me faire gifler d’avoir
esquissé un rire.
Et me voilà ! Une bière, l’ami ? »
Jean-Paul, qui arrive au pool des dactylos de la boîte un matin :
« Recevez la pénétration brutale de mon BONJOUR et jouissez d’une agréable journée, Mesdemoiselles ! »
C’est l’histoire de ce parigot qui veut acheter une maison à la campagne.
À force de visiter des longères à vendre, il finit par trouver la maison qui lui convient parfaitement : Surface, emplacement, orientation, prix, etc.
Sauf qu’en visitant le jardin, il aperçoit soudain une ruche !
« — Ah non ! Pas question d’avoir une ruche !
— Et pourquoi ?
— Parce que j’ai des enfants et je ne veux pas qu’ils se fassent piquer par les abeilles ! Il va falloir déménager tout ça !
— Pas question ! » répond le fermier. « Une abeille, ça ne pique pas !
— Et tiens donc…
— Je prends même le pari que si je vous attache tout nu à cet arbre à proximité de la ruche, elles ne vous piqueront pas.
— Et puis quoi encore ?
— Eh bien, si vous êtes piqué avant une heure, je vous donne la maison pour un euro symbolique ! »
Le pari est insensé, mais l’enjeu en vaut la peine : Le parigot
accepte, se met nu et se laisse attacher à l’arbre qui est à côté de la ruche.
Et le paysan le laisse ainsi, va, l’esprit tranquille, vider une chope de bière avec Jean-Jacques et revient au bout d’un heure…
Là il découvre notre parisien tout pâle, épuisé, l’air mal en point :
« — Nom de diou ! Elles vous ont piqué ?
— Non, non… Pas du tout/ Toutes vos abeilles ont été très sympathiques…
Mais votre jeune veau, là, il y a longtemps qu’il a perdu sa mère ? »
Jean-Marc drague encore :
Au feu rouge, une jolie dame lui sourit et ouvre la fenêtre de sa voiture…
Pensant avoir fait une touche, Jean-Marc s’apprête à faire la conversation et ouvre la fenêtre de sa voiture du côté de celle de sa voisine…
Et la jeune femme entame la conversation :
« Ah, vous aussi vous avez pété ? »
C’est l’histoire d’un homme sage et intelligent qui disait un jour à sa
femme…
Rien…
Car c’était un homme sage et intelligent !
Jean-Paul à Jean-Marc, au comptoir du café du commerce.
« — On n’imagine pas, mais j’ai aussi plein de qualités et de talents cachés !
— Ah oui ? De quel genre ?
— Je n’en sais rien… Je viens de te dire qu’ils étaient cachés ! »
Une revenue… de très loin et très modifiée :
Copie d’un élève de 6ème (Notée 20/20) :
Sujet de rédaction : Faites une brève description des traditions de vos villages.
« Mon village est situé dans la brousse et il faut 5 jours de marche pour y arriver.
90 % des habitants sont des sorciers et nous sommes initiés
avant de le quitter.
Dans mon village, tout le monde aime la réussite. Donc, par exemple, si un professeur fait échouer un élève, il meurt trois jours après.
À vous de voir Monsieur… »
Commentaire du correcteur : « Excellent ! »
Dans l’originale, c’était une copie du bac chimie où l’élève avait dessiné un cercueil + un visage cagoulé + une bombe TNT avec une mèche allumée = FNLC !
Avec cet avertissement : « On sait où tu habites sur la route côtière et où travailles ta femme… »
Note : 22/20.
Commentaire du correcteur : « La chimie Corse est la meilleure au monde ! »
Jean-Marc se désole devant sa bière, en compagnie de Jean-Paul :
« — Tu sais, ces rigolades à te faire mal au ventre, de celles qui
te font oublier toutes les préoccupations et les paranoïas de la vie, voilà, c’est
ça le bonheur !
— Tu as raison, on devrait tous avoir une rigolade par jour…
Parce que rire, c’est sérieux ! »
Conversation entre « Trump » et sa troisième
épouse :
« — Voudrais-tu m’épouser ?
— Euh… Mais quel âge
avez-vous ?
— 87 millions de dollars !
— Ah, si jeune… »
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une énième bière :
« — Je déteste les gens qui parlent la bouche
pleine : C’est moche !
— Et moi je déteste les gens
qui parlent la tête vide : C’est pire ! »
Entretien d’embauche :
« — Votre CV dit que vous êtes très premier degré… ça veut dire quoi ?
— Mon CV parle, maintenant ?
— Euh… d’accord : En
tout cas il prévient… »
Jean-Marc, à Germaine :
« — Au fait, pourquoi m’as-tu épousé ?
— … Bah, parce que parfois tu
es drôle…
— Euh… Je croyais que c’était
parce que j’étais bon au lit…
— Ahahahah ! Tu vois que
tu es drôle ! »
C’est l’histoire d’un agent des fraudes qui s’arrête dans une ferme du Vaucluse pour parler à un fermier.
« Monsieur, je dois inspecter votre ferme à la recherche d’une culture illégale de drogue ».
Le fermier répond : « O.K. mais n’allez pas dans ce champ là‐bas », en pointant le lieu du doigt.
L’inspecteur explose : « MONSIEUR, J’AI L’AUTORITÉ DU GOUVERNEMENT
! »
Et prenant sa carte tricolore dans sa poche arrière, il la brandit fièrement sous les yeux du fermier : « VOYEZ VOUS ÇA ? CETTE CARTE SIGNIFIE QUE JE PEUX
ALLER OÙ JE VEUX, ET CELA SANS JUSTIFICATION.
AVEZ‐ VOUS COMPRIS ? SUIS‐JE ASSEZ CLAIR ? »
Le fermier hoche la tête poliment et retourne à ses corvées.
Quelques minutes plus tard le fermier entend des cris et des hurlements et voit l’inspecteur courir à toute allure, pourchassé par CHARLIE le taureau.
À chaque enjambée l’animal gagne du terrain sur l’inspecteur, et avant qu’il puisse atteindre la clôture, le taureau l’aura sûrement rattrapé.
Sur ce, le fermier laisse tomber ses outils, court vers la clôture et il se met à crier à l’inspecteur : « TA CARTE, MONTRE- LUI TA CARTE ! »
Jean-Marc à Jean-Paul…
« — Je vais te faire un tour de magie…
— Vas-y. Mais si je trouve le truc, tu me payes une autre bière…
— Je vais te faire oublier que tu es con !
— Mais arrête ! Je ne suis pas con !
— Tu vois ! Magique : Tu as déjà oublié ! »
Jean-Paul au téléphone :
« — Prête pour ce soir, bébé ?
Ta bouche va être très sollicitée !
— Je suis le père de Marie-Caroline…
Plus tard, mes parents ont divorcé et Maman est morte dans un accident de voiture.
Du coup, mon petit-frère et moi vivions dans la grande maison de notre Grand-mère.
La sœur de notre Grand-mère était alcoolique.
Toute la famille vivait aux crochets de ma Grand-mère, et ce grâce à ses économies.
Mon oncle a échappé à la prison grâce à un arrangement entre ma Grand-mère et la justice.
Je me suis marié avec une belle personne atteinte d’un cancer et qui m’aura fait de merveilleux enfants.
Mon Grand-père est mort.
Ma Grand-mère également.
Mon Papa s’est remarié avec sa maîtresse et lui aussi est malade.
Mon petit-frère est parti vivre à l’étranger et ne nous parle même plus…
Papa, malade et âgé de plus de 70 ans, doit commencer à travailler pour acheter les toilettes de celle qui a, depuis l’origine, remplacé ma mère dans son lit.
Je suis catastrophé, parce qu’il va certainement me demander d’en faire autant.
Or, je ne sais rien faire : Même à l’armée, ils ont fini par me jeter…
Ma vie est pitoyable… mais je ne me plains pas : J’assume.
Best regards.
SAR William
— Oui, mais je n’ai pas de fiancée…
— Ah… Alors dans ce cas, je veux bien, pourquoi pas ? »
« Quand un mec qui n’a même pas fait son service militaire te raconte qu’on est en guerre,
Et me voilà ! Une bière, l’ami ? »
« Recevez la pénétration brutale de mon BONJOUR et jouissez d’une agréable journée, Mesdemoiselles ! »
À force de visiter des longères à vendre, il finit par trouver la maison qui lui convient parfaitement : Surface, emplacement, orientation, prix, etc.
Sauf qu’en visitant le jardin, il aperçoit soudain une ruche !
« — Ah non ! Pas question d’avoir une ruche !
— Parce que j’ai des enfants et je ne veux pas qu’ils se fassent piquer par les abeilles ! Il va falloir déménager tout ça !
— Pas question ! » répond le fermier. « Une abeille, ça ne pique pas !
— Je prends même le pari que si je vous attache tout nu à cet arbre à proximité de la ruche, elles ne vous piqueront pas.
— Et puis quoi encore ?
— Eh bien, si vous êtes piqué avant une heure, je vous donne la maison pour un euro symbolique ! »
Et le paysan le laisse ainsi, va, l’esprit tranquille, vider une chope de bière avec Jean-Jacques et revient au bout d’un heure…
Là il découvre notre parisien tout pâle, épuisé, l’air mal en point :
« — Nom de diou ! Elles vous ont piqué ?
Pensant avoir fait une touche, Jean-Marc s’apprête à faire la conversation et ouvre la fenêtre de sa voiture du côté de celle de sa voisine…
Et la jeune femme entame la conversation :
« Ah, vous aussi vous avez pété ? »
Rien…
Car c’était un homme sage et intelligent !
« — On n’imagine pas, mais j’ai aussi plein de qualités et de talents cachés !
— Je n’en sais rien… Je viens de te dire qu’ils étaient cachés ! »
Copie d’un élève de 6ème (Notée 20/20) :
Sujet de rédaction : Faites une brève description des traditions de vos villages.
« Mon village est situé dans la brousse et il faut 5 jours de marche pour y arriver.
Dans mon village, tout le monde aime la réussite. Donc, par exemple, si un professeur fait échouer un élève, il meurt trois jours après.
À vous de voir Monsieur… »
Dans l’originale, c’était une copie du bac chimie où l’élève avait dessiné un cercueil + un visage cagoulé + une bombe TNT avec une mèche allumée = FNLC !
Avec cet avertissement : « On sait où tu habites sur la route côtière et où travailles ta femme… »
Note : 22/20.
Commentaire du correcteur : « La chimie Corse est la meilleure au monde ! »
Parce que rire, c’est sérieux ! »
« — Voudrais-tu m’épouser ?
« — Votre CV dit que vous êtes très premier degré… ça veut dire quoi ?
« Monsieur, je dois inspecter votre ferme à la recherche d’une culture illégale de drogue ».
Le fermier répond : « O.K. mais n’allez pas dans ce champ là‐bas », en pointant le lieu du doigt.
Et prenant sa carte tricolore dans sa poche arrière, il la brandit fièrement sous les yeux du fermier : « VOYEZ VOUS ÇA ? CETTE CARTE SIGNIFIE QUE JE PEUX
AVEZ‐ VOUS COMPRIS ? SUIS‐JE ASSEZ CLAIR ? »
Quelques minutes plus tard le fermier entend des cris et des hurlements et voit l’inspecteur courir à toute allure, pourchassé par CHARLIE le taureau.
À chaque enjambée l’animal gagne du terrain sur l’inspecteur, et avant qu’il puisse atteindre la clôture, le taureau l’aura sûrement rattrapé.
Sur ce, le fermier laisse tomber ses outils, court vers la clôture et il se met à crier à l’inspecteur : « TA CARTE, MONTRE- LUI TA CARTE ! »
— Je vais te faire oublier que tu es con !
— Mais arrête ! Je ne suis pas con !
— Tu vois ! Magique : Tu as déjà oublié ! »
« — Prête pour ce soir, bébé ?
— Je suis le père de Marie-Caroline…
Elle va faire quoi avec sa bouche, ma fille, ce soir ?
— Ah… Enchanté ! Elle ne vous a pas dit ?
— Quoi ?
— C’est soirée karaoké, ce soir… »
Jean-Marc et Jean-Paul (au comptoir du café du commerce, chacun devant un demi
bien frais) :
« — L’autre jour, c’était journée internationale des droits de la
femme…
— Ah… Mais par rapport à d’habitude des autres jours, ça a
quoi de spécial ?
— Il y avait des promos pour le maquillage et les aspirateurs ! »
Jean-Paul essaye :
« Monsieur l’inspecteur des impôts,
Je vous écris pour résilier mon abonnement.
Au nom de la loi « informatique et liberté », je vous demande de retirer définitivement mes nom et adresse de vos fichiers et vous poursuivrai pour harcèlement administratif si vous tentez de me relancer…
Vous remerciant de votre démarche,
Bien à vous ! »
À l’école, l’instituteur :
« — Toi là-bas, au lieu de bavarder, cite-moi des verbes du premier groupe !
— Appeler, rencontrer, inviter, accepter, embrasser,
déshabiller, caresser, coucher…
— Si tu oses ajouter pénétrer, je te colle un zéro !
— … Décourager, rhabiller, raccompagner, énerver, rentrer, masturber… »
Germaine, avec Jean-Marc…
« Attends que ce soit chaud et humide.
Tu appuies légèrement là.
Tu vas et tu viens.
Encore, tu vas et tu viens.
Tu vois, mon chéri, c’est simple, le repassage… »
Jean-Marc et Jean-Paul…
« — Germaine est encore tombée enceinte…
— Ah bé, quand on ne prend pas de précaution, ça peut
arriver…
— Oui, je sais bien, mais je t’assure que j’ai fait très attention…
— Oui, mais c’est comme pour la route, ça.
— Quoi ?
— Tu as beau être prudent, le danger vient souvent des autres ! »
Marie-Chantal, au salon de thé avec Germaine :
« — Hier, un mec m’est rentrée par derrière par surprise et m’a complètement défoncé le cul !
— Tu as mis ta voiture au garage ?
— Quelle voiture ? »
De retour du salon de l’agriculture, deux vaches conversent :
« — Alors ce salon, c’était bien ?
— Bof… Tu vois le milieu du cinéma ?
— Oui…
— Ben c’est tout pareil : Des mains au cul toute la journée ! »
Jean-Marc et Jean-Paul…
« — Je fais comme tu m’as dit…
— C’est-à-dire ?
— Le matin, je prends un grand bol d’air frais !
— Et alors, ça va mieux ?
— Bé non, je ne trouve pas…
— Ah…
— C’est moins nourrissant qu’un bol de céréales… »
Sans rancune aucune, bon début de week-end (ce soir) à toutes et tous tout
de même !
I3
Pour
mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ
RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE «
NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
— Ah… Enchanté ! Elle ne vous a pas dit ?
— Quoi ?
— C’est soirée karaoké, ce soir… »
— Il y avait des promos pour le maquillage et les aspirateurs ! »
« Monsieur l’inspecteur des impôts,
Au nom de la loi « informatique et liberté », je vous demande de retirer définitivement mes nom et adresse de vos fichiers et vous poursuivrai pour harcèlement administratif si vous tentez de me relancer…
Vous remerciant de votre démarche,
Bien à vous ! »
« — Toi là-bas, au lieu de bavarder, cite-moi des verbes du premier groupe !
— Si tu oses ajouter pénétrer, je te colle un zéro !
— … Décourager, rhabiller, raccompagner, énerver, rentrer, masturber… »
« Attends que ce soit chaud et humide.
Tu vas et tu viens.
Encore, tu vas et tu viens.
Tu vois, mon chéri, c’est simple, le repassage… »
— Oui, je sais bien, mais je t’assure que j’ai fait très attention…
— Oui, mais c’est comme pour la route, ça.
— Quoi ?
— Tu as beau être prudent, le danger vient souvent des autres ! »
« — Hier, un mec m’est rentrée par derrière par surprise et m’a complètement défoncé le cul !
— Quelle voiture ? »
« — Alors ce salon, c’était bien ?
— Oui…
— Ben c’est tout pareil : Des mains au cul toute la journée ! »
— Le matin, je prends un grand bol d’air frais !
— Et alors, ça va mieux ?
— Bé non, je ne trouve pas…
— Ah…
— C’est moins nourrissant qu’un bol de céréales… »
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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