La propriété, c’est la liberté !
Révolutionnaire ? Pas du tout puisque les
« liberticides » mènent un combat en profondeur contre vos biens… qui
veulent vous voler petit-à-petit !
Et il faut le clamer haut et fort, même si plus
personne n’aime la Liberté.
Car Proudhon avait « tout-faux » sur le
sujet.
Je reprends mes archives accumulées sur le sujet
depuis quelques temps, dans ce petit-post d’entre deux débats : Petite pause-technique !
En effet, une série de documents est venue étayer, pour mieux vous y préparer, l’idée de taxer les loyers fictifs des propriétaires-foncier, le « capital d’usage » d’habitation.
En effet, une série de documents est venue étayer, pour mieux vous y préparer, l’idée de taxer les loyers fictifs des propriétaires-foncier, le « capital d’usage » d’habitation.
L’idée de taxer le « fictif » m’a toujours
fait profondément rire en qualité de fiscaliste-diplômé : L’impôt, c’est
un taux sur une assiette. Pas d’assiette, pas d’impôt et peu importe le
taux !
C’est le principe de base de tout début « d’optimisation-fiscale »
parfaitement légale (et même légitime).
En revanche, dès que « ça bouge », il y a
une assiette « objective » (le prix de la transaction), qui déclenche
une avalanche de taux « à perception » : TVA, droits de
mutation, à titre onéreux ou à titre gratuit (donations, successions),
cotisations sociales (même sur vos alcools), ribambelle de droits indirects
(circulation, consommation, tirages, poinceaux, visas, etc.), voire des droits
de douane, des taxes sur les conventions d’assurances et même quand il s’agit
d’eau et d’électricité, des flopées de « redevances », de poteau,
d’assainissement, de raccordements, d’abonnements, etc. que vous ne voyiez
jamais mais qui constituent avec le prix de la chose ou du service échangé,
l’assiette de la TVA…
Le tout représente 57 % de toute activité résumée dans
le PIB national en « Gauloisie-frénétique »…
Et encore, ça ne leur suffit pas, tel que même au
Portugal, ils vont peut-être inventer la « taxe sur le soleil ».
Et chez vous, d’envisager de vous faire payer un
« droit à détention », un droit d’usage sur une assiette fictive
(sic) de loyers qui auraient pu (ou dû) être perçus par vous-même sur
vous-même !
Là, chapeau-bas le mord-moi-le-nœud que voilà…
Encore que si le principe passe, pour l’heure, il ne
s’agit que de foncier (votre « chez-vous » à vous : Vous seriez
60 % à le posséder après avoir pu rembourser votre banquier qui vous aurait
fait l’avance avec de l’argent déjà taxé et socialisé pour la plupart), mais
demain, pourquoi pas votre voiture, votre vélo, votre frigidaire, vos vêtements,
chaussettes et pompes, vos CD/DVD et je ne sais quoi encore.
L’usage putatif de votre femme peut-être (une façon de
soutenir le petit-métier de péripatéticienne), non ?
Après tout, c’est une des conséquences de
l’uberisation de la vie courante, puisque tout se loue et s’échange !
Vive l’économie « de partage » où celui qui
n’en tire pas profit sonnant et trébuchant sera de toute façon taxé
« comme si que »…
Pour finir par être « effacé », bouffé par la
puissance étatique !
Et attention, la démarche intellectuelle commence à
être drôlement « construite » par le dogme en passe de devenir
dominant.
Deux arguments sont invoqués : La justice fiscale et
la neutralité fiscale !
Les loyers payés par des particuliers locataires ne
sont pas déductibles du revenu imposable. Certes…
Les propriétaires, eux, occupent gratuitement leur
logement mais en retirent un avantage en nature non-imposable. Certes aussi…
Alors, selon nos grands penseurs de la « fiscalité
équitable », il faudrait donc ajouter au revenu du propriétaire la valeur
estimée de cet avantage en nature.
Le propriétaire serait ramené ainsi dans la même
situation fiscale que le locataire. Et puisque la différence de traitement entre
locataire et propriétaire est analysée comme une injustice, elle serait ainsi
effacée : Pour une « justice fiscale » des deux situations…
Personnellement, moi j’aurai été pour la déductibilité
des « frais de vie », dont le loyer des locataires.
Notez que quand je me déplace pour mes activités « productives »
(donc imposables), mes notes d’hôtel sont déductibles, alors hein, soyons
logiques jusqu’au bout, SVP.
Mais pas eux.
Le deuxième argument en faveur de l’imposition des
loyers implicites serait le respect de la neutralité fiscale entre les
différents types de revenus du capital.
Le propriétaire-occupant d’un logement retire de son
capital immobilier un avantage en nature non-imposable qui constitue un revenu
du capital.
Forcément, il n’y a pas de flux comme indiqué
ci-avant.
Or, tous les autres revenus du capital sont imposables
à l’IR (dividendes, intérêts, loyers perçus en cas de location à un tiers), y
compris les capitaux-immatériels, comme les « œuvres de l’esprit »
(et autres redevances et droits d’auteur).
Tiens donc, je blogue à mes heures perdues et c’est de
la « création ». Devrai-je être taxé alors que je n’en tire aucun
revenu ni avantage ?
Pourquoi pas les « loyers-fictifs », dès
lors ?
Euh… Et pourquoi pas les autres type de capitaux,
comme les œuvres d’art, les bijoux, les voitures de collection, les frigos, les
bouteilles de vins-fins, au juste ?
C’est magnifique comme idée pour remplir les caisses
d’un « État-liberticide », omnipotent et spoliateur à outrance qui
dépense plus qu’il n’encaisse depuis des décennies.
Souvenez-vous, cette année le Trésor public est à
découvert le 19 novembre prochain : C’est mieux qu’avant, mais c’est vivre
à découvert tout de même, comme tous les ans.
Parce que l’assiette fictive est en plus estimée à 120
milliards d’euro par an et ne se délocalise pas facilement : Un sacré
pactole qui échappe jusque-là aux délires confiscatoires de quelques z’élites
brimées de « sachants-trisomiques » qui sont imposables (de façon très réduite) sur l'avantage en nature de leur logement de fonction…
Pour y échapper, il faudrait ne rien posséder, même
pas ses slips, vivre à poil et de subventions publiques, minimas-sociaux et de
mendicité…
Ou se casser, ce que j’ai fait.
Bon, il faut vous dire aussi que ces deux arguments
sont en contradiction totale avec les « politiques » soutenues par
vos gouvernants (de « droâte » comme de « gôche »
d’ailleurs) :
1 – L'Argument de neutralité fiscale est battu en brèche
dans ses grandes profondeurs par le principe de la fiscalité progressive (IR,
ISF, droits de mutation à titre gratuit, contra les autres impôts, forfaitaires
ou à « Flat-tax », impôts locaux, taxes diverses à la consommation, au
volume – l’essence de vos bagnoles par exemple – etc.) ou qui relève aussi de
la « fiscalité-comportementaliste » (taxes sur vos tabacs, vos
polluants, votre crème-Nutella, vos consommations d’énergie-verte, vos dépenses
d’économie, etc.).
L’impôt progressif sur le revenu est par conception un
impôt « interventionniste » et ne prétend aucunement à la moindre neutralité.
La progressivité a un effet redistributif et les
multiples « niches fiscales » permettant crédits et réductions
d’impôt visent à favoriser telle ou telle activité.
Toutes choses qu’on retrouve d’ailleurs dans les 16 %
des ménages bénéficiant de logements sociaux et payent donc un loyer très
inférieur au prix du marché, financé sur fonds publics : Il y a, à mon
sens, un revenu déguisé qu’il faudrait imposer, selon la même logique… !
Les autres, soit environ un quart des ménages, sont des
locataires « normaux », payant le prix du marché (tendu par défaut de
politique véritablement volontariste en direction de l’immobilier d’habitation),
mais peuvent dans certaines circonstances bénéficier de prestations publiques
type APL (aide personnalisée au logement).
C’est le cas de « ma nichée » qui a pu ainsi
récupérer à ce titre un peu de ce que j’avais pu payer bêtement des années auparavant…
2 – Et justement, le deuxième argument en faveur de la
neutralité fiscale entre les différents types de revenus du capital est lui
aussi battu en brèche par l’effet de la loi fiscale.
Qu’on y songe : Les autres revenus du capital imposables
à l’IR, dividendes, intérêts, plus-values, ne sont pas taxés de façon
identique.
Les intérêts et les dividendes ont chacun un régime
spécifique.
Certains revenus fonciers bénéficient d’avantages
importants s’ils entrent dans un cadre réglementaire précis (dispositifs Borloo,
Duflot, Pinel, micro-foncier, etc.), sans même compter les régimes spécifiques sur les
quirats, les dividendes du cinéma et de l’exception culturelle avec les SOFICA,
ni les « niches-géo-localisées » dans les DOM voire même en
« Corsitude » et autres ZEP.
Une véritable usine à gaz interventionniste, tout le
contraire de la neutralité, alors même que les situations sont largement
différentes en notant en plus que le montant des loyers fictifs ne
correspond nullement aux revenus sur lesquels les contribuables propriétaires
seraient taxés s’ils recevaient effectivement des loyers pour ce montant.
Encore un grand écart « anti-neutralité ».
Car en effet, question justice & neutralité fiscale, les propriétaires doivent faire face à des
charges très lourdes, notamment pour l’entretien des immeubles, ainsi
d’ailleurs qu’à des impayés et difficultés de location, si bien que souvent le
rendement de la propriété immobilière est proche de zéro.
Ces charges étant naturellement déductibles, il ne
pourrait évidemment pas en être autrement pour calculer la valeur taxable des
loyers fictifs des propriétaires occupant leur logement.
Mais alors, comment faire pour nos titulaires d’avantages-locatifs
dans les HLM ?
Par ailleurs, faites donc le calcul à ma place :
Vous avez la cigale d’un côté et la fourmi de l’autre.
Une cigale qui gagne 1.000 brut et passe son temps à
chanter l’été, à faire la teuf. Sur les 1.000, on lui en pique 330 à divers
titres (cotisations, taxes, impôts) et elle vit, mal, avec 660 durant la
période de disette hivernale.
La fourmi a le même régime mais vit encore plus mal l’été
pour en mettre 10 de côté durant ces mois d’été pour améliorer ses mois d’hiver.
Verboten : L’idée c’est de lui repiquer 30 % qu’elle
a « capitalisé »…
Autrement dit, elle va être taxée deux fois sur les
mêmes sources de revenu malgré la règle multiséculaire « non bis in idem » qui veut qu’il n’y ait pas double taxation sur la
même opération (ni deux condamnations pour une même infraction au pénal : C'est vous dire si le principe va loin !).
Or, il n’y a que deux façons de devenir propriétaire :
Acheter en empruntant, qui n’est jamais qu’une anticipation sur votre capacité
d’épargne (les remboursements plus le loyer de l’argent) grâce à votre capacité de
créer des richesses (impôts, taxes et cotisations sociales déduits), à travers
votre labeur (talent & chance rajouterait Voltaire) ;
Et hériter ! Oui, mais l’héritage a déjà subi impôts,
taxes et cotisations sociales déduits sur la capacité d’autrui à créer des
richesses par le labeur, et de plus, l’impôt de détention (taxes foncières,
ISF, etc.) tout au fil d’une vie et… et l’impôt de mutation au moment du
transfert.
Tout ça pourquoi ? Pour repayer un impôt annuel
sur une « virtualité-décrétée » ?
Jusqu’où ça va se nicher…
Et ils vous bassinent avec ce genre d’argutie pour
« nabot-du-neurone », encalminés dans leur
« autisme-dogmatique » ?
Fabuleux, n’est-ce pas !
D’autant qu’il y a derrière tout cela une question à
laquelle on répond depuis des années et des années de façon aléatoire :
Faut-il ou non favoriser l’accession à la propriété ?
Car une politique fiscale défavorisant l’accession à
la propriété des logements a un impact sur les « mal-logés » toujours
plus nombreux et aurait en plus un autre impact, important, sur l’ensemble du secteur
du bâtiment (qui ne construit pas assez faute de moyens).
Il comporte un grand nombre d’entreprises artisanales
travaillant sur de petits chantiers de maisons individuelles. Pour 2015, la FFB
(Fédération française du bâtiment) fournit les chiffres suivants : 380.300
entreprises de moins de 11 salariés sur un total de 401.100 entreprises, dont
94.100 micro-entreprises.
Le secteur emploie 1.051.000 salariés/cotisants.
Des données économiques permettant de comprendre
pourquoi aucun gouvernement ne s’est encore hasardé, malgré le lobbying dont
vous êtes témoins, à suivre les conseils de quelques « think tanks-débiles »
en mal d’innovations fiscales.
L’écrasante majorité des propriétaires consent un
effort financier considérable pour accéder à la propriété. Ce ne sont pas des
rentiers. Les remboursements d’emprunts représentent une lourde charge pendant
de longues années.
Cette volonté tenace de tout un peuple d’accéder à la
propriété doit-elle être découragée ?
Elle représente pourtant un facteur de stabilité
sociale unanimement reconnu.
Alors pourquoi certains proposent-ils de défavoriser
la propriété individuelle immobilière ?
La réponse est évidente : Moins il y a de
propriétaires individuels et plus il y a de propriétés collectives appartenant à
de gros investisseurs publics… ou privés !
Si la petite propriété individuelle recule, l’État et
le capitalisme complice deviennent tous deux plus puissants…
Les gros avalent les petits…
La technocratie étatique, par sa connivence avec les
dirigeants des grands groupes financiers, gagne alors en influence et le marché
recule, les gens sont de plus en plus nombreux à être « mal-logés »,
c’est aussi simple que cela.
Voilà la vraie raison de ces délires de « sachants »…
Ceci étant et pour élever un peu le débat, aucun de
ces « sachants-trisomiques » n’a jamais proposer de :
1 – Réduire drastiquement les dépenses publiques :
C’est pourtant assez facile.
Il suffit, sans rien changer au format général, de
suspendre l’exécution de dépenses programmées, ne garder que les « urgences »,
mais virer tout ce qui est « somptuaire » et non-indispensable (et
il y en a entre les ronds-points sécuritaires et les dépenses de communication),
là, pendant quelques mois.
Parfois, il vaut mieux ravauder un vieux jeu de voiles
plutôt que de s’en tailler de nouvelles.
2 – Puis une fois revenu à l’équilibre budgétaire (de
caisse), prendre le temps de repenser un régime de recettes fiscales « du-ra-ble »,
qui ne soit plus à la merci d’un konnard ou d’une konnasse qui passe et veut
laisser, dans un élan mégalomaniaque puérile, son nom à une loi débile qu’il
faudra détricoter de toute façon tôt ou tard parce que contre-productive.
Il y a des domaines, comme ça, où les incompétents
devraient être définitivement interdits d’intervenir.
Et là encore, c’est assez simple, même si on garde
(provisoirement) la complexité de notre système fiscal : Il suffit seulement
de mettre en place un « bouclier-fiscal » (la seule bonne idée de « Bling-bling »
depuis 10 ans), dont on réduit le taux au fil du temps, et/ou, on fait rentrer
de plus en plus de taxes, impôts, cotisations, même ceux méconnus du public
dans le calcul.
Ça aurait le mérite de la simplicité de principe, de
la lisibilité et de la prévisibilité à court, moyen et long terme de tout le
système, et entraînerait de facto la
sclérose, l’obsolescence, la disparition programmée de nombre de choses cachées
pour l’heure.
Mais vous aurez noté que s’il n’en a jamais été
question dans l’esprit de votre « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois-tagada »,
alors même qu’il vous avait promis de simplifier le bidule à travers une grande
réforme fiscale, et qu'il n’en est toujours pas question chez les impétrants de « droâte ».
Tout juste feront ils usage de cautères, de pansements,
d’emplâtres, de vieilles recettes élitistes de « sachants » à coup
de placebo qui n’ont jamais fonctionné, mais resteront tout autant « spoliateurs »
et liberticides que ceux qu’ils remplaceront.
En bref, je reste persuadé qu’on reparlera de taxer « du
fictif », voire du rayon de soleil, d’ici sous peu…
D'ailleurs, j'y reviens dès demain : Votre liberté est en jeu et tant pis pour vous si vous
vous laissez tondre, n’est-ce pas.
Au moins, en « Ritalie », le soleil reste gratuit à peu près partout, alors qu’à Saint-Pétersbourg, ils n’ont en principe que 3 jours de soleil par an (et qu’ils attendent avec impatience les effets du réchauffement global en espérant avoir droit à un climat tropical d’ici la fin du siècle…).
Au moins, en « Ritalie », le soleil reste gratuit à peu près partout, alors qu’à Saint-Pétersbourg, ils n’ont en principe que 3 jours de soleil par an (et qu’ils attendent avec impatience les effets du réchauffement global en espérant avoir droit à un climat tropical d’ici la fin du siècle…).
Proudhon revenant sur sa célèbre phrase a dit plus tard que la propriété était aussi le dernier recours contre l'arbitraire....
RépondreSupprimerOui, je sais...
SupprimerUn personnage "confus" pour un faible-d'esprit comme moi : Si la propriété c'est du vol, et que le vol est donc le dernier recours contre l'arbitraire, le vol est forcément l'instrument de la liberté !
Et après on s'étonnera des pillages de toute sorte et de l'anarchie que cela peut engendrer...
Enfin, passons : En "juriste-fiscaliste-diplômé", je m'en tiens "aux sources", à savoir le préambule de notre constitution qui affirme le caractère inviolable de divers droits, dont celui de la propriété.
Après tout, ce que je mets dans ma bouche pour le détruire et le métaboliser, c'est déjà de la propriété... et c'est VITAL au même titre que je respire de l'air que je vais rejeter "polluée".
Mais y'aurait comme quelques "sachants" qui oublient volontiers tous ces principes, me semble-t-il
Bien à vous !
I-Cube
Se mordre le noeud! Vraiment, quelle drôle d'idée ... C'est pourtant un instrument fort utile! Comme dit la chanson "Le grenadier de Flandres", "Il sert à pisser quand l'envie l'en démange/ Et aussi à baiser quand l'occasion se présente ..."
RépondreSupprimerSans compter que pour parvenir à se le mordre soi même, il faut déjà forcer la position! Moi, je n'y suis jamais arrivé! Il m'a toujours fallu un concours extérieur auquel je précisais bien qu'il ne fallait point trop en faire!
Ah ?
SupprimerParce que vous avez déjà essayé tout seul ?
Une idée encore plus drôle...
Notez que comme vous le dites, à plusieurs, eux ils y arrivent et ils y mettent les crocs, en plus !
Bien à vous !
I-Cube
Jusqu’où va se cacher la haine de l’autre !...
RépondreSupprimerEnfin, surtout, la haine de celui dont la tête dépasse, de celui qui est entreprenant et prend des risques.
Ces « haineux » ne pensent qu’à faire une société où des citoyens infantilisés seront incapables d’utiliser leur créativité pour le bien d’autrui.
Une vraie « destruction massive » de l’humanité.
Tous égaux dans la misère !...
Un délire « soce » supplémentaire.
On a vu ce que cela donnait dans l’Histoire.
Et puis, à vrai dire, pourquoi devenir propriétaire si c’est pour payer aussi cher que si on était locataire ?...
Et puis même pourquoi entretenir, améliorer, un appartement ou une maison si elle ne sera jamais à soi, si on n’a pas l’espoir d’être « chez soi » et pas chez l’autre, quand bien même fut-il l’Etat ?...
La porte ouverte serait un peu plus ouverte vers la crise de la construction, l’augmentation de la médiocratie, l’augmentation de la misère.
Tout cela est bien triste et l’on discerne bien la volonté nocive de « trou-du-kul » incapables de sortir du giron de l’Etat !...
Bien à vous !...
Haddock
C'est d'autant plus marrant ce que vous dites, parce que, d'une façon générale la population grandit. Je veux dire... en taille, en mètre, gagnant encore quelques centimètres par décennie, parce qu'elle est mieux nourrie qu'auparavant.
SupprimerAlors que "nos leaders" sont en général "tout-petit" !
Souvenez-vous des "talonnettes" de "Bling-bling" qui fait "un malaise" quant à sa taille "ras-le-bitume", de ça photo avec "Bou-bouche-junior" où il le toisait d'une bonne tête...
Idem pour "Giskar-A-la-Barre" avec "Deux-Gaulles", voire même avec "le Chi" dans ses bouquins.
"Deux-Gaulle", j'étais trop jeune, mais je peux vous dire que "Giskar-A-la-Barre" est plus petit que le "Chi" qui est plus petit que moi.
"Juppette", pareil, "le Che", encore plus, "Crabe-Zut-qui", "Tonton-Georges-marre-chais" aussi.
Je ne vous raconte pas "Joue-berthe", "Chais-son" et quelques autres (dont le "cousin-jean" (Tiberi) : Je sais, je les ai tous croisés du temps où je "collais" leurs affiches...
Depuis, je compare les nouveaux-venus ou "infréquentables", par rapport à ce que je connais : "Tagada-à-la-fraise-des-bois" qui a la même taille que "Bling-bling" sur les marches du perron de l'Elysée, etc...
Mais même un "Beau-l'orée" qui est le beau-frère d'une de mes ex, "Pine-haut" et quelques autres du monde "des affaires", ces géants... des lilliputiens !
J'en ai toujours pensé que plus ils étaient atteints de nanisme, plus ils montaient haut dans une hiérarchie, un peu comme "Mac-Rond" Valse" et quelques autres...
Bref, passons, parce que cette règle vaut aussi pour la haute-administration.
Devenir propriétaire, c'est plus cher que d'être locataire, je peux vous dire, surtout en ville : Ca demande un effort d'épargne de plusieurs années (épargne nette après impôts, taxes et cotisations) et ensuite, il faut accepter d'être racketté tous les ans par le fisc, tous les trimestres par les charges de copropriété (pour partie irrécupérables sur un éventuel locataire) et sans limite aucune, parce qu'on vous en pique nettement plus que ce qui est nécessaire, quitte à vous le restituer 6 à 9 mois plus tard pour faire des comptes "carrés"...
Et là, rien à faire, sinon changer de syndic, ce qui est compliqué à souhait, demande plusieurs années d'effort (et pas question de "pénaliser" le syndicat en refusant de payer : Vous vous retrouvez avec l'huissier à la porte de chez vous) et le suivant n'est finalement pas mieux...
Tous protégés par la loi qu'ils connaissent mieux que vous sur le sujet.
Et je ne vous dis pas les abonnements, tous les mois ou tous les deux mois, mais ça, vous les avez même quand vous êtes locataire. Et rien à faire, même quand vous ne consommez rien des "fluides" offerts, le raccordement est déjà coûtatif.
Par exemple, à Calvi, j'étais effaré de payer jusqu'à 400 euros par trimestre pour de l'eau que je ne consommais pas pour être absent, à un certain moment...
Et ça en fait des mètres-cubes pour des séjours de quelques semaines/an.
A la fin, je me faisais livrer de l'eau de source. Idem pour le gaz : Je suis passé au tout électrique et ai démonté le compteur.
Mais ils ont inventé les portiques télécommandés : Pour rentrer chez moi, fallait que je saute le mur faute d'avoir le bidule disponible : Pas mal, n'est-ce pas !
Depuis, je n'ai plus qu'un voilier, et ça va mieux...
Et c'est à "ma nichée" de s'énerver à son tour !
Tout cela est bien triste, effectivement.
Le résultat général (parce qu'il y a plein d'autres domaines) de l'intervention de la puissance publique dirigée par des "nains", du neurone notamment : des "trisomiques-autistes".
Bien à vous !
I-Cube