La mort de Fidel Castro !
Et hop : Un de plus qu’il y a en moins…
Dommage qu’il ait pu faire chier la planète durant plus
d’un demi-siècle, et ce n’est pas terminé, en en profitant pour martyriser son
peuple au nom d’une Révolution qui n’a jamais apporté la moindre félicité à
personne, sauf aux « dictateurs » du peuple qui la portaient.
Il y a bien sûr d’autres sujets d’actualité à
parcourir ensemble : Le sort des « grosses-coupures » de la
Roupie-indienne, parce que c’est ce qui va se passer en Europe, tôt ou tard, un
vrai laboratoire in vivo ; les
« gros-mensonges » de « Fifi-le-vainqueur » ; la
« goche-soce » qui serait au bord de l’explosion, de l’éparpillement,
la lecture des « dossiers scolaires » demandés au corps enseignant,
une véritable entreprise de « mise en fiche » de vos
« chères-têtes-blondes », et puis « Das-Groβ-Paris » sur la
Seine, que j’ai pu parcourir un tout petit-peu les deux derniers week-ends, qui
me semble atteint du syndrome du « baiser-de-la-mort » administré par
« Sœur-âne »…
C’est fou celle-là : Elle emmerde le chaland, le
rackette toujours plus étroitement, mais comme « De-la-Nuée », elle
ne pense qu’au spectacle d’une cité festive avec les JO de 2024 et
l’expo-universelle de 2025 : C’est dire toute l’ambition des
« soces » en ce pays-là !
Nous y reviendront peut-être, car pour l’heure, je
voudrai revenir sur le « marigot » des
« néo-kons-de-la-pensée-unique-soce ».
Ceux-là, ils vivent je ne sais pas où, ni sur un
nuage, ni au fond des mines de leur « paradis-soce », ça devient une
certitude de plus en plus affirmée.
Que le secrétaire général du PCF salue à travers la
mort (lente) du Lider máximo un « artisan de l’une des plus importantes
révolutions initiées au XXème siècle » et voit dans le castrisme
« la démonstration de la possibilité de
bâtir une société juste et souveraine pour tous les peuples », c’est dans
l’ordre des choses.
J’aurai tendance à en dire que la seule possibilité
démontrée est celle de bâtir une société totalitaire particulièrement injuste,
mais ça, on savait déjà.
Que « Mes-Luches » sorte ses bougies et ses
fleurs, passe encore : Il signe bien ce qu’il est, tendance
dictatoriale-dogmatique « raclure de l’humanisme », on va y revenir.
Mais que « Tagada-à-la-fraise-des-bois »
parle juste de « manquements aux droits
de l’homme » et de « désillusions
» à propos des crimes de ce qui restera comme un l’un des pires régimes
policiers de la planète, c’est navrant, horripilant même pour cet homme qui
parle décidément trop !
« Manquements
aux droits de l’homme », les milliers d'opposants emprisonnés, torturés,
fusillés ?
« Manquements
aux droits de l’homme », les homosexuels persécutés ?
« Désillusions
», le traitement inhumain réservé aux malades mentaux et aux malades du sida ?
Et j’en passe : La ruine de tout un peuple et un
pays entier, il peut le revendiquer pour le sien aussi, effectivement.
Un tyran vient de mourir. Son survêtement est maculé
de sang, le sang de ses opposants, et même le pédégé de l’UE s’incline au nom
de tous devant « un héros pour beaucoup »
tandis que le canadien loue « un leader
remarquable », là, ça fait beaucoup.
Tous acceptent ainsi d’honorer l’horreur totalitaire.
Quand, et pas les moindres, ils n’ont pas sanctifié la
terreur.
« Incroyable
aveuglement de Sartre et, à sa suite, de toute la mitterrandie (béate et) touristique abusée par les langoustes, les
bananiers, et les havanes du dictateur, comme ailleurs par les datchas des
maîtres du Goulag ! ».
Rappelez-vous qu’en 1995, la « Gauloisie-des-droits-de-l’homme »
déroulait le tapis rouge pour Fidel.
« Qu’aurait-on
dit d’un Pinochet en visite à l'Élysée ? »
Un mort dans une prison de droite efface cent morts
dans une prison de gauche dans mon pays (celui que j’aime tant et me le rend si
mal…) dirait-on !
Du moment qu’il aura su défier la superpuissance
américaine pendant plus d'un demi-siècle, ça leur suffit à tous, ces
« bien-pensants »…
L’homme aux 634 tentatives d’assassinat, selon l’ancien
chef du renseignement cubain Fabian Escalante, ne se séparait jamais de son
pistolet Browning et ne dédaignait pas de participer aux exécutions sommaires.
« C’est l’homme
des « É »: Égotiste, égoïste et égocentrique », en dit une
dissidente des plus « soft ». Ceux qui ont osé lui résister,
ajoute-t-elle, ont connu « l’emprisonnement,
les passages à tabac et les actes de répudiation ».
« Il restera
comme un dictateur (…) d’une tyrannie
dynastique ».
Le co-fondateur du collectif Solidarité Cuba libre
souligne « l’exil de près de deux
millions de Cubains, ainsi qu’une répression impitoyable qui s’est traduite par
des centaines de fusillés et des milliers de personnes condamnées à des peines démentielles,
pouvant aller jusqu’à trente ans de prison » pour de simples opinions.
Merci « Mes-Luches » pour cet hommage glorieux à la
souffrance humaine…
Même ses plus proches alliés n’auront pas été
épargnés. En 1959, le commandant Huber Matos, compagnon de lutte qui s’était
rebellé, a été condamné à 20 ans de prison. Puis, rien qu’en 1960, la
répression qu’il avait ordonnée a entraîné l’arrestation de 70.000 prisonniers
politiques et 631 condamnations à mort (146 personnes furent exécutées).
Merci au PCF de se montrer solidaire jusqu’après sa
mort.
Tortures psychiques et physiques sont pratiquées et,
selon un rapport d’Amnesty International, il y aurait eu plus de 20.000
prisonniers politiques cubains en 1961. Lors du « printemps noir » de 2003, 75 dissidents seront incarcérés et trois
personnes fusillées sommairement.
Merci à « Tagada-à-la-fraise-des-bois » pour
rappel de ces bienfaits-là…
Dans les années 2000, il y avait environ 300
prisonniers politiques. Encore aujourd’hui, plus de 20.000 Cubains s’expatrient
chaque année aux États-Unis.
Merci à Junker de ses hommages vibrants.
En revanche, si la fortune de celui qui affirmait se
contenter d’un salaire de 40 dollars par mois, a été évaluée à 900 millions de
dollars, en 2006 par le magazine Forbes, on dira merci à Trudeau de ne pas nous
l’avoir rappelé !
Manquerait plus
que le pape, là…
Son garde du corps personnel, qui a vécu dix-sept ans
au service rapproché du maître de Cuba, confirme de son côté que le Lider
máximo avait une île à son usage exclusif comme maison de campagne, à 15 km de
la baie des Cochons. Sur cette île de Cayo Piedra, « un paradis pour millionnaires », son homme de confiance décrit une
vie entourée de yacht, de parties de chasse sous-marine, piscine d’eau douce et
une armée de gardes et de serviteurs.
Il disposait selon lui d’une vingtaine des résidences
réparties à Cuba. Moscou, dénoncera son train de vie ses 3 yachts, ses 32
résidences et ses 9.700 gardes du corps personnels.
Souffrant de troubles digestifs, Fidel ne mangeait que
des produits frais et ne buvait que du lait de la même vache gardée dans une
étable privée, alors que le reste de la population cubaine était rationnée…
Fidel Castro était par ailleurs entouré en permanence
par deux hommes du même groupe sanguin que lui, le très rare O-négatif, en cas
de problème de santé.
Une image qui tranche franchement avec celle du
révolutionnaire et tiers-mondiste véhiculée par le mythe Castro et qui
ressemble à n’importe quel autre tyran.
Dans les années soixante, il aide des guérillas en
Argentine, en Bolivie ou au Nicaragua. Fin des années 1990, il adopte
politiquement le Vénézuélien Hugo Chavez.
Aujourd’hui, Cuba a hébergé les pourparlers de paix
entre les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) et le gouvernement
colombien. Sa révolution donne « l’envie
de lutter, de prendre le maquis, de saisir un fusil pour essayer de changer les
choses », affirmait il y a encore peu le numéro deux des Farc.
Il s’est aussi marié à deux reprises et a eu sept
enfants de trois femmes différentes. Cinq fils. Et puis au moins trois autres
enfants, dont une fille exilée à Miami…
Laissez-moi donc rire aux éclats, SVP !!!
On se rappelle que le cubain aura eu la peau du
pouvoir d’un autre dictateur, Batista. Un a
priori favorable pour toute l’intelligentsia de
« Gauloisie-gôchiste » dès la fin des années 50.
Depuis lors, la population avait été solidement
encadrée par les Comités pour la défense de la révolution, ou CDR. L’opposition
a été décimée et ne pourra jamais relever la tête. La presse est aux ordres.
Fidel Castro lance des « plans grandioses » et la foule sur la place de la
Révolution applaudit. Elle n’a pas le choix. Lorsqu’il accueille les
intellectuels qui se précipitent vers la nouvelle Mecque, sa faconde et sa
verve font merveille. La gauche occidentale voit en lui une sorte de Gargantua
de la révolution avec son éternel treillis vert olive, sa casquette et ses gros
cigares. Personne ne remarque les gusanos, ces malheureux qui cherchent à fuir
le « paradis » cubain, les prisons où croupissent des milliers de détenus
politiques, les granjas, ces fermes collectives qui sont en réalité des camps
de travail forcé.
Tant que Moscou subventionne Cuba – de 1959 à 1989, La
Havane aurait coûté 100 milliards de dollars à l’URSS, participant à son effondrement
–, il peut donner le change et vanter à la face « des capitalistes »
le système éducatif qu’il a mis en place – les enfants sont en effet tous
scolarisés –, les programmes de santé publique et les succès des sportifs
cubains.
En oubliant de dire que les chirurgiens faisaient
aussi taxi ou chanteur de rue pour acheter des médicaments de contrebande ou
seulement mettre un peu de beurre dans les pâtes.
Mais la Perestroïka, que le Lider máximo refuse d’appliquer
dans son île, va dévoiler le véritable visage de la révolution cubaine. Sans
aide soviétique, tout s’écroule très vite. Le pétrole va bientôt manquer, mais
aussi le savon, les légumes, la viande. La pénurie devient endémique, le marché
noir aussi.
Sourd et aveugle, Fidel Castro joue encore au
matamore, mais l’affaire Ochoa, en 1989, révèle les dessous mafieux du régime, un de plus.
Accusés d’avoir organisé un trafic de drogue
international que Fidel Castro ainsi que son frère ne pouvaient ignorer, le
général Ochoa, héros des campagnes africaines, le colonel Antonio de la
Guardia, un James Bond local, et deux autres officiers seront exécutés à l’issue
d’un procès stalinien qui touchait à la caricature ou à un remake de « L’aveu ».
Et là, dans le tas, grosse rigolade à l’occasion de
mes lectures dans l’avion du week-end : « On-Fraie », celui que
je n’aime pas trop bien en entendant la salve d’hommages qu’une partie de la
classe politique a rendue au défunt, a vu rouge !
Enfin un !
Il ne décolère pas contre « Mes-Luches » qui
se lamentait hier matin en apprenant la mort de Castro.
Ouf, y’en a au moins un qui n’a pas que du
« kaka-dans-les-yeux » !
« Mes-Luches » se serait précipité à l’ambassade
de Cuba pour manifester son émotion.
Il est fou, ce gars-là, ce n’est pas possible
autrement…
Même la date de mort du commandant de la révolution
semble suspecte aux yeux du « philosophe » normand. Le 25 novembre
1956 marque le début de la guérilla menée par Castro : « Cela tombe bien d’un point de vue de la mythologie et de l’histoire », affirme-t-il sceptique.
Nous on chambrait nos « catherinettes », à
Monac’.
Il rappelle au passage que le chef d’État décédé se
comportait « comme un nabab qui vivait
comme un prince des monarchies pétrolières. Rien ne manquait à sa table. Il
vivait de manière somptuaire alors que les Cubains manquent de beurre ! »
Pour le « philosophe », l’aveuglement a ses limites : « Un dictateur est un dictateur, quels que
soient les buts qu'il propose. »
Merci !
Merci !
Et de conclure : « Sale
temps pour la démocratie, sale temps pour la liberté ! »
Eh oui, le prochain G7 de fin d’année 2017 risque d’en
faire rire plus d’un : « Marinella-tchi-tchi »,
« Poux-tine », le chinois, « Mac-Donald-Trompe », il ne
manquera plus que le nord-coréen, « Air-dos-gan » et
« Bachar-el-chimique » pour changer la face du monde…
Parce que bon, façon succession digne du régime
stalinien le plus caricatural, celui de la Corée du Nord, de la Syrie de père en
fils ou de la République démocratique du Congo de la famille Kabila, Cuba
rajoutera au côté folklorique.
Et on aurait pu également faire référence à des
exemples plus anciens, tel le Haïti de Papa Doc et Baby Doc.
Ainsi finit la révolution cubaine, si romantique, si
anti-impérialiste, aux yeux de tant d’intellectuels et d’idéalistes de tous
bords toujours aussi kons derrières leurs dogmes, ce n’est, tout bien
considéré, qu’une tyrannie dynastique de plus, le frangin prenant le relai.
Dans ces conditions, l’armée cubaine et les autres
organes de répression de l’État n’attendraient qu’un prétexte pour faire usage
de leur force et pour démontrer que, à Cuba, tout est bien amarré, comme l’on
disait au cours des dernières années de l’Espagne franquiste, et que rien ne
doit bouger.
Souvenez-vous-même de la visite du Pape François en
septembre 2015 : « Raul Castro
avait annoncé la libération de plus de 3.500 prisonniers, notamment chez les
plus de 60 ans, mais en même temps, il y a eu 8.600 personnes arrêtées l’année
dernière, et rien qu’au mois de septembre, pendant la visite du Pape, plus de
800 personnes ont été arrêtées », s’est étonnée Genneviève Garrigos.
La porte-parole d’Amnesty International France
insiste : « Il n’y a pas
de jugement, pas d’enregistrement. Quand les chefs d’État (qui vont à Cuba)
demandent la libération de prisonniers
d’opinion et demandent à Amnesty International des noms, nous avons du mal à
suivre, d’autant que l’on ne peut pas aller sur place ».
« Cette
politique de harcèlement permanent qui ne permet pas de donner des chiffres
tend à dissimuler la réalité tout en maintenant cette pression sur la société
civile », s’indigne-t-elle.
Un « harcèlement permanent » qui peut viser
des blogueurs, des journalistes ou encore des artistes qui ont « des
opinions divergentes » de celles du régime.
« Cuba n’a
toujours pas ratifié à la fois le pacte international sur les droits civils et
politiques, mais pas non plus celui sur les droits économiques, sociaux et
culturels », a également souligné la même.
Merci à « Mes-Luches » de me rappeler tout
ça et pour quoi tu te bats : Une prochaine copie à suivre à « Marinella-tchi-tchi »,
peut-être ?
Va falloir me dire si je transforme ce blog-ci en « pro-Marinella-tchi-tchi »
ou « pro-Mes-Luches » si je veux rentrer mourir au pays un jour ou l’autre.
Je ne suis pas encore prêts à les nommer, à les surnommer
« Vénéré-Président(e) », mais ça paraîtrait de toute façon suspect,
puisque pendant 5 ans le titulaire c’était « Bling-bling ».
Voilà en quelques mots, mais on devrait en faire des
tonnes pour les hommages au « dernier des Mohicans » qui faisait
surveiller chacun par son voisin, que la jeunesse de son pays, lasse de ses
slogans éculés, ne l’appelait plus que « el loco », le fou.
Muré dans un orgueil hypertrophié, le Lider máximo ne
voulait plus rien entendre, rien voir et surtout pas les façades lépreuses de
La Havane. Il était devenu une statue qui devait briller pour l’éternité comme
un « phare devant les yeux du monde ».
Pour laisser à la postérité l’image d'un révolutionnaire pur et dur qui aura
été trahi par ses amis – les Soviétiques
– comme par ses ennemis – les Yankees –,
toujours prêt à y sacrifier tous les Cubains pour « la cause ».
Sur la fin, tout échappe au vieux potentat. Lui-même,
en triturant un mouchoir blanc que lui a offert mère Teresa, parle à ses
visiteurs de l’enfer. En 1996, Fidel Castro, qui a été excommunié, insiste pour
rencontrer le Pape au Vatican et l’invite à venir à La Havane. Au mois d’août
1997, la rumeur court à travers toute l’île : « el loco » est malade.
Au 5ème congrès du Parti communiste, en
octobre de la même année, il apparaît très affaibli. En 2001, il s’évanouit au
milieu d’un de ses interminables discours. Mais ce n’est qu’en 2006, à la suite
d’une hémorragie intestinale qui nécessite une opération chirurgicale, que le
Lider máximo délègue ses pouvoirs à son frère cadet, Raul, alors numéro 2 du
gouvernement.
En 2008, Fidel ne se représente pas à l’élection
présidentielle et laisse donc Raul lui succéder à la tête du régime.
La dictature persiste à survivre sous le soleil des
tropiques.
Voilà ce qu’aurait dû en dire « Mes-Luches »
et rien d’autre.
Vous n'êtes tout de même pas en train de nous dire que les Cubains qui défilent devant l'urne funéraire de Castro sont des pantins qui craignent pour leur vie ou bien des gens qui sont payer pour ça parce qu'ils crèvent la dalle?
RépondreSupprimerIl est clair que l'économie cubaine, complètement administrée, subit les mêmes affres que toutes les économies administrées du monde mais il est tout aussi clair que tous les Cubains savent lire et écrire et même beaucoup plus!, que les médecins cubains sont MONDIALEMENT réputés et que les Etats Unis ne sont pas très aimés sur cette ile même si une fraction importante du peuple pense que le moment est venue de laisser respirer le fonctionnement du pays.
Si, c'est ce que je vous dis : Ils ne décuite toujours pas en Floride à festoyer autour de la même dépouille, n'oubliez pas !
SupprimerEt qu'ils sont toujours aussi nombreux à candidater à l'exil : Il doit y avoir une raison que vous ignorez manifestement !
Et puis allez donc vous faire soigner à Cuba, sous les tropiques et ses langoustes, SVP, plutôt que de creuser le déficit de la sécu gauloisienne : Vous serez applaudi deux fois !
En Gauloisie et là-bas... s'il y a des médicaments, bien sûr !
Bien à vous !
I-Cube
C’est curieux comme les gens de « gôche » aiment souvent les tyrans, jusqu’à en être aveugle, incapable de critique.
RépondreSupprimerUne vraie régression infantile où tout le monde doit être au même niveau, nourris, abreuvé par l’Etat qui s’occupe de tout.
Avec, tout en haut, un tyran paternel, une bonne maman étatique, qui, par contre, a tous les droits, tous les pouvoirs…
Dramatique d’immaturité et d’aveuglement !...
Bien à vous !...
Haddock
A mon sens, ceci explique cela, aucun doute.
SupprimerUn phénomène qu'on retrouve encore en Corée du nord, en Colombie de Chavez et hier en URSS stalinienne, en Allemagne nazi, en Italie mussolinienne, en Espagne franquiste, en Gauloisie pétainiste et jusqu'en Amérique du sud et quelques pays d'Afrique, souvenez-vous d'Amin-dada, des Philippines, etc....
Une épidémie mondiale...
Un virus insoignable !
L'OMS ne s'est jamais penché sur le problème : Que voulez-vous que j'y fasse ?
Bien à vous !
I-Cube