En ce
vendredi-Saint : Les dernières de Marcel
Un gars qui monte dans le train pour aller de Casablanca
à Tanger (un très long trajet) prend avec lui un kilos de sucre en poudre et 5
kg de bananes.
Dès que train se met en route il épluche une banane la
regarde, la trempe dans le sucre, la regarde et la jette par la fenêtre.
Il recommence l'opération pendant tout le trajet.
Juste avant de descendre, Marcel, un autre type qui
l'accompagnait, lui demande la raison pour laquelle il jetait toutes ses bananes.
Et le premier lui répond : « Parce que je n'aime pas les bananes au sucre… »
Deux types sont à table.
L'un d'eux lève la tête, et voit l'autre avec des
bananes dans les oreilles.
« – Eh,
vieux, t'as des bananes dans les oreilles !
– Quoi
?
– Ouais,
t'as des bananes dans les oreilles !
– Parles
plus fort, je t’entends pas ! J’ai des bananes dans les oreilles ! »
Deux types se rencontrent dans la rue.
L'un d'eux :
« – T'as pas mis de slip aujourd'hui ?
– Comment
le sais-tu ?
– T'as
pas mis de pantalon non plus… »
Un irlandais, un anglais et un écossais discutent
devant une Guinness dans un pub.
Chacun parle de sa femme…
L'anglais dit en regardant sa pinte :
« J'ai bien
peur que ma moitié me trompe avec un charpentier ! »
Les deux autres le regardent et lui demandent pourquoi
il pense ça.
« L'autre
soir, quand je suis rentré du boulot, j'ai trouvé une scie et un morceau de
bois sous le lit, alors évidemment… » répond l'anglais.
L'écossais prend alors la parole:
« Oh moi
c'est pas mieux. Je pense que ma femme me trompe avec un plombier… La nuit
dernière quand je suis rentré, j'ai trouvé un tuyau et une clef à molette sous
le lit ! »
Après avoir tenté de consoler ses deux amis,
l'irlandais semble comme pétrifié d'un seul coup et crie :
« Oh Mon Dieu ! Je pense que ma femme me trompe
avec un cheval ! »
Ses deux amis sont abasourdis et lui demandent
pourquoi il croit ça et il répond :
« Parce que
l'autre nuit, quand je suis rentré, j'ai trouvé un jockey planqué sous le lit ! »
C'est le début de la matinée dans le couvent. Deux
religieuses se dirigent vers le réfectoire pour prendre le petit déjeuner.
Sur le chemin, elles croisent la Mère Supérieure qui
semble d'une humeur massacrante… Les deux sœurs lui disent bonjour et la Mère
Supérieure ne répond que d’un grognement !
Une des sœurs dit alors à l'autre :
« Ho, ho,
notre mère supérieure a dû se lever du mauvais côté du lit ce matin. »
L'autre répond :
« – On doit
plutôt dire ‘La mère supérieure s'est levée du pied gauche’, non ?
– Peut-être
qu'elle s'est levée du pied gauche… mais elle s'est quand même trompée de côté
de lit parce qu'elle a mis les chaussures du Père Barnabé ! »
Dans une rue sombre, un individu à l'aspect inquiétant
demande à un passant :
« – Vous
auriez une cigarette ?
– Pardon
? »
fait le passant.
« – Vous
auriez une cigarette ?
– Pardon
?
– Bon,
ça va ! Envoie ton portefeuille.
– Mais,
bien sûr, mon ami, que j'ai une cigarette. Tenez, vous pouvez même garder le
paquet. »
Un français prend son petit-déjeuner (café, croissants,
pain beurré et confiture), quand un Américain ruminant son chewing-gum vient
s'asseoir près de lui.
Le français l'ignore, mais l'autre entame la
conversation.
L'Américain : « Vous les français vous mangez tout le pain ? »
Le français (de mauvaise humeur) : « Bien sûr. »
L'américain (après avoir fait une grosse bulle) : « Pas nous. Nous, on mange que l'intérieur, on
récupère les croûtes, on les recycle, on les transforme en croissants et on les
envoie en France. »
Le français l'écoute en silence.
L'américain insiste : « Vous mangez de la confiture avec le pain ? »
Le français : « Bien sûr ! »
L'américain : « Pas nous. Nous mangeons des fruits frais. Nous récupérons les épluchures
et les pépins, on les recycle en confiture, qu'on envoie en France. »
Le français demande alors :
« – Et
qu'est-ce que vous faites avec les préservatifs usagés ?
– On
les jette, bien sûr ! »
Le français (avec un sourire entendu) : « Pas nous. En France on les met dans un
récipient, on les recycle, on les fait fondre, on en fait du chewing-gum qu'on
envoie aux Américains. »
Une dame prend un taxi pour rentrer à l'hôtel où elle
est en pension.
Le chauffeur ne dit pas un mot durant tout le trajet,
ce qui intrigue un peu la dame. Aussi l'idée lui vient-elle de lui poser une
question banale et pour se faire, elle lui touche légèrement l'épaule.
Aussitôt voilà son chauffeur qui se met à hurler, à
trembler, à blanchir. Il en perd même le contrôle de son véhicule et un peu
plus, provoquait un terrible accident.
Le taxi sur le trottoir, la dame, ébahie, se tourne
alors vers le chauffeur et lui dit :
« – Franchement,
je ne pensais vraiment pas vous effrayer ainsi avec une simple petite tape sur
l'épaule !
– Ne
m'en veuillez pas, Madame. Aujourd'hui, c'est mon premier jour comme chauffeur
de taxi, vous savez.
– Et
que faisiez-vous donc avant ?
– Eh bien,
pendant 25 ans, j'étais … chauffeur de corbillard ! »
Dans un avion, un Chinois est assis à côté d'un Juif.
Juste après le décollage, le Juif donne une énorme
baffe au Chinois.
Un peu sonné ce dernier s'enquiert :
« – Mais
pourquoi m'avez-vous giflé ?
– Ça,
c'était pour Pearl Harbor ! »
Et le Chinois abasourdi :
« – Mais je
suis Chinois, Pearl Harbor a été bombardé par les Japonais !
– Chinois,
Japonais, Coréen, tous les mêmes pour moi ! »
Le vol continue et dans un nuage le Chinois retourne
une espèce d'énorme mandale au Juif, un peu sonné ce dernier s'enquiert :
« – Mais
pourquoi m'avez-vous mandalé ?
– Ça,
c'était pour le Titanic !
– Mais
le Titanic a été coulé par un iceberg !
– Iceberg,
Steinberg, Goldberg, c'est tous les mêmes pour moi… »
Sœur Marie-Chantal vit au couvent, juste à cote de
l'auberge du père Marcel.
Un soir, vers 18h, sœur Marie-Chantal entre dans
l'auberge.
« – Père
Marcel, vendez moi donc une bouteille de gnole.
– Voyons,
vous êtes sûre, ma sœur ? En trente ans, je n'ai jamais vendu d'alcool aux
sœurs.
– C'est
pour soigner la constipation de la mère supérieure, soyez gentil. »
Marché conclu, la sœur sort de l'auberge avec la
bouteille de gnole.
Deux heures plus tard, alors qu'il ferme le rideau de
fer de sa boutique, le père Marcel voit, sur un banc, la sœur, saoule comme une
vache.
« – Ma sœur
!!! Je croyais que c'était pour soigner la constipation de la mère supérieure ?
– Za
l'est… Quand elle ba me voir dans zet état… burp… za va la faire chier… ! »
Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre.
Rapidement, Dieu eut à faire face à une procédure de
justice intentée par le collectif des Verts pour défaut d'étude d'impact sur
l'environnement.
Dieu reçu quand même un permis temporaire pour le
projet, mais seule la partie terrestre du projet reçu l'aval de la Direction
Universelle de l'Équipement.
Puis Dieu dit, « Que la lumière soit ! »
Immédiatement, les autorités demandèrent comment la
lumière serait faite.
Y aurait-il une exploitation minière de lumière ?
Qu'en serait-il de la pollution thermique ?
Dieu expliqua que la lumière proviendrait d'une énorme
boule de feu.
On accorda donc à Dieu de faire la lumière, sous
réserve qu'aucune émission de fumée ne proviendrait de la grosse boule de feu
et, sous réserve d'obtention du permis de construire, et, sous réserve
d'élaboration d'un procédé d'économie d'énergie.
La lumière fut accordée pour 50 pour cent du temps.
Dieu agréa le projet et dit que la lumière serait
appelée « Jour » et l'obscurité « Nuit ».
Les officiels lui répliquèrent qu'ils n'étaient pas
intéressés par la sémantique.
Puis Dieu dit : « Que la terre se couvre de verdure, d'herbe porteuse de semence,
d'arbres fruitiers ».
Le ministère de l'agriculture donna son accord à la
condition que les semences ne soient pas modifiées génétiquement.
Puis Dieu dit : « Que les eaux se remplissent de créatures vivantes, et que les cieux voient
voler des créatures ailées. »
Les autorités firent remarquer que ceci nécessiterait
l'aval de la Ligue de Protection des Oiseaux, du HWF (Heaven Wildlife Fund) et
du ministère de l'environnement.
Tout était paré jusqu'à ce que Dieu dise qu'il voulait
boucler son projet en 6 jours…
Les autorités dirent qu'il faudrait bien 6 mois pour
passer en revue les implications du projet et son impact.
Ensuite, il serait procédé à une enquête d'utilité
publique.
Puis il faudrait encore compter quelque chose comme 10
à 12 mois avant que…C'est alors que Dieu décida de créer l'Enfer !
Entretien d'embauche à la SNCF.
Le DRH de la SNCF : « Bonjour, asseyez-vous et parlez-moi de vous. »
Le candidat fonctionnaire : « – Bla, bla… Mais je dois vous informer que
je suis handicapé.
– Grave
?
– J'ai
sauté sur une mine et j'ai perdu mes couilles.
– Cela
n'a pas d'importance, vous commencez lundi, les horaires sont 8h00 – 18h00 mais
vous, vous venez pour 10 heures.
– Je ne
veux pas de traitement de faveur, je souhaite commencer à 8 h 00, comme les
autres.
– Ne
vous en faites pas, nous arrivons à 8 h 00, mais on se gratte tous les couilles
jusqu'à 10 h 00 à la machine à café… »
Un prêtre, un évêque et un cardinal arrivent en même
temps devant Saint Pierre. Celui-ci s'adresse à eux :
« Vous, le
prêtre, vous avez parfois eu des pensées déplacées pendant la messe. Pas
grand-chose, mais vous roulerez dans cette voiture pendant 10 ans avant de
rentrer au paradis.
Vous l'évêque,
vous avez détourné de l'argent de votre diocèse, et fait des bons repas avec.
Vous roulerez 100 ans sur cette moto avant de rentrer au paradis.
Et vous, le
cardinal, vous avez pris des libertés avec des jeunes servantes… Vous roulerez
1000 ans sur ce vélo. »
Les 3 hommes partent de leur côté, et 9 ans après, le prêtre
et l'évêque se rencontrent, et voient plus loin le cardinal assis sur une
borne, qui rit aux éclats…
Ils s'approchent de lui et demandent :
« – Vous
avez encore 991 ans à rouler à vélo, ça vous rend si joyeux ?
– Non,
mais je viens de croiser le pape sur une trottinette ! »
Lorsqu'on voit une offre d'emploi dans le journal,
c'est souvent difficile de se faire une idée de ce qui nous attend.
Pour vous aider, voici la signification réelle de
certains termes utilisés dans les offres d'emploi :
« Joignez-vous
à une entreprise dynamique, en pleine expansion » :
On ‘aura pas le temps de te donner de formation, va
falloir que tu te débrouilles tout seul, pis vite !
« Le
candidat doit être capable de respecter les échéances » :
Ça fait longtemps qu'on aurait dû engager quelqu'un,
mais on était trop débordé. Tu vas être 6 mois en retard dans ton travail en
arrivant.
« Doit être
disponible pour faire un peu de temps supplémentaire » :
Un peu le lundi soir, un peu le mardi soir, un peu le
mercredi soir, un peu le jeudi soir, un peu le vendredi soir et un peu les
week-ends.
« Tâches
variées » :
On cherche un bouche-trou. N'importe qui dans le
bureau peut te donner des ordres et te dire quoi faire.
« Doit être
minutieux » :
Nous n'avons aucun contrôle de qualité mais si on a un
problème, ce sera de ta faute.
« Cherchons
des candidats désirant faire carrière dans notre entreprise » :
Si t'es une fille, tu dois être célibataire, sans
enfants et tu ne dois pas en vouloir.
« Envoyez
votre CV. Aucun appel ou visite SVP » :
Cela ne donne rien d'appliquer, on a déjà comblé le
poste avec un parent ou ami du patron. On fait une offre d'emploi juste pour
faire semblant que n'importe qui aurait pu être engagé. On ne veut pas avoir de
problèmes avec les normes du travail ni le syndicat.
« Nous
recherchons un candidat avec expérience variée » :
Tu vas remplacer trois personnes.
« Doit
posséder une bonne capacité de résolution de problèmes » :
Notre compagnie n'a aucune structure et tu seras
constamment dans les problèmes.
« Aptitudes
à diriger requises » :
Tu auras les responsabilités d'un directeur avec la
paye et la reconnaissance d'un stagiaire.
« Doit
posséder de bonnes capacités de communication » :
Lorsque le boss te demande quelque chose, tu dois être
capable de deviner ce qu'il veut vraiment.
Bon week-end Pascal à toutes et à tous !
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