Reprise
en main des « Républicains-démocrates »
En ce jour de second débat et pour ce retour de week-end de pont (je
vous le rappelle, le prochain est attendu à l’ascension de fin mai 2017, ça va
donc être long), je vous annonce être passé par Bastia, dimanche dernier,
histoire de fleurir « mes » tombes et tombeaux.
Juste un aller et retour dans la
journée, par petite brise assez sympathique et temps presque printanier.
Pour vous dire aussi que j’ai croisé
quelques « cousins » qui ont reçu la visite des caïds du continent il
y a quelques temps (et en attendent d’autres) et causer « politique »
en jetant une lumière nouvelle sur les affres des primaires.
Dans le tas, j’ai vu celui qui est
« totalement-satisfait » de votre
« Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois-tagada », vous savez,
l’unique ostrogoth sur 100 (parmi les 4 % de satisfaits) : Une denrée rare
par les temps qui courent…
Lui, il est très content du
quinquennat : Il a enfin une majorité d’autonomistes/indépendantistes à
l’Assemblée Territoriale locale !
Aucun autre n’aurait pu y parvenir,
d’après lui…
Alors que les autres notent qu’il ne
restera rien du quinquennat, « même
pas quelques grands chantiers, comme le Centre Pompidou ou la pyramide du
Louvre voire même les 35 heures le tout sous « Mythe-errant »… »,
sauf que lui, il n’a fait que les 39 heures et la 5ème semaine de
congés-payés…
Et que le centre Beaubourg a été
inauguré en 1977, sous « Giskard-A-la-Barre » !
Enfin, passons.
Plus passionnant, ça eu été la
démonstration d’un autre cousin, que j'avais déjà entendue par ailleurs, en principe proche de
« Bling-bling », qui balise à l’idée que « son-cheval »
perde les primaires.
Pour le rassurer, je lui ai ressorti le
pronostic que j’avais pu partager
avec vous il y a peu et que les tendances semblent vouloir confirmer :
Même l’intéressé ne sait plus s’il continuera à faire de la politique, s’il
perd ses primaires (dont je vous rappelle qu’il n’en voulait pas à
l’origine) : Comme quoi, c’est une hypothèse qui tout d’un coup semble à
ne plus être écartée…
C’est qu’effectivement, dans cette
hypothèse, il va se faire happer par un piège tendu par les statuts du parti,
notamment à entendre ce « cousin-là », l’article 39 alinéa 4.
Celui de la constitution, vous ne
connaissez pas et il règle la question de l’ordre du jour des projets de loi. Et
celui du CGI traite de la non-déductibilité de certaines charges à caractère
somptuaire (chasse, pêche et résidence de loisir) du résultat des entreprises.
Pour le reste, je suis passé pour un
niais : J’ai l’habitude, puisqu’il s’agit d’une attitude
« entendue »…
En fait, comme tout bon militant qui se
tamponne des moyens, du moment que les fins sont atteintes.
Or, cet article est essentiel pour la
compréhension de la campagne – la vraie – qui s’ouvrira à droâte dès que son
champion aura été désigné.
Il explique, au passage, les
controverses à fleurets à peine mouchetés qui, ces derniers temps, ont agité la
commission d’investiture des Républicains en vue des législatives de juin 2017.
Car il précise que « lorsque le candidat à la présidence de la République est issu du mouvement, il propose au bureau politique les conditions dans lesquelles la direction du mouvement est assurée ».
Car il précise que « lorsque le candidat à la présidence de la République est issu du mouvement, il propose au bureau politique les conditions dans lesquelles la direction du mouvement est assurée ».
Traduit en francilien-natif ordinaire,
cela signifie donc que le vainqueur de la primaire devient de ce seul fait le
patron du parti !
Pour être encore plus explicite, cela
veut dire que si « Juppette » ou un autre que
« Bling-bling », comme c’est désormais plus que probable, est demain
le candidat de la droâte et du centre, la direction actuelle des Républicains-démocrates,
présidée par « Veaux-Qui-y’est », devra lui remettre illico les clés
de la boutique.
Rien de moins !
Même pas à première demande…
Et pour comprendre la juste mesure de
cette disposition, il faut comparer.
La gôche en 2011 avait élaboré un dispositif
de primaire que la droâte, en 2016, a recopié point pour point :
« Copier/coller ».
Vraisemblablement par manque
d’imagination, mais peut-être seulement « pour faire « démocrate »
au moins autant les « soces ».
Modalités de candidature, organisation
de la campagne interne, conditions de vote, rien ne distingue ces deux
scrutins. Ils sont jumeaux et les lois qui les régissent semblent d’ailleurs
produire des effets comparables.
Sauf sur un point.
À « gôche » et encore
aujourd’hui, parce qu’ils sont tellement trisomiques qu’ils n’ont rien compris,
le résultat de la primaire n’a aucune conséquence statutaire sur la direction
du parti qui l’organise principalement.
Alors qu’à « droâte », c’est exactement
l’inverse et c’est cela qui change tout.
Astucieux…
Comme quoi, ce n’est pas qu’un manque
d’imagination : Les « sortis » ont compris les leçons de la
primaire « soces ».
En effet, que s’est-il passé rue de
Solferino, au lendemain de la désignation de « François III » ?
« Titine-Eau-Brie » qui avait
confié l’intérim du PS à « Hard-l’Aime-des-Désirs » le temps de la
primaire, a retrouvé son bureau de première secrétaire dès le lendemain de sa
défaite.
Et c’est à ce poste qu’elle a
accompagné la campagne présidentielle de son vainqueur avec une loyauté
affichée mais avec le souci de défendre l’intégralité de ses prérogatives…
Ce qui s’est traduit par la négociation
et la signature avec les « écololos » d’un protocole d’accord sur
lequel le candidat vainqueur de leur primaire n’a pas pu influer, ou alors
seulement à la marge.
On l’a vu également régler « à sa
main » et sans consentement du candidat des investitures législatives qui,
dans les cas les plus délicats, se sont toutes faites au détriment des amis du
candidat à la présidentielle…
On se souvient même du parachutage à
« Paris-sur-la-Seine » de « Sicile-Du-flot-vert » qui a
fâché durablement, et au sang, même la douce et placide « Sœur-âne ».
« François III », déjà tout
mou tel de la guimauve-tagada a été contraint de laisser faire.
Pouvait-il en être autrement, sauf à
nourrir, au sein du « PSoce », des tensions dont il avait pu
constater – et pour cause ! - combien elles avaient nui en 2007 à la
crédibilité de « Ségololo » ?
Non, bien sûr, sauf à culbuter
« Titine » et lui faire subir les derniers-outrages, mais il en
pinçait déjà pour mieux foutue (et a encore amélioré ses performances sur ce plan-là
des « goûts-personnels » depuis…)
Cette paix armée entre le candidat et
la première secrétaire a installé une forme de dyarchie dans le dispositif
« soce ». Sur le devant de la scène, elle a permis à « François III »
de mener la campagne à sa guise jusqu’à son élection du 6 mai. Mais dans les
soutes du PS, elle a favorisé l’installation à bas-bruit de ce qu’on appellera
plus tard … « la fronde ».
En bref, outre lui tout-seul,
« Titine » lui aura pourri en douce son quinquennat en lui refilant
le sida par injection d'une dose douce et létale.
Une fois devenu Président, il a bien
tenté de reprendre le contrôle de son parti.
Il aurait pu le faire par la bande en
nommant son ex-rivale à Matignon.
Mais elle a refusé et il a préféré une
solution moins risquée et sans doute plus raisonnable qui l’a toutefois obligé
à patienter près de six mois avant qu’un compromis honorable permette
l’exfiltration de « Titine-Eau-Brie », lors du congrès de Toulouse en
novembre 2012.
Mais sur le plan parlementaire, c’était
bien trop tard !
Au sein de la majorité à l’Assemblée, une
fraction de députés « soces & écololos » (n’oubliez jamais qu’ils
sont du même bois), investis du temps de l’ancienne direction, avait déjà pris
ses quartiers avec la ferme intention de défendre une ligne différente de celle
esquissée au sommet de l’État par le Président et son Premier ministre.
Pour le dire autrement, le maintien des
équilibres de pouvoir au sein du système « soce », au lendemain de sa
primaire, n’a pas empêché la victoire de son candidat mais il lui a lié les mains
dans le dos une fois devenu Président : Coincé, « pépère-à-la-fraise-des-bois-tagada » !
Pour mon « cousin » c’est ce
qui explique notamment qu’il n’ait pas pu sauver « Bébé-roux » lors
des législatives de juin 2012 alors que celui-ci avait été l’un des fervents artisans
de son élection et qu’il lui en tient désormais une rigueur absolue qui touche
à la haine-recuite.
C’est ce qui explique aussi qu’après ce
faux-pas initial, tout le reste de son quinquennat ait été pollué par une
contestation interne qui, à l’Assemblée, n’est jamais allée jusqu’au point de
rupture mais qui n’a cessé de freiner son action avant de totalement la
décrédibiliser, au moins aux yeux de l’opinion.
Et, sur le papier, un tel scénario ne
peut pas se reproduire à droâte.
Paradoxalement, ce « 39-4 » a
été introduit dans des statuts des « Républicains-démocrates »
en 2015 par « Bling-bling » soi-même, qui assurait la présidence du
parti.
Ce qui prouverait, à l’évidence, qu’à
cette époque-là, il ne doutait pas un seul instant de sortir vainqueur de la
primaire…
Les temps ont changé (comme c’est assez
courant en général) et aujourd’hui que l’hypothèse de sa défaite est devenue
probable, on mesure tout ce qu’elle signifie concrètement : S’il perd, il
sera totalement dépouillé de tous les attributs de sa puissance !
Il était revenu à la présidence de son
parti pour reconquérir celle de la République. Ses ambitions étaient liées.
Elles le resteront dans la défaite au
point de le laisser tout-nu, sur le bord du chemin.
« Ouais, chouette alors ! J’adore … » ai-je fait à mon
cousin qui m’a jeté un regard noir pas possible…
Car pour « Al-Un-Juppette »,
c’est le contraire. Hier, il était seul, ou presque. Demain, s’il est désigné par la
primaire, l’article 39 alinéa 4 lui donne les moyens d’un double sacre.
Contrairement au
« capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois-tagada », il sera d’emblée
candidat et leader de son parti à la fois.
Certes, il est peu probable qu’il
reprenne lui-même les rênes des « Républicains-démocrates ».
Mais, pas fou, il va les confier à l’un de ses affidés avec pour mission
essentielle de rouvrir le dossier des investitures législatives et donc celui
des contours de la future majorité présidentielle.
Et c’est une reprise en main où il va
jouer gros pour la suite.
Il en aura statutairement les moyens et
c’est déjà beaucoup.
Les aura-t-il aussi politiquement ?
Tout dépendra en fait de l’ampleur de
sa victoire finale lors de la primaire.
Sera-t-elle nette et sans bavure ? Je
veux d’autant plus !
Parce que s’il se met à négocier avec
certains de ses concurrents entre le 20 et le 27 novembre prochain, toute la
question va être de savoir sur quoi et avec qui ?
Que des questions qui soulèvent en fait
celle de la dynamique dont on voit bien qu’elle le pousse aujourd’hui vers le
haut sans que l’on sache pour autant si elle est suffisamment puissante pour balayer
demain les obstacles qui immanquablement se dresseront sur sa route.
L’enjeu est simple, au-delà des
statuts, des calculs et des ambitions personnelles : C’est celui de la « désarkotisation
» des structures politiques de la droâte républicaine qui est en jeu.
Personnellement, j’espère qu’elle sera
totale et la plus profonde possible.
Mais à écouter mon cousin bastiais, ce
n’est pas gagné : Jusqu’où celle-ci peut être menée, au lendemain de la
primaire alors que l’ancien Président a su installer ses hommes, ses thèmes et
son programme à un appareil militant dévoué à sa cause ?
Jusqu’où la logique d’opinion dont la
primaire est la meilleur expression (là, on va voter pour le « moins pire »
et en mai pour le « meilleur ») peut-elle faire bouger les lignes
dans un parti qui ne se reconnaitra plus guère dans ce que proposera son
nouveau patron ?
Là est la question.
Je m’en tamponne : Il y aura assez
de « lécheurs-de-pompes » pour aller mobiliser.
Quitte à changer les hommes, l’appareil
existe et c’est l’essentiel.
Être élu Président de la République,
c’est bien et c’est l’objectif pour faire utilement barrage à
« l’extrême-droâte » et à toutes les « gôches-autistes » ou
trisomiques : Le pays en a besoin en urgence primaire et viscérale.
Mais je reconnais qu’avoir les moyens
de présider, c’est quand même beaucoup mieux.
Et sous la Cinquième République, on
liait jusqu’à présent cette question à celle de l’existence d’une majorité
parlementaire fidèle et disciplinée.
L’instauration du quinquennat est d’ailleurs
venue renforcer cette exigence.
En devenant la loi des partis de gôche
comme de droâte, la primaire modifie toutefois ces règles dans le décalage
qu’elle instaure potentiellement entre l’opinion des sympathisants et le cœur
militant du principal parti de la majorité.
L’article 39 alinéa 4 prévient finalement
ce risque, chez les « Républicains-démocrates » en autorisant
de facto le candidat désigné à réexaminer les modalités d’investiture des
futurs députés.
C’est un des pièges de ces
« primaires-iconoclastes » qui va générer des dissensions et des
candidatures « pirates ».
« François III » en a fait la
démonstration tout au long de son quinquennat à la barre du pédalo avec les
conséquences que l’on sait.
S’il devient le champion de l’opposition,
il appartiendra à « Juppette » de déminer la situation pour faire démentir,
avec les armes dont il dispose, cette loi cachée de la primaire qui veut que
celle-ci promeut mais entrave en même temps tandis qu’elle installe le battu du
second tour – hier « Titine-eau-brie », demain « Bling-bling »
– dans un triste rôle de fabrique à frondeurs.
Donc d’empêcheur de présider en rond, comme
il se doit.
J’en conclus qu’il faut donner le score
le plus fort possible au probable vainqueur, afin qu’il ait les mains libres
pour « présider ».
Vous vous souvenez peut-être encore, en
2007, « Bling-bling » a eu tous ces suffrages. Et il en a fait
quoi ?
Il a imposé à
« Fifi-le-déchu » 6 ministres « d’ouverture », champion
toutes catégories des « retournages de veste » :
« Nanar-Kouche-tes-nerfs »
qui fait aujourd’hui conférencier (lui aussi) ;
« Riton-Baissons » qui a
tourné maire de Donzère, petite ville de la Drôme ;
« J’y-pet-Joujou-yéyé » qui
l’a tournée et tellement retournée qu’il ne sait même plus où il en est (si
jamais il a su au moins une fois) actuellement futur ex-Pédégé de la BPI où il
ne brille pas vraiment, le pote de chambrée à l’Enâ de
« Flanby-tagada » ;
« Marre-tain-Kirsch », ex-président
d'Emmaüs, qui préside actuellement l’Agence du service civique, sous tutelle du
ministère chargé de la Jeunesse, mais traite directement avec le
« capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois-tagada » ;
« Falbala-A-mort-au-rat » est
restée discrète. Elle a trouvé refuge à l’IGAS ;
« J’y-aime-Beau-Quel » est
devenu sénateur UDI du Haut-Rhin.
Avec « Baissons », il a d’ailleurs
été le seul, à s’engager pour « Bling-bling » en 2012. Mais pour quel bénéfice pour le pays, au juste ?
De la haute reconnaissance des « socio-traites »…
Je veux croire que « Juppette »
tiendra bon et que tous ceux-là ne lui feront pas tourner la tête pour tomber
dans les mêmes travers qui n’apportent absolument rien.
Voilà en résumé ma « journée
bastiaise » et ses éclairages imprévus jusque-là dont vous allez pouvoir remarquer les traces dissimulées dans les échanges de ce second débat des affaires de primaires
délirantes…
L’article « 39-4 » du code des Primaires !...
RépondreSupprimerUne vraie arme de « destruction massive » pour le perdant !...
Et un pouvoir « quasi-total » pour le gagnant !...
Vraiment intéressant !...
Les enjeux sont bien plus importants que je ne le pensais…
Mais « Bling-bling » pourrait bien sortir « l’arme nucléaire » comme je l’ai déjà écrit il y a quelques temps.
Et dans ce cas « Jupette » passe à la trappe !...
Mais quelle aventure risquée !...
Bien à vous !...
Haddock
Notez quand même qu'on attendait "la" munition nucléaire depuis bien longtemps, et elle n'a pas été tirée.
SupprimerQu'en revanche, c'est aux USA que ça dérape totalement, même le FBI devenant "hors contrôle"...
Pas du tout ce qui était prévu à moins que ce fut tellement prévisible qu'ils ont pris les devants, je ne sais pas encore.
Pour ce qui est de nos primaires, je regarde le débat (un bout seulement : ils ne sont vraiment pas drôles !) de toute façon, quel que soit le résultat de ce scrutin, "Bling-bling" se présentera, quitte à emmener avec lui l'armée des militants.
Ce qui vide totalement (disons à 40 %) la puissance du parti.
Regardez ce soir comme il est si sûr de lui, qu'il arrive même à s'astreindre à sourire, alors que ça l'emmerde un maximum.
Il se joue là sous nos yeux une pièce dont le scénario a été bouleversé, que ce soit aux USA ou ici, par quelques "mains invisibles", ce n'est pas possible autrement !
A suivre et bonne soirée à vous !
I-Cube
@ Cube
SupprimerC’est une période pleine d’incertitudes où internet et les nouveaux moyens de communication bouleversent complètement les règles du jeu.
Le FBI balance un missile terrible sur « Il-a-rit » à une semaine de l’élection des grands électeurs et apporte un fantastique soutien à « Trompe ».
Il faut dire que les révélations de Wikileaks sont terribles pour l’ancienne secrétaire d’Etat !...
D’ailleurs, les services américains mettent la Russie derrière les fuites de Wikileaks, ce que les Russes démentent.
Pour ma part, je parierais plutôt sur des « mains invisibles » particulièrement bien informées et déterminées…
Et c’est bien pour cela que tout peut se passer pour nos propres élections…
Bien à vous !...
Haddock
@ "L'Ami-râle" : Oui précisément !
RépondreSupprimerC'est quand même incroyable que le directeur du FBI se mêle de "faire de la politique".
Contra le DoJ, la justice et le procureur concerné (qui va d'ailleurs être remplacé d'ici la fin de l'année...) qu'on soupçonne d'avoir un peu vite "classé l'affaire" alors qu'il est réputé "indépendant".
Inattendu, totalement inattendu.
Et de choisir clairement son camp par dessus le marché.
Personnellement, je n'en reviens pas.
Mais notez toutefois que je vous déroule depuis des mois dans "Laudato si..." une implication souterraine des "politiques" américains dans l'affaire du vol du Trésor Koweïtien en 1990, qui porterait sur au moins 2 dizaines de milliards de dollars.
Et vous aurez noté que l'agent (du FBI) local, dans le roman, aura été assassiné, pour porter des informations explosives !
Stop aurait décidé l'administration "Au-Bas-mât" à plus d'un an des échéances, mais il est possible que la réalité dépasse largement "MA" fiction et que le FBI rende responsable la même administration démocrate de la mort de son agent...
Bref, à suivre et on saura mercredi prochain : Comptez sur moi pour vous arranger ça "à ma sauce" !
Et effectivement, tout peut arriver de la même façon en "Gauloisie", là, dans les prochaines semaines.
Personnellement, je reste encore sur le scénario où "Bling-bling" échoue à sa primaire et dès le premier tour : C'est l'effet du "TSS" (comme il y a un Tout Sauf Hollande" par ailleurs...)
Ce qui ouvre une autoroute à "Marinella-tchi-tchi" vers l'Elysée.
D'autant que dans cette hypothèse, "Bling-bling" se présente toute de même, avec tous les transfuges du parti qui le suivront, et pas les moindres, et feraient alors campagne contre "Juppette", devenu maréchal d'une coquille vide !
Là, le scrutin de mai 2017 resterait totalement imprévisible, figurez-vous d'autant que personne n'étudie l'hypothèse...
Mais ça pourrait "secouer" le landernau et favoriser le tir de quelques "missiles" à tête nucléaire.
Passionnant, finalement que ces "comédies du pouvoir" !
A suivre de très près !
Bien à vous
I-Cube