Jean-Marc…
… rencontre un entrepreneur qui est devenu immensément riche…
« – Quel est le secret de votre
réussite ? De votre richesse ?
– Simple. Il faut avoir
la conviction que l’argent n’a pas d’importance et que le travail acharné est
la source du succès. Le travail, c’est la seule chose qui compte.
– C’est comme ça que vous
êtes devenu riche !
– Oui ! Quand j’ai
réussi à mettre ça dans la tête de mon personnel. »
Une petite fille, assise, observe sa mère lavant la vaisselle dans le
lavabo de cuisine.
Elle note tout à coup que sa mère a plusieurs mèches de cheveux blancs,
qui font contraste avec ses cheveux brun foncés.
« – Maman, pourquoi certains de
tes cheveux sont-ils blancs ?
– Bien, chaque fois que
tu fais quelque chose de mauvais et me fait pleurer ou me choque, un de mes
cheveux devient blanc.
– Maman, pourquoi alors
TOUS les cheveux de grand-maman sont-ils blancs ? »
Le gamin de Jean-Marc 5 ans va
voir son père avec une portée de chatons.
Au retour à la maison, il informa sa mère qu’il y avait 2 chatons garçons
et 2 chatons filles.
« – Comment le sais-tu ?
– Papa a regardé en
dessous. Je crois que c’est écrit sur leur ventre. »
Tous les enfants furent photographiés, et le prof essayait de les
persuader que chacun d’entre eux devrait acheter une copie de la photo de
groupe.
« Pensez juste comme il serait
intéressant de la regarder, lorsque vous aurez grandi, et que vous pourriez
dire : Voici Jenny ; elle est avocate ou C’est David. Il est maintenant docteur. »
Une petite voix, à l’arrière de la classe, chuchote…
« Et voici la maîtresse. Elle
est morte. »
Le professeur donne une leçon, à propos de la circulation du sang.
« – Maintenant, si je me tenais
sur la tête, le sang, comme vous le savez, circulerait à l’intérieur, et ferait
tourner ma figure au rouge.
– Oui », répond la classe en chœur.
« – Mais pourquoi alors,
lorsque je me tiens debout, en position normale, le sang ne circule-t-il pas
dans mes pieds ?
– Parce que vos pieds ne
sont pas vides » répond le petit Jean-Marc.
Un Jean-Jacques avec une prothèse de jambe synthétique contracte une
assurance incendie pour sa prothèse.
Le premier agent d’assurances contacté lui propose une prime annuelle de
500 euros, estimant que le pied pouvait brûler une fois en 20 ans et que la valeur
de la prothèse est de 10.000 euros.
Le deuxième agent lui propose une prime annuelle de 50 euros.
Lorsque Jean-Jacques demande au deuxième agent comment il est parvenu à un
si petit montant, il répond :
« J’ai appliqué le barème
proposé dans mes tables. L’objet est bien une structure synthétique avec
présence d’un système d’arrosage par le haut, n’est-ce pas ? »
Un chien rencontre un autre chien :
« – Ça n’a pas l’air d’aller,
toi !
– Tu parles je suis en
train de faire une dépression !
– Tu devrais consulter un
psy, non ?
– Je sais bien, j’y ai
pensé mais… J’ai pas droit au canapé ! »
Un jour Jean-Marc décide
de laver son chandail de rugby.
Quelques secondes après être entré dans la salle de lavage, il crie à sa
femme :
« – Quel cycle j’utilise pour
la machine ?
– Ça dépend, qu’est-ce
qui est écrit dessus ?
– Racing-Club »
Ayant remarqué la braguette ouverte de Jean-Marc, sa secrétaire embarrassée lui dit :
« La porte du garage est restée
ouverte. »
Jean-Marc, perplexe ne comprend pas jusqu’à ce qu’elle lui montre.
Il remonte rapidement la fermeture et lui dit :
« – Hum… Vous avez peut-être
entrevu ma puissante Jaguar.
– Non, rassurez-vous !
Seulement une vieille Traban rose avec deux pneus crevés. »
Cette histoire se passe dans une brasserie, à Monaco, il y a quelques
semaines de cela.
Un gars entre, il est apprécié de tous.
Il est bien connu de la serveuse qui lui tend une consommation, il paie.
En traversant la salle, il dit un bon mot à chaque table, il se rend
jusqu’au fond et dit à son ami :
« – Salut Robert ! Comment ça
va ?
– Ça va !
– Alors… Ta femme
est-elle enceinte ?
– Ben… Non ! Pourquoi ?
– Ouf ! »
Et ça éclate de rire partout dans la brasserie…
C’est l’histoire de Jean-Marc
qui entre dans un bar.
L’endroit est plein de monde, il s’engouffre jusqu’au fond, monte sur la
scène, il s’empare du micro du chanteur et dit :
« Tous les hommes qui sont ici
veuillez m’écouter. VOUS ÊTES TOUS COCUS. Parce qu’hier soir j’ai couché avec
ma femme. »
Deux collègues terminent leur journée de travail.
L’un dit :
« – Bon sang, j’ai horreur de
rentrer à la maison ! Chaque soir, je mange la même bouffe insipide, je fais la
vaisselle, je fais faire sa promenade au chien et puis je vais me coucher.
– Mais pourquoi tu ne te
trouves pas une fille sympa pour te marier ? »
Et Jean-Marc en faisant claquer
le verrou de son attaché-case :
« Justement ! JE SUIS marié ! »
Jean-Marc s’inventant une excuse :
« Quand je suis rentré chez
moi, il y avait une grenouille, habillée de façon très sexy, et elle se
dandinait dans tous les sens.
Alors elle se dirigea
dans la chambre et commença à me faire un strip-tease phénoménal. C’est alors qu’elle
se retrouve à poil devant moi, et qu’elle me tire sur le lit pour que je lui
donne un bisou.
Et c’est à ce moment
qu’elle s’est transformée en ma secrétaire.
Je te jure chérie, c’est
la vérité ! »
Un jour, Jean-Marc rentre du
travail pour trouver le chaos qui règne à la maison.
Ses enfants, encore en pyjama, jouent dans la boue du jardin.
Sur le gazon, tout autour de la maison, il y a des cartons de repas
congelés et des boîtes de jus de fruits par terre.
Quand il entre dans la maison, c’est encore pire.
La vaisselle sale est éparpillée dans toute la cuisine, le repas du chien
est renversé sur le sol, et il y a du sable par terre, sur la table de la
cuisine et les meubles.
Dans la salle de séjour, il trouve des jouets, des vêtements et une lampe
renversée.
À ce moment, il a très peur qu’un malheur ait touché sa femme.
Il se précipite au second étage et là, stupéfait, il trouve sa femme
encore en pyjama assise dans le lit en train de lire un livre.
« – Bonsoir mon amour, comment
était ta journée ?
– Mais que s’est-t-il
passé ici aujourd’hui ? »
Souriante…
« Tu sais, chaque jour en
rentrant, tu me demandes ce que j’ai fait durant la journée et quand je réponds
que je me suis occupée de la maison et des enfants… Tu me dis : ‘‘C’est tout ?’’
Eh bien, aujourd’hui, je n’ai rien fait ! »
Jean-Marc, excédé du caractère exécrable de son
épouse, se rend chez son avocat :
« – Maitre, je désire divorcer
!
– Bien. Avant toute
chose, Monsieur, voulez-vous me dire sous quel régime vous êtes mariés ?
– Sous le régime
dictatorial ! »
Un octogénaire est marié à une jeune et jolie femme. Ses amis lui disent
qu’il a pris des risques.
« Oh ! À mon âge, on n’est pas
cocu … On est secondé ! »
Deux vieilles amies prennent le thé.
C’est l’heure des confidences :
« – Mon mari, quand il a fini
son petit câlin, il pousse le cri de Tarzan !
– Quelle santé !
– Peut-être, mais moi ça
me réveille à chaque fois ! »
Une femme raconte à une de ses amies :
« – C’est grâce à moi qu’il est
devenu millionnaire !
– Et avant, qu’est-ce
qu’il était ?
– Milliardaire. »
Jean-Marc s’étonne auprès de son copain
Jean-Paul :
« – Quoi ! Toi, si pudique, tu
as emmené ta femme, cet été, dans un camp de nudistes ?
– Oui, au moins, pendant
deux semaines, elle ne s’est pas plainte de n’avoir rien à se mettre ! »
Jean-Marc a été cambriolé.
Le lendemain, le commissariat le prévient qu’on a arrêté le voleur et le
convoque.
Jean-Marc demande au policier :
« – Puis-je parler au voleur ?
– Pour lui dire quoi ?
– Écoutez, monsieur le
commissaire, il a pénétré chez moi à 2 heures du matin sans réveiller ma femme.
S’il m’explique comment il s’y est pris, je retire ma plainte ! »
Dans une réserve nationale, un touriste et sa jeune épouse, assis
gentiment sur l’herbe et en train de collationner, voient s’approcher un beau
gros ours brun qui fait mine de foncer sur eux.
Il hésite et rebrousse chemin.
Notre couple en est quitte pour une bonne frousse…
Trente minutes plus tard, alors que nos amoureux se bécotent, un ours noir
de taille assez petite se pointe, regarde les deux amoureux, pousse un sonore
grognement, mais continue son chemin sans plus s’attarder…
Puis, arrive un superbe grizzly géant, terrifiant, dans toute sa
splendeur, mais qui semble malgré tout bien inoffensif, et ne regarde même pas
nos deux touristes, passant outre en se dandinant pesamment sur ses grosses
pattes velues…
La morale de tout ceci ?
Les ours se suivent, mais ne se ressemblent pas !
Bon week-end à toutes et à tous !
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