On en
termine ardemment !
Quelques brèves de la vie de bureau entendues et notées pour vous :
« – Tu sais, moi j’attends
l'amour, le vrai.
– Tiens donc ?
– Oui ! Celui avec
des gros seins. »
« – Tiens, j’ai une super
histoire sur les blondes !
– Euh…, je te rappelle
que tu es chiant avec tes histoires de blondes. Ici, toutes les personnes
présentes sont des blondes. Ok ?
– Pas grave, je la
raconterai plusieurs fois ! »
« – Dis, salut toi !
Comment tu t’appelles ?
– Moi ? 95 C.
– Non, là, tu sautes une
étape. »
« – Curieux cet étage : Je sens un manque certain de sexe, là.
– N’importe quoi !
Aucun rapport…
– C’est ce que je dis… »
« – Tu connais l’histoire du
con qui dit non?
– Y’a un piège, là ?
– Non… »
« – Hier soir, je crois bien
que j’ai évité un viol…
– Wowa ! Balèze… T’as
fait comment ?
– J’ai réussi à la
convaincre finalement. »
« – Tu sais jeune-fille, à ma
naissance on m’a donné le choix entre une grosse bite et une super mémoire.
– Et ?
– Ben, j’sais plus ce que
j’ai choisi… »
« – Tu danses ?
– Non !
– Ah, toi aussi tu vas en
boite juste pour tirer ? »
« – Il était muet comme une
truite, le type.
– Non, comme une carpe plutôt.
– Ha parce qu’une truite
ça parle peut être ? »
« – Je n’arrive pas à décoller
l’autocollant « designed for Windows XP » qui est sur ma tour…
– Et pourquoi faire ?
– Pour le mettre sur la
cuvette des chiottes. »
« – Dites patron, tant que j’y pense,
est-ce que je peux vous poser une question ?
– Oui, allez’y toujours !
– Est-ce que quand on
imprime une image .gif animée, on voit l’animation sur le papier ?
– … »
« – C’est demain, mardi gras ?
– Demain, on est samedi.
– Ouais, je sais. Mais c’est demain ?
– … »
« – Mes doigts sont tout
rouillés tellement j’ai fait du manche aujourd’hui.
– Ta vie sexuelle ne nous
regarde pas…
– De la manche de
guitare, pomme !
– Ce que tu mets dans ton
anus ne nous regarde pas non plus… »
« Vraiment trop des malins les
démarcheurs au téléphone.
Il y en a un qui me demande
mon année de naissance.
Je lui réponds 89.
Et il me demande : 1900
? »
« – Quand j’ai été à l’hôpital,
ils m’ont fait chier…
– Ils t’ont fait quoi ?
– Ils m’ont donné des
laxatifs.
– …
– Bah oui ! Et ils
m’ont bien fait chier, quoi… »
« – Depuis que je vous parle y
a même pas 500 ko qui ont été transférés…
– T’es en quoi là ?
– En tong, pourquoi ? »
« – C’est quoi la marque de ton
ordi ?
– Ben je sais pas, c’est
écrit où ?
– Sur la tour… par
exemple…
– Power ? »
« – J’ai envie de sexe, là…
– Cochonne !
– Voyelle… »
« – Bi, c’est tellement mieux !
– Tu veux dire aimer les
monsieurs et les madames ?
– Exact !
– Je préfère de loin les
madames...
– Donc de près les
monsieurs ? »
« – Ma femme a coupé l’adsl hier. Mais vraiment coupé !
– C’est-à-dire ?
– Elle a pris ses ciseaux de merde et a coupé le putain de câble RJ45 ! »
« – Salut toi…
– Bonjour Vanessa !
Tiens j'ai pensé à toi hier soir, en rentrant chez moi.
– Comment ça ?
– Je rentre et je n’avais
pas très faim. Du coup j’ai ouvert mon frigo.
– Ah qu’est-ce que tu y as
trouvé ?
– Du thon… »
« – Je vais devoir changer d’adresse
email.
– Ah bon ? Et
pourquoi ?
– Bah oui, je me suis
faite larguer.
– Et ? Le rapport ?
– julienmoncoeurjtm@hotmail.com… »
« – Tu sais, Vanessa, tu es
comme une petite fleur !
– C’est gentil, ça…
– Tu bourgeonnes… »
« – Euh… comment tu traduirais « caresser
dans le sens du poil » en anglais ?
–
Euh … « to put one finger » ?
– Ouais m’en doutais…
merci…
– Arf ! Bin je sais
pas en fait.
– Quoi ? C’est pas « to
put one finger » ? Merde mon mail est déjà parti ! »
« – Dites, vous savez pourquoi
on utilises A, B, C, D, E et F pour les bonnets de soutif ?
– Vas-y, dis toujours.
– Ben c’est simple : A pour
appréciable ; B pour bien ; C pour canon ; D pour dément ; E
pour énorme, voire écœurant et F pour faux ! »
« – Ouah, hier soir, j’ai fait
une de ces orgies… Pfiou !
– Elles étaient trop
chaudes !
– Oh oui !
– Elles étaient combien ?
– Ouh là ! Pas pris
le temps de compter.
– Oh, le chanceux… Des
vraies, pas des JPG ?
– Nan, pas de JPG, à quoi
ça me servirait… ?
– Genre « à quoi ça
me servirait »… Tu vas me dire que c’est banal de se faire une orgie comme
ça, avec des vraies chaudes ? Et c’était où ? Il me semble que je n’habite pas
loin de chez toi, la prochaine tu m'appelles ?
– Bin ouais, chez moi.
Après bon, je ne suis pas sûr de vouloir partager…
– Euh, ne me dis pas que
tu étais le seul mec ?
– Bin… si
– Le chanceux !
– Tu parles ! Je ne vois
pas ce qu’il y a de chanceux à se faire une orgie de pâtes au parmesan … J’en ai
encore le ventre prêt à exploser ! »
« – Tu connais l’histoire de l’école
de police ?
– Non, vas-y.
– Bon, t’imagines trois
flics en stage d’évaluation. Un français, un australien, un américain. L’instructeur
les met en situation :
Vous marchez dans une rue
déserte avec votre femme et vos deux enfants. Soudainement, un « jeune »
arrive devant vous avec un énorme couteau et vous regarde droit dans les yeux
en éructant injures et obscénités. Il lève le couteau et charge sur vous. Vous
avez votre arme de service sur vous. Vous n’avez que quelques dixièmes de seconde
pour réagir avant qu’il ne vous atteigne.
Que faites-vous ?
Alors le policier français
analyse de la situation : Si je tire…
- Est-ce que je suis en
état de légitime défense ?
- Est-ce que son couteau
est malgré tout autorisé ?
- Est-ce que cela va avoir
un impact sur mes chances d’une promotion ?
- Est-ce que les médias
vont faire un profil de sa vie pour dire qu’il était aimé de tout le monde ?
- Est-il un « jeune »
de quartier incompris par la société ?
- Est-il un nouvel
individu en probation qui a mal été réinséré dans la société ?
- Est-ce que cela va être
vu comme du racisme s’il fait partie de la « diversité » ?
- Est-ce que la ville va
être ensuite mise à feu et à sang par les « jeunes » des quartiers ?
- Est-ce que je vais être
poursuivi par la Halde, le MRAP, la LICRA, SOS Racisme, etc. ?
- Est-ce qu'on va parler
de « bavure » dans les médias et me condamner lourdement ?
- Est-ce que je vais
perdre mon emploi ?
- Est-il une victime du
syndrome alcolo-fœtal et il ne comprend pas ce qu’il fait à cause de cela ?
Donc je vais le prévenir
gentiment de déposer son arme alors qu’il m'approche …
Le policier Australien :
BANG !
Le policier Américain :
BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! Click…
reload…
BANG ! BANG ! BANG !
BANG ! BANG ! BANG ! Click, click, click, click… »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
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