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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 12 juillet 2022

La croisière d’Alexis (0)

Préambule de l’auteur
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existantes par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Voici un petit récit intermédiaire, de seulement 70.000 mots, conçu comme une succession de blagues. Mais qui, finalement, aura perdu tout son sel humoristique au fil du temps et de ses diverses relectures.
On n’en fera jamais un scénario de film, mais les multiples sketches m’avaient bien fait rire en les imaginant et les écrivant : je suis un écrivain brimé… par son principal personnage !
Invraisemblable, finalement.
Ce qui est peut-être dommage, je ne sais pas.
 
Dans cette histoire, il faut s’imaginer un paquebot « de luxe » servi exclusivement par des robots, des automates, des machines, dont certains ont une forme humaine prononcée, des cyborgs, et d’autres non.
Le tout avec seulement deux observatrices et quelques passagers de passage. Courts les passages.
Et de pouvoir décrire par le menu l’uberisation future de ce type d’activité pris en charge par des ordinateurs et des robots : de quoi en rire un large moment !
Ce n’est pas que la « croisière s’amuse », mais un huis-clos qui dure plus d’un mois à trainer entre la Mer du Nord à la Mer Rouge. C’est long et il n’est pas non plus question de raconter par le menu les vies des autres, de leurs frustrations et ambitions : ça aurait été pénible et les problèmes de « mal-vivre » d’autrui n’ont en général aucun intérêt.
J’aurai d’ailleurs abandonné l’idée assez rapidement après les premiers chapitres.
Car les nôtres propres, de problèmes quotidiens, sont déjà largement suffisants pour combler les temps-morts de toute une vie !
 
Au démarrage, j’avais voulu que ce voyage, qui sent l’air marin, ait des escales un peu partout. Je connais personnellement bien des escales villes-ports où j’aurai pu faire l’expérimentation d’un descriptif touristique soigné et rempli d’anecdotes, sauf que je ne suis pas non plus un guide de vos futures vacances, il ne faut pas exagérer !
Aussi, j’ai su supprimer tous ces « détails » qui aurait fini par faire « bottin » des bons plans, ôtant le pain de la bouche des éditeurs spécialisés dans ce genre de littérature.
Pour ne finalement laisser que la trame générale parsemée de quelques « mystères » qui n’en sont pas réellement.
J’espère seulement que ça ne manquera pas de « piquant » à la lecture.
 
Globalement, l’histoire se déroule donc en plein mer, dans des conditions très confortables, rêvées même, du mois de décembre 2020 au mois de janvier 2021.
Originellement, « la croisière » aurait dû être bloquée au niveau du canal de Suez à l’époque où un porte-conteneurs s’était mis en travers bloquant la navigation durant plusieurs mois, en mars 2021.
Mais ça ne collait pas avec le volume suivant (2022, lannée électorale de Charlotte®).
En effet, je situe à la fin du second confinement les premières « manœuvres » qui vont porter le Président français sortant, « Makarond », vers un deuxième mandat.
Ce n’est pas moi qui l’affirme, mais les événements qui entourent cette ambition politique-là.
D’ailleurs, à l’heure de mettre « sous presse » (décembre 2021), j’en suis toujours à enquêter et collecter les entours de cette élection.
 
Car, justement, ce genre de « manœuvres » se prépare de longue date.
Et c’était peut-être l’occasion de vous faire voir, entre-apercevoir plutôt, son préambule. D’introduire les premiers éléments qui doivent aboutir à cette réélection, alors que le contexte du moment, la crise sanitaire qui se prolonge un peu partout et rebondit parfois, n’est pas qu’un « long fleuve tranquille », loin de là.
Tel qu’il hypothèque à chaque détour l’issue souhaitée par quelques-uns.
Et rejetée d’emblée par un grand nombre de « politicards » aux espérances folles, faut-il ajouter pour rester franc et honnête.
 
C’est donc en pensant à la suite prévisible que j’ai écrit ce volume durant l’été 2021. Dans le cadre magnifique et simili-marin de la Balagne en arrière-plan.
Initialement, je devais vous faire un volume sur les vacances de ma « narratrice », Alexis Dubois, qui prend le relai de mes écrits au fil du temps.
En effet, durant l’été 2020, entre deux vagues de contamination, elle aura passé un bon mois sur l’Île-de-Beauté sur les traces de son sujet de biographie, Paul de Bréveuil, alias « Charlotte ». Là, j’aurai pu vous en mettre plein la vue.
Ce sera pour une autre fois…
Peut-être, s’ils en décident ainsi et si je survis au temps qui passe.
Parce que ce volume-ci, aura été écrit, lu, relu, corrigé à l’automne 2021, envoyé à « mon gardien » qui l’aura transmis à Alexis Dubois qui l’aura lu, relu, corrigé, puis l’aura fait parvenir à Paul de Bréveuil… qui l’aura copieusement « caviardé » pour ne garder que l’essentiel, presque squelettique !
Pour me revenir au début de l’hiver.
Moment où je suis déjà sur le volume suivant : quelle équipée…
 
Il n’empêche que vous vous souvenez que j’ai toujours dit avoir du mal à écrire au féminin : c’est congénital à ma personne.
Alors que j’ai une « narratrice » sous la main qui fait ça « naturellement », si j’ose ainsi m’exprimer. Inutile de vous dire qu’elle aura été une aide pertinente pour « féminiser » ce récit et je l’en remercie vivement.
D’autant que « Charlotte » est finalement assez peu présent tout au long de ce parcours. Alors qu’en réalité, c’est lui qui manipule tout son monde en le mettant en situation seulement.
Et ça fonctionne.
 
Je vous laisse découvrir et moi je retourne à la suite qui m’impatiente de terminer rapidement.
 
I3 ― Paris, octobre 2021
 
Le mot de la narratrice
 
Peut-être un ouvrage mineur pour l’auteur, mais une page indélébile pour la narratrice que je suis des « Enquêtes de Charlotte », même s’il ne s’agit pas ici d’enquête, mais juste d’un récit vécu par moi-même et Aurélie, mon accompagnatrice du moment.
J’avoue ne pas aimer les croisières en haute mer. Depuis toute petite.
Et quand Paul de Bréveuil m’aura dit que je partais en mission sur son navire le « Paradise Cruise III », franchement, je ne me sentais pas fière et redoutais de passer un mois entier à me morfondre au fond d’une cabine étroite et inconfortable, humide et malodorante, entourée de personnes inconnues et a priori désagréables !
Eh bien, pas du tout.
 
C’est vrai qu’on a tendance, en s’isolant en pleine mer où il n’y a rien à faire quand on n’est pas à la manœuvre et sur le qui-vive, à se replier sur ses soucis et à tourner en rond autour d’eux.
Or là, j’avoue que ça n’aura pas été le cas. Ce navire reste exceptionnel par sa beauté et son luxe sobre, par les facilités qu’il offre et surtout par son fonctionnement entièrement automatique.
Je ne l’ai pas compris tout de suite, surprise seulement de ne pas souffrir du mal de mer et puis émerveillée par le confort qu’apporte un « personnel » de bord entièrement automatisé et réalisé par des robots commandés par une « intelligence artificielle » autonome.
Il s’agit en réalité d’un logiciel embarqué qui gère tous les paramètres du navire en totale autonomie ou presque, y compris les « humains » qui sont à bord comme des « inconnus » aux réactions qui ne sont pas programmées.
Je vous avoue que si l’hypothèse est un sujet récurrent de romans de science-fiction, elle entre dans nos vies par la petite porte avec des objets du quotidien et ça passe inaperçu. On a aujourd’hui des métros automatiques qui savent gérer tous les impondérables, y compris le passager qui se jette au dernier moment dans une rame ; on a des avions qui volent tout seul : ce sont des drones.
Et des voitures qui vous rappellent à l’ordre si vous n’avez pas les mains sur le volant, mais qui anticipent un tournant, réduisent votre vitesse à l’approche d’un carrefour et freine à votre place si un obstacle se présente inopinément sur votre trajectoire.
Le tout sert à nous protéger, nous humains et « machines faillibles » à tout moment, à nous assurer un confort inégalé que seuls les auteurs d’anticipation pouvaient imaginer.
Désormais, c’est une réalité quotidienne.
 
Et sur un navire, ça devient fabuleux à vivre. Finalement, en un mois, à part quelques courts épisodes impromptus, je n’ai fait que ce que je voulais bien faire, sans aucune contrainte hors celle du jour et de la nuit qui se succèdent et sans véritablement m’ennuyer une seule seconde.
C’est bien simple, je n’ai pas vu passer le temps.
Nos enfants seront gâtés par l’avenir que les industriels nous préparent et expérimentent actuellement.
À la seule condition d’en avoir encore les moyens.
 
L’auteur insiste, un peu déçu, de n’avoir pas pu tout dire de cette expérience-là. C’est vrai qu’une fois le décor planté, il en a fait des tonnes. Mais on n’allait pas non plus en faire un roman-fleuve : la ligne directrice reste de « faire court » pour que ça reste « lisible »… plus tard par le sujet de cette série, Paul de Bréveuil, mon patron, alias « Charlotte » qui ne veut pouvoir retenir que l’essentiel.
Probablement qu’il a raison.
Alors, à la relecture, on aura coupé au sabre et à la hache bien des passages, et c’est bien normal, en essayant de ne pas trop dénaturer le texte originel. C’est le sens du « deal » d’origine entre l’auteur, son personnage et les intermédiaires qu’ils se sont donnés les uns et les autres pour ne jamais se rencontrer, à savoir son « gardien » et moi-même, afin de protéger l’anonymat du créateur de cette série.
Un peu compliqué comme schéma de travail, mais indispensable pour contourner la censure dont l’auteur a déjà été victime, à mon sens plus ou moins acceptée, voire, peut-être recherchée.
Il faut dire qu’à notre époque de fake-news et de complotismes tous azimuts, il s’agit d’être prudent et de donner corps à la réalité par des biais détournés puisqu’on ne peut plus dire, lire ou écrire véritablement librement.
C’est comme ça.
 
Nous espérons toutefois que ce volume vous sera d’une agréable lecture et découverte. N’oubliez pas qu’il est aussi l’introduction du récit suivant sur lequel je travaille en ce moment : une affaire d’élection dans un monde perturbé par les cyberattaques et la volonté de nuire aux démocraties électives en usant et abusant de leurs faiblesses.
C’est d’ailleurs assez passionnant de découvrir que derrière leurs faiblesses intrinsèques, immanentes, elles ont des ressources insoupçonnées parce que servies par des hommes intègres qui ont le souci de l’intérêt général et qui dépassent les corruptions habituelles avec quelque courage.
J’en suis moi-même fascinée, mais c’est une autre histoire que j’espère vous narrer dans les mois qui viennent.
 
Pour l’heure profitez de ce volume dont j’espérais qu’il pourrait sortir avant Noël 2021 pour une mise en ligne prévue pour la première partie de l’été 2022.
Bonne lecture à toutes et tous !
 
Alexis Dubois, narratrice ― novembre 2021

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