Le TES été créé par voie de décret !
Là, la semaine dernière, dimanche 30 octobre exactement, en plein pont –
le dernier de l’année – à l’occasion de la toussaint, le décret n° 2016-1460 avait été signé en catimini le
vendredi 28 octobre !
J’ai pu vérifier ce week-end à Monaco, où « mon boss à
moi-même » reçoit ce genre de publication…
Un truc de géant signé par « Menuet-Valse »,
« Nanar-Case-neuve », « J’y-aime-Air-eau »,
« Le-Riant » et « Eric-k’a-Barre-Right » (la ministre des
outre-mères) !
Le fameux TES (« Titres électroniques sécurisés »), c’est une base de
données qui remplace le précédent TES (dédiée uniquement aux passeports sécurisés) et le
Fichier national de gestion (dédié aux cartes d’identité), autrement dit
seulement la fusion de deux fichiers préexistants.
Soit finalement, malgré les cris d’orfraie qu’on entend depuis, rien de
nouveau sous le soleil !
Alors quid novi ?
Eh bien, rien qu’à la lecture de l’article 2, on se bidonne déjà !
Car il s’agit de simplifier la vie des « administrés » (pas des
citoyens, non, des administrés, ceux qui sont sous
tutelle-étatique … ?) pour la délivrance de leurs
« papiers » :
« I. - Les données à caractère personnel
et informations enregistrées dans le traitement mentionné à l'article 1er
sont :
1° Les données relatives
au demandeur ou au titulaire du titre :
a) Le nom de famille, le
nom d'usage, les prénoms ; b) La date et le lieu de naissance ; c) Le sexe ; d)
La couleur des yeux ; e) La taille ; f) Le domicile ou la résidence ou, le cas
échéant, la commune de rattachement de l’intéressé ou l’adresse de l’organisme
d'accueil auprès duquel la personne est domiciliée ; g) Les données
relatives à sa filiation : les noms, prénoms, dates et lieux de naissance de
ses parents, leur nationalité ; h) Le cas échéant, le document attestant de
la qualité du représentant légal lorsque le titulaire du titre est un mineur ou
un majeur placé sous tutelle ; i) L’image numérisée du visage et celle des
empreintes digitales qui peuvent être légalement recueillies ; j) L’image
numérisée de la signature du demandeur de la carte nationale d'identité ;
k) L’adresse de messagerie électronique et les coordonnées téléphoniques du
demandeur, lorsque celui-ci a choisi d’effectuer une pré-demande de titre
en ligne ou a demandé à bénéficier de l’envoi postal sécurisé, ou sur
déclaration de l'usager lorsqu'il souhaite être informé par ce moyen de la
disponibilité de son titre ; l) Le cas échéant, le code de connexion délivré
par l'administration au demandeur pour lui permettre de déclarer la
réception de son passeport lorsque ce titre lui a été adressé par courrier
sécurisé ;
2° Les informations
relatives au titre :
a) Numéro du titre ; b)
Type de titre ; c) Tarif du droit de timbre ; d) Date et lieu de délivrance ;
e) Autorité de délivrance ; f) Date d'expiration ; g) Mention, avec la date, de
l’invalidation du titre et de son motif (perte, vol, retrait, interdiction de
sortie du territoire, autre motif), de la restitution du titre à
l'administration, de sa destruction ; h) Mentions des justificatifs présentés à
l’appui de la demande de titre ; i) Informations à caractère technique
relatives à l'établissement du titre ; j) Informations relatives à la demande
de titre : numéro de demande et, le cas échéant, de pré-demande, lieu de dépôt,
date de réception de la demande, date de l’envoi du titre au guichet de dépôt,
motif de non-délivrance ; k) La date et le mode de remise du titre ainsi que,
le cas échéant, les nom, prénoms et identifiant du consul honoraire chargé de
sa remise ou le nom, l'adresse du site internet de suivi et l’identifiant du
transporteur chargé de son acheminement lorsque le titre est adressé à l'usager
par courrier sécurisé ; l) Les informations relatives à la réception du
passeport par le demandeur lorsque le titre lui est adressé par courrier
sécurisé : la date d'envoi du passeport, le numéro de suivi du courrier
sécurisé, la date de la déclaration de réception, de non-réception ou de refus
de réception du passeport, la mention des justificatifs produits à l'appui de
la déclaration ;
3° Les données relatives
au fabricant du titre et aux agents chargés de la délivrance du titre :
a) Nom, prénom et
références de l'agent qui enregistre la demande de titre ; b) Noms, prénoms et
références des agents mentionnés à l'article 3 ; c) Identifiant du fabricant du
titre ;
4° L'image numérisée des
pièces du dossier de demande de titre. »
Et de préciser tout de même que :
« II. - Le traitement ne comporte pas de
dispositif de recherche permettant l’identification à partir de l'image
numérisée du visage ou de l'image numérisée des empreintes digitales
enregistrées dans ce traitement. »
Là, aujourd’hui, mais demain, svp, puisqu’un autre décret peut venir
abroger ce point II en toute quiétude…
Et puis moi je rigole encore plus fort après la dernière « aventure »
de « ma nichée » restée en Gauloisie, quand elle a perdu sa carte
Navigo.
Elle se pointe au guichet de la RATP pour en refaire une autre, avec
photomaton et tout le nécessaire pour ce faire et la nana derrière sa vitre
blindée lui ressort un duplicata sans autre formalité… avec une photo de « pas
d’elle », soi-disant scannée par la caméra de la régie quand elle est
allée précédemment recharger son bidule en borne !
Incroyable, mais pourtant vrai…
C’est dire si c’est très drôle, toutes ces « précautions identitaires » !
Bon, bon, tous fichés alors ?
Ça fait des années et des années qu’on vous suit depuis vos bulletins
scolaires et votre carnet de vaccination, vos feuilles de paye, vos
déclarations fiscales et vos petits-bobos et il n’y a eu pas mort d’homme…
Nous avons tous un numéro « Lyne-Sait-tout » à 13 chiffres
attribué à la naissance, alors, hein !
Et là on en dit que la mesure ne concerne que les « plus de 12
ans »… hors justement le point 1°-h ci-dessus.
Mais ceux-là sont déjà sous tutelle légale de leurs géniteurs qui sont
eux-mêmes fichés par le « bidule ».
Il ne manque plus que la taille du sexe et les liens matrimoniaux, faits
ou défaits, ainsi que la présence de rejetons issus de rapports sexuels
féconds…
Mais ça viendra avec le croisement de vos cartes-vitales et vos
déclarations fiscales (de foyers fiscaux, voire de vos relevés d’EDF, de vos
comptes-bancaires, donc vos consommations de couche-culotte et de petit-pot-bébé).
Ceci dit, tous ces renseignements sont destinés à qui, parce que là, on s’inquiète
un peu malgré tout, puisque c’est seulement pour simplifier vos vies
d’administrés ?
Article 3 :
« I. - Peuvent accéder, à raison de leurs
attributions et dans la limite du besoin d'en connaître, à tout ou partie des
données enregistrées dans le traitement mentionné à l'article 1er et
dans le composant électronique prévu à l’article 2 du décret du 30 décembre
2005 susvisé :
1° Les agents des
services centraux du ministère de l’intérieur et du ministère des affaires
étrangères chargés de l'application de la réglementation relative au
passeport et à la carte nationale d'identité, individuellement désignés et
dûment habilités par le ministre de l'intérieur ou le ministre des affaires
étrangères ;
2° Les agents des
préfectures et des sous-préfectures chargés de la délivrance des passeports et
des cartes nationales d'identité, individuellement désignés et dûment
habilités par le préfet ;
3° Les agents
diplomatiques et consulaires chargés de la délivrance des passeports et des
cartes nationales d'identité, individuellement désignés et dûment habilités par
l'ambassadeur ou le consul ;
4° Les agents chargés
de la délivrance des passeports de service au ministère de l'intérieur,
individuellement désignés et dûment habilités par le ministre de l'intérieur.
II. - Peuvent accéder aux
données enregistrées dans le composant électronique prévu à l'article 2 du
décret du 30 décembre 2005 susvisé dans le cadre de leur mission de recueil de
la demande et de remise des titres :
1° Les agents des
communes individuellement désignés et dûment habilités par le maire ;
2° Pour les seuls
passeports de mission, les agents des formations administratives du ministère
de la défense, individuellement désignés et dûment habilités par le
ministre de la défense. Le ministre de la défense peut, par arrêté, déléguer
ses pouvoirs dans ce domaine aux commandants des formations administratives. »
Admettons, admettons : Faut bien qu’ils aient des raisons de bosser,
tous ces braves fonctionnaires au service de tous…
Mais aussi, article 4 :
« I. - Pour les besoins exclusifs de
leurs missions, peuvent accéder aux données enregistrées dans le traitement
prévu à l'article 1er à l’exclusion de l’image numérisée des
empreintes digitales, dans les conditions fixées par l'article L. 222-1 du code
de la sécurité intérieure :
1° Les agents des
services de la police nationale et les militaires des unités de la gendarmerie
nationale chargés des missions de prévention et de répression des atteintes
aux intérêts fondamentaux de la Nation et des actes de terrorisme,
individuellement désignés et dûment habilités par le directeur dont ils
relèvent ;
2° Les agents des
services spécialisés du renseignement mentionnés à l'article R. 222-1 du
code de la sécurité intérieure, individuellement désignés et dûment habilités
par le directeur dont ils relèvent, pour les seuls besoins de la prévention des
atteintes aux intérêts fondamentaux de la Nation et des actes de terrorisme.
II. - Pour les besoins
exclusifs de leurs missions, peuvent accéder aux données enregistrées dans le
traitement mentionné à l'article 1er, à l’exclusion de l’image
numérisée des empreintes digitales, les agents de la direction centrale de
la police judiciaire, individuellement désignés et dûment habilités par le
directeur dont ils relèvent, chargés des échanges avec INTERPOL au titre de la
position commune du 24 janvier 2005 susvisée et du règlement d’INTERPOL sur le
traitement des données, ainsi qu'avec les autorités compétentes des États
appliquant la décision 2007/533/JAI du Conseil du 12 juin 2007 sur
l’établissement, le fonctionnement et l’utilisation du système d’information
Schengen de deuxième génération (SIS II), au titre de ses articles 7, 38 et 39. (…) »
C’est précis, n’est-ce pas !
Et rassurant ?
N’oubliez pas de lire l’article 5 :
« Pour les besoins exclusifs de
l’accomplissement de leurs missions, les personnels chargés des missions de
recherche et de contrôle de l'identité des personnes, de vérification de la
validité et de l'authenticité des passeports au sein des services de la police
nationale, de la gendarmerie nationale et des douanes peuvent accéder aux
données enregistrées dans le composant électronique prévu à l'article 2 du
décret du 30 décembre 2005 susvisé. »
En bref, tout le monde et à toutes occasions, pourvu que ça porte un
uniforme…
Assez génial, n’est-ce pas !
D’autant que pour ce genre de choses, d’habitude, ils attendent la trêve
des confiseurs entre Noël et le jour de l’an : Là, ils sont manifestement
pressés…
On va y revenir.
Personnellement ce que je trouve également très drôle, c’est que tout le monde
a oublié que la mesure avait été adoptée en 2011 sous « Bling-bling »,
mais avait suscité de telles réserves au sein de la CNIL, parce qu’elle avait
jugé dangereuse la création d’une base de données centralisée, à cause des
risques que cela comporte, piratage, accès indus (un fichier des 120.000 flics
de Gauloisie a ainsi récemment été piraté) … que même l’actuel
« Garde-des-sots » et l’actuel ministre des « Affaires-étrange’air »,
celui-là même signataire du « bidule », alors députés de
l’opposition, avaient porté avec d’autres parlementaires « soces » un
recours devant le Conseil constitutionnel, qui avait partiellement censuré le
texte de loi afférent.
Mais pas tout…
Car si on fait fi des questions éthiques soulevées par le fichage de la
population (c’est pour votre bien, il serait vain et fou de s’opposer « à
votre bien »), cette mesure pose des questions sur la sécurité des
informations compilées, leur éventuelle utilisation à des fins malveillantes
telles que l’usurpation d’identité, le piratage ou d’autres atteintes à la vie
privée.
L’accessibilité à ces informations par des organisations qui ne relèvent
pas de l’État gauloisien est également décriée par les souverainistes.
De plus, il n’y a aucun contrôle par une instance indépendante, comme le
déplore le président de la Ligue des droits de l’homme, qui dénonce une « démarche identique au Patriot Act ».
Bé oui : C’est pour votre bien !
Faut-il s’inquiéter ? « L’administration
continue de se moderniser en accélérant et en simplifiant les démarches des
usagers. Il s’agit également de fiabiliser » les demandes « de pièces d’identité en les sécurisant »,
a déclaré mardi dernier le porte-la-parole du ministère de l’Intérieur.
D’autant qu’un tel « méga-fichier » était déjà inscrit dans la
proposition de loi de la droite susmentionnée et adoptée à la fin du précédent
quinquennat, avec deux finalités principales : Lutter contre l’usurpation
d’identité pour éviter qu’une personne s’approprie le document d’une autre ;
l’identification d’une personne à partir de ses données (empreintes digitales
notamment), y compris à des fins judiciaires.
Et c’est en raison de cette seconde finalité que la création de ce fichier
avait été retoquée par le Conseil constitutionnel.
« Le décret qui vient d’être pris ne
comporte aucune fonctionnalité d’identification d’une personne à partir de ses
seules données biométriques », a-t-on fait valoir au ministère, où l’on
assure donc qu’il « ne peut être comparé
à la proposition qui avait été censurée en 2012 ».
Présomption de légalité, donc : Tout est carré ! Circulez, SVP !
D’autant qu’au ministère de l’Intérieur, on certifie que le Conseil d’État
a été « sollicité » pour avis et
a jugé la voie réglementaire « conforme à
la loi ».
« La Cnil a également été consultée
et a acté que la recherche d’identité à partir des empreintes ou des photos ne
serait pas possible, et a considéré que les finalités » du fichier TES
« étaient déterminées, explicites et
légitimes ».
Donc voilà, fermez vos gueules il n’y a rien à redire, d’autant que
l’article 28 précise que « les données enregistrées dans les
traitements autorisés par le décret du 22 octobre 1955 susvisé (carte d’identité) et le décret du 30 décembre 2005 susvisé
(passeport) sont transférées au plus
tard le 31 décembre 2018 dans le traitement mentionné à l'article 1er. »
Ce n’est pas moi, ce sera l’autre qui va devoir gérer les écarts
prévisibles…
Alors, pourquoi cette précipitation, puisque de toute façon, ce n’est que
pour après-demain ?
Eh bien tout simplement parce que ce « méga-fichier » existe
déjà et qu’il « tourne » en catimini, mais qu’il manquait ce décret à
la fois pour l’officialiser et encadrer son usage !
Je vous en parlais déjà le week-end du 22-23 octobre dans « Laudato
si… », le roman d’été (qui
n’en finit pas d’être finalisé…).
Oui, je sais, même si je n’aime pas trop me jeter des tombereaux de lauriers
& fleurs, parfois il faut reconnaître que je suis totalement génial dans
mes « anticipations » puisque ces épisodes-là relatent un projet de
l’agent « Charlotte », qui pense d’abord à sa sécurité personnelle et
à en partager les coûts, et se situe chronologiquement en décembre 2015, après
les attentats du 13 novembre, mais avant ceux de Bruxelles et de juillet 2016.
En janvier (2016), on y vient vous verrez cela un peu plus tard, il va s’apercevoir
que les britanniques sont très en avance dans la constitution de ce type de
fichier (tout comme la NSA d’ailleurs, et plus tard les services Israéliens
également) et va être amené à « mutualiser » ses données avec ces
services et même ceux du Vatican (qui possède le plus vaste fichier du monde
avec celui des Mormons qui retrouvent même vos lointains ancêtres) !
Et son problème sera de savoir où localiser ses serveurs, qui usent de
« requêtes automatisées » (des « robots fouineurs ») pour
contourner la loi gauloisienne en toute légalité.
Chose assez facile pour « un privé », au demeurant, puisque
cette législation de la protection des données privées n’est vraiment développée
qu’en Gauloisie finalement…
Bien sûr, de ma part, tout ceci n’est que roman, « une « pure construction intellectuelle »,
sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. »
Notez que jusque-là, une information que j’ai pu vous livrer en exclusivité
au mois de juillet dernier, n’a toujours pas trouvé d’explication
officielle, alors qu’elle a été confirmée par ailleurs.
Là au moins, ça deviendra cohérent (et c’est décidé, je déteste les
incohérences !).
Pour le reste, « c’est pour votre bien », vous n’avez donc rien
à craindre : Dormez tranquillement.
On s’occupe même de neutraliser les terroristes jusqu’en Syrie-Irak pour
vous, au cœur de l’Afrique noire et on démantèle la jungle de Calais,
promis-juré elle ne reviendra pas : Il paraît qu’elle a seulement été
transférée à Stalingrad, la station du métro aérien des parigots !
Pas de quoi s’en faire finalement, sauf, sauf…
Bonne journée de bonne rigolade en attendant pire à toutes et à tous !
I3
Nos « chers » dirigeants restent fidèles à eux-mêmes !...
RépondreSupprimerPourquoi débattre à l’Assemblée du TES alors que c’est si facile de le passer en décret ?...
Comme cela on pourra fliquer encore mieux les « administrés » ce qui n’empêchera pas, d’ailleurs, de rester aveugle à des détournements de fonds faits par nos dirigeants et qui se montent en milliards !...
Il y a vraiment deux poids et deux mesures et on distingue bien la volonté d’asservir les citoyens et d’être soi-même au-dessus des lois !...
On court tout droit vers encore plus de totalitarisme !...
A quand la prochaine étape ?...
Mais ce décret est mal pris par pas mal de monde y compris des membres du gouvernement dont Axel Lemaire la secrétaire d'État au Numérique.
D’ailleurs, le « premier sinistre » vient de proposer un débat au Parlement !...
Ce n’est pas tout à fait joué !...
Bien à vous !...
Haddock
Exact !
SupprimerNotez au passage la "grande-cohérence" de ce gouvernement jusqu'en son sein !
Assez extraordinaire.
Ceci dit, un débat ne changera rien : Ils s'en tiendront à l'aspect : "facilitation pour obtenir des papiers", d'autant que j'ai lu quelle que part qu'au moins la Norvège (et un autre pays) n'accepte plus les CNI de plus de 5 ans renouvelées par simple prorogation pour venir franchir leur frontière par nos citoyens...
Passons.
Vous oubliez aussi que l'AN vient d'adopter la fameuse loi "anti-corruption", qui organise la "transparence-financière" des entreprises mais aussi la façon d'en faire encore moins.
Seul point positif, la création d'un statut de "lanceur d'alerte"... en entreprise seulement !
Autrement dit une façon d'accélérer encore les délations (bonnes ou mauvaises).
Quel malheureux pays qui se renie lui-même, finalement.
Je suis bien triste et n'en vois pas la fin.
La prochaine étape, c'est "Marinella-tchi-tchi" qui fait le coup de "Trompe", déjouant tous les pronostics en passant au premier tour !
J'espère vraiment avoir tort, mais qui sait ?
Bien à vous !
I-Cube